BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps

L'idée est d'utiliser le moteur TOYAN thermique de 3,5 cc mixte refroidis par eau et par ventilateurs sur un remorqueur pousseur américain de type TUG.

Coque en PVC mousse de 5 mm déjà colorée dans la lasse et se collant avec de la colle PVC de genre TANGIT, pour tubes plastiques d’évacuation des eaux usées.





Oui Yohann, je l'ai acheté ce moteur, j'ai envie de faire ce groupe.

En faits depuis des années je recherchait le moyen d'avoir un vrais moteur de 4 t de bagnole, mème si je me plante j'aurais toujours un bourrin pour un bateau.

Actuellement j'ai deux bateaux, l'un a vapeur à chauffe au charbon : VYTFETE montré dans ces pages et un pousseur de Rivière  ARAMIS. en photo porté par moi même en ces pages "ce que peut faire un vieux grincheux "

Le vapeur doit rester tel qu'il est, rares sont les bateaux chauffés au charbon.

Le pousseur fuie comme panier percé, l'idéal serait de le refaire sous la forme d'un TUG, ces remorqueurs pousseurs américain, avec ce moteur 4 t vu que son démarrage est facilité par démarreur électrique, mais un bateau assez conséquent, 800 de long 350/400 de large même carène que le pousseur qui a deux lignes d'arbres dans des tuyères de type KORT, bateau extrêmement puissant en pousseur, il me poussait dans un canot pneumatique.

Celui ci serait en PVC mousse collé une seule ligne d'arbre mais dans un tunnel suivis de l'hélice carénée dans sa tuyère mobile en gouvernail, bien sur le moteur sur réducteur à engrenages et une grosse hélice à 4 pales de 80.

Le hic sera pas de marche arrière.

J'ai déjà testé les inverseurs par différentiels, mais peut etre pas utilisés dans le bon sens.

Tu sait comment fonctionne un différentiel ? le pignon moteur fait tourner la couronne qui entraîné les satellites et les planétaires font tourner les deux roues.

Si une roue patine, c'est l'autre qui prends toute la vitesse mais deux fois plus vite.

En différentiel d'inversion, j'utilisait pour la marche avant la petite vitesse, et en arrière le double.

Tandis qu'avec ce moteur en bloquant la couronne, je fait tourner l'hélice en sens inverse de la vitesse moteur mais deux fois plus vite, c'est la marche avant.

En libérant la couronne, freinée comme un frein a ruban extérieur, je fait tourner l'hélice en marche arrière.

La sortie moteur est munie d'un embrayage centrifuge, donc le point mort, je laisse libre la couronne non freinée, je part en marche avant après avoir embrayé.

J'ai besoin d'un freinage en repartant en marche arrière, je freine la couronne, et le différentiel repart en marche arrière, sans aucun craquements vu que toujours en prise.

Et bien sur je profite toujours de l'accélération du moteur.

De faits des mouvements moteurs et marches a deux sens tout en douceur, qui plus est hélice sous tuyère Kort gouvernable, un remorqueur pousseur super pilotable.

Ici nous sommes en version marine, pas besoin de radiateur ni de refroidisseur, celui ci est constitué d'une circulation forcée par l'hélice qui pulse dans un tube placé derrière, et aspire dans l'autre placé devant, le circuit d'eau étant en circulation dans la jaquette de refroidissement du cylindre.

Ici on a le Lac D'Annecy immense, juste à acheter un canot pneumatique, pour me faire pousser par mon pousseur thermique. Et en cas de panne du pousseur il me reste les rames

Bien sur le réducteur de vitesse devrait etre placé de suite derrière l'embrayage, pour éviter de faire caviter l'hélice.

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Voici donc le bateau que je compte me monter cet hivers.

De telles coques sont très faciles à faire, on part sur les formes de coté qui servent de couple de forme longitudinales.

Le fond suit ce profil, vu la longueur de l'engin à peut près 80 cm donc le double de ce dessin, le fond se pliera sans problèmes.

Puis un couple arrière appelé tableau arrière ferme la coque, ainsi qu'un tableau avant.

Puis le pontage recouvre l'ensemble. Et pour le maintenir il est tenu posé sur les couples longitudinaux.

On forme donc la coque par les deux cotés,et les deux tableaux.

les plats bords du pontage peuvent etre rapportés par après, en faits il est facile alors de duplicater la forme des cotés et du tableau arrière en doublage comportant les plats bords.

Pour bien maintenir au départ la forme, on fait 3 couples longitudinaux, celui du milieu juste collé par deux points, sur les tableaux avant arrière, est placé sur l'axe médian, il sera enlevé une fois le fond et le pontage monté.

Par la suite, le pontage sera ouvert pour la cabine de conduite, donc un trou carré assez long et large pour placer l'équipement

Un surbeau sera collé tout autours et la cabine le coiffera par l’extérieur, le surbeau sert à l’étanchéité, si des vaguelettes lechent le pontage, elles sont évacuées par les sabords du pavois.

Les pavois sont les embardes sur l'arrière elle tiennent au pont par jambettes triangulaires.

Les deux butoirs sur l'avant servent de pousseur de barge, celle ci assez longue est attachée sur le pousseur par des guindeaux tendeurs qui la maintiennent contre les butoirs, car le devant de ceux ci sont demi cylindriques pour entrer dans des ouvertures semi cylindriques verticales sur les avant et arrière de la barge. les cordages sont alors capelés sur les bites d’amarrages de la barge.

Le nerf du bateau sera son moteur thermique 4 temps de 3,5 cc, munis d'un embrayage centrifuge lequel sera monté sur un réducteur de vitesse, planétaire de préférence, puis de suite sur un différentiel d'inversion du sens de marche. Et en sortie de celui ci l'arbre de couche dans un tube d’étambot collé dans une fausse quille faite de trois épaisseurs de PVC , la médiane suivant le diamètre du tube étambot. les deux autres le prennent en sandwich.

Cette fausse quille sera courte juste  destinée au maintient du tube d’étambot, qui se terminera dans un demi tunnel ménagé sur le dessous arrière de la coque, au diamètre intérieur supérieur au diamètre de l’hélice.

En sortie finale l'hélice ne devra tourner qu'à 500/600 tours minutes, avec une vitesse maxi de 100 tours minute. donc une forte réduction du coté réducteur, en faits vitesse a étudier sérieusement pour avoir quand même un bon brassage d'eau.

Du point de vues commandes, gouvernail de direction, ralentisseur du moteur, et système de blocage de différentiel pour marche arrière, juste 3/4 voies avec les feux et avertisseur.

L'autre forme de propulsion que j'aimerais travailler c'est celle du groupe électrogène, mais c'est l'inconnu pour moi un groupe électrogène.

Le TUG serait alors classique, mèmes formes que décrit ci dessus, mais propulsion électrique, sous gestion du groupe électrogéne.

Dans ce cas le groupe propulseur est simple, un gros moteur électrique en 12 v de type 600 oui 700 en 12 v accouplé à un réducteur, lequel par un cardan est accouplé à l'arbre de couche sous tube d'étambot, dans un tunnel et toujours dans tuyère Kort mobile en gouvernail.

Ici la forme de navigation est simplifié, puisque sur batterie, on part d'un servo sur gouvernail et d'un vario inverseur pour le moteur électrique, puis le groupe électro donne du jus en permanence à la batterie, sans passer par un chargeur.

En faits il me semble qu'il peut y avoir les deux versions, soit sous chargeur, soit sans chargeur.

De toutes façons la génératrice sera montée à demeure sur le moteur, comme nos moteurs de bagnoles, de faits ce groupe électro est totalement indépendant du bateau, mais dans mon idée il assure en fait l'autonomie électrique de la quantité de carburant dans son réservoir et suivant son régime.

Outre les deux commandes de navigation, les gaz du moteur thermique.

Vu que je soit en taranis, avec Télémétrie, retours sur émetteur de la tension de la batterie, puis deuxième retour, la tension que donne la génératrice, ce qui permet par le truchement du régime moteur thermique d'assurer par le biais de la batterie tampon, la marche du bateau, et parfois grace au régime moteur 4 t du sur régime au moteur électrique, sachant qu'une batterie plomb peut aller à 14 v, en faits pour cela il faut que je vois mon fournisseur de batteries et que je lui pose la question des groupes électrogènes.

Pour exemple sur mon moto planeur de 3300 d'envergure j'ai monté un 4 t ASP chinois de 10 CC, et un réservoir de 200 CC, un vol d’essais à été effectué par le président du club super pilote RC, au retour c'est pas le quart du réservoir qui a été consommé, le vol ayant duré 20 minutes environ, il m'a laissées les commandes en vols, l'avion a de saines réactions.

Mais ici c'est un 10 cc ou 60, alors que ce 3,5cc est un 40 en forme en inche. Donc moindre consommation, et surtout nous sommes dans un bateau volumineux capable d'emports importants.  J'ai justement un réservoir avion de 500cc, un demi litre, de quoi avoir une sacrée bonne autonomie.

clair un 500cc pour un petit moteur en 4T, tu dois pouvoir faire 4h facile.

Soit le tour du lac d’Annecy dans un canot pneumatique poussé par mon bateau . Ou encore dans une petite barcasse de location genre caneton voilier à tableau arrière plat.

Bon c'est clair ce projet tombe à l'eau, car ali express est bien incapable de livrer ses clients, leurs catalogue c'est de la merde, ils n'ont rien en stocks, déja que ce n'est qu'une centrale de regroupements de sociétés diverses, et c'est chez ces sociétés qui sont soit en rupture de stock, soit incapables de fournir leur centrale.

Il en ressort que ces moteurs TOYAN sont inexistants pour l'instant, et que les radios Taranis aussi.

J'ai donc fait une contestation pour un remboursement total des sommes engagées et j'irais voir ailleurs au moins pour la radio et le matos à Yohann le Caldoch. Cette affaire n'a que trop durée.

Je ne supprime pas mon compte chez eux , car pour les bricoles à trois sous ils approvisionnent.

Alors toi Denis, si tu me lit ? Renseigne toi auprès d ' E bay s'il ont ce moteur Toyan quelque part à un prix raisonnable, il fallait compter 230 dollars avec démarreur brushless. Merci d'avance.

Alors il redémarre le projet ? vu que tu l'as reçu le moteur Toyan

Bien sur plus que jamais, et j'attends son frère pour la mi décembre. vu que j'ai deux topics sur la question dans ergonomie (thermique) et ici.

Steve fait  les engins de finitions routière,et moi je prospecte dans d'autres domaines, à chacun son truc.

J'aie montée une bougie sur le moteur mouillée au carburant pour ne pas la griller de suite, et puis j'ai descendue ma caisse de terrain, et il me faut monter le total sur une planche pour démarrer et roder, tout pleins de petits détails d'importance.

Pour le diff d'inversion j'ai à peut près toutes mes fournitures, la deuxième roue acier de 36 dents à aléser à 10, et à diminuer de 4 mm pour y ménager un petit moyeu, pour la fixer sur la deuxième sortie.

Pour les petits pignons, le disponible c'était 20 dents, de toutes façons le nombre de dents on s'en fout puisque ce sont que des accouplements.

Et j'ai mon crabot qui est en faits un accouplement, avec une liaison plastique au milieu, que je ne penses pas conserver.
Cet accouplement en alu anodisé noir comporte deux bossages sur l'avant pour se raccorder sur la pièce centrale, il me faut juste rectifier les bossages en angles, pour leurs coller cyano des petits carrés de caoutchouc mince, genres chambre à air pour éviter les cognements.

L'une des pièces est bloqué sur un demi arbre, l'autre sera travaillée, pour y fraiser à la broche de 4 une rainure de clavette


L'autre demi arbre sera aussi fraisé pour recevoir cette clavette carrée de 4x4 qui sera fixée au demi arbre.

Le crabot sera travaillé d'une rainure faite avec mon outil à tronçonner, et c'est dans cette rainure que prendront place les deux doigts de déplacement du crabot montés sur la fourchette de crabotage.

Cette fourchette en alu fraisée est articulée sur la plaque de base, entoure le crabot dont seuls les doigts aiguilles rentrent dans la rainure, (à noter que je puis aussi poser sur ces doigts des micros roulements à billes, ce qui sera encore mieux, et surmontant la fourchette le manche de commande par le servo.

Le servo unique va donc décraboter les deux axes et simultanément freiner la cloche du diff, pour passer de marche avant, à marche arrière.

Vu qu'il faisait beau cet après midi,je suis passé sur le rodage du Toyan.

Premiers résultats, moteur sur banc avec son réservoir à carburant, et sa génératrice montée et tournante mais pas branchée


Démarrage sur vario de 70 amp sur lipo 2 S, le moteur toussoie et plusoit lol et mort de rire. Normal que 7,4 v.

En faits soquet extérieur sur glow driver de ma caisse de terrain,démarreur du moteur,après aspiration en bouchant la pipe, il démarre rapidement, bien sur réglages optimum plein gaz, alors ouverture pointeau et contre pointeau pour tourner gras sur gros ralentis.

J'ai passés deux demi réservoirs de 100 cc durant un quart d'heure en fumant beaucoup,j'adore le gras en rodages


Coté bruits, ben oui, c'est pas un moteur électrique, il pète mais bien moins qu'avec une hélice avion, et puis son ventilo de refroidissement , est vachement efficace, à l’arrêt moteur carbu fermé il est à peine tiède.

Coté bruits, peut etre qu'en garnissant les chicanes du silencieux  en paille des laiton on gagnerait en bruit ? Puis un second pot à la suite du premier ?

Pour l'heure il se rode doucement entre chauffes et refroidissements complets.

Mais c'est un très bon petit moteur 4 temps bien finis et qui démarre facilement, un moteur compact ou l'on a moins de dangers de se faire prendre les doigts dans le champ de l'hélice.

Coté régimes je serait obligé de faire encore une double réduction, une roue dentée de grand diamètre plus en son centre une roue plus petite entraînant le dispositif d'inversion.

Du point de vue réduction, en faits le moteur tourne entre 2200 tours au ralentis, et 10500 tours en pointe.

En prenant la valeur moyenne en semi régime entre le plein ralentis et le plein régime je part sur 6350 tours

Ce qui est rapide, parce que première réduction calculée de 1/1,8, c'est encore rapide, alors il me faut encore réduire, et j'ai calculée qu'il me fallait une roue de 80 dts en hostaforme, accouplée dans l'axe a une roue de 20 dts entre moteur et diff d'inversion.

Je reprends mon régime moyen de 6350 tours divisé par 4,444, ce qui donne 1443,18 tours que je divise par 1,8 ce qui me donne en régime moyens à l'hélice à vide 801,76 tours, ce qui me semble une vitesse raisonnable.

Vitesse qui sera certainement encore diminuée par le couple engendré par l'hélice, si j'ai 600 tours en régime moyen c'est déjà pas si mal, qu'en penses tu Marc toi qui bricole aussi en Marine ?

Ce premier couple roues tournera sur axe acier de 8, et y sera clavetés entre cuir et chair, à coté du moteur, puis le diff devrait reprendre l'axe du moteur, 

Bon dieu une sacrée mécanique ?

je ne connais pas trop les rapports de poussée d’hélice, mais je pense qu'on est sur des valeurs raisonnables. Tu ne fais pas un hors bord donc pas besoin que ton hélice tourne à 10 ou 20000 tr/min.

Je pense que 600 c'est pas mal d'autant que tu te bases sur du 6350 tr/min de régime moyen. çà veut dire qu'en pointe ton moteur doit prendre dans les 9000 tr/min en charge ce qui te ramène une hélice à 900tr/min, pas mal

Bon Ok, je part la dessus, Merci de ton analyse Marc.

Ce matin je suis repassé chez Michaud Chailly commander une roue de 80 dts et une de 20 dts, 14 ,00 €, l' hostaforme c'est pas cher.

Mais j'attends qu'hyper acier m'appelle, car je leur ai commandés des compléments de sciage, comme le plat alu de 50x5 pour les paliers à roulements.

J'aie coupé trop tôt la base de départ, pas vraiment grave car il me reste la grosse chute, je referais cette base en fonction de l'encombrement final de cette machinerie.

Coté rodage, j'ai re fait un demi plein et il a tourné gras 30 minutes, mais pas de problèmes il démarre facilement, la fermeture du boisseau l’arrête tout du moins pour le rodage, et je n'aie pas encore mesuré le courant en sortie de génératrice. Demain peut etre si je change sa fiche et que je fasse un montage sérieux avec ampèremètre et batterie.

Au total 3 cycles de fonctionnements, variables dont le dernier de 15 minutes au ralentis fort, et bien sur le bruit général diminue fortement, et coté stabilité du régime , c'est absolument fabuleux.

Le démarrage s’effectue un peut au dessus de ce régime de ralentis.

Je précise que le réservoir est plus bas que le carburateur  de 10 cm environ, et que dans ces conditions n'ayant pas de pompe à carburant il se désamorce doucement, un réservoir placé plus haut améliorera ce ralentis.

Mes conclusions ce soir, c'est un petit moteur qui se libère très rapidement, et qui pourra prendre du service rapidement.

Du coté du train de réduction, mon vendeur est en rupture de stock de roues Hostaforme, alors attente de 15 jours, de toutes façons même Hyper acier ne peut me donner du laiton que dans 15 jours, alors ce projet va attendre un peu, ça me permettra d'achever l'en cours.

Du coté rodage, un nouvel essais cet après midi, pour tester la génératrice, en tant que chargeur l'ampèremètre ne décolle même pas, il faudrait un milliampèremètre pour vraiment mesurer l'intensité développée, par contre à mi régime fait tourner le moteur de la pompe destinée au manitou 25.

Il faudrait en faits un voltmètre et un milliampèremètre.

Coté moteur il se libère j'aie fait quelques pointes plein gaz mais toujours gras.

En faits de génératrice, oui mais faible pour la maintenance d'une batterie, mais la marche de l'engin serait assurée par le moteur.

Donc le futur TUG.

Des essais plus poussés serait à faire avec d'autres type de génératrices.

bah ton ampèremètre a pas une fonction 200ma ? parce que pour faire tourner la pompe a mon avis il faut quand même quelques 100aines de milliampère

Hé non, c'est un cardan à galvanomètre gradué de 0 à 30 amp, un truc que j'avais en rab quand je faisait du ferroviaire de jardin, ou nombres de mes engins étaient électriques sur batterie calmions de 200 amp, il faut que je m'en trouve un gradué en milliampères de 0 à 500 milli et le même en volts de 0 à 15, ou puis je trouver ça ?

t'emmerdes pas, prends un multimètre digital à 20€ au brico, tu auras tout dessus.  milliamperemetre/amperemettre/voltmetre/ohmmètre.

tu en as même qui ont un testeur de diode et un testeur de transistor.

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fais ton choix.

moi j'ai celui là


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Mais j'ai ça aussi depuis plus de 30 ans, mais c'est pas ce que je recherche, il me faut simplement deux micro cadrans à placer en fixes sur mon bateau pour avoir des tests en permanence en fonctionnement.

ah, sur ebay y en a de 0 à 1.5A et de 0 à 3 A. C'est peut etre çà qu'il te faut

Après le nettoyage de l’établis, je suis passé au montage du deuxième moteur Toyan, sauf la bougie que j'aie égarée dans une boite, mais zou ?

Dieu seul le sait ?

Elle reviendra comme par magie, comme ton mandrin qui dormais dans la poche de ton bleu de travail

Et elle est revenue, comme par magie, de faits deux bougies en rab.

Coté embrayage à masselottes ça ne va pas du tout, parce que prévus pour des moteurs de type auto ou avions, à cône de serrage, et sans volants moteurs, puis une fois montés sur le moulin, la cloche coiffe le restant du vilebrequin.

Sur le toyan c'est pas ça du tout, un courts arbre fileté en M 6x100 qui se serre sur le gros volant noir, et il faut profiter des deux trous M 2,5, pour y visser les deux axes d'un embrayage deux masselottes que j'ai d'ailleurs commandé avec son ressort en gorge.

J'avais demandés des conseils au vendeur, qui m'a envoyé balader prétextant qu'il ne pourra pas me conseiller sauf en voitures Thermiques avec moteurs standard. Tout à faits le vendeur qui n'a pas envie de se casser le cul avec un truc hors dit il ses compétences, mais dans ce cas c'est de l’incompétence totale.

Je vais donc me contenter du montage de mon écrou/ axe de cloche et ses roulements, et y adapter des masselottes du commerce avec ressort en gorge, je part donc en 18 dts sur la cloche d’embrayage.

Je conserve l'autre moteur en réserve. pour mon idée de groupe électrogène.