Grue télescopique sur chenilles ex 9100 D’après Liebherr LTR 1060, flèche raccourcie.

Pour toutes mes grues à câbles c'est pareils., hors tension c'est l'embrouille.

Vu que j'aie désossée la 9100, je récupère sa radio en 8 voies, une Robbe F 14 récepteur Corona DYE en 2,4 avec UBEC et ses varios inverseurs.

J'ai aussi reçus de Ali express les deux joints tournants commandés, et les 5 varios de chez BG.

Pour essais je vais re démonter le système du doigt pour essayer en libre, vu qu'en haut j'ai un guide à rouleaux, rien que pour voir comment se comportent les enroulements, et aller chercher chez Sup' Air parapente Lundi du cable parapente, il m'en faut 10 mètres, j'en avait mais j'ai perdu le bobineau ou il est enroulé.

Un copié collé de Steve :

Re: [1/15] Grue à chenille MAEDA CC985S

Message

• 
  

par 
[ltr]Bartste[/ltr]
 » ven. août 02, 2019 10:28 pm
Merci a vous !

En faite je fais le même travail et raisonnement pour chaque projet, avec tout autant de test à blanc sur établis pour chaque sous ensemble. Mais en général j'en parle pas ici, mais la il semble y avoir de l'intérêt pour ce projet (certains vont peut-être ce lancer ?, alors je prends le temps de plus développer et faire plus de vidéos de photo et je publie mes schémas.


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Eh bien justement , c'est de ne pas en parler du comment et pourquoi il fait les choses qui est le bat qui blesse, de faits personne ne reprends sa suite pour construire ses engins, vu qu'il n’explique pas comment il a fait.

Certes des schémas, photos et Vidéos, mais ça n'explique pas tout.


Pour ma part je développe tous mes sujets et comment j'ai fait, comme exemple, comment braser à l'argent enrobé sur chalumeau oxy butane.


A t'on déjà vu des modélistes reprendre ses constructions entièrement ? Parbleu que non, bien trop compliqués, c'est surtout comment il fait qui est intéressant.


Et ça c'est éminemment dommages.

Aller, je passe en peintures, à la bombe,( le rouge de l'élévateur Manitou ), les 4 éléments des flèches et le massif.

C'est indispensable vu le degré de finitions, je remonterais les éléments de flèche lundi si c'est bien sec.

La suite mécanique seront les carénages qui seront peints séparément.

Et puis bien sur le tablier  et l'embase de la cabine.

Le châssis chenilles et celles ci sont déjà en noir brillant.

çà avance super vite. C'est bien d'avoir du temps pour sa passion. Steve et toi n'avez pas la même approche. toi tu vas détailler pour donner un max d'infos et que celui qui cherche à s'inspirer de tes techniques ait le plus de facilité à te comprendre. Steve va plutôt mettre la performance et le résultat en avant mais celui qui veut faire la même devra déjà avoir de bonne bases et une bonne analyse. et savoir poser les bonnes questions

En fait vous n'avez pas le même public

Oui , mort de rire d'un coté le chausseur, de l'autre le cirage.

Retournement des pièces et couches sur l'envers, cuisson sur four solaire.

Dans l’élan, autant rester dans le rouge pour le tablier  recto/verso.

Super rendu ces bombes de peintures, séchage encore de la journée bien au chaud sur le balcon.

Bien sur , je m'attends au remontage des éléments de flèche de les éborgner un peu, mais étant peints, une voile dessus et n'y paraîtra plus.

Ce que je n'aie pas fait sur le massif de flèche c'est la platine aux contre poids, en faits c'est une partie indépendante du massif qui sera rapportée par la suite à l'aide de cornières alu visées sur le massif, de faits un ensemble à fabriquer en dehors du massif, puis à peindre, et mettre en place.

Durant ce laps de temps les éléments sécheront d'avantages, c'est toujours un plus.

Encore une fois, je me suis trompé dans la commande des ESC, il y en a avec frein et diminution de vitesse sur marche arrière, et d'autres neutres.

Bien heureusement sur BG on a un récapitulatif de nos commandes, ce qui m'a permis de voir ceux qui sont neutres et d'en commander deux.

Pour les chenilles deux identiques neutres ,ceux de la 9100.

Pour la tourelle, un autre différends mais neutre.

Au relevage et télescopage deux anciens de chez Conrad étanches donc marine.

Me restait alors ceux du treuil et du relevage contre poids, identiques à ceux des chenilles.

Les autres me resserviront ça c'est sur, mon stock est toujours précieux.

J'ai fait, comme j'ai dit, à ceci près que le système ne sera pas démontable du massif vu que le RB 35 y est monté dessus ainsi que sa réduction secondaire.

En bouts de cet axe de 4 mm 2 vis sans fin acier s'engrenant dans deux roues dentées d'angle, ces roues sont vissées sur les tiges filetées de remontée de la charge: les contre poids.

Ces deux tiges seront rendues solidaires entre elles par une barrette les reliant par dessus le massif de flèche, pour éviter cela , il aurait fallut fendre les tiges filetées sur leur longueur, et placer dans leur paliers de maintient une vis servant de clavette anti rotation des tiges filetées.

Ça peut se faire, vu que tout est vissé mécaniquement.

La suite pour demain, il me manque du rond acier de 4 et de la tige filetées de 6. A prendre chez Le Roi du Machin.

J'ai aussi commandé à BG des butées à billes pour placer sous les roues dentées, leur rotation sera facilitée.

Des photos quand ça sera fonctionnel.

J'aie ma tige filoutée  et mon rond de 4, je vais pouvoir continuer ma bosse à contre poids.

Cet après midi, j'ai bricolé un peu sur ce que j'avais fait Samedi, et j'ai terminé ces mécaniques en bas à la cave.

Re démontage de la joue gauche du massif pour inclure les deux moto réducteurs, celui du treuil et celui des contre poids.

Que je puis repeindre une fois montés.

Durant ce temps les pièces sur le balcon ont continuées à durcir au soleil. Plus long sera la cuisson plus dures seront les surfaces.



Les tiges filetées seront à recouper en fonction de leurs longueurs réelles demandées.

Le massif est représenté avec la masse de base support des masses additionnelles, ici une seule est posée dessus, il y en a 10 au total pour le LTM 830 gr unitaire, masse de près de 10 kg au total.





Les moto réducteurs sont dans le massif. 

En faits une fois montés plus possible de mettre la fourchette et le doigt de guidage, bien au contraire, rajouter des bobines de guidage du cable du treuil, donc re démontages en perspective.

Et vu que ce massif de support sert aussi d'entretoise, certainement suppression de l’entretoise que l'on voit à coté.

wahou mais tu as bossé comme un dingue pendant que j'étais sur la route. bravo, c'est magnifique, avec de belles réalisations mécaniques. pourquoi il ne passe plus le doigt ? c'est la penture qui est trop épaisse ?

Trop de matériels et moto réducteurs, le temps de finaliser ce que je fait ce matin, des photos ce soir.

Le moto réducteur des contre poids est juste dans l'alignement du cable, celui ci va glisser le long du réducteur arrondis entre deux axes de guidage. les trous de l'entretoise du haut servent de paliers à cet axe bas.

Aux essais moteurs de ce matin le moto des contre poids bien trop lent, du coup j'en transforme deux boites de RB 35 au 1/6 en supprimant des étages de réduction.

Je dit 1/6 en faits c'est à calculer l'ensemble des réductions.

J'en transforme un de 1/600 en a peu près 1/6 I/8, et un des nouveaux chinois donné pour 45 tours/min en sortie dans cette équivalence..

Pour cela, démontage des boites et ouvertures de celles ci, enlever des étages mais qu'en final la grosse roue sertie sur l'axe corresponde à un pignon à étage, mais dans la même boite.

Bien sur les 3 entretoise sont trop longues, il faut les recouper à la dimension de l'entre plaques. En conservant un coté à sertir dans l'une des plaques  l'autre reposera dessus..

Au remontages les carter seront trop longs, mais ce n'est pas gênant vu qu'ils enveloppent boite et moteurs, il faudra juste recouper les 3 vis longues de 2 mm.

Travailler sur les RB est relativement facile, sur les boites des N 20 je ne m'y risque pas trop suis pas horloger.

Puis modif essentielle, descendre la roue dentée finale sur son axe, ici de 5 mm grace à un gabarit fait au tour qui permet d’avoir la coté exacte, puis re braser argent roue et axe.

Restera alors à limer sur le tour en marche les cannelures de sertissage de la roue.

Ce matin, remontage du tablier en vue de la fabrication du support amovible des contre poids.

Je fait celui ci en alu de 5 mm composé de plusieurs pièces assemblées par vissages, le truc est assez long, 20 cm large intérieur de 90 et vient s'accrocher sur l'intérieur du H du châssis chenilles et repose grace à une toile sur son épaisseur.

Le bâtis ressemble à un Té.

Sur l'arrière un support transversal supportera les contre poids et à leurs formes, qui sera entourée de lardon d'acier de 1 mm vissé sur le pourtour de la forme, et qui reprendre une épaisseur de CTP et du support soit 13 mm environ.

Les tiges filetées de 6 seront recoupées à 113, et un étrier en forme d'oméga les reliera pour les solidariser, en effets le système relever celles ci mais ne doivent pas tourner, comme le LTM 1100.

Processus de chargement :

La grue sélectionne le nombre de masses qui intéressent la levée des charges, les empilent l'une sur l'autre sur la plaque de base, et la dépose sur le bâtis, pour ce faire 4 vis de 4x10 TC sont mises en place en bouts de la plaque de base e levées par chaîne à 4 brins.

Une fois disposées sur le bâtis les vérins sont remontés, pour passer au dessus des charges, puis descendues dans les deux puits ménagés sur toutes les masses, pour se crochet dans ses supports sur une légère rotation de flèche, puis relevées de façons à faire pénétrer les deux plaques du haut dans les bossages coniques des tiges filetées. L’équipement reste ainsi le temps des manipulations.

Descente à la cave pour sa fabrication.

Lol, j'ai rien ou faire j'aie montées ma tronçonneuse sur le balcon pour la remorque.

Remise cet après midi.

Je vais me faire une courte sieste , et descendre à la cave faire ces bricoles, avec l'attache remorque.

J'ai plus faits les deux pièces du Té, débit et fraisages ce qui m'a permis de bien tester l'avance inversable, et surtout fraiser à deux fois la vitesse que j'avais avant avec la manivelle.

Ce soir les deux branches du Té sont assemblées par vis, pour demain, préparation et mise en place de la butée avant et de son gousset de renfort, puis mise en place des deux tétons de maintient du support avec la grue.

Que des pièces composées en alu assemblées par vissages.

Vu que ce sont des plaques de récupération il y a forcément plein de trous qui seront rebouchés au Sintofer et poncés.

Vendredi peut etre verra le remontage des éléments de flèches et les câblages internes , puis remontage sur l'engin, pour déterminer l'emplacement de la bosse du vérin de levage, et de son cache demi rond.

Ho il y a encore du travail de mécanique, Bâle ne s'est pas faite en un jour lol. 

Et puis demain je fait le tour du lac d' Annecy en vélo solo, sac à dos avec casse croûte et eau de boissons. Plus batterie de rechange. Car il faut compter 35 km le tour du lac. entre 3 et 4 h de route, mais il y aura plus, je ne fait pas du contre la montre.

Je part le matin vers 10 h pour etre de retour à la voiture garée au bord du lac dans l'après midi.

Il y aura des haltes à Talloire à l'attero des parapentes et à Doussard au bout du lac.

Je lisait ce matin les commentaires de Steve sur sa grue, il parles de stabilité flèche baissée entre autres, pour moi c'est simple ma base de grue, avec ses chenilles, le tablier le massif de flèche, deux contre poids fait déja 10 kg allié avec un grand allongement des chenilles (un peut court de 2 cm), de faits stabilité au sol due au poids de sa base, plus allongement des chaines, Charge de contre poids additionnels et pour le vrais modèle élargissement de celle ci font un engin stable du au poids et à sa surface d'appuie au sol.

Mais c'est très bien de faire des recherches dans ce sens, quoi que à mon avis pas du tout justifié pour un si petit engin.

Déjà que sur la mienne qui reste basique , je m'en passerait largement.

A noter que sur LTM 1100 j'ai déjà effectués 152 montages et démontages de la grue à tour sur une douzaine d'années et n'aie eue à déplorer aucune chutes ni de l'auto portée ni de la grue à tour, le poids du porte flèche fait quand même ses 6 kg bien sonnés.

Tout le reste est dérisoire, et pourtant pour des relevages en charges à plus de 3,500 M de haut.

Sur cette grue à chenilles la hauteur de levée à été raccourcie sciemment à environ 1600/1800.

Pourquoi chercher des difficultés la ou elles ne sont pas ?

De faits pour lui, une grue conçue originellement pour ses enfants de 6 ans, ne sera pas opérationnelle pour ce garçon car trop compliquée avec des sécurités d'inclinaison de flèche et d'autres de levées de charges.

Mort de rire il en sera quitte pour lui construire une grue en bois.

Qui veux le plus fera le moins.

Quand on se rappelle que les premières grues à vapeur des temps modernes n'avaient pas ces finasseries sécuritaires vers les années 1900, et pourtant il y en a eue des TRES gros chantiers, Canal de Panama, Suez Corinthe et d'autres travaux tout aussi gigantesques, et que ces grues ne se sont pas toutes cassées la figure.

Les sécurités sont surtout le faits de grutiers mal formés, de chefs de chantiers inconscients, et soumis à la pression  des quotas des rendements qui font supprimer ces sécurités.

Mais si un grutier pro manie sa grue dans les connaissances qu'on lui a enseignées, il n'y a pas de raisons qu'ils se cassent la margoulette.

En faits ces finasserie permettent à notre ami Steve d'alimenter son topic au nom de l’intéressement du plus grand nombre des membres de son forum, membres qui ne seront pas foutus d'en faire autant, pas équipés machines, pas de technologies, pas envies pas d'argent, pas de volontés, zut , pourquoi aller s'emmerder avec un modèle que tout le monde aimerais avoir, mais que personne n'a le courage de commencer sa construction ?

Mème si Steve donne l’impression d'y aller dans les détails , il n'expliquera jamais comment il les a faits lol.

Alors ballade autour du lac remis à demain, tout reste au frais, continuation du support des contre poids.

Et ainsi je continue à alimenter mon topic pour ne rien dire, mort de rire, vive l'internet.

Mouarf. Que d'avancées, très joli travail. 1800mm c'est déja pas mal, il faut pas oublié que çà prend de la place sur l'étagère ces petits trucs.

Clair que le problème de Steve c'est qu'il fait un modèle réduit à la limite du maquetisme pour ses enfants qui n'ont pas l'age ni d'apprécier la qualité du travail, ni d'évaluer la fragilité. Sa belle grue en mode horloger commencera a déconner au bout de quelques heures. moteurs forcés, chutes et autres.

J'hésite à faire des constructions pour mes neveux de 11 ans, les légo prennent encore cher à l'effort, donc une grue aussi précise pour 8 ans ? trop jeunes.

Quand à la tienne elle contrecarre les problèmes par un poids élevé, mais tu n's pas la contrainte de poids. un enfant de 8 ans ne peut pas utiliser un engin de 12 kg. Ceci dit je ne me lancerai pas non plus dans des commandes par retour de télémétrie, le challenge est intéressant, mais on arrive à un très bon résultat sans comme sur la tienne.

Hate de voir cette flèche fonctionnelle.

Merci Marc, mais pour l'heure, c'est le système de relevage des contre poids qui me tient à coeur.

Ce système est très justement important pour la stabilité de la grue : Pouvoir choisir avec exactitude des masses à empiler, pour une meilleure stabilité.

Sur LTM la stabilité est données par les jambes de force, et par les contre poids, de ce fait une embase hyper renforcée par des galets en chemin de roulement pour conserver une planéité à la tourelle.

Sur grue à chenilles cette stabilité est donnée par le grand allongement des chaines et le poids au sol.

Sur la grue à Steve ce devrait etre la même chose, mais ce n'est pas possible avec une base Bruder, c'est ce qui m'a fait changer de base, pour lui stabilité sera au prorata des charges mobiles accrochées au cul, mais alors , est ce que la solidité de la base bruder sera suffisante , puis avec l'accroissement du poids , est ce que l'engin arrivera à se déplacer ?

Pour moi il a choisis la simplicité d'une bruder, mais en y rajoutant des complications électroniques, disons que c'est surtout par bravade, pour nous prouver à tous que c'est faisable , par rapport à ce c..... de Jpg avec sa grue sur chenilles, mais au détriment de ce que pourrait en faire ses enfants.

Je gage qu'avec un engin aussi sophistiqué il ne le mette pas entre leurs mains comme tu dit, vite utilisé vite cassé, les BOULES,

Il serait partis sur une base de Magom en alu et aurait brodé, il aurait fait tout aussi bien.

En faits pourquoi demander à JPG (ce c....), le mieux à faire ?

Quoi ? Me rabaisser à demander conseils à un Français ? surtout ce c... ? Et ma fierté nationale ?

Aller au turbin JPG la grue n'attends pas, assez bavassé sur ce petit suisse 

Voici j'ai quasi terminé ce support de montage des contre poids, me reste à le monter sur l'engin, pour cela tomber le tablier pour accéder plus bas sur le châssis, et puis gros travail de masticage au sintofer pour boucher tous les trous.



Le support amovible plein  de trous.



Les dessous, la cale de hauteur et le triangle de maintient.



Le recto avec deux masses posées dans le berceau.



Vue de derrière, le berceau évite aux CTP de glisser lors des accrochages par les vérins.

Voici , le support amovible est en place accroché au châssis, pour l'heure le sintofer durcis, ce soir ponçage, une fois tous les trous bouchés, et support propre, peinture en rouge à la bombe.

J'ai également retrouvés mes grandes longueurs de câbles noirs, le tambour du treuil est complètement plein.

Il y aura aussi un coup de noir sur le châssis, tablier enlevé.

Et un coup de rouge sur les travaux de ce jour sur le massif .

Petit coup de bombe en dessous, maintenant le dessus.



Oh ? c'est pas une oeuvre d'art, juste un  receveur de contre poids à charger.



Je vais attendre que le soleil se couche pour donner un voile de noir au châssis.

A part des peintures, aujourd'hui tour du lac d' Annecy en vélo assistance électrique, ce soir 40 km dans les pattes en 6 h 30 entre coupés d’arrêts casse dalle, pipi repos divers, et surtout à l'ombre voir ce magnifique lac et ses plaisanciers.

Alors tour du lac par la gauche, sens des aiguilles d'une montre, parce qu'à mon avis c'est plus facile la pente quoique importante est faisable pour vélo électrique, on oscille entre seconde et troisième vitesse, et ça grimpe comme ça jusqu'en haut du rocher de Taloire, en mixte pistes cyclables et route dans les villages.

La descente de Talloir se fait bien sur à grande vitesse prudent quand mème entre 40 et 50 à l'heure.

En bas de talloire c'est plat le long du lac, encore en mixte route et pistes aménagées, c'est le voeux de la région : pouvoir faire le tour du lac entièrement sur pistes cyclable.

Puis de Doussard au bout du lac on emprunte l'ancienne voie férrée qui relais Annecy à Ugine, donc elle continue super aménagé sur Ugine.

Super bien aménagée puisque arrivé sur Duingt le château la ligne qui a abordée depuis quelques km une pente douce, pénètre dans un tunnel de faites éclairé, puis se continue ainsi jusqu'à verrier du lac, la piste se transforme alors le long du lac plus étroite mais à deux voies.

Arrivé sur Annecy il y a un monde fou cosmopolite qui grouille de partout, marche à pieds sur quelques dizaine de mètres. Reprise du braquet jusqu'à la bagnole.

Très content d'avoir fait cette randonnées sur laquelle je rêvais depuis 3 ans sans pouvoir la faire.

Coté accu j'ai pas tout à fait finie ma nouvelle batterie de 36 v 11 amp, j'aurais pus faire encore 8 km, mais j'avais ma batterie de secours de 8 amp attachée sur le porte baguage.

Le panier devant avec des bricoles et sac à dos pour le casse dalle et la boisson, eau plate d'un litre un demi.

A présent la douche bien méritée.

Salut Marc, tu a vu ? (Je te dit cela, mais je n'aie rien vu, je suppose à la lecture de son topic) , Steve à placé un enrouleur de cable électrique en bout du télescopique et motorisé, pour cela il utilise un joint tournant, comme les deux que j'ai reçus d’Ali express.

Ceux que j'ai font 12,5x12,5 de longs à 6 contacts

Il me faut juste trouver du cable deeper à 6 fils micro, 2 servant au moteur de l'enrouleur à glissement, 4 à des périphériques en bout de flèche, tel le JIB orientable en treillage, et pourquoi pas un mini treuil monté sur la fléchette pour le crochet à un brin ?

Le truc de l'enrouleur n'est pas bête, mais en le simplifiant avec un embrayage à friction qui supprime les problèmes de synchronisme dues aux vitesses différentes de montées et de descentes des éléments.

Le courant apporté aux 3 micro moteurs de type N20 peut etre de 7,2 v sur varios i verseurs chinois, mais aussi sur ampli vario pololu en 6 v, ou sur UBEC en 5 v.

Et c'est drôle parce que ces joints tournants  électriques, je les avaient commandés pour tout autre choses, comme la base bruder chenillée, les miens passent 5 amp par fil.

Une complication de plus, qui me fait penser à celles apportées aux deux DAHOX, (Débardeurs forestier, on y a a apportés tellement de modifs qu'on s'y perds littéralement avec 12 fonctions hydro et électro.