pelles électro hydrauliques LIEBHERR 964 B

Pour la modif des pompes et réservoirs je vois la chose ainsi:

En fonction de la disposition prise, découpage d'une face des réservoirs par un trou carré ou rond, d'un diamètre permettant le passage du support du filtre fritté, grosso modo un peut plus de 20 mm de diamètre.

Puis confection d'une plaque de montage épaisse en alu comportant sur l'intérieur un fut cylindrique accueillant par vissage le filtre fritté.

Cette pièce comporte donc une collerette plus grande que l'alésage du réservoir, et sur son intérieur un lamage pour un joint torique de grand diamètre.

4 Goujons de M 6 seront alors mis en place sur les parois du réservoir, serrant la collerette et son joint sur le trou du filtre.

Coté pompes JUNG il me semble avoir vu un lamage sur l'aspiration et le refoulement, il suffit donc de plaquer la pompe sur l'axe du trou du filtre avec interposition d'un torique, son maintient étant assuré par deux tirants opposés et une plaque de maintient.

On a de ce fait une aspiration directe de la pompe dans le réservoir en charge au travers du filtre.

Au pis aller on peut remplir le réservoir avec de l'huile merdique, le filtre bloquant toutes impuretés.

Au refoulement en 4x6 on interpose un manomètre, et un Té rigide sur lequel se montera la dérivation de la vanne ouverte au réservoir.

Ces modifications vont entrainer de nouvelles dispositions des éléments en cabine.

Coté batteries, il y a un choix à faire: Certes la présence d'une batterie interne est un gage de mobilité, mais un piquage électrique en dérivation sur inter inverseur et sur batterie ou alimentation extérieure est un gage de longévité de fonctionnement .

Avec tous les ennuis précisés plus haut, l’autonomie batterie interne est faible, mais je pense que si je modifie les conditions d'aspiration des pompes et leurs mode de fonctionnement libres, l’autonomie devrait etre doublée, car en fait cette autonomie est au proratta des efforts collosaux de la pompe à vaincre la contre prèssion que provoque la fermeture des distributeurs.

En fait dans ces nouvelles dispositions, on aura l'avantage de pouvoir positionner l'engin de façon autonome, puis une fois arrivé sur le chantier fixe relayer l'alimentation en extérieur.

Car en fait la consommation des deux moteurs des chenilles ne sont pas extraordinaires, et se contentent très bien de la batterie embarquée.

A Montbrison, malgré la batterie extérieur, et avec les ennuis précisés plus haut, son autonomie à elle aussi à été faible.

Donc la meilleure solution est bien encore l'alimentation stabilisée dans coffrets, outre le fait que trimballer une batterie plomb à électrolyte acide sulfurique est dangereuse, en cas de fuites d'acide.

Le principe reposera sur cette procédure:

En autonomie l'inverseur est basculé sur batterie interne, on met donc en route la réception, et l'on se dirige vers le lieu du chantier.

Arrivé sur place on coupe la réception, on bascule l'inverseur, après avoir branché l'alimentation extérieure, et l'on remet en route la réception.

La on s’installe dans un roking chair pour des travaux d'amplitudes pouvants durer la matinée.

L'idéal étant le fauteuil de simulation, avec tablette pour le pastis et le parasol au dessus de la tète lol.

Mis à parts de ces divers emmerdements, la pelle est agréable à piloter, les creusements sont géant dès le premier godet, à tel point que les bruder doivent se méfier de ne pas tomber au fond du trou.

Les dents sont efficaces, les chargements sont parfaits agrémentés par le nouvel angle de godet et sa forme en auget.

Un tel godet c'est 4 à 5 kg de gravier à la fois, suivant humidité.

Pour le maniement des outils annexes hydro, ceux ci se feront naturellement avec le bras, mais dès l’arrêt des manœuvres de bras les fonctions de pince, rotation ou curage s’arrêtent, la pompe étant arrêtée.

Ci après le diagramme de fonctionnement pour pince à roches:

La pince est supposée posée au sol ouverte.

Mise en route de pompe par relevage de la flèche, de ce fait on peut soit pivoter la pince avec le manche annexe de rotation à droite, soit fermer la pince avec le manche de gauche.

Puis on pivotte la tourelle, la pompe donc s'arrète et toutes fonctions hydro.

Arrivé au dessus de la préhension, il faut nécéssairement ouvrir la pince, et la positionner en rotation, mais aussi la descendre par la flèche et le balancier si ce n'est pas par la fonction godet, donc la pompe est en route.

Notez que dans le système à Pierre on a une marche forcée de la pompe.

On prends donc l'objet et on le serre.

On relève la flèche et on pivote la tourelle, la pompe s’arrête gage de ne pas comme le corbeau lâcher sa proie lol que le renard s'en saisisse.

La on positionne l'objet et on le lâche.

En fait les deux actions hydrauliques secondaires ne commandent pas la mise en route de la pompe, seules les trois fonctions de flèche, balancier et godet le permettent.

En curage, seules les actions des bras permettent l'orientation du curage.

Nos radios sont prévues simples manches, donc 4 manches et 6 fonctions annexes.

L'idéal serait une radio du genre Menzy muck Bruder à commutation de manches, on a ainsi toujours sous la main les manches à postes.

En fait chacun on s’habituera rapidement à ces ergonomies sachant qu'aucun de nous n'est au turbin, obligés à des cadence d'enfer lol et mort de rire. Manquerait plus que ça ?

Cet après midi , je suis passé à la fabrication des buselures raccords de pompes à filtres à placer sur les réservoirs pour prises directes.

J'ai commencé à mettre de coté les fournitures nécessaires pour les distributeurs à envoyer à Jacky, je continuerais le post de mes distributeurs à son intention.

J'ai envoyé à Pierre mes impressions et ressentis de Montbrison, il m'a donc renvoyé les siennes et ses idées hydrauliques sur la question, que j’essaierais.

Je vais donc continuer sur ma lancée et modifier notablement les circuits hydro des deux pelles.

Une précision au sujet des filtres frittés leimbach: le diamètre et pas correspondent aux pas gaz du 1/8 de pouce,(Je crois que je me trompe, j'ai toujours mélangé les pouces et les métriques) soit pour du tuyau de 12x17, j'ai donc fabriquée deux pièces et en prévision une troisième pour Manu, en alu au carré de 45, recoupé à 30 de long, puis cylindré de chaque coté à 22 extérieur.

Coté éxtérieur buse filetée au 1/8, que je tournerais en laiton, alu et aciers ne faisant pas bons ménages, coté électrolytes, ce qui est bizarre c'est que les distris leimbach sont en alu pour le corps et acier pour le boisseau, et mème pas inox ?

Coté intérieur dans le réservoir, la buse de 22 extérieure fait12 mm de long, alésée à 15,5, elle sera taraudée à 17 au pouce, pour visser ces filtres frittées déjà préparés au montage.

La collerette carrée sera percée dans les coins, incluant un torique en périphérie extérieure pour l'étanchéité, dans une gorge.

Le réservoir sera percé à 22/23, puis 4 perçages à M 6x100, pour y placer, et donc à éssayer, par l'intérieur 4 vis tètes rondes de 6 tètes plates enrobées de scelle étanche loctite.

Le torique étant extérieur aux goujons, devras assurer l'étanchéité totale.

Mais j'y penses à l'instant: et l'étanchéité des 4 trous dans la collerette ?

Parfois certaines idées ne sont pas à mettre à exécution, pourquoi dans les montages les goujons sont extérieurs au joint ?

Il ne me reste plus qu'à trouver un taraud au pouce de 17 extérieur.

Ça peut servir en cas de doutes...

http://www.aflury.ch/GetAttachment.axd?attaName=44254a92-7b12-45fd-ac4e-27b7ca290a8d

Ce matin au brico du coin, j'ai achetée une scie cloche de 22, et percé un premier trou sur le réservoir à Dodo.

J'ai fait quelques photos que je placerait après diner.

Il me manque juste le taraud de 17, ça fait cher un taraud à 40 € pour trois taraudages..

Déjà on va gagner de la place, pompe accolée au réservoir, ça donne un ensemble très compact, qui me permettra de mieux redisposer les distributeurs en ligne sur la gauche, en effet il est plus pratique de bosser sur le cul des servos en face ouverte, au moins on voit ce qu'on fait.

Je vais aussi modifier ces plans de tuyauteries par mes propres raccords olive vapeur et du tube cuivre rigide, c'est surtout pour éviter les fuites et que ça soit moins bordélique en cabine.

Pour les récepteurs je vais essayer de les placer en boitiers plastiques au dessus du lot, il y aurait bien un endroit protégé c'est à l'avant droit, sous la marche d’accès au dessus de la carrosserie.

Continuation en après midi sur les modifications hydro en priorité de la pelle à dodo, j'ai récupéré des raccords vissant que m'a donnés Manu, pour en faire des raccords rigides à olives coniques et tubes cuivre de 4x6.

Cette nouvelle forme de distribution me fait changer du tout au tout l'implantation des composants, le fait d'avoir accolé le réservoir à la pompe à supprimé l'emplacement du distri arrière, les deux distri vont donc changer de place, et se situer coté à cotes latéralement à gauche, mais plus en avant.

En fait avec cette nouvelle disposition, chaque distri aura son alimentation et son évacuation, donc tout le volume délivré par la pompe.

Une vanne de décharge à passage direct, un mano de 0à 40 bars, mais tout sera néanmoins démontable.

Je suis allé cherché chez mon fournisseur 1/4 de m2 de toles acier décapée de 1 mm pour la confection des godets de curage.

Manu est passé ce soir avec les tarauds 3/8 de pouces pour les filtres, quelques manomètres de 10 bars, des raccords divers en droits coudés et Té, pour raccordements et un coupe coupe pour la découpe des tubes plastiques.

Demain donc de bonne heure et de bonne humeur, taraudage des trois préparations de pompages en vue du montage interne des filtres à huile.

Grâce aux raccords de Manu j'ai commencé à les modifier en vue de raccordements rigides cuivre de 4x6, et les compléments de matériels permettra du plus jolis travail.

Mais il faut que j'envisage sérieusement la transformation des carénages, l'idéal étant d'avoir une partie fixe, celle ou passe tous les tuyaux hydro, et celle recouvrant tout l'arrière de la machine, car en fait j'avais conçus mes carrosseries en renforts de rigidité de mes plateformes de tourelles.

CA implique des découpes des recouvrements, des assemblages divers, et de nouvelles fixations. Puis une nouvelle couche de peinture sans abimer ce qui a déjà été fait ? Bien heureusement tout est démontable.

J'ai repris ce matin sur la pelle à dodo, Taraudages des alésages des trois filtres intégrés aux réservoirs, et mise en place de celui à dodo.

Mais je me fait suer à présent pour ordonnancer au mieux les deux blocs de distribution.

L'un, celui du godet, balancier et pince, est monté devant, à une hauteur de 20 mm, l'autre perché sur une estrade à 55 mm de haut est creux, ceci pour compenser les différences de hauteurs de la carrosserie, dans le simple but de ne pas trop la charogner.

En fait en sortie de pompe un tube cuivre droit de 4x6 rentre tout droit dans un bloc laiton à plusieurs sorties, c'est en fait ce bloc qui sera la nourrice principale obligée vu la place extrêmement restreinte à ce niveau pompe entrées distributeurs.

Ce bloc distribue donc les deux blocs distris, le mano, et la vanne de secours.

Mais chaque bloc à sa propre évacuation au réservoir.

Ainsi un maximum de liquide arrivera aux distributeurs et au retour de sécurité. Mais en rigide et démontable, une sortes de retour sur la vapeur vive et ses tubes rigides.

.

c'est vraiment des grosses modifs que tu apporte a tes pelles........



bon courage a toi J-P

En faits ce sont des obligations, je ne peut humainement porter sa pelle à dodo si elle ne fonctionne pas bien, c'est le meilleurs moyen de perdre touts crédits et passer pour un charlot.

Mais c'est sur que j'en bave, surtout quand il faut tout refaire.

Ce qui me motive, c'est que ce sont bien deux pelles à modifier, la mienne et la sienne, si je veux que la mienne marche il est impératif que la sienne fonctionne.

Pour Les PR 764 c'est le bull à castro qui avait servis de banc d’essais, pour ces pelles les bancs d’essais ont été faits alternativement.

J'ai menée la sienne en avance sur la mienne, du coup merdes sur merdes.

Si je reprends la mienne, je sais quelles sont les merdes à corriger. Et c'est d'autant plus facile et rapide que j'ai déjà une première éxpérience.

jp je t'ai renvoyer les autocollant sur le mail a josie .

Mais je les ai déjà reçus, ils sont TERRIBLESSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS, un grand merci pour ton travail, j’essaierais de m'en rappeler 'avec ma tète de linotte)

ouai mais tu l'est avait pas avec les signalisation la bonne taille je croit ...
de rien , fait de la pub .
tiens moi au courant sur leur pose etc ...stp

Ce matin, continuation sur les raccordements rigides en sortie de pompe, ça va etre autrement plus jolis que ne l’était ce fourbis de raccordements souples.

Fabrication des cônes de raccordements grâce aux différends raccords fournis par Manu, que j'adapte à ma sauce jpg.

En sortie de pompe le tube rigide de 4x6 cuivre va directement dans une nourrice laiton forée tout exprès, de la partent toutes les désertes vers les périphériques, tous raccords brasés argent 40 %.

Ça fait une installation compacte.

Pour le carénage je vais les couper en deux proprement, juste derrière les tubes, la partie semi fixe va inclure les deux marches droite et gauche et les passages tubulures.

Le reste viendras en recouvrements intérieurs.

Ainsi lors des maintenances juste la partie arrière se démonte, et l'on a accès à tous l'appareillage.

Comme d'habitude je me suis bien emmerdé .................... pour rien, tout ce que j’avais fait en rigide fuyait comme panier percé, j'en suis revenus aux bons vieux raccords à Manu, mais en conservant ma disposition du rigide, avec une nourrice centrale sur quoi tout est raccordé.

A la mise en route, déception la pompe neuve ne donne plus rien.

En fait badabeu jpg, la pompe marche super bien avec des batteries bien chargées ballot ? Mais la vraie solution est l'alimentation stabilisée.

Pour mes essais j'ai remonté le limiteur de débit de sécurité, plus un manomètre de 16 bars.

En fonctionnement normal la pression s'établis à 10 bars, des pointes à 12 bars distributeurs fermés, c'est dire que le limiteur fonctionne super bien et qu'il ne faut pas le supprimer

Mais le pompage direct est efficace. Les mouvements coté rapidité sont acceptables, les vérins de flèche pompent pas mal, donc action unique, mais coté balancier godet on peut faire de la simultanéité.

La coupe des tubes au coupe coupe est efficace et sans bavures.

Malgré ces bons résultats je suis crevé et je me suis beaucoup énervé sur les batteries HS.

Une batterie 12 v 7 amp doit tenir environ moins d'une heure, je pense qu'il faut la réserver pour les translations au sol, mais dès arrivé sur le chantier relayer sur alim extérieure.

Par contre fuite au niveau tourelle indécellable, surtout dans la configuration tout montés, ou il est difficile d'y voir quoi que ce soit.

C'est facheux car ça vide le réservoir en peu de temps

En après midi, découpe de la cabine à dodo en deux, masticages et peinture, de sortes que l'avant englobe le distri avant , le connecteur multiple le moteur de tourelle, les deux varios de chenilles.

La position sera aisée pour mettre en place les tubulures hydrauliques.

La partie arrière viendra à sa suite, le trait de scie n'a enlevé qu'un millimètre, deux tirants supplémentaires l'accrocheront fermement à sa base.

Puis je suis passé sur les crochets des pinces à roches, fabrication du gabarit de perçage, à 3 et 4.

Après ébavurage, et à nouveau collage d'un master papier, mise en blocs de 8 feuilles pour détourage à la fraise, le but étant de fabriquer un élément de croc qui me serve de modèle, pour me permettre le fraisage par blocs de 8 plaquettes assemblées par vissage.

J'aie commandé chez Conrad une alimentation stabilisée 12 v 6/8 amp pour ma pelle, plus tout l’équipement des fils à la patte pour les deux engins, la solution alim éxterne est la meilleure des solutions car généralement la ou l'on creuse il y a du jus.

Dodo si tu me lis tu me diras si tu veux une alim stabilisée identique ? J'en fais déja l'éssais on verras après.?

Pour la partie tournante des pinces, j'aie la photo de la base tournante des grues de cabine.

Celle ci est faite dans un bloc d'alu oblong aux deux extrémités plates.

Par rapport à ces deux plats, un coté arrondis , et un coté carré, c'est sur ce coté carré que sont montés les deux cylindres concomitants , certainement vissés.

Pour mon utilisation ils garderont leurs formes parallélépipédiques, ces formes arrondies sont faites pour laisser passer le pied de vérin de flèche sur la grue.

Quand au fut principal, apparemment en acier comporte sa couronne dentée qu'encadre deux roulements.

La crémaillère est tangente à la couronne, c'est à dire d'un diamètre extérieur inférieur aux roulements.

A la mise en place : la crémaillère flottante et ses deux pistons, on doit certainement visser les deux cylindres à simples effets.

On monte le fut intérieur dit fourreau avec un roulement et la couronne, l'autre roulement se monte par en dessous. De sortes que les deux roulements soient dans des logements.

Pour nos bosses rotatives, je pense souder des collerettes aux cylindres, pour visser ceux ci sur le bloc, j'ai les engrenages et la crémaillère au module 1, il me faut trouver 4 roulements identiques plus grands que la couronne.

Le fut ne sera pas dépassant et non creux non plus, le bloc sera monté sur la bosse de libération, le fut sera monté sur le corps de pince.

Je dispose de blocs d'alu de 50x30 destinés originellement aux distributeurs, qui vont faire parfaitement l'affaire.

Apparemment les pistons sont en 14 d’alésage, je conserverais ces diamètres, autant avoir de la force en rotation.

Merci Jean Jacques pour ces photos, déjà rien que l'image je vois ce que je vais faire, fastoche.

Tient ça me fait penser que j'aie aussi deux grues à faire, quand je ferais ces bases tournantes autant en faire 4, y a qu'à faut qu'on fastoche lol.

Ce matin reprise sur le détourage à la fraise à plonger croqueuse des crocs de pinces, travail assez long, bloc de 17 pièces montées en sandwich, abloquées sur cales à la table de fraisage, cela permet de travailler tout le tour des pinces.

La je travaille en plongeant avec des passes d'un millimètre.

Je pensait conserver le gabarit de perçage des plaquettes, en fait il me serviras à la fois de gabarit de perçages et de formes.

En final j'obtiendrais le profil des crocs de pince, pour ce faire j'ai percé deux trous de 6 correspondants à mes tiges filetées d'ablocage sur le plateau.

La finition ds surfaces planes se fera à la fraise, le reste à la lime.

En fait le plus gros travail ce sont ces crocs, après c'est du mécano, les sommiers recevant les crocs sont déjà faits.

Une fois chaque coté de pince montées sur tiges, certainement filetées brasage des crocs pour faire des mains solides.

Il devrait y avoir du mal de fait en fin de semaine.

Ce soir continuation sur fraisages et découpages en tous genres, mais que c'est durrrrrrrrr l'acier, m'en rappelais plus que c'est si dur.

Et dire que j'en ai encore autant à faire vive l'alu.

Première série de griffes pour une première pince, ça se précise doucement, un sommier de monté et une main en provisoire pour la photo.



Un premier montage à blanc.









Amusez vous déja avec ce premier lot lol et mdr.

En fait sur les deux premières photos, l'axe d'oscillation n'est pas le bon, le véritable c'est celui du milieu.

Celui du haut sont les attaches des vérins, ceux du bas les attaches basses des vérins, les deux barres de synchro sont placée en croix opposées.

Petite course en après midi pour achat de fournitures complémentaires: Disques à tronçonner et à meuler, rondelles de 4, diverses tiges filetées de 3 à 6, quelques baguettes de soudure argent à 60 %.

Je passerais chez Palfinger prendre une doc de la 15000.

Rien que pour ce premier jet j'ai passé quatre disques à tronçonner.

En fait c'est en gorgeant qu'on devient forgeron, dès le départ je m'y suis mal pris:

Abloqués sur la fraiseuse, j'ai pratiquement tout fait en plongeant, pour la deuxième série, je tronçonne ce qui est inutile, puis terminerait au plongeon, à la fraise à plat , à la meule et à la lime.

Effectivement ! Tu es proche de la série !!!
Le soir, tu dois en rêver...

C'est une mini série.

Cet après midi après les courses aux fournitures, taillage à la tronçonneuse des écoins inutiles puis finition sur fraiseuse en plongeant, le tronçonnage à écourté le travail de 2 heures, puis vraies finition à la meule sur étaux.

Puis je suis passé à l'assemblage définitif de la première demi mâchoire, et brasures au brox.

J'ai perdu un temps fou à démonter mon mannequin de montages à base d'écrous et rondelles.

Ci joint photo de cette demi pince, demain cariste et manutentionnaire, je reprendrais jeudi, en fin de semaine les deux pinces devrait être montées sans les vérins.

sacré boulot

comme toujours magnifique et toujours aussi rapide dans l'execution des travaux

ca va etre de belles pinces a sucre pour mon café du matin ( lol )