Grue à tour Liebherr 154 ECH
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gregorio30
Teamtoyota19
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Ma petite entreprise TP - mini engins TP :: votre 1ère catégorie :: les engins de levage :: Les grues à tour
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Grue à tour Liebherr 154 ECH
En 2007 je m'entiche de construire une grue à tour à cage télescopique, je choisie une liebherr 154 ECH, de moyenne capacité, à cage de montage télescopique et à porte flèche.
L'engin finis mesure 3200 de haut, 4000 d'envergure totale, et pèse 40 kg contres poids compris.
Le principe repose sur le montage par éléments à l'aide d'un camion grue, dans un premier temps à flèche treillage: ATKINSON, dans un second temps à l'aide d'une grue auto portée Liebherr 1100 -1.
Le montage se décompose ainsi: Le camion grue amène sur le chantier les différends éléments, est posé en premier les plots de stabilisation béton, la dessus le châssis porteur de base de la grue, qui est coiffé de la cage télescopique.
La dessus la grue Atkinson met en place les 6 kg du porte flèche.
Vient ensuite les 8 contre poids bétons de base posés sur l'embase, ça stabilise cette embase, et lui donne le poids nécessaire pour assurer sa stabilité montée.
Puis le camion grue met en place la contre flèche et ses tirants, puis la fixation de la flèche, l'avant de celle ci reposant au sol sur deux galets.
Après breslage des câbles de remontée, la flèche grâce à un treuil indépendant monté sur le porte flèche la met en position, mais au préalable le camion grue met en place en contre flèche un contre poids massif.
On câble alors le palan, puis on branche son fil à la patte rendant la grue opérationnelle.
Le montage s'effectue à deux: un grutier à en charge la grue et son palan qui va chercher les éléments de mat pour les poser sur le chemin de roulement de transfert d'éléments en cage télescopique, et le monteur des éléments de mat.
10 éléments seront montés et boulonnés les uns au dessus des autres, pour au final après trois heures d'efforts soutenus arriver au couronnement final, la repose du porte flèche sur ses éléments de mat.
La grue à avant tout une fonction didactique, la formation des monteurs levageurs, et une faible part au levage, contre le mat elle lève 3 kg, en bout de flèche 500 gr tout en pliant sur 20 cm, c'est à dire que toute la structure se déforme du bas de grue jusqu'au bout de flèche, ces effets sont tout à faits normaux sur les grues réelles, ou souvent les grutiers dans leur cabine sont littéralement au dessus du vide.
Pour chacun de mes modèles des photos suivront.
https://youtu.be/Hv4JyPIPWy0
La mienne est un peu différente avec sa cage télescopique et son rail inférieur, plus facile d’accès qu'avec ce rail supérieur, même les jeux de passerelles extérieures hautes et basses ont été enlevées par commodité du montage/Démontage, et après des trublions viennent dire que je ne fait rien hormis du baratin stérile ? Pauvre type.
Mais quand il aura construit autant de modèles que moi, il pourra parler.
L'engin finis mesure 3200 de haut, 4000 d'envergure totale, et pèse 40 kg contres poids compris.
Le principe repose sur le montage par éléments à l'aide d'un camion grue, dans un premier temps à flèche treillage: ATKINSON, dans un second temps à l'aide d'une grue auto portée Liebherr 1100 -1.
Le montage se décompose ainsi: Le camion grue amène sur le chantier les différends éléments, est posé en premier les plots de stabilisation béton, la dessus le châssis porteur de base de la grue, qui est coiffé de la cage télescopique.
La dessus la grue Atkinson met en place les 6 kg du porte flèche.
Vient ensuite les 8 contre poids bétons de base posés sur l'embase, ça stabilise cette embase, et lui donne le poids nécessaire pour assurer sa stabilité montée.
Puis le camion grue met en place la contre flèche et ses tirants, puis la fixation de la flèche, l'avant de celle ci reposant au sol sur deux galets.
Après breslage des câbles de remontée, la flèche grâce à un treuil indépendant monté sur le porte flèche la met en position, mais au préalable le camion grue met en place en contre flèche un contre poids massif.
On câble alors le palan, puis on branche son fil à la patte rendant la grue opérationnelle.
Le montage s'effectue à deux: un grutier à en charge la grue et son palan qui va chercher les éléments de mat pour les poser sur le chemin de roulement de transfert d'éléments en cage télescopique, et le monteur des éléments de mat.
10 éléments seront montés et boulonnés les uns au dessus des autres, pour au final après trois heures d'efforts soutenus arriver au couronnement final, la repose du porte flèche sur ses éléments de mat.
La grue à avant tout une fonction didactique, la formation des monteurs levageurs, et une faible part au levage, contre le mat elle lève 3 kg, en bout de flèche 500 gr tout en pliant sur 20 cm, c'est à dire que toute la structure se déforme du bas de grue jusqu'au bout de flèche, ces effets sont tout à faits normaux sur les grues réelles, ou souvent les grutiers dans leur cabine sont littéralement au dessus du vide.
Pour chacun de mes modèles des photos suivront.
https://youtu.be/Hv4JyPIPWy0
La mienne est un peu différente avec sa cage télescopique et son rail inférieur, plus facile d’accès qu'avec ce rail supérieur, même les jeux de passerelles extérieures hautes et basses ont été enlevées par commodité du montage/Démontage, et après des trublions viennent dire que je ne fait rien hormis du baratin stérile ? Pauvre type.
Mais quand il aura construit autant de modèles que moi, il pourra parler.
Dernière édition par admin-jpg le Lun 14 Jan - 17:41, édité 3 fois
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
Superbe réalisation, j'en ai une aussi filoguidée en super état de marche ! Il y'a l'ascenceur mobile, éclairage LEDs rouge lors du déplacement de la tourelle sur le dessus de la flèche treillie.
Ca reste un jouet mais pour des éventulles améliorations c'est une très bonnes bases !
Ca reste un jouet mais pour des éventulles améliorations c'est une très bonnes bases !
Teamtoyota19- Messages : 854
Date d'inscription : 08/02/2012
Age : 35
Localisation : Corrèze
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
Bonjour,
Tout d'abord je tenais à souhaiter toutes mes félicitations à admin-jpg, car cette réalisation de grue à tour LIEBHERR 154 ECH, c'est vraiment trop magnifique, c'est trop trop beau, c'est même dément.
Vraiment admin-jpg, je te tire mon chapeau pour cette extraordinaire réalisation.
Moi-même très passionnés d'Engins de Chantiers, je cherche également à réaliser une grue à tour comme toi.
Pourrez-tu me fournir tes talents et quelques astuces afin que je puisse réaliser ma propre grue à tour s'il-te-plaît ?
Ben écoute admin-jpg, je te remercie beaucoup par avance et en te souhaitant une agréable journée.
Oh fet moi c'est Grégory, et sur le forum c'est gregorio30.
Allez à plus, et merci à toi, à bientôt.
Tout d'abord je tenais à souhaiter toutes mes félicitations à admin-jpg, car cette réalisation de grue à tour LIEBHERR 154 ECH, c'est vraiment trop magnifique, c'est trop trop beau, c'est même dément.
Vraiment admin-jpg, je te tire mon chapeau pour cette extraordinaire réalisation.
Moi-même très passionnés d'Engins de Chantiers, je cherche également à réaliser une grue à tour comme toi.
Pourrez-tu me fournir tes talents et quelques astuces afin que je puisse réaliser ma propre grue à tour s'il-te-plaît ?
Ben écoute admin-jpg, je te remercie beaucoup par avance et en te souhaitant une agréable journée.
Oh fet moi c'est Grégory, et sur le forum c'est gregorio30.
Allez à plus, et merci à toi, à bientôt.
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
Déja greg il faut que je te mette en gardes, mon job c'est serrurier chaudronnier, je maitrise donc parfaitement tous les métaux, de plus mon métier m'à appris que pour faire de telles réalisations ma bite et mon couteau n'étaient pas suffisants ?
pour s'assurer une parfaite réalisation il faut des éléments tronçonnés au plus juste grâce à une machine à découper en butée.
Pratiquer tous les perçages suivant le plan, et faire des montages sur gabarits de formes orthogonaux.
Seule l'ultime précision à réaliser les cadres de chacune des éléments , d'équerre, puis orthogonaux, et dégauchis, seront la clé du succès de pouvoir monter n'importe quel élément de mat ou de flèche à n'importe quelle hauteur, de plus la faculté de tourner sur lui même un élément sur ses 4 faces, cela implique des perçages rigoureux que seuls savent faire les serruriers.
Mes modèles, ne sont pas réalisés dans l'aspect maquettes exactes mais s'y rapprochant le plus possible, en recherchant des matériaux facilement achetables au brico du coin.
Nombreux sont ceux ayant voulu réaliser des grues de chantier, bien peu les ont menées à leur termes, parce que s'y étant mal pris dès le départ.
Je suis de très près certaines réalisations sur d'autres forums, souvent ses réalisations sont stoppées par faute de combattants, et par écœurements de leur constructeurs.
Merci pour tes félicitations.
pour s'assurer une parfaite réalisation il faut des éléments tronçonnés au plus juste grâce à une machine à découper en butée.
Pratiquer tous les perçages suivant le plan, et faire des montages sur gabarits de formes orthogonaux.
Seule l'ultime précision à réaliser les cadres de chacune des éléments , d'équerre, puis orthogonaux, et dégauchis, seront la clé du succès de pouvoir monter n'importe quel élément de mat ou de flèche à n'importe quelle hauteur, de plus la faculté de tourner sur lui même un élément sur ses 4 faces, cela implique des perçages rigoureux que seuls savent faire les serruriers.
Mes modèles, ne sont pas réalisés dans l'aspect maquettes exactes mais s'y rapprochant le plus possible, en recherchant des matériaux facilement achetables au brico du coin.
Nombreux sont ceux ayant voulu réaliser des grues de chantier, bien peu les ont menées à leur termes, parce que s'y étant mal pris dès le départ.
Je suis de très près certaines réalisations sur d'autres forums, souvent ses réalisations sont stoppées par faute de combattants, et par écœurements de leur constructeurs.
Merci pour tes félicitations.
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
En fait, quand je suis arrivé sur les engins TP, en juillet 2006, je n'y connaissait rien du tout ?
mes premiers modèles ont donc été des jouets bruder TP, je peut dire que je les aurait pratiquement tous équipés de radio commandes et de moto réducteurs électriques, n'y connaissant encore moins en matière d'hydraulique.
Mais je suis avant tout métallier, et vaporiste en ferroviaire de jardin en voie de 127 mm, je sais donc travailler tous les métaux.
De plus au fil des ans j'ai su m’équiper d'un magnifique atelier de micro mécanique appliqué aux modèles réduits.
Vois le chapitre l'atelier du mécanicien amateur, et les micro machines qui le compose ? Et tu comprendra pourquoi j'ai commencé mes modèles dans l'alu, et parce que ces modèles ont été conçus et construits en appartement, ou il n’était pas question de soudures à l'arc.
J'ai donc jeté mon dévolu sur des profilés alu du commerce, cornières de 10x10 et plats de 8x2 ou 10x2, bien sur aucunes soudures , tout est assemblé par rivets aluminium de 2x5 TR avec bouterolles et contre bouterolles.
Je te l'ai éxpliqué dans le post précédent assemblages découpés par fagots sur ma tronçonneuse et en butée pour respecter des longeur au 1 / dixième près.
Toutes les barres débitées ont été percés dans des gabarits de formes de façon à conserver orthogonalité et ultime précision.
un tel modèle se joue au dixième près.
A l'époque en début 2007 j'ai investit pas moins de 500 € répartis sur 6 mois dans tous mes profilés alu.
Mais je ne suis pas partis à la légère sur ce projet, qui a été étudié longuement dans des posts aujourd’hui disparus sur mes anciens forums du genre.
De plus quand j'ai acheté mon appartement avec mon ex (lol), une grue de ce type à été montée devant chez moi pour construire un bâtiment de 12 étages, j'ai donc pu voir ses pièces constituantes, et la façon dont elle sont montées.
Je le redit bien , je suis parfaitement équipé pour travailler tous les métaux, ceux qui croient à tort pouvoir faire comme moi, vont droit dans le mur, leur projets vont commencer tambours battants puis petit à petit ralentir le rythme, jusqu'à extinction des feux.
Sur d'autres forums j'ai bien essayé d’expliquer comment on fait, mais les gus sont toujours plus malins que moi, lol j'attends qu'ils se plantent la tronche contre un mur.
c'est malheureux à dire, mais c'est ainsi, on ne s'improvise pas métallier du jour au lendemain, pour ma part cela fait 53 ans que je pratique le modélisme toutes disciplines.
Moi je penses qu'il faut toujours commencer modestement, apprendre les ficelles du métier doucement mais surement.
pour cela les jouets bruder sont de magnifiques objets pour nos réalisations.
mes premiers modèles ont donc été des jouets bruder TP, je peut dire que je les aurait pratiquement tous équipés de radio commandes et de moto réducteurs électriques, n'y connaissant encore moins en matière d'hydraulique.
Mais je suis avant tout métallier, et vaporiste en ferroviaire de jardin en voie de 127 mm, je sais donc travailler tous les métaux.
De plus au fil des ans j'ai su m’équiper d'un magnifique atelier de micro mécanique appliqué aux modèles réduits.
Vois le chapitre l'atelier du mécanicien amateur, et les micro machines qui le compose ? Et tu comprendra pourquoi j'ai commencé mes modèles dans l'alu, et parce que ces modèles ont été conçus et construits en appartement, ou il n’était pas question de soudures à l'arc.
J'ai donc jeté mon dévolu sur des profilés alu du commerce, cornières de 10x10 et plats de 8x2 ou 10x2, bien sur aucunes soudures , tout est assemblé par rivets aluminium de 2x5 TR avec bouterolles et contre bouterolles.
Je te l'ai éxpliqué dans le post précédent assemblages découpés par fagots sur ma tronçonneuse et en butée pour respecter des longeur au 1 / dixième près.
Toutes les barres débitées ont été percés dans des gabarits de formes de façon à conserver orthogonalité et ultime précision.
un tel modèle se joue au dixième près.
A l'époque en début 2007 j'ai investit pas moins de 500 € répartis sur 6 mois dans tous mes profilés alu.
Mais je ne suis pas partis à la légère sur ce projet, qui a été étudié longuement dans des posts aujourd’hui disparus sur mes anciens forums du genre.
De plus quand j'ai acheté mon appartement avec mon ex (lol), une grue de ce type à été montée devant chez moi pour construire un bâtiment de 12 étages, j'ai donc pu voir ses pièces constituantes, et la façon dont elle sont montées.
Je le redit bien , je suis parfaitement équipé pour travailler tous les métaux, ceux qui croient à tort pouvoir faire comme moi, vont droit dans le mur, leur projets vont commencer tambours battants puis petit à petit ralentir le rythme, jusqu'à extinction des feux.
Sur d'autres forums j'ai bien essayé d’expliquer comment on fait, mais les gus sont toujours plus malins que moi, lol j'attends qu'ils se plantent la tronche contre un mur.
c'est malheureux à dire, mais c'est ainsi, on ne s'improvise pas métallier du jour au lendemain, pour ma part cela fait 53 ans que je pratique le modélisme toutes disciplines.
Moi je penses qu'il faut toujours commencer modestement, apprendre les ficelles du métier doucement mais surement.
pour cela les jouets bruder sont de magnifiques objets pour nos réalisations.
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
Hier, je t'ai dressé un tableau assez noir , pour une telle réalisation, pour te faire comprendre les difficultés de réalisations que tu va rencontrer.
Je préfère te mettre de suite au parfum, plutôt que de te laisser dans une ignorance totale, et que tu te dise plus tard, au pied du mur : Jpg il s'est foutus de ma gueule.,
Saches Greg, que je ne mâche jamais mes mots, très souvent tu te fera engueuler si tu ne fait pas comme je te dis de faire ? C'est la règle chez moi, mon pied au cul si tu part de travers, car tout dérapages va se traduire pour ta construction de défauts et de réparations couteuses, ce que je veux t'éviter.
Ici, soit le gars est malléable et accepte ces contraintes, soit il les réfutes mais s'il se plante il ne s'en prendra qu'à lui même ?
J'emploie aussi beaucoup de termes techniques, pour moi, un chat , est un chat, et pas un chien, ne mélangeons pas torchons et serviettes.
De toutes façons , tout ce que l'on fait dans la vie , est synonymes de termes techniques: Automobile, informatique, cuisine, modélisme.
Autant de suite apprendre le jargon de chaque choses.
Tu m'a branché pour ma grue, c'est une bonne chose, car peu d'amateurs pour réaliser de tels monuments difficiles à faire, les grues comme Omar Shariff, sont ma grande passion, t la tu a touchée la corde sensible.
Une fois la dessus, je ne lâches pas le morceau.
Tous ces préambules posés, premières choses à savoir pour toi: Quel type de grue vais je faire ? De quoi sera elle constituée ? Que vais je en faire ? Quelle est sa destination finale ? En quoi sera t'elle faite ? de quels moyens disposais je pour sa réalisation ?
Moi j'ai tapé dans l'alu, parce qu'une cornière alu de 10x10 au 1/14 fait 140 mm de coté, et de 14, à 20 mm d'épaisseur ce qui en fait un matériaux de premier choix pour les montants d'une grue.
puis vient la méthode d'assemblage de chacun des éléments ? Pour de la cornière, quoi de mieux que des éclisses de même nature posées à l'intérieur de chaque élément, mais que d'un coté ? L’ennuie c'est que les cornières sont faibles en épaisseurs et que les filets taraudés vont vite s'arracher, aussi il était impératif de fabriquer des inserts laiton taraudés et rivés dans la structure sur l'intérieur des éclisses.
Pourquoi aussi de tous petits éléments ? 180 mm de long c'est court, à l'échelle ça donne 2520 de haut ?
Parce que chaque élément est hissés par la grue elle même placé sur le berceau de montage de la cage télescopique, rentré à l'intérieur de celle ci, puis mis en place grâce au vérin télescopique de la cage.
Ce type de grues à cages télescopiques, sont les seules grues capables d'atteindre des hauteurs vertigineuses, telles les grues montées sur les pilonnes du viaduc de Millau.
Sachant qu'une auto portée genre LTM 1100, quasiment utilisées pour ces montages ne monte que jusqu'à 100 mètres de haut.
La LTM va donc servir uniquement aux montages basiques de la grue sur sa cage télescopique, puis celle ci, une fois opérationnelle va prendre le relais a son propre auto montage.
Ce type de grue est un choix délibéré, de façons à monter au public comment se monte ce type de grues à cages télescopiques.
Mais il n'y a pas que ce type, il y a aussi les grues de chantier de bâtiments, dont on connait la hauteur totale finie toiture comprise, l'entreprise va alors choisir un type fixe, dont la capacité va correspondre aux travaux généraux du montage du bâtiment: Hauteur totale sous flèche, longueur de flèche, poids des contres poids en queue de flèche, poids totals soulevés.
Et donc dans ce cas, l'entrepreneur va choisir des grues facilement montables par un LTM, par éléments très longs.
Il va d’abord choisir une base solide, qui sera mobile ou non sur chemin de fer de roulage, le nombre de masses de béton de cette base, puis le nombre d'éléments de mats, pour hisser le porte flèche au point culminant maximum.
Hisser le porte flèche dit couronnement, puis la flèche elle même déjà montée au sol et d'une seule pièce, puis la contre flèche.
Suit ensuite le breslage des contre poids nécessaires à l'équilibre des charges levées.
Les monteurs finalisent l'engin par le tirant de flèche s'il y a lieu, les câblages du chariot de flèche et le câblage du mouflage du crochet, soit à doubles brins, soit à quadruples brins débrayable en double plus quadruple.
Une fois la grue opérationnelle elle entre alors en action tout le temps que va durer le gros œuvre.
En ce qui concerne la forme du porte flèche, sa hauteur est conditionnée par l'allongement total de la flèche elle même, et des formes des éléments de flèche eux même.
Ces éléments très armés au début de flèche sur le mat, iront en s’amenuisant au fur et à mesure de l'allongement, dans le cas de couronnements sans porte flèche à tirants, je vérifierais mes fiches pour te donner les différends types de grues et de couronnements.
Mais si ces éléments sont tous identiques, il est nécessaires alors d'avoir un porte flèche à tirant.
En fait pour ma grue , existait aussi des éléments de flèches dégressifs, mais j'ai paré au plus simple quand à la réalisation.
Pour le mat lui même, une base solide, sur laquelle repose 6 contre poids bétons en forme de pyramides tronquées mises en place par le LTM, la dessus un premier élément fixe de mat monté à demeure sur la base, et contre fiché aux 4 coins par tirants tubulaires carrés.
La dessus se pose la cage télescopique, et sur elle , le porte flèche, ce qui va permettre de monter la flèche d'une pièce, la contre flèche, les contre poids béton armés, relever la flèche et la gréer avec ses différends câbles.
La grue est enfin opérationnelle pour son auto montage.
Pour toi , on ne va pas choisir un modèle très compliqué ?
Deja, remplacer l'alu par le laiton, soit des angles de mats tubulaires en tout petits tubes laiton carrés de 10x10, mais forcément ça coutera assez cher, autre solution, c'est l'acier doux, on trouve dans les brico du coin des petits tubes carrés acier de 10x10.
Il te faut convenir d'une hauteur sous flèche au départ ?
Penser que si tu doit te servir d'un éscabeau pour le montage final, ça risque d'atre casse gueule , d'une part, et d'autre parts, si tu monte flèche et contre flèche monté sur un petit échafaudage de la hauteur d'une chaise, ça sera moins pénible et moins casse pipe ?
L'important étant que tous adultes puisse passer debout sous les flèches de la grue sans se cogner la tète perpétuellement ?
L'on peut alors admettre une grue de 2 mètres de haut sous flèche.
Les barres sont vendues en brico par longueurs de 1 et 2 mètres.
Tu va donc te constituer une base en tubes d'acier de 10x10.
En principe la base est constitué soit d'une croix, soit d'un H, chaque branche est montée sur un plot carré en béton de 60x60 de 50 de haut, une patte étant scellée dans le bloc, on obtient alors un premier montage stable hors sol.
Sur ce H, ou mieux sur cette croix, un premier élément de mat de 50 cm de haut.
puis un éléments de 1 mètre, et enfin un autre élément de 50 cm.
Rien ne t’empêches alors de te constituer d'autres éléments, plus courts.
En fait, sur les vraies grues, les constructeurs ont prévus des sous éléments pour ajuster la hauteur finale sous flèche.
Restons en la pour l'instant, car on va penser aux moyens d'assemblages, j'enregistre ce post, et je passe au suivant.
Je préfère te mettre de suite au parfum, plutôt que de te laisser dans une ignorance totale, et que tu te dise plus tard, au pied du mur : Jpg il s'est foutus de ma gueule.,
Saches Greg, que je ne mâche jamais mes mots, très souvent tu te fera engueuler si tu ne fait pas comme je te dis de faire ? C'est la règle chez moi, mon pied au cul si tu part de travers, car tout dérapages va se traduire pour ta construction de défauts et de réparations couteuses, ce que je veux t'éviter.
Ici, soit le gars est malléable et accepte ces contraintes, soit il les réfutes mais s'il se plante il ne s'en prendra qu'à lui même ?
J'emploie aussi beaucoup de termes techniques, pour moi, un chat , est un chat, et pas un chien, ne mélangeons pas torchons et serviettes.
De toutes façons , tout ce que l'on fait dans la vie , est synonymes de termes techniques: Automobile, informatique, cuisine, modélisme.
Autant de suite apprendre le jargon de chaque choses.
Tu m'a branché pour ma grue, c'est une bonne chose, car peu d'amateurs pour réaliser de tels monuments difficiles à faire, les grues comme Omar Shariff, sont ma grande passion, t la tu a touchée la corde sensible.
Une fois la dessus, je ne lâches pas le morceau.
Tous ces préambules posés, premières choses à savoir pour toi: Quel type de grue vais je faire ? De quoi sera elle constituée ? Que vais je en faire ? Quelle est sa destination finale ? En quoi sera t'elle faite ? de quels moyens disposais je pour sa réalisation ?
Moi j'ai tapé dans l'alu, parce qu'une cornière alu de 10x10 au 1/14 fait 140 mm de coté, et de 14, à 20 mm d'épaisseur ce qui en fait un matériaux de premier choix pour les montants d'une grue.
puis vient la méthode d'assemblage de chacun des éléments ? Pour de la cornière, quoi de mieux que des éclisses de même nature posées à l'intérieur de chaque élément, mais que d'un coté ? L’ennuie c'est que les cornières sont faibles en épaisseurs et que les filets taraudés vont vite s'arracher, aussi il était impératif de fabriquer des inserts laiton taraudés et rivés dans la structure sur l'intérieur des éclisses.
Pourquoi aussi de tous petits éléments ? 180 mm de long c'est court, à l'échelle ça donne 2520 de haut ?
Parce que chaque élément est hissés par la grue elle même placé sur le berceau de montage de la cage télescopique, rentré à l'intérieur de celle ci, puis mis en place grâce au vérin télescopique de la cage.
Ce type de grues à cages télescopiques, sont les seules grues capables d'atteindre des hauteurs vertigineuses, telles les grues montées sur les pilonnes du viaduc de Millau.
Sachant qu'une auto portée genre LTM 1100, quasiment utilisées pour ces montages ne monte que jusqu'à 100 mètres de haut.
La LTM va donc servir uniquement aux montages basiques de la grue sur sa cage télescopique, puis celle ci, une fois opérationnelle va prendre le relais a son propre auto montage.
Ce type de grue est un choix délibéré, de façons à monter au public comment se monte ce type de grues à cages télescopiques.
Mais il n'y a pas que ce type, il y a aussi les grues de chantier de bâtiments, dont on connait la hauteur totale finie toiture comprise, l'entreprise va alors choisir un type fixe, dont la capacité va correspondre aux travaux généraux du montage du bâtiment: Hauteur totale sous flèche, longueur de flèche, poids des contres poids en queue de flèche, poids totals soulevés.
Et donc dans ce cas, l'entrepreneur va choisir des grues facilement montables par un LTM, par éléments très longs.
Il va d’abord choisir une base solide, qui sera mobile ou non sur chemin de fer de roulage, le nombre de masses de béton de cette base, puis le nombre d'éléments de mats, pour hisser le porte flèche au point culminant maximum.
Hisser le porte flèche dit couronnement, puis la flèche elle même déjà montée au sol et d'une seule pièce, puis la contre flèche.
Suit ensuite le breslage des contre poids nécessaires à l'équilibre des charges levées.
Les monteurs finalisent l'engin par le tirant de flèche s'il y a lieu, les câblages du chariot de flèche et le câblage du mouflage du crochet, soit à doubles brins, soit à quadruples brins débrayable en double plus quadruple.
Une fois la grue opérationnelle elle entre alors en action tout le temps que va durer le gros œuvre.
En ce qui concerne la forme du porte flèche, sa hauteur est conditionnée par l'allongement total de la flèche elle même, et des formes des éléments de flèche eux même.
Ces éléments très armés au début de flèche sur le mat, iront en s’amenuisant au fur et à mesure de l'allongement, dans le cas de couronnements sans porte flèche à tirants, je vérifierais mes fiches pour te donner les différends types de grues et de couronnements.
Mais si ces éléments sont tous identiques, il est nécessaires alors d'avoir un porte flèche à tirant.
En fait pour ma grue , existait aussi des éléments de flèches dégressifs, mais j'ai paré au plus simple quand à la réalisation.
Pour le mat lui même, une base solide, sur laquelle repose 6 contre poids bétons en forme de pyramides tronquées mises en place par le LTM, la dessus un premier élément fixe de mat monté à demeure sur la base, et contre fiché aux 4 coins par tirants tubulaires carrés.
La dessus se pose la cage télescopique, et sur elle , le porte flèche, ce qui va permettre de monter la flèche d'une pièce, la contre flèche, les contre poids béton armés, relever la flèche et la gréer avec ses différends câbles.
La grue est enfin opérationnelle pour son auto montage.
Pour toi , on ne va pas choisir un modèle très compliqué ?
Deja, remplacer l'alu par le laiton, soit des angles de mats tubulaires en tout petits tubes laiton carrés de 10x10, mais forcément ça coutera assez cher, autre solution, c'est l'acier doux, on trouve dans les brico du coin des petits tubes carrés acier de 10x10.
Il te faut convenir d'une hauteur sous flèche au départ ?
Penser que si tu doit te servir d'un éscabeau pour le montage final, ça risque d'atre casse gueule , d'une part, et d'autre parts, si tu monte flèche et contre flèche monté sur un petit échafaudage de la hauteur d'une chaise, ça sera moins pénible et moins casse pipe ?
L'important étant que tous adultes puisse passer debout sous les flèches de la grue sans se cogner la tète perpétuellement ?
L'on peut alors admettre une grue de 2 mètres de haut sous flèche.
Les barres sont vendues en brico par longueurs de 1 et 2 mètres.
Tu va donc te constituer une base en tubes d'acier de 10x10.
En principe la base est constitué soit d'une croix, soit d'un H, chaque branche est montée sur un plot carré en béton de 60x60 de 50 de haut, une patte étant scellée dans le bloc, on obtient alors un premier montage stable hors sol.
Sur ce H, ou mieux sur cette croix, un premier élément de mat de 50 cm de haut.
puis un éléments de 1 mètre, et enfin un autre élément de 50 cm.
Rien ne t’empêches alors de te constituer d'autres éléments, plus courts.
En fait, sur les vraies grues, les constructeurs ont prévus des sous éléments pour ajuster la hauteur finale sous flèche.
Restons en la pour l'instant, car on va penser aux moyens d'assemblages, j'enregistre ce post, et je passe au suivant.
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
Pour toi, je te conseille d'acheter un petit poste de soudure oxygène gaz butane, et d'apprendre à braser au brox.
Il te faut donc un poste de soudure avec au moins une bouteille d'oxygène de 500 litres du genre oxypack, le gaz étant du butane de chez camping Gaz en cartouches jetables, c'est ce que j'utilise, et c'est bien plus pratique que la soudure électrique et bien plus propre aussi.
Le brox est constitué de baguettes à forte teneur en laiton alliés enrobées d'un décapant jaune ou blanc, il faut chauffer au rouge sombre les deux parties constituantes et appliquer en mème temps la baguette, la pointe du chalumeau doit se balader en permanence sur les pièces pour ne pas faire fondre l'acier.
A cette température le brox fond comme de l'eau et se marie aux pièces à assembler.
En fait, avec de tout petits tubes, l'effort de chauffage est minimum, car l’épaisseur des tubes est très mince moins d'un millimètre, ces tubes sont appelés profilafroids, car sont tirés de tôles minces pliés et calibrés dans des filières et rejoints par soudures en continu.
pour assembler nos montages il te faut un coin d'établis sur tréteaux acier avec une tôle acier rigide d'au moins 1 mètre sur 50 cm, tous les montages se feront en l'air, posés sur cales, en l’occurrence les chutes des tubes, ou les coupons de ceux ci, cela évite de chauffer la tôle établis et de dépenser trop de gaz.
Tubes carrés de 10x10 parce qu'à l'échelle du 1/14 ca donne 140 de coté ce qui n'est déja pas si mal pour des montants de mats.
Maintenant il faudra aussi que chaque élément de mat fasse maquette, il te faudra donc assembler chaque coté de mat, deux monbtants à la fois, ils sont reliés a la base , soit par tubes de 10x10 brasés, soit par plats acier de 10x2 coupés en biseaux.
En fait un mat de grue est constitué de plusieurs carrés s'imbriquant: soit de la largeur du mlat, soit d'une division égale aux plus petits éléments que tu va construire ?
Houla la, c'est compliqué ton truc JPG ?
En fait, ces éléments seront construits azu proratta du modèle de grue que tu aura choisis ,
Je te conseilles le type ECB, ce sont des grues sans porte flèche, la flèche fait partie du couronnement tournant de la grue, prolongé par la contre flèche.
En largeur de mat 120 de coté éxtérieur est une bonne dimmension, ce qui donne 100 mm intérieur des tubes montants.
Partant de la, il est facile de diviser un élément d'un mètre en parts égales ?
En fait, il te faut déterminer le nombre de traverses intermédiaires ?
Si tu considère un élément d'un mètre, avec deux traverses à chaque éxtrémité, si tu divise la longueur hors tout par neuf, et que tu soustrait 10 fois 10 mm de largeurs de tubes traverses, ça t'enlève donc 100 mm, il te reste alors 900 mm de vide que tu divise par 9, il te reste donc 9 vides de 100 mm soit la largeur intérieure de chaque éléments de mat ?
Tu a donc un élément de mat de 1 mètre dont les traverses sont éspacées de 100 mm, ce qui correspond au plus petit élément de mat que tu peut construire de 120 mm de haut, par 120 mm de coté.
J’espère que tu a compris ces principes de bases essentiels ?
Bon, ceci posé, comment assembler chaque éléments entre eux ?
Chaque élément est tubulaire carré de 120x120x120 au cube, les montants en tube carré de 10x10 dont on peut supposer l'épaisseur de paroi de 1 mm, ce qui fait 8 mm intérieur ? on peut donc considérer de placer à l'intérieur , soit du carré alu de 8x8, dont chaque coté sera épointé, disons des bouts de 2 cm de long, 1 cm pénétrant chaque élément d'un seul coté.
Ces carrés seront don vissés par vis de 3x6 TR cruciforme sur le bas de chaque élément, et une fois montés sur le haut de chaque élément.
Il y aura lieu alors de percer sur tous les à bouts des tubes montants, des trous de 3,1, à 5 mm du bout.
Ces trous peuvent donc se faire après montages complet de tous les éléments de mat.
Il est impératif que chaque élément puisse rentrer sans forcer dans n'importe quel éléments longs ou courts, et de n'importe quel coté, c'est à dire qu'un élément paut aussi se tourner de 1/4 de tour voir un demi tour sur lui même, et toujours s'emboiter sans forcer, cela implique des montages orthogonaux, et des trous de vissages équidistants.
Seuls des montages sur gabarits de montages permettent d'obtenir ces montages, mais bien sur, à chaque fois montages en l'air par soucis d'économie de gaz.
Concrètement, ton mat va se composer ainsi: Une base solide arbalètrée par 4 tirants, repris sur des goussets de l'élément primaire de mat, et sur chaque branche de la croix de montage, de 4 plots béton d'assise, de plusieurs contre poids béton armés munis de crochets de prise pour leur levage équilibré, soit une dizaine de ces contre poids moulés dans une forme déboitable.
Ce premier élément de 50 cm de haut aura des traverse dont les entre axes seront différends de l'élément de 1 m ou de ceux de 120 mm.
on calcule ces entre axes : 50 cm de long par montants, 2 traverses en bout, si l'on divise par 4, ça implique d'enlever encore 3 cm aux 480 restants ? autrement dit, 5 traverse de 1 cm ça fait 5 cm à enlever sur 50 cm, ce qui donne 112,5 de jeu entre traverses, au lieu des 100 mm originaux.
La différence sera à peine perceptible, à la vue directe.
Ce qui veut dire que les deux éléments du bas et du haut seront identiques quand aux formes générales.
Tu me suit toujours ? mort de rire, pas fastoche du tout de construire une grue à tour ressemblant à quelque choses ?
Bien sur chaque carré composant les jours entre traverses seront arbalètrés avec un tirant en diagonal, toujours du même coté, par exemple posé en bas à droite et en haut à gauche, pour ces tirants, le mieux est de trouver du plat acier de 8x2, qui a l'échelle vont donner 8x14= 112 mmx28 d'épaisseur.
L'idéal serait donc de te faire débiter dans de la tôle de 1,5 d'apaisseur par un pro sérrurier équippé d'une cisaille hydro, de longueurs de lardons de 8x1,5 de 1 ou 2 mètres de long, que tu recouperas au fur et à mesure de tes montages de biais si possible. En fait 1,5 au 1/14 donne 21 mm d'épaisseur, et 1 mm donne bien évidement 14 mm d’épaisseur.
Une telle grue bien construire sera bien évidement très rigide, et capable de lever plus de 10 kg de charge en bout de flèche.
Post suivant , on parle du couronnement, ensemble cohérent avec la flèche et contre flèche.
Il te faut donc un poste de soudure avec au moins une bouteille d'oxygène de 500 litres du genre oxypack, le gaz étant du butane de chez camping Gaz en cartouches jetables, c'est ce que j'utilise, et c'est bien plus pratique que la soudure électrique et bien plus propre aussi.
Le brox est constitué de baguettes à forte teneur en laiton alliés enrobées d'un décapant jaune ou blanc, il faut chauffer au rouge sombre les deux parties constituantes et appliquer en mème temps la baguette, la pointe du chalumeau doit se balader en permanence sur les pièces pour ne pas faire fondre l'acier.
A cette température le brox fond comme de l'eau et se marie aux pièces à assembler.
En fait, avec de tout petits tubes, l'effort de chauffage est minimum, car l’épaisseur des tubes est très mince moins d'un millimètre, ces tubes sont appelés profilafroids, car sont tirés de tôles minces pliés et calibrés dans des filières et rejoints par soudures en continu.
pour assembler nos montages il te faut un coin d'établis sur tréteaux acier avec une tôle acier rigide d'au moins 1 mètre sur 50 cm, tous les montages se feront en l'air, posés sur cales, en l’occurrence les chutes des tubes, ou les coupons de ceux ci, cela évite de chauffer la tôle établis et de dépenser trop de gaz.
Tubes carrés de 10x10 parce qu'à l'échelle du 1/14 ca donne 140 de coté ce qui n'est déja pas si mal pour des montants de mats.
Maintenant il faudra aussi que chaque élément de mat fasse maquette, il te faudra donc assembler chaque coté de mat, deux monbtants à la fois, ils sont reliés a la base , soit par tubes de 10x10 brasés, soit par plats acier de 10x2 coupés en biseaux.
En fait un mat de grue est constitué de plusieurs carrés s'imbriquant: soit de la largeur du mlat, soit d'une division égale aux plus petits éléments que tu va construire ?
Houla la, c'est compliqué ton truc JPG ?
En fait, ces éléments seront construits azu proratta du modèle de grue que tu aura choisis ,
Je te conseilles le type ECB, ce sont des grues sans porte flèche, la flèche fait partie du couronnement tournant de la grue, prolongé par la contre flèche.
En largeur de mat 120 de coté éxtérieur est une bonne dimmension, ce qui donne 100 mm intérieur des tubes montants.
Partant de la, il est facile de diviser un élément d'un mètre en parts égales ?
En fait, il te faut déterminer le nombre de traverses intermédiaires ?
Si tu considère un élément d'un mètre, avec deux traverses à chaque éxtrémité, si tu divise la longueur hors tout par neuf, et que tu soustrait 10 fois 10 mm de largeurs de tubes traverses, ça t'enlève donc 100 mm, il te reste alors 900 mm de vide que tu divise par 9, il te reste donc 9 vides de 100 mm soit la largeur intérieure de chaque éléments de mat ?
Tu a donc un élément de mat de 1 mètre dont les traverses sont éspacées de 100 mm, ce qui correspond au plus petit élément de mat que tu peut construire de 120 mm de haut, par 120 mm de coté.
J’espère que tu a compris ces principes de bases essentiels ?
Bon, ceci posé, comment assembler chaque éléments entre eux ?
Chaque élément est tubulaire carré de 120x120x120 au cube, les montants en tube carré de 10x10 dont on peut supposer l'épaisseur de paroi de 1 mm, ce qui fait 8 mm intérieur ? on peut donc considérer de placer à l'intérieur , soit du carré alu de 8x8, dont chaque coté sera épointé, disons des bouts de 2 cm de long, 1 cm pénétrant chaque élément d'un seul coté.
Ces carrés seront don vissés par vis de 3x6 TR cruciforme sur le bas de chaque élément, et une fois montés sur le haut de chaque élément.
Il y aura lieu alors de percer sur tous les à bouts des tubes montants, des trous de 3,1, à 5 mm du bout.
Ces trous peuvent donc se faire après montages complet de tous les éléments de mat.
Il est impératif que chaque élément puisse rentrer sans forcer dans n'importe quel éléments longs ou courts, et de n'importe quel coté, c'est à dire qu'un élément paut aussi se tourner de 1/4 de tour voir un demi tour sur lui même, et toujours s'emboiter sans forcer, cela implique des montages orthogonaux, et des trous de vissages équidistants.
Seuls des montages sur gabarits de montages permettent d'obtenir ces montages, mais bien sur, à chaque fois montages en l'air par soucis d'économie de gaz.
Concrètement, ton mat va se composer ainsi: Une base solide arbalètrée par 4 tirants, repris sur des goussets de l'élément primaire de mat, et sur chaque branche de la croix de montage, de 4 plots béton d'assise, de plusieurs contre poids béton armés munis de crochets de prise pour leur levage équilibré, soit une dizaine de ces contre poids moulés dans une forme déboitable.
Ce premier élément de 50 cm de haut aura des traverse dont les entre axes seront différends de l'élément de 1 m ou de ceux de 120 mm.
on calcule ces entre axes : 50 cm de long par montants, 2 traverses en bout, si l'on divise par 4, ça implique d'enlever encore 3 cm aux 480 restants ? autrement dit, 5 traverse de 1 cm ça fait 5 cm à enlever sur 50 cm, ce qui donne 112,5 de jeu entre traverses, au lieu des 100 mm originaux.
La différence sera à peine perceptible, à la vue directe.
Ce qui veut dire que les deux éléments du bas et du haut seront identiques quand aux formes générales.
Tu me suit toujours ? mort de rire, pas fastoche du tout de construire une grue à tour ressemblant à quelque choses ?
Bien sur chaque carré composant les jours entre traverses seront arbalètrés avec un tirant en diagonal, toujours du même coté, par exemple posé en bas à droite et en haut à gauche, pour ces tirants, le mieux est de trouver du plat acier de 8x2, qui a l'échelle vont donner 8x14= 112 mmx28 d'épaisseur.
L'idéal serait donc de te faire débiter dans de la tôle de 1,5 d'apaisseur par un pro sérrurier équippé d'une cisaille hydro, de longueurs de lardons de 8x1,5 de 1 ou 2 mètres de long, que tu recouperas au fur et à mesure de tes montages de biais si possible. En fait 1,5 au 1/14 donne 21 mm d'épaisseur, et 1 mm donne bien évidement 14 mm d’épaisseur.
Une telle grue bien construire sera bien évidement très rigide, et capable de lever plus de 10 kg de charge en bout de flèche.
Post suivant , on parle du couronnement, ensemble cohérent avec la flèche et contre flèche.
Dernière édition par admin-jpg le Mar 25 Juin - 8:51, édité 1 fois (Raison : au)
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
Le couronnement est la pièce essentielle s'intégrant aux éléments de mat, supportant la flèche est la contre flèche, la pièce n'est pas à traiter à la légère, elle se compose d'une plaque de base munie des 4 éclisses s’emboitant dans les éléments de mat, éclisses que l'on fera en acier carré étiré de 8x8 épointés d'un coté.
Sur cette base tôlée d'au moins 3 à 4 mm d’épaisseur, viendra se placer un roulement à billes acier, ce roulement sera solidaire par sa cage extérieure avec la plaque de base et maintenue sur celle ci par un flasque tourné.
Sur son pourtour une couronne dentée acier au module 1 permettra grâce à un moto réducteur de rotation assuré le virage de la flèche, ce moto réducteur RB 35/600 pris chez Conrad électronique.
puis dans la cage intérieure du roulement un blochet alu et en bout de celui ci une platine identique à la base, sur laquelle se monteront flèche, contre flèche et moto réducteur de virage.
Cette liaison bien que souple en rotation devra être rigide et sans boitage, car flèche et contre flèche munie de ses contre poids devront pouvoir virer à lège ou en charge quelque soit la position de celle ci sur la flèche.
De plus le centre du blochet doit être libre de façons à placer toutes liaisons électriques entre la base de la grue et la flèche elle même.
On peut alors avec bonheur placer un joint tournant électrique, avec le nombre de contacts requit fonction de l'équipement de la grue.
Ceux ci sont au nombre de 3: la rotation de flèche, la translation du chariot, le levage du mouflage du crochet.
puis sur ce couronnement, le montage du châssis apte à recevoir par clavetages ou vissages flèche et contre flèche.
Bien sur on se réfèreras toujours aux plans PDF du constructeur seuls garants d'une bonne exécution des pièces ressemblant à peu près au modèle original.
Post suivant, la flèche et contre flèche .
Sur cette base tôlée d'au moins 3 à 4 mm d’épaisseur, viendra se placer un roulement à billes acier, ce roulement sera solidaire par sa cage extérieure avec la plaque de base et maintenue sur celle ci par un flasque tourné.
Sur son pourtour une couronne dentée acier au module 1 permettra grâce à un moto réducteur de rotation assuré le virage de la flèche, ce moto réducteur RB 35/600 pris chez Conrad électronique.
puis dans la cage intérieure du roulement un blochet alu et en bout de celui ci une platine identique à la base, sur laquelle se monteront flèche, contre flèche et moto réducteur de virage.
Cette liaison bien que souple en rotation devra être rigide et sans boitage, car flèche et contre flèche munie de ses contre poids devront pouvoir virer à lège ou en charge quelque soit la position de celle ci sur la flèche.
De plus le centre du blochet doit être libre de façons à placer toutes liaisons électriques entre la base de la grue et la flèche elle même.
On peut alors avec bonheur placer un joint tournant électrique, avec le nombre de contacts requit fonction de l'équipement de la grue.
Ceux ci sont au nombre de 3: la rotation de flèche, la translation du chariot, le levage du mouflage du crochet.
puis sur ce couronnement, le montage du châssis apte à recevoir par clavetages ou vissages flèche et contre flèche.
Bien sur on se réfèreras toujours aux plans PDF du constructeur seuls garants d'une bonne exécution des pièces ressemblant à peu près au modèle original.
Post suivant, la flèche et contre flèche .
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
La flèche elle aussi composée d'éléments emboités, mais l'on peut considérer que celle ci puisse se construire pour des raisons de facilité de réalisation de deux éléments de 1 mètre chacun.
Rien ne t’empêches de construire des sous éléments de 50 cm voire de 25 cm ou moins.
Cette flèche sera de constitution différente du mat, pour la simple raison qu'il faut assurer le roulement par l’extérieur du chariot de translation qui viendra prendre en pinces par l’extérieur, la flèche.
Ces éléments de flèche sont ainsi constitués: Deux cornières acier de 10x10, ailes extérieures, reliées par en dessous de traverses en plats de 1,5x8, bien dressés, aux espacements de 10 ou 12 cm du même genre que le mat d'un mètre, il faut que ce dessous de flèche soit complétement lisse, rien ne doit dépasser de l’affleurement du dessous de flèche, cette largeur totale peut correspondre à la largeur des mats soit 120 mm.
Ces éléments sont triangulaires, ils sont composé en guise de faitage, d'un plat acier de 10x2 placé verticalement sur champ, des plats de mème nature le relie aux deux cornières de rive, en fait, pour la commodité de la réalisation, il y a lieu de contre couder chaque tirants, ceux ci sont donc placés de biais, mais quelques traverses verticales sont aussi souhaitées au départ pour assurer les bonnes dimensions de chaque élément.
En fait on commence le montage par le perçage des cornières en vue du montage entre éléments par éclissages intérieur comme les éléments de mat.
On détermine le nombre de traverses verticales, on peut admettre 4 montants sur une longueur d'un mètre, le reste étant garnis de contre ventements placés de biais.
On fait donc un pré montage vissé avec des vis de 2 mm, ce qui assure les éléments entre eux, et permet les rectifications d'orthogonalité.
Une fois sur du montage et de l'emboitement avec d'autres éléments, on passe à la phase brasure élément bridé sur la tole établis, si possible sur cales.
En fait on ne va pas tout braser, juste les traverses verticales de chaque coté avec les ornières et le plat sommital, plus quelques contre ventements, le reste vissé suffit amplement à la rigidité de l'ensemble.
une fois refroidit, il doit s'emboiter parfaitement aux éléments suivants.
Bien sur on prévois le premier élément pour se raccorder avec le châssis de base du couronnement ? cet élément sera donc immuable quand au montage de flèche, les autres éléments viendront s'emboiter dessus par éclissages.
En ce qui concerne l'élément final de bout de flèche , il s'agit d'un élément court aux mêmes formes que l'ensemble flèche, constitution des éléments identique, il comporte la finalité du bout de flèche par un tirant de biais, du pouliage de retour du câble de translation du chariot, et très souvent de roues pleines de façon a assurer le montage facile de la flèche par le LTM.
Souvent aussi une passerelle pour les monteurs.
Le chariot englobe la flèche par l’extérieur, ses galets sont à flasques de façons à assurer le roulage en long le long de la flèche mais aussi le guidage latéral, pour éviter des déplacements latéraux.
il comporte en son sein de deux à 4 poulies de retour du câble de levage, d'attaches à chacune de ses extrémités, avec des systèmes de tension du câble de translation.
Le treuil de translation est généralement placé au milieu et à l'intérieur du premier élément de flèche sur le mat, il comporte un tambour rainuré dans lequel s'enroule le câble acier sur deux tours, il y a lieu donc de fabriquer ce tambour sur un tour, d'un diamètre de 20 mm, avec une rainure dont le pas correspond au millimètre, voire à 1,5, une fois brellé, le câble va se déplacer sur la longueur du tambour au fur et à mesure du déplacement du charriot, c'est la raison pour laquelle ce treuil est situé très en avant de flèche, pour compenser les écarts d’alignement du câble de renvois, il ne s'agit pas que le câble s'échappe des poulies de renvois en bout de flèche et contre le mat ?
A l'intérieur du mat, soit au milieu de sa longueur sera placé une poulie support ce câble, guidage et protection aux frottements.
Le câble de levage et son treuil seront placés en contre flèche assurant par la même un contre poids supplémentaire, il chemine donc sur la contre flèche puis est guidé par une poulie support dans la châssis du couronnement, de la par une suite de poulies à renvois d'angle chemine sous les éléments de flèches, vient se raccorder aux pouliages contenus dans le chariot, puis vient s'attacher en bout de flèche.
De cette façons, tout déplacement du chariot le long de la flèche aura pour conséquence le déplacement de la charge le long de la flèche, sans changements sur la position de la charge en hauteur.
La contre flèche généralement de un mètre de long, est constituée différemment de la flèche, dans le sens ou aucun chariot n'a a se déplacer dessus, par contre elle comporte tous les éléments de contre poids rajoutables, plus l’équipement électrique de la grues et le treuil de levage.
Comme le mat, il peut être construit avec 3 tubes parallèles de 10x10, et avoir comme la flèche une section triangulaire, il comporte une passerelle placée sur toute sa longueur, pour les manipulations des monteurs et toutes interventions de dépannage, il comporte en bout un large évidement dans lequel prendra place les contre poids d'équilibrage en béton armés mis en place par un LTM
Par expérience il est bon de prévoir une charge de plus de 10 kg en contre flèche, on va donc se constituer de plusieurs éléments de béton plats et lourds qui viendront se reposer grâce à des renflements structurels sur la contre flèche.
Mes éléments font 2 cm d’épaisseur, et plus de 10 cm de haut. munis d'un anneau scellé pour le levage.
Voila brossé en quelques pages une grue à tout ECB, facile à construire et facile à monter, à condition de posséder un minimum d'outillages mécanique.
Ma grue est filoguidée, mais on peut très bien rendre cette grue radio commandée dans ce cas l'accu de propulsion prendra une place avantageuse en contre flèche surtout si ses éléments actifs sont en plomb.
Il va sans dire qu'une telle réalisation pour moi est d'une simplicité enfantine, mais pour d'autres un casse tète chinois insurmontable lol et mort de rire .
C'est pas tout , mais cet article m'aura demandé pour sa confection, toute une matinée, j’espère que mes lecteurs en tiendront compte, et ne zapperont pas la moitié de la lecture, au moins par respect pour ma personne?
Rien ne t’empêches de construire des sous éléments de 50 cm voire de 25 cm ou moins.
Cette flèche sera de constitution différente du mat, pour la simple raison qu'il faut assurer le roulement par l’extérieur du chariot de translation qui viendra prendre en pinces par l’extérieur, la flèche.
Ces éléments de flèche sont ainsi constitués: Deux cornières acier de 10x10, ailes extérieures, reliées par en dessous de traverses en plats de 1,5x8, bien dressés, aux espacements de 10 ou 12 cm du même genre que le mat d'un mètre, il faut que ce dessous de flèche soit complétement lisse, rien ne doit dépasser de l’affleurement du dessous de flèche, cette largeur totale peut correspondre à la largeur des mats soit 120 mm.
Ces éléments sont triangulaires, ils sont composé en guise de faitage, d'un plat acier de 10x2 placé verticalement sur champ, des plats de mème nature le relie aux deux cornières de rive, en fait, pour la commodité de la réalisation, il y a lieu de contre couder chaque tirants, ceux ci sont donc placés de biais, mais quelques traverses verticales sont aussi souhaitées au départ pour assurer les bonnes dimensions de chaque élément.
En fait on commence le montage par le perçage des cornières en vue du montage entre éléments par éclissages intérieur comme les éléments de mat.
On détermine le nombre de traverses verticales, on peut admettre 4 montants sur une longueur d'un mètre, le reste étant garnis de contre ventements placés de biais.
On fait donc un pré montage vissé avec des vis de 2 mm, ce qui assure les éléments entre eux, et permet les rectifications d'orthogonalité.
Une fois sur du montage et de l'emboitement avec d'autres éléments, on passe à la phase brasure élément bridé sur la tole établis, si possible sur cales.
En fait on ne va pas tout braser, juste les traverses verticales de chaque coté avec les ornières et le plat sommital, plus quelques contre ventements, le reste vissé suffit amplement à la rigidité de l'ensemble.
une fois refroidit, il doit s'emboiter parfaitement aux éléments suivants.
Bien sur on prévois le premier élément pour se raccorder avec le châssis de base du couronnement ? cet élément sera donc immuable quand au montage de flèche, les autres éléments viendront s'emboiter dessus par éclissages.
En ce qui concerne l'élément final de bout de flèche , il s'agit d'un élément court aux mêmes formes que l'ensemble flèche, constitution des éléments identique, il comporte la finalité du bout de flèche par un tirant de biais, du pouliage de retour du câble de translation du chariot, et très souvent de roues pleines de façon a assurer le montage facile de la flèche par le LTM.
Souvent aussi une passerelle pour les monteurs.
Le chariot englobe la flèche par l’extérieur, ses galets sont à flasques de façons à assurer le roulage en long le long de la flèche mais aussi le guidage latéral, pour éviter des déplacements latéraux.
il comporte en son sein de deux à 4 poulies de retour du câble de levage, d'attaches à chacune de ses extrémités, avec des systèmes de tension du câble de translation.
Le treuil de translation est généralement placé au milieu et à l'intérieur du premier élément de flèche sur le mat, il comporte un tambour rainuré dans lequel s'enroule le câble acier sur deux tours, il y a lieu donc de fabriquer ce tambour sur un tour, d'un diamètre de 20 mm, avec une rainure dont le pas correspond au millimètre, voire à 1,5, une fois brellé, le câble va se déplacer sur la longueur du tambour au fur et à mesure du déplacement du charriot, c'est la raison pour laquelle ce treuil est situé très en avant de flèche, pour compenser les écarts d’alignement du câble de renvois, il ne s'agit pas que le câble s'échappe des poulies de renvois en bout de flèche et contre le mat ?
A l'intérieur du mat, soit au milieu de sa longueur sera placé une poulie support ce câble, guidage et protection aux frottements.
Le câble de levage et son treuil seront placés en contre flèche assurant par la même un contre poids supplémentaire, il chemine donc sur la contre flèche puis est guidé par une poulie support dans la châssis du couronnement, de la par une suite de poulies à renvois d'angle chemine sous les éléments de flèches, vient se raccorder aux pouliages contenus dans le chariot, puis vient s'attacher en bout de flèche.
De cette façons, tout déplacement du chariot le long de la flèche aura pour conséquence le déplacement de la charge le long de la flèche, sans changements sur la position de la charge en hauteur.
La contre flèche généralement de un mètre de long, est constituée différemment de la flèche, dans le sens ou aucun chariot n'a a se déplacer dessus, par contre elle comporte tous les éléments de contre poids rajoutables, plus l’équipement électrique de la grues et le treuil de levage.
Comme le mat, il peut être construit avec 3 tubes parallèles de 10x10, et avoir comme la flèche une section triangulaire, il comporte une passerelle placée sur toute sa longueur, pour les manipulations des monteurs et toutes interventions de dépannage, il comporte en bout un large évidement dans lequel prendra place les contre poids d'équilibrage en béton armés mis en place par un LTM
Par expérience il est bon de prévoir une charge de plus de 10 kg en contre flèche, on va donc se constituer de plusieurs éléments de béton plats et lourds qui viendront se reposer grâce à des renflements structurels sur la contre flèche.
Mes éléments font 2 cm d’épaisseur, et plus de 10 cm de haut. munis d'un anneau scellé pour le levage.
Voila brossé en quelques pages une grue à tout ECB, facile à construire et facile à monter, à condition de posséder un minimum d'outillages mécanique.
Ma grue est filoguidée, mais on peut très bien rendre cette grue radio commandée dans ce cas l'accu de propulsion prendra une place avantageuse en contre flèche surtout si ses éléments actifs sont en plomb.
Il va sans dire qu'une telle réalisation pour moi est d'une simplicité enfantine, mais pour d'autres un casse tète chinois insurmontable lol et mort de rire .
C'est pas tout , mais cet article m'aura demandé pour sa confection, toute une matinée, j’espère que mes lecteurs en tiendront compte, et ne zapperont pas la moitié de la lecture, au moins par respect pour ma personne?
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
Notre ami Lafontaine , le suisse sur les camions, m'avais demandé il y a trois ans , au deuxième model truck de St Rambert d' Albon, si je vendait ma grue à tour, ? C'est une vente que je n'avais jamais envisagée, car cet engin conçu pour les démonstrations, avait à son actif depuis 2007 plus de 150 montages et démontages.
Il en a achetée une à un autre amateur suisse , apparement ?, qui ressemble fort, à celle construite Par pierre guenzy, l'ancien président du modél club de Lausanne suisse, qui lui aussi en avait construit une pour le club.
En fait , je faisait partie du MCR à titre de membre honnoraire, et le club voulait m'acheter ma grue, mais un prix dérisoire, je veux bien etre gentil mais faut pas pousser.
Qu'au moins on regagne sa mise de fond des fournitures totales.
La mienne est toute en alu, celle de Guenzi était en laiton, tout comme celle de Lafontaine. Ce qui me fait fortement penser à celle ci.
Et donc à cette occasion, et puisque la mienne est en pièces détachées, j'en ferais un petit reportage photos de ses divers éléments.
En fait, une grue à tour, est si je puis dire , excusez moi le terme , un piège à cons.
En effet, tout le monde rêve d'une grue à tour, mais personne n'appréhende sa construction, puis après, son utilisation ?
Penser que la grue soulèvera des tonnes est une utopie, qui plus est son montage réclame des heures de travail, qui une fois montée ne peut être démontée en 5 minutes, aussi un tel engin ne peut être dehors, mais dans un lieu fermé, telle une exposition ou un club couvert.
Ma grue demande 3 heures de montage et autant en démontage, aidée en cela de la LTM 1100 qui est la troisième main.
D'ailleurs je serais au model trucks de St Rambert cette année avec l'ensemble de mes grues: Grue à tour, grue automatique, grue drague géante, grue autoportée LTM 1100 grues de dépannage Atkinson, et bien sur ma pelle liebherr double boom 964 B, ainsi que la double boom Bruder.
Autant une pelle est vite mise en batterie, autant une grue demande du travail d'installation et de désinstallation.
Aussi l'installation de la mienne se faisait en présence du public durant l'exposition, et pareils pour son démontage.
Son avantage: arriver 30 minutes avant le début de l'exposition, et en repartir 30 minutes après la fin de l'exposition.
Installation durant l'exposition, un comble .
Des photos ce soir, et vous verrez des similitudes entre sa grue et la mienne, du point de vues conception générale.
Il en a achetée une à un autre amateur suisse , apparement ?, qui ressemble fort, à celle construite Par pierre guenzy, l'ancien président du modél club de Lausanne suisse, qui lui aussi en avait construit une pour le club.
En fait , je faisait partie du MCR à titre de membre honnoraire, et le club voulait m'acheter ma grue, mais un prix dérisoire, je veux bien etre gentil mais faut pas pousser.
Qu'au moins on regagne sa mise de fond des fournitures totales.
La mienne est toute en alu, celle de Guenzi était en laiton, tout comme celle de Lafontaine. Ce qui me fait fortement penser à celle ci.
Et donc à cette occasion, et puisque la mienne est en pièces détachées, j'en ferais un petit reportage photos de ses divers éléments.
En fait, une grue à tour, est si je puis dire , excusez moi le terme , un piège à cons.
En effet, tout le monde rêve d'une grue à tour, mais personne n'appréhende sa construction, puis après, son utilisation ?
Penser que la grue soulèvera des tonnes est une utopie, qui plus est son montage réclame des heures de travail, qui une fois montée ne peut être démontée en 5 minutes, aussi un tel engin ne peut être dehors, mais dans un lieu fermé, telle une exposition ou un club couvert.
Ma grue demande 3 heures de montage et autant en démontage, aidée en cela de la LTM 1100 qui est la troisième main.
D'ailleurs je serais au model trucks de St Rambert cette année avec l'ensemble de mes grues: Grue à tour, grue automatique, grue drague géante, grue autoportée LTM 1100 grues de dépannage Atkinson, et bien sur ma pelle liebherr double boom 964 B, ainsi que la double boom Bruder.
Autant une pelle est vite mise en batterie, autant une grue demande du travail d'installation et de désinstallation.
Aussi l'installation de la mienne se faisait en présence du public durant l'exposition, et pareils pour son démontage.
Son avantage: arriver 30 minutes avant le début de l'exposition, et en repartir 30 minutes après la fin de l'exposition.
Installation durant l'exposition, un comble .
Des photos ce soir, et vous verrez des similitudes entre sa grue et la mienne, du point de vues conception générale.
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
Voici donc une compilation d'une soixantaine de vues du montage de ma grue, vous y verrez des similitudes avec celle de Lafontaine sur les camions, ma grue est d'un type particulier de grue à tour à cage télescopique, les seules capables de monter à plusieurs centaine de mètres comme au pont de Millau.
On commence par établir une base solide faite d'un massif de béton armé pour répartir le poids total de l'engin, puis le châssis de base est monté sur 4 plots béton armés permettant d'établir 4 points fixes et stables .
Ces plots comportent des plats et goupilles permettant de les lier au châssis de base.
Le châssis de base de l'ensemble, celui ci a été prévus à l'origine pour se déplacer aussi sur rails grâce à 4 bogies à deux galets moteurs, la voie faisait la largeur totale du châssis, rails carrés de 8x8 acier posés sur traverses bois d'une longueur totale de 2 mètres de déplacement. les bogies reprenant les axes des plots béton.
notez que ce montage se fait avec des camions grues, Atkinson Anglais, et LTM 1100 Liebherr.
Les contre poids de base, reprennent les formes tronconique du châssis, anneaux de préhension dessus et .......
Des trous en dessous pour loger les anneaux et centrer les contre poids.
On commence par établir une base solide faite d'un massif de béton armé pour répartir le poids total de l'engin, puis le châssis de base est monté sur 4 plots béton armés permettant d'établir 4 points fixes et stables .
Ces plots comportent des plats et goupilles permettant de les lier au châssis de base.
Le châssis de base de l'ensemble, celui ci a été prévus à l'origine pour se déplacer aussi sur rails grâce à 4 bogies à deux galets moteurs, la voie faisait la largeur totale du châssis, rails carrés de 8x8 acier posés sur traverses bois d'une longueur totale de 2 mètres de déplacement. les bogies reprenant les axes des plots béton.
notez que ce montage se fait avec des camions grues, Atkinson Anglais, et LTM 1100 Liebherr.
Les contre poids de base, reprennent les formes tronconique du châssis, anneaux de préhension dessus et .......
Des trous en dessous pour loger les anneaux et centrer les contre poids.
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
Chaque plot fait 1 kg, chaque masse fait 2 kg, il y en a 8, et ils en faudrait 2 fois plus.
Puis la base ainsi préparée est coiffée par la cage télescopique de montage.
Ici , la cage est à l'envers, on voit un galet dans la cage le vérin de levage électrique et le double verrouillage de sécurité anti chutes. et les deux interrupteurs de manœuvre du chariot de rentrée et celui du vérin.
Ce vérin permet le télescopage complet du faitage de grue montée d'un poids de 20 kg.
Chaque élément de mat fait 180 mm de haut.
La cage coulisse le long de tous les éléments de mat grâce à des galets en coin posés à l'intérieur de la cage télescopique.
pour ce faire, il est impératif que rien ne dépasse l'extérieur des éléments, pas comme sur la grue à Lafontaine, ou des tubes lient les éléments entre eux par des goupilles.
Sa grue de type ECB est faite pour être montée par des auto grue LTM pour des hauteurs relativement faibles, dès que le bâtiment dépasse un certain nombre d'étages, le type ECH est requit, avec sa cage télescopique, et bien sur des éléments rentrant dans l'ouverture de montage de la cage de montage.
Les galets vus de près, il y en a 8, 4 sur cet étage et 4 autres plus haut, une fois la cage coiffée par le LTM, celle ci est à même de coulisser le long du mat, au fur et à mesure de son montage, le porte flèche d'un poids de 6 kg est mis en place par le ltm.
Sur la cage, la plateforme de rentré d'éléments, comme sur la vraie, sauf que le miens est électrique, sur les vraies ils rentrent l'élément à coup de masse, je vous dit pas la gueule des bavures ?
L'élément est rentré au moteur, puis la cage redescends de façons à rentrer les 4 éclisses de l'élément, de façon à pouvoir le visser par l'extérieur mais l'emplacement des tètes de vis , ne gênent aucunement le coulissement de la cage.
Il est impératif que chaque élément soir orthogonal, et d'équerre sur toutes ses faces, la seule façon de ne pas avoir à repérer les éléments les uns par rapport aux autres.
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
Le moteur électrique du vérin de cage.
Le sabot d'grippage du vérin de télescopage et le double verrou de sécurité.
Méthode de montage ou démontage, le sabot croche dans chacun des barreaux horizontaux, le vérin se développe, pour remonter d'un élément, jusqu'à ce que le double verrou croche dans une barre.
Ce qui permet de remonter le sabot, et de le crocher plus haut.
Dans tous les cas, si les doubles verrou ne sont pas actionnés à la main, ils se verrouillent automatiquement sur une barre évitant la chute de l'ensemble.
Le jeu consiste alors en accrochages et décrochages, et sur les vraies c'est exactement pareils.
Le verrou est ici soulevé, c'est sa forme asymétrique qui l'oblige à basculer pour assurer ses accrochages sur la structure.
De plus le verrou est indispensable pour décrocher le sabot, c'est dire si ce verrou est important.
vous noterez que toutes mes structures alu sont rivées et non soudées, soit des milliers de rivets posés à la main.
Le verrou a basculé et se trouve en position de sécurité.
Souvent lors des démontages il m'arrive d'oublier le verrou, il se bloque alors sur une barre biaise intermédiaire, ce qui le déforme un peu, mais de toutes façons la cage ne peut plus descendre.
Je pense que 20 kg qui chute le long du mat, ca doit faire méchamment mal pour les spectateurs et pour l'appareil lui même .
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
Tous les éléments sont orthogonaux, des éclisses cornières intérieures rivées assurent par leurs inter pénétration, l'alignement des montants entre eux, de plus, des inserts laiton sont rivés dessus, servant d'écrous aux vis de montage.
Un élément dispose d'un haut et d'un bas, non réversible, mais chaque élément peut se poser de 4 façons identiques, en tournant sur eux mêmes, et se visser avec ses 4 vis, c'est cela qu'on appelle orthogonalité, la faculté de monter un élément n'importe ou, à la façon des cubes plastiques de montages des enfants.
Une éclisse est montée dans chaque coin uniquement d'un coté et tenue en place par deux rivets alu de 2x5 à contre bouterolles, c'est à dire tète ronde de chaque cotés.
Un des écrous à insert personnel en M 3 rivé et collé.
Un élément vue de l'intérieur. notez la façon dont sont posé les écrous inserts ? Seule façon pour pouvoir tourner chaque élément d'un quart de tour sur lui même.
Et bien sur de l'autre coté les trous sont percés de la même facon.
Dernière édition par admin-jpg le Mer 8 Jan - 16:53, édité 1 fois
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
Un élément de mat a été placé sur la rampe de la cage , près à été inséré à l'intérieur pour montage.
On peut imaginer que la grue à été complètement montée et la cage redescendue, mais cette cage est démontable et utilisée pour plusieurs grues de ce type, elles sont conçues par panneaux entiers de coté, et sont montées et descendues par la grue elle même.
La cage est en phase de levage, les verrous sont dégagé, le sabot est lui engagé.
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
On imagine que le faitement de la grue est montée, contre flèche et flèche, et contre poids de flèche, et que le palan est grée, la cage vient de déposer définitivement le porte flèche en bout du mat, ce porte flèche sera lui aussi boulonné.
Les supports dépassants dans les coins, sont ceux que supportent la cage télescopique lors du montage.
La position normale du porte flèche lors du montage des éléments, sur la cage télescopique, c'est donc à elle que revient la lourde charge de monter l'ensemble de la grue montée et fonctionnelle, c'est elle avec son palan, qui va chercher les éléments à monter, pour les poser sur la rampe de la cage.
Ma grue est filoguidée, car en 2007, l'année de sa construction, pas de radios en 2,4 sur le marché, et les fréquences connues étant saturées et réservées aux avions, et lors des expositions, impossible de monter l'engin radio guidé.
Le filoguidage est bien meilleurs car ce montage dure 3 heures et autant pour le démontage.
La cabine de conduite typique de Liebherr est inclue dans le porte flèche, le grutier est placé en surplomb pour avoir une vue maximum sur le bas. lors des travaux de levages, le mat se penche suivant le poids, et avance d'un mètre au moins, tandis que la flèche descends de 2 mètres, lol ça plie mais ne romps pas , hum comme au brésil, et ça a couté la vie du grutier.
Le sommet du porte flèche, quand la grue est montée il culmine à 3200, mais parce que je nez dispose que de dix éléments de mat, si j'en avait 20 je devrais disposer d'une nacelle télescopique pour le montage, aussi je me suis limité à 10 éléments, les deux derniers je monte sur un escabeau ou une chaise.
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
D'autres photos suivent, pour l'heure repos, j'y ai passée mon après midi à copier, 60 clichés ne passent pas en 5 minutes.
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
La suite:
Lors de sa conception, je me suis attaché à traiter maquette exacte dans ses formes et dimensions, en choisissant justement des cornières et fers plats alu rivés comme l'étaient les grues Liebherr il y a 20 ans.
elles étaient composées pour les montants d'énormes cornières acier de 140 de coté éclissées comme ici, à cause du coulissement de la cage sur ses coins interdisant les montages comme chez Lafontaine.
Rambardes et échelles à crinolines sont au 1/14.
Une fois le porte flèche en place, l'aide du LTM 1100 est indispensable, par la mise en place de la contre flèche, portée horizontalement par l'autogrue grâce à des élingues en câbles d'acier tressés à demeure sur le porte flèche.
La fixation du porte flèche sur la cage est indispensable, car cette contre flèche donne du ballant arrière apte à faire tomber l'ensemble, mais ce sont les contre poids de base qui empêchent l'ensemble de basculer.
La mise en place de l'emplanture de flèche d'un seul tenant , va rétablir cet équilibre.
La contre flèche tient sur le porte flèche grâce à des tirants en plats d'alu montés à demeure, et sur une crapaudine montée aussi à demeure sur la tète du porte flèche.
Le LTM monte la contre flèche, on accroche celle ci par une axe sur le porte flèche, puis on relève d'avantage la conte flèche pour soulager les tirants que l'on met en place grâce à une tige de 3.
On peut alors relâcher la montée, la contre flèche restera suspendue au porte flèche.
Erreur sur le précédent cliché trop agrandis.
Lors de sa conception, je me suis attaché à traiter maquette exacte dans ses formes et dimensions, en choisissant justement des cornières et fers plats alu rivés comme l'étaient les grues Liebherr il y a 20 ans.
elles étaient composées pour les montants d'énormes cornières acier de 140 de coté éclissées comme ici, à cause du coulissement de la cage sur ses coins interdisant les montages comme chez Lafontaine.
Rambardes et échelles à crinolines sont au 1/14.
Une fois le porte flèche en place, l'aide du LTM 1100 est indispensable, par la mise en place de la contre flèche, portée horizontalement par l'autogrue grâce à des élingues en câbles d'acier tressés à demeure sur le porte flèche.
La fixation du porte flèche sur la cage est indispensable, car cette contre flèche donne du ballant arrière apte à faire tomber l'ensemble, mais ce sont les contre poids de base qui empêchent l'ensemble de basculer.
La mise en place de l'emplanture de flèche d'un seul tenant , va rétablir cet équilibre.
La contre flèche tient sur le porte flèche grâce à des tirants en plats d'alu montés à demeure, et sur une crapaudine montée aussi à demeure sur la tète du porte flèche.
Le LTM monte la contre flèche, on accroche celle ci par une axe sur le porte flèche, puis on relève d'avantage la conte flèche pour soulager les tirants que l'on met en place grâce à une tige de 3.
On peut alors relâcher la montée, la contre flèche restera suspendue au porte flèche.
Erreur sur le précédent cliché trop agrandis.
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
c'est la grue que tu pense amener au salon de fougerolles? belle réalisation.
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
Oui, tout à fait yannick.
La flèche de l'engin, je la conserve d'une seule pièce, elle fait 2, 3 mètres de long, deux éléments d'un mètre et le terminal en bout de 300.
Dés l'origine je pensait monter cet élément sur place, mais le breslage du treuil de translation du charriot étant tellement pointus, que j'ai du y renoncer. Je transporte cet élément d'une seule pièce désormais.
Ce treuil est un tambour alu rainuré, entrainé par un micro réducteur sous lui, c'est un câble de vol circulaire acier tressé qui assure cette translation, les deux bouts du câble sont accrochés sur le chariot, dont une extrémité sur ressort de tension de sortes que le câble est en permanence tendu, chose essentielle pour une bonne translation.
Je n'aie pas pu monter la flèche car pas assez de place dans mon atelier exiguë.
Le chariot du palan deux brins comporte lui aussi une nacelle pigeonnier de sortes que tous manœuvriers puisse rejoindre en sécurité n'importe quel point de la structure de flèche, des grillages treillages sont donc disposé autours du treuil du chariot, et de l'extrémité de flèche.
de même que sur la cage, celle ci était entourée de deux étages de passerelles grillagées, en bas au niveau glissières de rentrée d'éléments, et plus haut au niveau éclissages, ceci pour permettre aux ouvrier de travailler en sécurité.
Je les ai enlevées car elles me gênaient dans mes manœuvres de montages.
Sur ces deux clichés on voit l'élingue en toile mise à demeure sur la flèche pour son demi levage.
Le treuil à tambour à câble du chariot, le câble est guidé sur tout le parcourt de flèche sur poulies en hauteur, sous le faitage de flèche, ainsi il ne gène en aucune façons et ne frotte sur rien, puis il redescends de biais sur l'avant et sur l'arrière sur poulies laiton, pour se raccrocher au chariot.
Un seul tour autours du cabestan suffit à bien l'accrocher, puisque tendu en permanence.
A l'origine le câble était de la suspente de parapente qui s'effilochait rapidement.
suprême raffinement, un treuil annexe est monté sous la contre flèche , avec la aussi un chariot, celui ci est destiné à accrocher des masses de béton supplémentaires, lors des levages exceptionnels.
Ces masses restent normalement collées contre le porte flèche, et sont déplacée en arrière pour équilibrer les fortes charges.
Dans le berceau de contre flèche prennent place avec le LTM, 6 contre poids de 2 kg chacun, et en dessous de contre flèche, 4 masse béton de 1,5 kg, je dispose donc d'un lestage variable de 12 kg plus 6 kg d'équilibrage, soit 18 kg, mais il me reste des masses pour la contre flèche et pour le chariot, à concurrence de 22 kg.
Si Lafontaine à bien achetée la grue de Pierre Guenzi, celui ci avait éprouvé l'engin à mi longueur de flèche en levant un diable acier de 10 kg.
Contrairement à la mienne prévue pour des démonstrations de montage de grues à cage télescopique, la sienne était prévue pour des levages en lourds, car leurs bâtiments de circuit étaient en Médium relativement lourds, et ma grue en avait bavée à MIGRO en Aout 2007, à Lausanne suisse. heureusement, placée très près des entrepôts à monter de sortes que les levages se faisaient à 1500 maximum de l'axe tour.
La flèche de l'engin, je la conserve d'une seule pièce, elle fait 2, 3 mètres de long, deux éléments d'un mètre et le terminal en bout de 300.
Dés l'origine je pensait monter cet élément sur place, mais le breslage du treuil de translation du charriot étant tellement pointus, que j'ai du y renoncer. Je transporte cet élément d'une seule pièce désormais.
Ce treuil est un tambour alu rainuré, entrainé par un micro réducteur sous lui, c'est un câble de vol circulaire acier tressé qui assure cette translation, les deux bouts du câble sont accrochés sur le chariot, dont une extrémité sur ressort de tension de sortes que le câble est en permanence tendu, chose essentielle pour une bonne translation.
Je n'aie pas pu monter la flèche car pas assez de place dans mon atelier exiguë.
Le chariot du palan deux brins comporte lui aussi une nacelle pigeonnier de sortes que tous manœuvriers puisse rejoindre en sécurité n'importe quel point de la structure de flèche, des grillages treillages sont donc disposé autours du treuil du chariot, et de l'extrémité de flèche.
de même que sur la cage, celle ci était entourée de deux étages de passerelles grillagées, en bas au niveau glissières de rentrée d'éléments, et plus haut au niveau éclissages, ceci pour permettre aux ouvrier de travailler en sécurité.
Je les ai enlevées car elles me gênaient dans mes manœuvres de montages.
Sur ces deux clichés on voit l'élingue en toile mise à demeure sur la flèche pour son demi levage.
Le treuil à tambour à câble du chariot, le câble est guidé sur tout le parcourt de flèche sur poulies en hauteur, sous le faitage de flèche, ainsi il ne gène en aucune façons et ne frotte sur rien, puis il redescends de biais sur l'avant et sur l'arrière sur poulies laiton, pour se raccrocher au chariot.
Un seul tour autours du cabestan suffit à bien l'accrocher, puisque tendu en permanence.
A l'origine le câble était de la suspente de parapente qui s'effilochait rapidement.
suprême raffinement, un treuil annexe est monté sous la contre flèche , avec la aussi un chariot, celui ci est destiné à accrocher des masses de béton supplémentaires, lors des levages exceptionnels.
Ces masses restent normalement collées contre le porte flèche, et sont déplacée en arrière pour équilibrer les fortes charges.
Dans le berceau de contre flèche prennent place avec le LTM, 6 contre poids de 2 kg chacun, et en dessous de contre flèche, 4 masse béton de 1,5 kg, je dispose donc d'un lestage variable de 12 kg plus 6 kg d'équilibrage, soit 18 kg, mais il me reste des masses pour la contre flèche et pour le chariot, à concurrence de 22 kg.
Si Lafontaine à bien achetée la grue de Pierre Guenzi, celui ci avait éprouvé l'engin à mi longueur de flèche en levant un diable acier de 10 kg.
Contrairement à la mienne prévue pour des démonstrations de montage de grues à cage télescopique, la sienne était prévue pour des levages en lourds, car leurs bâtiments de circuit étaient en Médium relativement lourds, et ma grue en avait bavée à MIGRO en Aout 2007, à Lausanne suisse. heureusement, placée très près des entrepôts à monter de sortes que les levages se faisaient à 1500 maximum de l'axe tour.
Re: Grue à tour Liebherr 154 ECH
Le treuil de levage palan tout à coté de l'armoire électrique.
Ma grue souffre de deux maux: levage et translation trop lente, pour le levage , cela est du à la transmission par engrenages de champs, et pour la translation à un moto réducteur trop important, je vais donc modifier cela pour avoir des vitesses acceptables.
Coté giration de tourelle, un RB 35/600 sur couronne hostaforme, qui donne satisfaction
reste aussi le vérin du télescopage que je pourrais enfin fabriquer à l'hydraulique, pour aller bien sur plus vite qu'actuellement.
les temps de montages démontages sont au prorata des lenteurs des mouvements.
Mes deux palans de grues, celui de gauche , est celui de cette grue 300 grammes environ en acier et laiton, celui de droite est celui de ma grue drague géante, 1,5/2 kg environ multibrins, prévus pour des levages en lourds aux alentours des 10 kg à 6 mètres. Lol, j'ai pas fait dans la dentelle .
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