Construction d'un Tilt Rotator de type ENGCON

Déja, ne pas partir sans outillages, il faut un tour de mécanicien  d'établis, et une fraiseuse d’établis de même capacité.

Et leurs outillages additionnels.



https://www.youtube.com/watch?v=erN5wbb6rSY





L'ensemble est constitué d'un bâtis porteur qui se monte en lieu et place d'un godet de pelle.

En faits on parles de pelles, mais l'appareil peut se monter sur tous engins, comme un élévateur à flèche télescopique, comme le Manitou, ou sur des petits engins comme des tracks.

C'est sur le bâtis porteur que se monte le bloc principal du tilt, celui ci contient le moto réducteur entraînant la roue dentées sur vis sans fin qui supporte l'attache rapide porte outils.



Ce bloc comporte un joint tournant électrique, à plusieurs circuits, pour transmettre l'électricité aux divers serveurs situés en aval de l'attache rapide, Pinces de L' ENGCON, plus des contacts pour les utilisateurs montés sur les outils, tells que barste nous les montre sur ses différentes vidéos.





Le bloc principal porte réducteur est articulé sur le bâtis par un axe longitudinal qui le rends oscillant, son oscillation est commandée soit par un ou deux vérins hydrauliques, soit la encore par micro réducteur à vis sans fin électrique.



La partie tournante de l' Engcon est en faits une attache rapide, un mors en creux et en Vé est ménagée à l'une des extrémités, tandis que la deuxième est située sous l'attache rapide.



Cette entaille est munie d'un sabot appelé verrou, commandés en ouverture par un ressort, et c'est la fermeture des pincettes qui appuient sur un ergot traversant le bâtis des pinces, qui appuie sur le sabot verrou l'obligeant à se refermer sur la barre de l'outil.

Tant que les pinces sont fermées l'outil reste en place, on ne peut donc travailler à la fois avec les pinces et avec l'outil.

Le fait d'ouvrir les pinces libère l'outil.

Ces tilt rotators se doivent d’être compactes, et bien balancés, par ce terme on explique que l'appareil est bien proportionné sous toutes ses coutures.

Le bâtis support se montant sur le bout du balancier, est actionné par le vérin de godet, c'est un montage mécano soudé en laiton, si l'on veux de la solidité, il sera brasé à l'argent à 40 % en baguette enrobées de décapant.

Le bâtis oscillant sera quand à lui en alu AGS de type mécanique, ce bâtis renferme donc dans un alésage outre un roulement à billes, une couronne dentées alliées à une vis sans fin, c'est donc un couple indissociable.

Et dans les bague centrale des roulements sera monté une fusée creuse contenant le joint tournant électrique.

Il faut bien sur que ces deux roulements aient le même diamètre que la roue dentée, dans le bloc oscillant, celui actionné par vérins hydro, il faut que la roue dentée et les deux roulements à billes aient une épaisseur inférieure à l’épaisseur du bâtis, l'ensemble va se retrouver en creux dans ce batis, une rondelle acier aux bons diamètres recouvrira l'ensemble.

Pour éviter tous frottements entre le battis  et l'attache rapide, j'aie placée une butée à billes au bon diamètre enchâssés dans un torique de même épaisseur, ce torique aura un effet de protection de la bague aux salissures.

Le micro moto réducteur sera fixé par un tirant en tige fileté ou grande vis de 1,6 TR traversant le bâtis et reprise sur le devant du réducteur. La vis sans fin sera soudée sur l'axe de sortie du réducteur à l’étain.

On doit pouvoir tout démonter pour réparations, ou entretient, donc soudures parcimonieuses.

Et en dessous sera fixé dessus l'attache rapide qui sera forée pour laisser passer d'une part les fils de contacts des deux moto réducteurs de pinces, mais aussi des contacts additionnels fixés sous l'attache rapide, contacts additionnels sur ressorts qui feront contacts avec les pions de contacts montés sur les outils électriques.

En fournitures il faut une plaque de laiton de 2 mm de 100x100 pour découper le bâtis.

Un bout d'alu AGS de 12 ou 15 mm d’épaisseur, par 50/60 de long et 30 ou 40 de large pour y fraiser le bloc support oscillant.

Un vérin Magom petit modèle à vos dimensions, la course totale est de 30 à 35 mm, cette longueur n'est pas importante car les fins de courses se font naturellement sur la base oscillante.

Un autre plat alu pour l'attache rapide 30x10x50 ou 60 de long

Pour les pinces une plaque d'alu AGS de 2 mm de 150 au carré, dans laquelle on va tailler les deux supports en U supports de l'ensemble, un bout de carré alu AGS de 10x10 de 100 de long pour y découper le bloc d'attache, d'une part des deux U ensemble, d'autres parts la fixation du bâtis de l'attache rapide par vis de M 2,5 ou tige filetée de 2,5 plus écrous.

Une baguette acier doux de 2 mm (Baguettes de soudure autogène des serrurier), pour y couper le picot de commande du verrou.

Le verrou sera taillé dans un bloc laiton de 10 au cube.

Coté moto réducteurs deux moteurs pololu vitesse de sortie la plus faible possible, sachant qu'il existent ces moto réducteurs à vis sans fin en sorties d'axes, en 3 et en 4 mm, on recoupe alors l'éxédent de tige.

Du tube laiton de 6x7 et 5x6, des vis longues de 2x20 et écrous, des vis de 2,5 TFx5 pour la fixation des deux joues en U du bâtis de pinces sur le bloc d'attache.

Il faut aussi un couple roue dentées et vis sans fin, j'ai pris cela en France à L'octant, site sur le net, plus un micro moto réducteur pololu de 10x12 sortie d'axe de 3 mm par 10 de long, taux de réduction au moins 1/100,  1/50 peut convenir, en faits plus le porte outils et lent, meilleure sera la précision des mouvements.

Pas mal de petits travaux tout en finesse, du tournage, du fraisage et de l'ajustage par limes et sciages manuels.

Un plan ? En faits c'est vous qui vous faites votre plan, en fonction de vos fournitures, préconiser un moto réducteur qui ne va pas sur ce montage est absurde.

J'ai donc modifié mes pinces parce que les micro moto réducteurs de 6 mm ont cassés, je préfère de loin ces micro moto réducteurs pololu, bien plus solides que ces ultra micros de 6 mm de diamètre.

Ci dessus, les quelques photos que Steve Barste à eues l'obligeance de me faire passer, pour étayer ce topic.

Je doit construire d'autres tilts rotators, un pour la pelle job, et un pour la pelle liebherr 964 b, je ferais des photos détaillées lors de ces constructions.

Mais les deux micros réducteurs de 6 mm n'ont pas tenus le choc, j'ai été forcé de les remplacer par des micro réducteurs N 20 pololu, de faits j'en ai trouvés à vis sans fin de M 4x70 de 55 mm de long pour la tige filetée que j'aie recoupées à 23 mm de long, ainsi remontés la pince Engcon à retrouvée une double puissance de serrage.


Telle qu'elle la pince n'est pas terminée, un cache autour des réducteurs est nécessaires ça peut etre un tronçon de gaine thermos, par exemple.

Coté tige, un bout de tube de 6x7 collé sur la base vissante du réducteur, ou encore soudée étain.

Pour cela , j'ai achetées des vis de 1,6x4 tètes pozidrive, car je voudrais à termes pouvoir faire ressembler mes nouveaux systèmes à des vérins hydro.

De faits d'avantages de protections du système mécanique réducteurs et vis sans fin.

Du coté joint tournant électrique, celui que j'avais monté se fait des faux contacts dans ses circuits internes, j'ai du le changer et à la place fabriqué un truc artisanal avec un jack de 2,5 sur lequel j'ai enfilés deux bouts de tubes laiton réalésés à 2,5 x 3,l'un en haut avec un fil soudé, l'autre en bas aussi avec son fil, et pour les séparer un bout de gaine thermos bien serré, puis le joint enfilé dans le support et collé colle chaude, et ça à marché du premier coup, parfois ce sont les choses les plus simples qui fonctionnent le mieux.

C'est beau  

Hâte de voir le résultat

Auxis

Mort de rire, tu trouve ça beau ? Beau je ne sait pas, efficace serait le mot le plus appropries.

En faits ce fut la découverte chez BG de ces micro moto réducteurs à vis sans fin, et ils sont géniaux, car parfaitement centrés et concentriques, ils existent en M 4 et en M 3, Et du faits de leurs engrenages acier les rendent relativement costauds, mais il faut les prendre avec un maximum de taux de réduction, on transforme la vitesse moteur en couple à basse vitesse.
De plus les moteurs sont standards dans leurs formes qu'ils soient en 6 ou 12 v donc s'inter changent très facilement.

Le montage à Barste à ceci de génial, c'est qu'il respecte les formes générales de ce qu'il construit, tandis que moi je triche.

Mais si j'en refait, les branches du support seront plus écartées à cause des mouvements réducteurs pinces qui resserrent les moteurs contre la base d'attache rapide du coupleur, ça peut etre gênant pour enfiler les bâtis des outils, car en faits j'ai avancés les axes oscillants des réducteurs sur la face avant.

Avec le montage barste les branches ayant une largeur de 7 mm les ultra micro réducteurs y restent en permanence sans jamais déborder.

Mais j'y ai gagné en puissance de serrage.

Ces petits outils sont faisables pour nous amateurs, mais il faut des machines outils, tours et fraiseuse, et il faut travailler avec circonspection et précision, surtout ne pas se presser synonymes de conneries assurées.

De faits des appareils qui reviennent chers à l'unité vu les temps prohibitifs de fabrication.

Les résultats ? mais j'ai fait une vidéo de fonctionnement sur le topic Mécalac.

celle là quand j'aurai mon tour, elle sera dans la liste des priorités de pièces à fabriquer. par contre c'est la valse dans la fixation des godets. Il semble que chaque constructeur ait son propre système. Les 3 plus fréquents

- le système engcon avec double barre et blocage par un loquet en dessous de la barre
- le système à piston sortant. une barre pour la prise du tilt et l'autre coté verrouillé par 2 axes qui passent dans des trous du bâti de godet
- un système à crochets qui ressemble à l'engcon mais les barres au niveau du godet sont bien plus hautes, le loquet est au dessus et pas en dessous de la barre.

Je ne sais pas quel est le plus simple pour nous modélistes

C'est pas tant une question de simplicité, plus tôt qu'une question de place disponible pour le système d'accrochage.

Sur ces tilts tu a l'axe creux au beau milieu de la semelle qui sert au passage des fils des moteurs de pinces, la seule solution trouvée par Steve, c'est ces canaux en zig zag forés dans les épaisseurs et qu'on ne voit pas.

En faits tu part d'un principe que souvent tu ne peut pas appliquer à tous tes attachements.

Si tu opte pour un verrou coulissant d'avant en arrière, il peut etre commandé par micro réducteur, donc au beau milieu de la semelle, tu conserves alors la barres arrière des godets de l' Engcon, sauf en ce qui concerne la rotation.

Soit un vérin hydro axial, la encore tu est marron tu ne peut placer une rotation de godet.

Ou alors tu fade, au lieu de l' engcon, tu opte pour la rotation sur actuateur rotatif hydro.

ENGCON est une marque, donc des principes que Steve à respectés.

Mais voit la chose différemment : En bout du balancier tu a la plaque actionnée par le vérin de godet ? Si sur cette plaque tu fixe définitivement un actuateur rotatif hydraulique sur 270°, c'est sur son axe de manoeuvre que tu monte une attache rapide, soit électrique soit hydraulique vu que tu à la place de la mettre.

Sur la Huina 580, ils ont placée une attache rapide à micro moto réducteur qui renvoie un guide sur rails et lequel porte une ou deux dents verrous, c'est dire que tu adopte des outils à deux barres parralléles dont l'une s'accroche sur l'arrière de l'attache et l'autre est bloquée par les verrous.

De faits des tas d'outils.

Je ne me suis pas penché sur l'actuateur rotatif en ma possession, et ne l'aie pas encore démonté pour voir comment c'est fait, mais en imaginant que son axe puisse etre foré, de placer un petit joint rotatif électrique à 4 ou 6 conducteurs, pour alors disposer sur son axe d'une attache rapide électrique, puis une semelle de pinces, et encore un autre serveur électrique.

Ceci posé, il semblerait que Steve soit le seul qui ai tenté ces trucs d' Arduino robotique ?

Mais serait tu le suivant ? Qui nous sorte un tel système avec des outils sophistiqués et compliqués complètement intégrés les uns dans les autres ?  Vu que tu doit etre aussi très calé en informatique et tout y canti ? Reste à te former aux usinages et à te rappeler comment tu faisait à l'école, et faire la nique au petit suisse.

je n'ai pas encore eu l'occasion de bosser avec des arduino même si la programmation en C basique n'est ps des plus compliquée. En fait la performance de notre ami helvete vient dans l'exploitation de la télémétrie. il a trouvé un moyen de faire identifier son outil; pour çà c'est pas trop compliqué, on peut même envisager une lecture par empreinte à téton.

la ou c'est fort c'est de réussir à renvoyer çà à la radio par la télémétrie, donc réinterpreter le code de retour de l'outil en un signal de télémétie connu de la taranis. et c'est là que l'arduino entre en jeu.

çà pourrait être un défi pour plus tard, mon principal défi ce sera de faire cette pince engcon et de pouvoir saisir mes godets; et je n'ai pas envie d'adapter la engcon huina. la base ce seront des blocs d'alu et des toles en acier. Je peux éventuellement prévoir l'dentification

Taratata Marc ta priorité c'est l'élévateur Manitou, lol commence pas à imiter JPG qui entame 5 modèles à la fois ? par an .

haha, ma priorité c'est la bruder déja. ensuite y aura le manitou puis la pince, puis la remorque benne, voila je les ai mes projets :p

J'ouvre sur ce topic, la continuité de mes Engcon.

J'avais projeté d'en faire 5 en série, mais mon tort, c'est d'avoir joué sur des innovations au lieu de suivre les principes de celui de Steve en Mécalac, de faits je suis allé au devant de complications sur complications.

Mon principe en tout fraisé n'est pas forcément le meilleurs, il est par contre le plus compliqué, tant en pièces détachées qu'en principes d'assemblages.

Au jour d' aujourd hui 19.10.24, j'aie deux solutions : Continuer à me faire chier sur ceux ci ?

Ou les recommencer en mode Bartste.

En mode Steve, je sait ou je vais, en mode JPG je continue à me battre dans des sables mouvants. Car j'aie achetés des tas de composants en chine, tous disparates les uns les autres et ne s'assemblants pas tous entre eux, un vrais imbroglio.

Mon principe, c'est gros, moche, pas pratique et insoluble pour l'attachement d'outils.

Je reconnais que sur ce coup je me suis planté royalement.

Il me faut absolument reprendre l'appareil monté sur la Mécalac, et suivre ces principes, et en construire moins.

Ahhh, çà me fait plaisir que ce topic reprennes de la vie. La fameuse vidéo de la pince qui prend la batterie, c'était super.

Je suis d'accord avec toi, je sais que tu aimes bien industrialiser les choses, mais peut être que tant que tu n'en a pas au moins un qui fonctionne bien et que tu as donc bien ajusté les cotes, tu devrais faire un prototype. Ensuite si tu veux en avoir 5 tu pourras industrialiser les 4 restants

En informatique on appelle ca un pilote, on déploie une solution, on prend un échantillon de machines ou d'applications qu'on intègre à la solution pour valider que tout fonctionne et ensuite on industrialise en intégrant tout le parc à la solution.

D'ailleurs toi qui est un fan d'hydraulique, des vérins de 8 ou 10 pour la pince et un distri en plus çà te tente pas ? tu t'emmerdes moins qu'avec les micro réducteurs. C'est vrai qu'ils sont minuscules, j'en ai un que j'ai commandé pour tester, il rentre très bien dans un tube de 7*0.5 mais sa fixation reste problématique. En plus c'est pas la place qui manque dans la doosan.

un vérin de 8*1 avec une tige de 3mm sous 10 bars sors 3kg de poussée.

J'ai continué ce matin avec le disponible, je vais essayer d'en faire 3, pour le reste en refaire 2 ou 3 de type Bartste, pour cela j'aie montée la Mécalac.

J'y ai pensé aux vérins hydro, j'en avait Deja fabriqués quelques uns. Dans ce cas je prends du tube d'antennes télescopiques, qui à l'avantage d'etre mince et chromé, pour l'aspect extérieur, tiges de 3,2, joint de tige de 3, quad ring, mais collé Araldite.

Rajouter un distri magom 2 voies j'en ai encore en rab.

Tu as en partie raison pour le pilote.

Moi j'applique mes techniques métallières, quand on présage des séries à venir, on fabrique des gabarits de fabrication et de montages, ainsi, si sur le pilote il y a des loupés irréversibles on dispose des préparations faites en même temps, à force on finit par sortir le proto qui donne satisfaction, alors on parts sur les séries, ainsi pas de pertes de temps.

Dans une boite  avec ponts roulants, j'avais fait un gab de montage pour des grilles à chèdes (cornières en toles pliées placées en chevron, avec un jeu d'air de 1 cm) grillagées anti rongeurs.

Ils en faisaient depuis des lustres pour les super marchés SUMA, mais se brulaient la gueule et les mains à la soudure arc, une grille complete c'était la journée.

Avec mes gab, j'en sortait 5 à 6 par jour, sans me faire chier ni bruler quoi que ce soit, bien sur certains cons ne comprenaient pas et continuaient sur leur lancées, les autres m'empruntait souvent mes gab, tellement ils étaient pratiques, et faisaient comme moi.

Je continue sur mes 3 pièces, en réunissant celles qui vont ensembles.

Mon truc en faits, c'est de faire mes assemblages en vissés., car dès qu'on colle, si une merde se produit, on à plus moyens de rectifier.

De faits des trous par ci par la pour bloquer les roulements en positions.

Un example : les gros roulements guides des canons laiton ont été meulés sur leurs bagues extérieures, pour donner du jeu au passage des vis sans fin, il faut donc les bloquer sur une position précise, pour cela j'ai percés des trous de 2 pour tarauder à 2,5, affin de placer des vis sans tètes de 2,5 et bloquer chacun des roulements en deux points diamétralement opposés. De faits des bricoles qui prennent du temps.

Dans la foulée je continu mes avancées de construction pour placer des vis étagées de 3x4x10 achetées il y a longtemps, pour servir de pivots aux brancards sur les soles à roulements.

En faits sur ces soles, je fait deux travaux en même temps.

Mais le plus difficile sera de faire les parties tournantes portes pinces, .car il faudra avant tus assemblages définitifs, ajuster tous les points essentiels.

J'avais prévus des micros réducteurs de 6 mm avec vis de 4 et écrou sur tubes munis en bout d'un téton acier, ce moto est axial, car le canon laiton n'y pénètre qu'à moitié, retenu par 2 vis sans tètes de 2,5 diamétralement opposées, et juste en dessous, une overture oblongue, pour passer les fils des JT, placés dans ces canons, trous placés à la rencontre des canaux forés dans les supports, et la, ça ne sera pas aisé du tout de passer ensembles un écheveau à 6 fils.

Mais en plus, fraiser ces pièces pour accrocher les outils, dont le téton du 6 mm bloquera sa mise en place, d'où la construction de la boite de la Proxxon, car ras le bol d'en foutre de partout de la limaille qui pique.

Le gros morceau reste alors les motos des pinces, permuter leurs moteurs par des N 30, finir les divers fraisages et ajustages, construire définitivement les bielles de manoeuvre des pinces, les assembler à conditions que tous les axes soit orthogonaux.

Assembler bien sur chacune des pinces, les doubles et simples avec un tube d'axe guide de 2x3, et tarauder percer le trou de manoeuvre des bielles.

Comparativement à l' ENGCON mécalac, il y a 10 fois plus de travail.

Ma boite de fraisages nickel, les fraisures contenues, un coup d'aspirateur pour les avaler, et la boite reste nickel. 

Par contre encore une connerie, j'ai fraisé la ou il ne fallait pas : le croc d'accrochage des outils.

Remède : percer à 1,6, 2 trous pour placer des vis de 2 longues, puis mastiquer au mastic 2 composants rapide, attendre le durcissement et re fraiser les surplus, ceci pour renforcer le mastic.

Et pourtant je le savais qu'il fallait faire attention ? Mais , vite vite fraiser pour voir si ça marche ??????

Et les conneries s'enchainent, heureusement que j'ai fait 5 pièces

J'ai renforcées mes bêtises en tige filetée de 2,5 puis mastiquées, durant ce temps je taraude ce que j'aie à faire dans mes 3 lots.

on est pareil, tu fais tout bien... et merde j'ai fraisé ou percé ou il ne fallait pas et niqué ma pièce. Heureusement qu'on est sur du prototype, çà nous permet de noter un gros attention en rouge clignotant et de pas faire 2 fois la connerie (enfin si des fois xD)

Des fois c'est réparable, des fois c'est impossible, la c'était réparable j'aie vue de suite la solution, en faits les 2 vis implantées dans le mastic sont en faits les vrais renforts, le mastic est la pour la cohésion de la réparation et pour tenir le bout du crochet qui serait tombé rendant caduque la réparation.

Penses y en cas de conneries de ce genres, d'implanter clous et vis dans la matière avant masticages. Avec de la soudure c'est pas pareils vu que la soudure remplis les orifices faits par erreur.

Dans la continuité, c'est de fraiser sur le coté ce crochet de préhension qui est la face arrière, à l'opposé des pincettes, la ou le forage débouche pour alimenter le micro réducteur.

Devant la ou sont les pinces, j'aie fraisée en transversale une rainure de 3 mm, la ou l'outil avec un attachement spécial viendra s'y poser, sa clanche sera un bout d'acier de 2 mm rond brasé sur ses pattes, et le bout du canon fileté du micro moteur viendra s"'y crocher verrouillant l'outil.

Le moteur du micro devrait etre coincé dans son logement par papier alu ou feuille de plastique.

Pour l'écrou fileté, pour éviter de tourner sur lui même, je ferais un trou de 1 au bout du canon , la ou est le pitot d'arret de la clanche d'outils qui fera les va et vient de blocage ou de libération, cette tige acier de 1 pénètrera dans une gâche en but du trou de 6 et coulissera dedans. La c'est presque de l'horlogerie, ou micro mécanique d'amateur.

Coté pinces, je ferais un sabot arrondis comme sur la vidéo, lors des prises de pièces rondes, ce sabot sera vissé devant la pièce support, protégeant du meme coup la tige anti rotation, et lui permettant de jouer librement dans son épaisseur.(comme papa dans maman)

Mes réparations mastiquées vissées ont tenues le coup, alors fraisages pour voir sur l'un, les 2 autres vont suivre, puis j'adapte mes fraisages aux conditions de montages, c'est tout au 1/10 près. Certes c'est lent à faire, surtout pour éviter les conneries.

Les derniers fraisages en date :supprimer les ailettes arrières la ou butaient les moteurs N 30, et approfondir le fraisage du canal des fils électriques d'alimentation du micro réducteur, pour éviter de les écraser avec la barre d'accrochage des outils.

Une répétition fraise réglée en profondeur pour les 3 pièces, plus celle de sur profondeur, la, je compte les tours de manivelle. Car les jauges des repérages millimétriques sont aléatoires.

A présent je vais construire les sommiers d'outils qui rentrent dedans : pour 3 godet d excavation, 3 godets de curage, 3 brosses à balais rotatives.

Oui 3 brosses rotatives électriques, des machins en toles arrondies contenant des brosses rondes du genre écouvillons, entrainées par un moteur avec une légère réduction, du genres pignon entrainant une roue de champ, pour placer le moteur verticalement sur l'un des cotés, brosses destinées à nettoyer les chantiers (bonjours les poussières).

Comment les éviter ?

Je puis prévoir dans le carter au fond, une ouverture de passage conduisant sur un aubage lui aussi actionné par moteur du même genre que l'autre, poussières contenues alors dans un sac en tissus poreux à l'air.

Steve en avait construit lui aussi.

Les sommiers seront en plat laiton découpés eux aussi sur fraiseuse, puis brasés aux montages sur gabarit.

En faits mes sommiers rentrent dans les rainures ménagées sous les plats tournants, ceux des pinces, avec des jeux minimes, reprendre alors leurs dimensions sur axes et faire mon gabarit en alu fraisé pour recevoir les joues latérales.

Puis pour les accrochages, en fonction de ce que j'ai à créer, pour les accrocher, la, je nage en plein brouillard, les plans sont dans ma tète.   branlie branlot .

Sommiers qui une fois construits viendront se souder sur les outils, je part sur 10 sommiers, dont un comme gabarit de découpes en blocs de 5 joues, 10 mm à fraiser en laiton autant faire gaffe à la fraise de 3, la seule que j'aie.

Découper des plaquettes rectangulaires dans mon plat laiton de 40x2, de la hauteur des joues, à la tronçonneuse en bas de cave, puis les tracer en vues des découpes (s'il y en à ?).

En faits il n'y a que les trous de 2 ou 2,5 ( en baguettes de soudure arc, débarrassées de leurs enrobages) pour les barres d'accrochage, à moins qu'il me failles rajouter des contres joues pour accrochages, vu que c'est spécial. (suivant travaux Deja exécutés en fraisages). Vu qu'ils auront un devant , et un derrière différends . 

La dessus je vais avancer comme dans la foret brésilienne, avec circonspection.

Désolé Marc d'avoir oublié notre RDV, suis descendu en cave pour faire des débits et fraisages.

Débit des plaquettes des sommiers, débit des consoles du Nooteboom, refendage du tubes support. Prévision du gabarit de soudages.

J'y redescend pour finir le tube à refendre. Je remonte pour 20 h 30 coucher ma reine.

Tu me diras quand tu est dispo ?

Le tube de la Nooteboom à été refendu, reste maintenant à aligner les deux ailes sur 10 mm, je ferais ça sur Proxxon en ouvrant des hublots sur la boite de chaque coté du plateau, en plusieurs prises sur clamps.

Le fraisage de biais des consoles je les ferais en bas sur étau sinus d'angles.

Mais en premier le fraisage en creux du bastaing, à voir au brico le disponible ? Qui correspond le mieux.

Hublots ouverts à la scie cloche de 100, à doubles usages : passage des mains pour manoeuvrer, et passage des barres longues.

Pour fraiser mes U je vais placer dans une rainure des guides fixes de coulissement, puis bloquer mes barres en bouts par clamps.

Mais grace aux guides, commencer par fraiser les abouts, pour pouvoir bloquer la barre sur la longueur à fraiser du plateau.

Comme en bas , pas mal de manipulations et reprises.

Pour le gabarit de soudage j'aie trouvé un petit bloc (chute) dont les dimensions conviennent très bien.

Un premier demi sommier est soudé sur gabarit, impeccable.

Maintenant débiter en bas 10 plaquettes de 20x19x2 qui sera la prise du verrou. à percer d'un trou de 2,5, à un endroit précis.

Le rond du crochet est du laiton de 2,5.

J'aie débitées 10 plaquette frontales, maintenant les braser sur le premier sommier, à l'aide d'un des éléments portes pinces me servant de gabarit.

Une fois toutes mes pièces réalisées, les pointer et percer sur la plaque frontale d'un trou axial de 2 mm et un autre plus bas de 1 mm anti rotation, la centrage avec un foret de 6, puis perçage à 2 (à noter que j'aie aussi un foret de 2,2). Il faut que tous les sommiers soient identiques. Donc travaux de précision avec circonspection.

Pour bien faire, au moins , réalisation d'un godet de tranchées, pour voir les aspects généraux sur chacun des modeles désignés.

Mais les vrais travaux seront la continuité des pièces des appareils.

Certains massifs porteurs des JT ont des difficultés de rentrer les roulements. 

En faits, avec les moto réducteurs actuels, sous 7,4 v c'est très lent, à essayer en 3 S 11,1 v, pour voir la différence.

Vue la lenteur de la rotation, les roulements ne se justifient pas, de plus ils sont trops épais, de plus génent l'action des vis sans fin.

L'idée est donc de les remplacer par du rond laiton, recylindrés pour donner du jeux autours des couronnes dentées.

De ces couronnes dentées j'en ai 3 en laiton, et 5/6 en POM (plastique) ces engrenages viennent de chez Michaud chailly, à moyeux, car ce qui manque sur ceux en laiton c'est un moyeu pour les bloquer sur les canons par vis sans tètes dans culs de poule.

Refaire ces bagues en laiton plus minces en ménageant les moyeux des engrenages en POM, de façons à tout rendre démontables pour ajustages et rectifications.

L'idéal serait que tout soit contenu dans les 15 mm d'épaisseur de ces massifs, ainsi meilleures prises des pièces tournantes porteuses des godets.

Il faut, et c'est impératif, que ces mouvements de rotations soient libres et sans points durs.

La retenue de tout le système de rotation se faisant par bagues et 3 vis de 2x10 TR, contenant aussi le JT à 3 circuits.

Mon truc à venir est donc de modifier mon plan d'actions, pour que tout soit libre et démontables.

C'est seulement à ce prix que mes appareils fonctionneront.

Moralité : Travailler lentement et bien jauger les travaux à faire.

Hier soir, séances de brasures des ronds sur les joues, encore 3 à faire, et je passerais sur les platines d'avant. Ca va relativement vite.

Puis brasure des plaquettes avant qui s'est fait en 15 minutes en me servant du support non abimé par fraisage, puis ébavurages et ajustages

Puis il me faudrait aller chez Hyper me faire couper dans du rond tubulaire laiton 6 bagues pour remplacer les roulements. et du rond laiton de 6 pour faire les verrou.