Grue à tour Liebherr 154 ECH

merci jean-paul,je connaissais le site de Michaud chailly mais pas de prix en ligne.Peut etre en créant un compte,je vais essayer.
pour la transmission,oui je pense que 90/12 serait idéal point de vu proportions.

Michaud Chailly est une boite industrielle, pas vraiment un site de ventes par correspondance, ils sont de la vieille école, mème si les produits sont gérés par informatique, faut voir à Lyon leurs Racks de stockages informatisé c'est quelques choses, des millions de pièces en stock.

Sur Annecy j'aie une agence, ils n'ont pas grands choses sur place, on y va, on commande sur catalogue, ils achemine depuis Lyon tous les jours, mais te prennent 15 € de transport.

C'est étonnant que Conrad ne fournisse plus en roues Hostaforme, a tu bien cherché dans engrenages ?

L'avantage de MC c'est l'immensité de leur stocks Lyonnais ou l'on trouve de tout, et surtout leurs catalogues papiers qui sont une référence en mécanique, ça permet par avance de calculer les montages mécaniques.

Je me sert chez eux depuis 30 ans environ, bien sur il y a d'autres boites, mais moins achalandées.

En faits je me sert de partout, la ou c'est le plus avantageux, la ou se trouve le produit déjà choisis pour ses caractéristiques mécaniques calculées.

En face de MC Annecy il y en a une autre boite, aussi fournie mais pas toujours à dispo, ou alors faut pas demander l'impossible.

Une bonne boite aussi pour roulements et joints de vérins , 123 roulements, boite par correspondance par excellence, mais rien en engrenages.

J'ai finalement trouvé mon bonheur chez tridistribution.beaucoup de choix aussi coté transmission et pièces industrielles en tous genre et des prix dispo en ligne.je vais donc partir sur une roue dentée de 95 et un pignon de 12,le tout en métal.pour les roulements je me fournis aussi chez 123 roulements,la référence dans ce domaine
Ca pourrait etre interéssant de répertorier les sites de fournitures dans un onglet histoire de faire partager nos expériences et d'aider ce qui ne savent pas encore ou se fournir non?
Sur ce,je vais arretter d'empieter sur ton sujet car on ne va plus s'y retrouver.
a bientôt et merci pour les infos.

Bonjour, 

Je suis étudiant en dernière année en école d'ingénieur et je cherche une grue à tour en modèle réduit (comme celle-ci) pour un projet de recherche et développement.
Comment puis-je vous contacter à ce sujet ? 

Merci d'avance.
François

Eh bien voila, c'est fait , le premier contact à été établis en MP.

Une grue à tour ? Voici un sujet complexe, tout ceux qui ont essayés de s'en construire une sans écouter mes conseils de constructions se sont cassés la figure.

Car une grue en treillage doit se construire d'une façon orthogonale.

L'orthogonalité est l'élément essentiel à leur construction, c'est à dire d’équerre sur toutes ses faces et tous ses angles.

Il est impératif qu'un élément de mat puisse se monter indifféremment sur ses 4 faces.

A l'identique pour un élément de flèche.

Après, en quoi construire cet engin ?

L'alu et ses profilés du commerce de bricolage est bien, mais assemblages vissés ou mieux rivé, ou encore en laiton tubes et cornières mais beaucoup plus cher brasés argent pour plus de solidité et pérennité.

L'acier bien sur en tubes minces carrés, mais le poids total risque de grever les manipulations elles aussi brasées au brox moins cher que l'argent.

Au dela, de quel type s'agit il ?

Une grue comme la mienne est dite à cage télescopique de montage, mais il en existent comme celle de Greg 59 par grands éléments à monter rapidement et sans cage télescopique ce sont ces grues typiques de petits bâtiments à 5 étages maximum.

Après reste les coûts financiers de telle réalisations, et les temps mis pour les construire car nécessairement sur gabarits de montages. L'achat des fournitures des outillages des consommables oxygène, gaz, soudures, visserie rivets, les barres elles même et les motorisations, la câblerie, les commandes de l'engin, radio commande ou filoguidage les pièces de tournage poulies axes.

Il est vrais qu'au regard de tout cela, les amateurs rengainent souvent leurs prétention aux fonds de leurs poches.

Pour construire ma grue 6 mois ont été nécessaires au brut, puis les essais avant peintures, puis les peintures. Je puis dire 6 mois de plus en 2007, ce qui m'a permis une fois au point d’effectuer plus de 150 montages et démontages dans des expositions diverses. Dans la moitié sur de l' hexagone.

Coté finances je puis avancer la somme de 4000 €.

Eh bien voila, c'est fait , le premier contact à été établis en MP.

Une grue à tour ? Voici un sujet complexe, tout ceux qui ont essayés de s'en construire une sans écouter mes conseils de constructions se sont cassés la figure.

Car une grue en treillage doit se construire d'une façon orthogonale.

L'orthogonalité est l'élément essentiel à leur construction, c'est à dire d’équerre sur toutes ses faces et tous ses angles.

Il est impératif qu'un élément de mat puisse se monter indifféremment sur ses 4 faces.

A l'identique pour un élément de flèche.

Après, en quoi construire cet engin ?

L'alu et ses profilés du commerce de bricolage est bien, mais assemblages vissés ou mieux rivé, ou encore en laiton tubes et cornières mais beaucoup plus cher brasés argent pour plus de solidité et pérennité.

L'acier bien sur en tubes minces carrés, mais le poids total risque de grever les manipulations elles aussi brasées au brox moins cher que l'argent.

Au dela, de quel type s'agit il ?

Une grue comme la mienne est dite à cage télescopique de montage, mais il en existent comme celle de Greg 59 par grands éléments à monter rapidement et sans cage télescopique ce sont ces grues typiques de petits bâtiments à 5 étages maximum.

Après reste les coûts financiers de telle réalisations, et les temps mis pour les construire car nécessairement sur gabarits de montages. L'achat des fournitures des outillages des consommables oxygène, gaz, soudures, visserie rivets, les barres elles même et les motorisations, la câblerie, les commandes de l'engin, radio commande ou filoguidage les pièces de tournage poulies axes.

Il est vrais qu'au regard de tout cela, les amateurs rengainent souvent leurs prétention aux fonds de leurs poches.

Pour construire ma grue 6 mois ont été nécessaires au brut, puis les essais avant peintures, puis les peintures. Je puis dire 6 mois de plus en 2007, ce qui m'a permis une fois au point d’effectuer plus de 150 montages et démontages dans des expositions diverses. Dans la moitié sur de l' hexagone.

Coté finances je puis avancer la somme de 4000 €.

Avec l’expérience de St Rambert de ce week end, je vais faire des transformation adjonctions à ce premier ensemble de base, bien sur sans tout casser, ces adjonction seront radio commandée, l'idée à germée hier en rentrant et dans la nuit :

Le relevage de la flèche est déjà inhabituel, car pour des raisons techniques, quand je monte la flèche sur le porte flèche, je ne monte que sa base d'attache contre le mat, son relevage est fait par un  mouflage mal foutus qui se coince à tout bouts de champs rendant les manœuvres difficiles de relevage et de descente, je vais donc refaire ce mouflage multi brin de façons qu'il n'y ai aucune sorties de câbles hors des gorges.

Ce relevage s'effectue par un treuil réducté monté sur le dessus de la cabine du grutier avec un pack d'accu séparé en 12 v.

Refaire le mouflage et déplacer le tirant sur la duite du tirant déjà monté sur la flèche, il faut que ce mouflage puisse pendre librement sur le porte flèche sans aucune possibilités aux câbles de s'emmêler, c'est donc un montage mécanique précis qui ne peut de faire que sur machines.

Une fois ce mouflage refait, l'idée et non d'avoir une grue classique mais une grue à volée variable, le chariot sera poussé à fond contre l'extrémité de flèche, et ses poulies de retour resserviront de mouflage comme dans sa position normale, c'est à dire qu'une telle grue aura le même champs d'action que la grue à tour normale mais en volée variable.

La nouveauté c'est le montage de patins chenillés sur sa base large, et le montage du porte flèche sue sur un ou deux éléments de mat, à faire avec le LTM 1100 ou sans son aide, et surtout sans la cage télescopique, il faut qu'à terme la grue soit de faible hauteur sur son mat, pour un centre de gravité bas, pour un déplacement à vitesse moyenne sur patins chenillés .

J'aimerais assez pour St Rambert l'an prochain me trimbaler avec ma grue sur les pistes à camions, car sa largeur chenillée sera un peu plus étroite qu'une route de camions au 1/14 et vu que sa vitesse sera moyenne de pouvoir se garer pour laisser passer les bahuts.

Coté patins chenillés, j'ai achetés à bang good, des chenilles plastiques faites pour les robots Arduino, elles font 45 de large par 35 cm de long en anneau complet, la longueur est subjective, en fonction du diamètre des barbotins, elle ressemblent furieusement aux chaines de chars tigres de HEN LONG marque chinoise également chaque maillon est relie à l'autre par un axe acier, certes démontables mais pourquoi faire j'ai donc deux ensemble complet sans roues folles ni barbotins avec un pas de 8 mm, Chez Michaud Chailly agence Annecienne, ça existe même en Hostaforme comme les couronnes dentées au pas de 8 mm. roues dentées pour chaines de 8 mm diamètre sur dents 36,5 à moyeux 13 dents pour axes de 8, ça va très bien me convenir.

Ce diamètre permet d'avoir le maximum de dents en prises et un maximum de longueur de patin.

Pour les patins chenillés, mon fournisseur Michaud Chailly m'a trouvées deux roues acier de 15 dts au pas de 8 mm, diamètres sur dents 41,7, en fond de dents je trouve 35,26 de diamètre de roues folles, pour un diamètre sur chenilles de 45,26 ce qui me laisse une longueur ovale de plus 50 mm à ma longueur de châssis base de grue.

Je vais donc construire deux patins pour ces chaines, 2 roues folles à ce diamètre qui vont rouler et se centrer au milieu des barbillons de tuiles, et je pensais pour la motorisation ces moto réducteurs à boite rectangulaires à sorties sur le coté, caché dans les épaisseurs des patins transmission par chaines à rouleaux de 6. j'en ai donc achetés deux à vis sans fin à 7, 48 € avec une vitesse de sortie à l'axe de 60 tours minute, ce qui me donne au développé de la roues ou barbotin 8,520 mètres minute, moteurs en 12 v. il me semble que les moteurs charbons soient du type 380 ?

Pour asseoir ma grue au sol sur ses patins, cette base est chargée de 8 dalles de béton armés maison cotés opposés aux chenilles, donc devant et derrière, en faits leur position n'est pas importante, car il me faut aussi poser un faux bungalow contenant une batterie de 12 v, en faits je dispose de deux conteneurs Bruder à portes arrières qui fera l'affaire, je puis y mettre la batterie et dans le second l'équipement radio.

J'aie ma base sous les yeux, elle est au carré, les contre poids béton seront devant et derrière, mais les containers  bruder ne peuvent pas y prendre place entre les tirants de maintient, ces équipements seront donc dans autre choses. des petits containers posés sur les contre poids ?

A ma base je rajoute 3 éléments de mat, plus le porte flèche la base de la flèche devrait se retrouver au dessus de ma tète, et vue que c'est une volée variable, pas de risques de se cogner le crane.

Reste alors les contre poids de la contre flèche alors la, crac boum hu dans la cabillot, vu qu'ils pendouillent.

Dés que j'ai quelque chose de fait je vous montrer les photos.

Ce que je veux c'est une grue automotrice, qui puisse avancer à bonne vitesse sans trop gêner les circulations.

En faits pour qu'une grue soit le moins dangereuse possible, il faut qu'on puisse passer dessous sans s'y cogner, ou alors assez basse et qu'elle se voit, et qu'il est impossible de marcher dessus.

Mais j'ai aussi une base de dragline géante chenillée faite dans les monts du lyonnais base de tourelle de pelle Bruder élargie,l'idée serait de récupérer les patins chenillés, parce que c'est un engin super mais inexploitable aujourd'hui avec mes petits moyens de transports.

La motorisation est faite par RB 35 200 il me semble très lente car l'engin en ordre de marche fait plus de 50 kg rien que la tourelle est bourrées de moto réducteurs de type RB 35 très justement et de réducteurs plus petits servant à débrayer certains treuils notamment lors du lancé du godet de dragage.

Bon, finalement 3 éléments de mat c'est bien trop haut et bourré de portes à faux, c sera donc le porte flèche posé sur l’élément de base qui corresponds à 3 éléments assemblés, mais pour lui d'une seule pièce.

Avec le porte flèche en place sur chenilles c'est nettement plus stable, mais la, il n'y a ni contre flèche ni flèche.

Il me faut donc un engin pouvant se déplacer seul sur chenilles stable et pouvant lever n'importe quelle charges, la volée variable permet alors d'aller le plus loin possible pour des petites charges, mais aussi contre le mat pour des charges plus lourdes, de plus je dispose d'un contre poids annexe déplaçable en arrière ou se collant contre le mat pour équilibrer les charges.

D'origine la base état montée sur rails, pour un déplacement longitudinal de 2 mètres environ.

Avec base chenillée ce n'est pas un crawler, devant se déplacer sur sols plats ou plats déclives comme une rampe légère, c'est le cas à St Rambert pour relier les deux salles.

Et hop grue à tour réparée, en faits c’était le réducteur, vachement important du RB 35 au 1/600 qui était bloqué par le cambouis.

Démontage complet plongée du réducteur dans l'acétone pour dissoudre ce cambouis, sans trop enlever de graisse et remontage, et CA MARCHEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE.

Mais samedi soir, trop de monde, trop de bruits, complètement saoulé je voulais tellement rouler avec mes engins roulants que je suis passé à coté d'un truc tout bète, ou alors je n'aie plus de patience ?

Pour le LTM ça sera plus compliqué.

Pour ce projet de grue auto motrice, j'aie démontée ma dragline géante.

En fait un engin conçu de type folie furieuse, quasiment intransportable avec une flèche à volée variable de 6500 de long, rien que le contre poids demandait 8 briques rouges pleines plus la batterie plomb automobile de 12 v.

Je m'en servais de drague au lancer ou pour du levage, mais c'était il y a 10 ans, les temps ont changés et moi pris des années de plus, et puis des élément qui prennent une place folle dans le garage, alors ce soir j'ai désossée sa base Jaune à chenilles perso en alu pour ré équiper l'auto grue à tour.

Quand aux éléments de flèche à treillage si ça intéresse des modélistes ?

Déjà quand je suis venu en Savoie j'avais démonté son support de grue portuaire auto moteur en alu, parce que prenant trop de place.

De fait je récupère de nombreux moto réducteurs débrayables de fabrication maison et des RB 35 classiques, et d'autres plus petits de ce qui se faisait il y a 10 ans.

J'ai montée les chaines et patins à la maison pour étudier de nouveaux patins adaptés à la base de la grue à tour, au vu de ceux ci, assez artisanaux et mal foutus je penses en refaire deux autres en tôles d'acier brasées incluant les motos réducteurs commandé à BG.





La bouteille d'eau d'un litre et demi est la pour montrer la taille.

Ces chenilles ont été fabriquées alors que je résidait encore dans les monts du lyonnais, composées de maillons alu fraisés à partir de barres d'alu de 15x5 par bouts de 30 cm, bien sur travaux longs et fastidieux, à cette époque 2008/20010 j'en ai fabriqué 15 mètres linéaires. Pour moi et d'autres comme Christopher pour son PR 764.

Les tuiles étant constituées de cornières alu refendues pour en faire des tuiles à un crampon, puis vissés comme celles ci sur les maillons.

Pour ces chaines la, ça été plus facile avec du plat alu de 15x2, vu que ces engins roulent en terrains plats et uniformes.

La chaîne en photo fait 560 de long fermée soit 76 maillons au pas de 16 mais me semble trop longue pour mon projet, de plus les axes sont des vis de 3 dont les filets bouffent les trous, et seront remplacés par des axes de 3 laiton lisses filetés des deux cotés.

Les patins seront certainement à refaire, car incluant les boites rectangulaires des moto réducteurs à vis sans fin.

Chacun des patins monté sur chenilles sera amovible de la base, je récupère les deux barbotins faits de roues en Hostaforme et alu pour axes de 6 des RB 35, mais il me faudra faire du classique avec les butées latérales anti déchenillage.
Déchenillages qui se produisent surtout lors des girations sur place les chaines ayant tendance à sortir des galets de guidage.

En faits montés ces patins ressembleront aux patins classiques des pelles sur chenilles, peut etre un peu plus haut du fait du moto réducteur interne.

Matinée payante de ce Vendredi 4 Janvier, j'ai trouvé pas cher dans une boite industrielle des rondelles GRIFAX qui ressemblent à celle ci sans le chapeau : , pour remplacer les vis posées en guise de charnières sur tous les maillons des chaines.

Ce fut pour ces magnifiques chaines en alu maison la plus belle bétise que je pus faire, utiliser des vis en tant qu'axes, parce que lors des mouvements de chenillages le fait de tourillonner autours des barbotins, les maillons s'usent au contacts des filets des vis, détruisant à la longue les charnières.

Sur cette paire de chaines, qui ont en faits très peu roulées, il n'y a pas encore ces usures, donc il me faut vite remplacer les vis par des axes, et j'ai choisis le laiton de 3 mm.

Débités sur ma tronçonneuse à scie fraise et en butée dans un montage spécial, et en fonction de ce que peut prendre un anneau grifax.

Ces anneaux se grippent en bouts des axes qui dépassent à mon avis de 2 mm de chaque coté des maillons. Soit une longueur de 20 mm pile poil.

Après débit de 150 axes, soit une longueur linéaire de 3500 de rond laiton de 3, ébavurage de la tombée d'un coté, puis fabrication d'un mandrin de prise borgne dans lequel j’enfile chacun des axes libres avec du jeu, et à l'aide d'un outil spécial fait maison, d'enfiler de ce coté une rondelle grifax, montage qui va me permettre de placer mes 150 rondelles de ce coté au 1 dixième près.

Puis après montage sur les maillons de chaîne, le même outil servira à rentrer les autres de l'autre coté.

300 rondelles grifax m'ont coûtées 5 € 0,0166666 centimes et des brouettes pièce, une misère.

Hé oui, je suis encore l'un de ces fous furieux qui se fabrique encore ses chaines d'engins, un grand malade JPG.


Cette après midi vers 15 h 45, descente à l'atelier pour démonter les chenilles :

Vu que les écrous sont collés cyano, il faut les chauffer au rouge au chalumeau pour détruire la colle, puis dévissage avec une dévisseuse sur piles, pour 150 vis et écrous.

Puis fabrication de l'outillage spécifique de tronçonnage, puis de mise en place comme décrit plus haut, et ça fonctionne du tonnerre de Zeus.

Chaque rondelle est sertie sur les 2 mm qui dépassent des maillons, les photos vont suivre.





puis débit de 160 axes laiton de 3 de 20 mm de long, ça s'est fait en 45 minutes environ sur tronçonneuse à scie fraise, qu'il me faut ébavurer, en faits casser la dépouille de la largeur de lame, 1 mm avec une pince coupante fine.



Ma tronçonneuse ne laisse pas de bavures autours des pièces, coupes nettes et franches.

Mes maillons avaient été montés brut de formes, il me faut tous les arrondir légèrement pour qu'en passant sur les barbotins, rien ne force.



Je me suis fait un outil maison pour mettre en place chacun des anneaux GRIFAX, plus le gabarit de longueur pour placer le premier anneau sur chacun des axes.



L'outil à main pour mettre en place les anneaux grifax



Le gabarit de montage d'un anneau grifax d'un coté à bonne longueur.

Le montage est des plus simples, mise en place à blanc des maillons sur l’établis, emmanchés les uns dans les autres, je glisse les axes d'un coté, et sertis la rondelle de l'autre.





Çà va etre monté en deux coups de cuillère à pots.(vieille expression Française qui ne veut rien dire et qu'on place n'importe ou)

Certes petit chantier barbant et répétitif, mais bien préparé dans ma tète, ce fut plus un plaisir qu'une corvée, et puis j'aurais MES chaines MAISON nickel chrome 12 ans après les avoir fabriquées de toutes pièces.

En faits au remontage, vu que les éléments ont été séparés, vu que les axes était de la tige filetée de quelques centièmes inférieur au diamètre de 3, la résultante est du jeu entre tige et trous, et donc les maillons s’alignaient à plat.

Avec un axe de 3 pour des trous de 3, plus aucun jeu n'est perceptible, ainsi donc les tuiles s’avèrent trop larges de 0,5 à 1 mm, donnant au montage ces formes curves intérieures.

Bien heureusement mes tuiles sont vissées à vis TF de 2,5x5 sur les maillons, il me faut donc les démonter pour 150 pièces et les passer en fraiseuse groupées pour les araser par groupe de 10 de 0,5 à 1 mm sur champ.

Tout étant démonté j'en profiterais pour arrondir les maillons au droit des trous de 3, pour éviter tous coincements lors des passages en barbotins.

Certes c'est du boulot en plus, mais j'ai des chaines dont les maillons sont tout à faits valables pour un engin à chenilles se déplaçant sur sols plans. Surtout des tuiles sans crampons parfaitement planes du type grues à chenilles.

Et puis j'attends du matériel de BG ou tecnimodel qui tarde à venir, (Délais postaux) alors autant travailler sur ces améliorations.

En faits de fraisages ça sera du cisaillage:

Fabriquer un gabarit de coupe sous ma cisaille d'établis à levier, une sortes de sabot en acier, soudé arc par deux points sur le bâtis acier de la cisaille, sabot ou je placerais les tuiles à recouper en largeur d'un mm.

C'est qu'il faut bien se rendre compte, que pour tous travaux chiants et répétitifs, il faut trouver des solutions mécaniques rapides, pour ne pas se faire suer.

L'art du serrurier moderne que je suis, est justement de concevoir des gabarits de découpes et de formes, pour duplicater à l'infini ou presque des milliers de pièces identiques.

Ces chaines toutes alu étaient artisanale, par la suite j'ai fait faire sur machine CNC sur acier cette fois des barreaux de maillons tous percés ainsi que des tuiles fraisées par barreaux de 60 cm de long. Qu'il restaient à tronçonner, sur gabarit conformément aux devis et programmes établis.



Petit chantier de montage de chaines de grue à chenilles.

Les modifications des chaines suivent leur cours, cet après midi fabrication d'une micro rectifieuse pour maillons, puis je suis passé au gabarit de cisaillage des tuiles, pointé arc sur la cisaille, 45 minutes de cisaillages intensif et les 150 tuiles sont rectifiées d'un mm en moins.

Bien entendu j'en ai plein les pattes 3 h debout à piétiner.

Un petit verre de bière bien fraîche tirée sur notre nouveaux BeerTender, m'a remis les idées en place.

En mâtiné, mise en place des anneaux Grifax sur tous les axes.



Ma rectifieuse à maillons. Le moteur en 12 v sera relié à un transfo de laboratoire. La queue en arrière est pour la pose d'un contre poids.



150 Tuiles rectifiées par découpe sur cisaille à levier.



Une partie des maillons de gauche rectifiés à la main.



160 axes munis d'une rondelle Grifax.

Après rectification de tous les maillons, remontage de la chêne elle même qui revient à plat après découpe d'une partie des tuiles.

Le montage se fait quasiment à blanc sans serrer les vis, puis montage avec les axes sur la chêne.

Vu que ce sont des éléments assemblés par vissage (comme les vraies) il est plus intéressant de remonter maillons sur maillons, ce qui permet alignement de ceux ci, et orthogonalité, et par retournement de serrer les vis en alignant les pièces.

On peut alors poser les rondelles grifax opposées. Je ne sait comment je me suis débrouillé, j'ai perdu 6 maillons montés en chêne, ce qui va m'obliger à raccourcir chaque chaîne complète de 4 maillons, pas grave en soit vu que les patins ne sont pas encore construits.

De les avoir démontées m'a permis de les rendre plus souples, elles se ferment sans forcer pour les enrouler sur elles mêmes, mais en plus épousent un arc concave extérieur du à leur jeux entre tuiles.

Continuation donc sur le montage des chaines maillons après maillon.

72 éléments par chaîne, une de montée et terminée, reste à faire l'autre.

L'autre est montée et ajustée.

Mais il me manque toujours 6 maillons montés sur axes, puisque au démontages 74 maillons composaient une chaîne, et impossible de mettre la main dessus, ou les ais je mis ? Mystères et boules de gommes.

Si je ne les retrouves pas ou trop tard elles me serviront de pièces de rechange.

Je part donc sur 72 maillons par chaîne. je dispose de mes deux barbotins, et le diamètre des roues portantes sur le plat des chaines est de 46 mm et son épaisseur est de 9,5 tuile comprise donc un diamètre sur barbotins de 65 sur tuiles.

Pour les galets porteurs il m'en faut 8 en mode liebherr comme des bobines de fils, englobants maillons et axes et servant de guides anti déchenillage. Je part sur du rond alu de 25, 6 mm de profondeur de bobine, soit 12 au diamètre, soit 13 au roulage, axes de 4 mm, longs de 27 mm, soit une longueur linéaire de 8x2=16 bobinos plus 3 de retour donc 6, pour un total de 22 bobinos de 27 de longs soit 616 mm de long.

Portés par deux plats alu de 3 mm de 60x3 de la longueur linéaire fermés = X.

plat rectifiés sur 58 de large. que je ferais découper propre par mon marchand d'aciers.

Il me faut aussi deux roues folles de 60 et d’épaisseurs comme les bobines de 27 mm.

De la cornière alu de 15x15x2 servants de supports au châssis de la grue.

J'ai refermés mes deux chaines, et avec barbotins en place les joues en plats alu de 3 mm font 510 x 58, il faut que je me fasse découper 4 platines à ces dimensions. Les bouts seront arrondis aux diamètres de 58.

Pour les galets je vais les faire en composés, rond alu de 14 cylindrés aux deux bouts à 12 sur 3 mm, pour les galets portants, pour les joues en diamètre 25 longs de 3 mm qui seront percés à 12 et emmanchés de chaque coté des bobinos portants, évitant par la même un monceau de copeaux alu à jeter.

leurs axes seront montés libres en laiton de 4 mm tenus par rondelles grifax.

Les roues folles seront tendues par ressorts de compression, avec un jeu en lumières de 30 de long.

Des entretoise en tube carrés de stock tiendront les deux joues en place de façons rigides tenus par des tirants laiton de 4 filetés aux deux bouts.

Grosso modo je devrais obtenir les même types patins chenillées que NONO la Ramasse.

J'ai commandé par téléphone les 4 platines supports des chaines alu de 3 mm de 58 x 510, je les aurait mardi, de faits quand j'irais les chercher je commanderais le reste, roues folles et barres des galets.

C'est un chantier qui va suivre son cours, en premières réalisations, les deux patins chenillés motorisés, les moto réducteurs boites carrées à vis sans fin, suivra leur mise en place sur le châssis base de la grue, raccordements des moteurs par fiches BEC rouges.

J'aimerais assez que je puisse les monter sur le chantier de l'exposition grace au LTM 1100 rénové.

Une fois montés sur la base de grue, je la coifferais de sa cage télescopique, de ses contre poids de base, et de ses batteries d'autonomie.

A leurs sujet j'ai déjà une batterie 6 v 7 amp, j'en rachèterais une autre identique que je couplerais en série pour faire 12 v, qui seront des compléments de lestage de la base.

Sur la base je devrais avoir aussi une armoire ouvrante pour loger le récepteur des chenilles Taranis X4R, et les deux varios inverseurs., cet ensemble sera donc alimenté par les BEC d'un des varios.

Puis un câble d'alimentation de 12 v devrait etre enroulé sur un bobino à enroulement automatique genre triple mètre ruban, que la cage télescopique déroulerais au fur et à mesure de sa montée, cette alimentation servant à la fois à la tourelle, et à la cage télescopique pour sa montée et le funiculaire de rentré des éléments de grue.

Dans mon principe , la tourelle est vissée en permanence sur la cage télescopique, le montage des 10 éléments permettant d'élever la tourelle à la hauteur maximum, le fil qui alimente la cage passant alors à l’extérieur, puis arrivé tout en haut pénètre dans la tourelle par un trou latéral dans le fut de tourelle, puis par un trou percé dans l'axe du roulement tournant et par un joint électrique à deux contacts pénétrera dans la tourelle permettant des girations à 360° illimitées. J'ai justement le Jack 6,5 récupéré sur la pelle Mécalac qui resservira fort bien.

Tout ce qui précède existe déjà sauf les travaux de base et l'alimentation.

Arrivé en tourelle, transformation de tous les moto réducteurs filoguidés en moto réducteurs radio commandés, le récepteur se plaçant alors en cabine avec les varios inverseurs : Relevage de flèche (A faire le pouliage en mouflages multi brins inenmelables), le treuil de levage, la translation des contre poids annexes, la translation du chariot, le buzzer ou klacson avertisseur sur récepteur Taranis S6R, je puis si j'ai le temps et la patience placer des lignes de leds de couleurs sur l'ensemble flèche, contre flèche, porte flèche, actionnés par PS4. ou simple servo switch.

Reçus ce matin de BG les deux moto réducteurs de type RB 35, donc j'ai le choix de motorisations des chenilles : soit les RB 35, soit les boites carrées.

Il me faut faire un essais avec ces RB 35 sous 12 v pour voir leur vitesses, et comparer avec les boites carrées.

Après essais j'opte en motorisation des chenilles les deux moto réducteurs de type RB 35 reçus hier, moteurs plus coupleux et plus puissants et vitesse plus rapide qui sera tempérée par les vario inverseurs, la grue devrait se déplacer deux fois plus vite que NONO la ramasse.