Conversion basique, petit bull Bruder D 5.

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bravo clément
pour un premier projet tu y es bien arrivé et tout seul
alors oui comme tu le dis il y'a un peu de bricolage mais au moins tu peux dire qu'en partant d'un jouet tu en a fais un engin fonctionnel.
de cette experience tu peux déjà te faire une idée sur le fonctionnement d'un engin a chenille et ça c'est déjà bien.
concernant les axes de réducteurs c'est très simple en fait il te suffit de démonter les 4 vis cruci du boitier et celui-ci se sépare en deux parties.il ne faut pas avoir peur,ça ne va pas te sauter au visage
a partir de là,tu as juste a sortir l'axe terminal avec son engrenage laiton qui est serti dessus et le raccourcir si besoin.
je t'invite d'ailleur si tu dois redémonter le boitier de réduction a regarder ce qui le compose et comment sont placés les engrenages,ça pourra te servir pour une futur conversion en brushless.
pour ton servo je vois que tu as encore un peu de place derrière les moteurs,pour mon premier a mes débuts j'avais fais un systeme de cables sous gaine (un peu le principe du frein de vélo) et ça fonctionnait très bien et ça permet de monter le servo loin de la lame tout en contournant le reste.
je comprends tout a fait la joie ressentie lors des premiers essais de son premier engin,c'est toujours un plaisir de voir l'engin prendre vie.je m'en rappelle encore comme si c'etait hier et de plus c'était sur le d5 aussi pour ma part.

Eh bien chapeau, avec rien, ou bite et couteau, lol tu a fait ton premier bruder. Bonne expérience pour voir comment se débrouiller.

On s'aperçoit vite que sans tour, pour la concentricité c'est pas ça.

C'est ce que je disais, toujours commencer sur du bruder, et finir sur du bruder comme moi avec le D 10.

Modifier du bruder, ce n'est pas s'éloigner de l'auto construction métal, c'est appréhender la construction des engins de TP, aux mieux des fournitures disponibles.

Modifier du bruder, c'est se coller un chalenge de réussite : Suis je capable de le modifier au mieux pour tout rendre fonctionnel ?

Le tractopelle JCB.

C'est toujours bien d'alterner métal et plastiques, une sorte de détente devant les difficultés du métal, et puis du Bruder, ce sont de très beaux modèles de TP.

Je l'avais modifié avec les deux moto réducteurs à carters noirs en plastique équipant la grue du camion militaire les deux en push pull, tout comme le D10 avec deux RB 35, de faits très peut de taillage du plastique de manières a le conserver presque dans son état d'origine.

Je l'ai modifié une seconde fois l'an passée avec encore plus de bonheur avec mes vérins a vis électriques.

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Si, en faits, j'avais été (sur le premier) été obligé de découper le fond de caisse arrière pour aligner les axes de sorties réducteurs, avec les barbotins.

Pour le second, il me semble j'ai utilisé des roues dentées droites pour déporter les mouvements réducteurs.

Oui c'est ça, je l'aie dans les mains, le fond de caisse a deux demi carters crantés, dedans j'ai posé deux engrenages qui se reprennent sur ceux posés sur les axes moteurs, ou ce sont des renvois d'angles plastiques, de sortes que les moto réducteurs sont parallèles et posés sur le fond de caisse.

La lame est relevé par N 20 et vis sans fin, à droite extérieure, et pareils devant pour l'orientation de la lame, N 20 sur vis sans fin.

Ce qui est étonnant, c'est que Greg retarde indéfiniment la fabrication des vérins hydro, ou de ces micro vérins à vis, alors que c'est presque plus facile à faire qu'en hydro.

De faits tout est logé sous le plancher de cabine, sauf la petite lipo en 2 S de 1 amp scotchée sous le capot moteur amovible.

Le palonnier des servos n'est pas toujours l'idéal pour relever une lame.

Mais le petit treuil situé à l'arrière avec renvois d'angle à poulies sous tube et carters est élégante, surtout le palan de lame à plusieurs renvois de réductions.

Sur ce bull D5 2, je puis dire que j'ai presque tout intégré, coté gauche on ne voit que le modèle bruder d'origine, coté droit on voit les micro vérins à vis, qui ne dépareillent pas l'engin.

Pour ce qui est des démontages des moto réducteurs, il ne faut pas hésiter, car s'ils ont été montés, c'est qu'ils peuvent etre démontés, logique non ?

Puis interchanger des éléments : La plusieurs solutions.

La première la plus simple: se trouver des moteurs brushless aux même diamètre d'arbres que celui du moteur brushed d'origine ?

Il faut donc récupérer la vis sans fin montée sur le brushed, soit avec un extracteur maison, comme celui de Greg, ou en acheter un, dont les caractéristiques mécaniques se rapproche le plus du brushed.

Ou encore, couper l'axe du brushed au ras du dessous de la vis sans fin, puis avec un chasse goupilles acier plat et court du diémètre inférieur, chasser l'axe sur un étau, ou au dessus d'un canon acier percé d'un trou au diamètre supérieur de la vis sans fin.

Si le brushless à un axe de diamètre équivalent, le rayer pour y faire des accrochages, et enfiler dessus avec une goute de colle cyanoacrylate, la vis sans fin. et laisser durcir la colle une journée, ou l'arroser avec une bombe d'accélérateur de prise (A base d'eau).

Si le brushless choisis n'a pas le même diamètre d'arbre, il faut démonter son axe et le re cylindrer au tour, à conditions d'en posséder un ?

La première solution se passe du tour, recherche sur le net chez les fournisseurs des brushless idéaux.

C'est rien a faire, mais ça te sauve la mise.

Je fait ces échanges depuis 2006, remplacer les moteurs des réducteurs RB 35 par des gros moteurs brushed 540, de diamètres d'axes équivalents, récupérer les pignons moteurs et les recoller sur les 540.

Qu'est ce que tu craint ? Bousiller les pièces ? Tu les a trouvées ? Donc remplaçables. Les RB 35 c'est ce qu'on trouvais chez Conrad avant que les Chinois nous vendent leurs fournitures (d'ailleurs fabriqués en Chine, et vendus de 2 à 3 fois plus chers en France).

Mais un RB ce sont des engrenages moulés dans une matière à base d'alu et d'acier donc usables et cassables, avec au départ des modules minuscules se finissant autours de l'axe de sortie au 0,7, ce qui les rendaient fragiles, si utilisés au dela de leurs capacités ? et ce sont des réducteurs a engrenages droits.

La plus belle fille du monde, ne peut donner (nue) que ce qu'elle a .

Les réducteurs a vis sans fin, sont faits  des même matières, ou en laiton usinés, et entrainés différemment, au départ, vis sans fin sur roue de champ pour vis sans fin, puis des engrenages de réduction aux modules croissants droits, pour se terminer au module 1, donc bien plus coupleux.

Il te faut faire le distinguo entre tous les systèmes de réductions aux départs des moteurs, croissants en modules jusqu'en sortie, et de la qualité des engrenages, pour cela, seule solution : les démonter et voir comment ils sont faits, et les remonter à l'identique.

Les vis sans fin au départ moteur sur roue de champs laiton sont plus coupleux et solides que le pignon droit moteur, pourquoi ?

La vis sans fin tourne rapidement autours de sa roues en lui présentant pas mal de matières en contact, d'où un couple supérieur, qui va en augmentant vers la sortie.

Tandis que des engrenages droits minuscules ne présentent que 1 ou deux dents aux regards des roues croissantes en modules et ont un couple plus faibles.

Et puis il faut toujours savoir ce que tu veux faire avec un réducteur ?

Le faire travailler normalement ? Ou le faire forcer comme un bourricot ?

Le premier cas est meilleurs que le second.

Toujours les mèmes problèmes que la plus belle fille ??????????????????????

Ce sont des modèles réduits que tu construit, mais travaillant les mèmes matières que les engins réels ????

Si la terre est dure pour un gros bull, elle sera encore plus dure pour un modéle réduit.

Alors, soit tu veux casser ton jouet, ou tu veux le conserver longtemps ?

Pour se faire tu prépare des matériaux a son échelle, l'important n'est pas qu'il déplace des tonnes, mais qu'il paraisse déplacer des tonnes (à son échelle).

C'est comme le charbon pour un bateau à vapeur ?

Le charbon sera toujours le charbon quel que soit les échelles.

Avec une loco de 300 tonnes on ne va pas lui donner a bruler des blocs de 30 kg, mais des portions a sa taille.

Pour le modèle réduit, on lui concassera les blocs.

Mais la combustion du charbon sera la même, Très violente, donnant beaucoup de calories.

La chaudière sera alors construite en conséquence pour ce type de combustible.

Si traitées maquette exacte, elle sera brulée à la première chauffe et fichue.

Si au contraire traitée a sa taille fera un usage de plusieurs dizaines d'années.

Sur une vraie loco, il y a plus de 200 tubes a fumés de 80x86 par exemple en cuivre, pour un modèle réduit, on se repère sur l'échelle, disons le 1/20 ?

On divise donc le diamètre de 80 par 20 et ça donne 4 mm de diamètre intérieur de tubes, et 86 : 20 = 4,3 extérieur, soit 1,5 dixième d'épaisseur de parois, u e flambée et hop le tube disparait, et la chaudière est fichue, alors on construit différemment, 3 ou 4 tubes de cuivre de 12x14 et la chaudière donnera un excellent rendement évaporatoire durant une vie entière.

Tout est toujours au prorata des échelles de réductions ?

Extérieurement on traite maquette, intérieurement on traite modèle réduit.

Voici ce que fait un gars en Amérique avec son bull D 4 et un drone ?

https://youtu.be/gmGs8_XxEzQ

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Pas mal tout ça, tu t'est bien démerdé avec rien.

Pour les tours, que ceux ci comportent des appareils à fileter ne nous intéressent pas vraiment.

Faire des filetages au tour , est pratique quand tu veux faire par exemple des couvercles vissés sur une boite de grand diamètre, ou pour faire des filets américains ou anglais.

Pour nous, les filetages vont du 2 mm en diamètre au 14 grand maximum.

Donc pour moi l'aspect appareil a fileter est uniquement un argument de vente.

Sur le tour du club ferroviaire que j'avais fondé pour le mini train, il y avait cet appareils, j'ai essayé un jour de faire ce genres de filetage, et ben mon colon, c'etait pas jolis jolis, la tige filetée est partie à la benne.

Moi je l'ai dit je filète au tour avec tarauds et filières du 2 mm au 14, aussi bien en pas iso, withworth, au pouce, ou en métrique fin, et j'obtient plus rapidement et plus facilement tiges filetées et écrous en toutes matières.

Maintenant chacun fera comme il veux, mais faudra pas me reprocher de ne pas t'avoir renseigné.

Pour moi le tour idéal c'est un banc prismatique, 300 entre pointes, hauteur de pointes sur banc à partir de 75 mm et au dessus, un double chariot pour usinages d'angles, appelé petit chariot. Une ouverture de broche de 20 mm intérieure est bien, un variateur de vitesses électronique, un entrainement par courroie trapézoïdale, une contre poupée en cône mors de 2, et une translation d'au moins 50 mm. Le déport latéral pour cônes longs nous est très peu utile.

Coté broche un cône mors de 3, et si possible des attachements frontaux par vis de 6 ou 8 cylindriques a six pans creux.

Pour le tour, il faut mandrin 3 mors concentrique, et 4 mors concentriques, puis 4 mors indépendants, et aussi plateau de bridages. Bien sur pointe fixe en  cône de 3 et coté contre poupée en cône mors de 2.

Il faut un mandrion de serrage soit automatique soit à clé de serrages de 0 à 13.

Si le tour possède des lunettes à suivre et fixes, il faut en prendre.

Les carters de protection sont plus des gènes aux travaux que quelque choses d'utiles.

Et puis le fin du fin, si l'arrière du tour, possède sur son banc fixe d'une semelle usinée pour une colonne de perçages fraisages, il faut par la suite s'en procurer une.

Ne surtout pas confondre avec un combiné tour fraiseuse qui est une véritable salopperies.

Avec la colline jointe, les fraisages seront très limités du fait de la faible course du trainard.

En faits il faut que cette colonne puisse resservir sur une table croisée de la marque avec un plateau de 350 a 400 de long par 150 de large, avec une translation longitudinale de 350x 150.

Mais dans un premier temps la colonne de perçages fraisages permet des perçages précis en pinces ou en mandrins de 0 à 20 mm, et des fraisages de petites pièces avec faibles translations.

Elle aussi sur vario de vitesse et courroies crantée sans fusible en plastique d'entrainement.

Mes conseils sont des conseils de pro, et pas de bricolos.

Si le gars conseillé achète n'importes quoi, c'est sur qu'il va s'en bouffer les glinches tôt ou tard. Fous trouffez fa drôle fous ?

Pour dire, ce matin usinages des pièces constituant mes électro vérins, que du tournage de précision sur micro pièces laiton, puis des perçages à 2,5 pour tarauder au tour sur taraud à 3 mm.

Du coté des filetages au tour dans le courant pour nos modèles de TP, je ne dépasse guère le 8 mm.

En vapeur vive j'allais à 12 au pas de 100.

Pour faire les filetages des mandrins du petit tour BD j'ai acheté un taraud de 14x100 60 €, parce que ABSOLUMENT nécessaire, mais pas la filière qui serait dans les mèmes prix.

Par après , des filetages plus grands en diamètre sur filières et tarauds demandent des forces colossales. Et pourquoi diantre faire ?

En 14x100 faire des raccords hydro ou vapeur, en faits sur machines en 5 pouces on ne dépasse pas le diamètre 4x5 en conduites de vapeur vive.

Au dela en 7 pouces 1/14 on va se servir des raccords de plomberie en laiton.

Pour dire, actuellement sur mes engins et autres modèles roulants le petit tour me va très bien, parce que pourvus de nombreux accessoires d'attachements.

Quand je faisait du chemin de fer en vapeur vive, il me fallait la puissance de mon 360, le 210 étant réservé aux micros pièces.

Le 360 m'a servi à aléser mes cylindres moteurs sur un diamètre de 48 sur barre d'alésage à grain entre pointes sur montage spécial pour deux cylindres.

Puis pour les gros diamètres il y a moyens de se débrouiller sur fraiseuse. Dans ce cas on fait un montage centré sur plateau diviseur à manivelle, et l'on travaille à la fraise, on peut alors passer des diamètres plus grands que le plateau lui même grace a un support en alu centré telles les viroles des boites a fumés.

Mais bien sur ça implique de posséder une fraiseuse digne de ce nom avec les outils additionnels.

Quand je dit un investissement de 30 000 € c'est pas pour rien, mais sur 20 ans.

Alors, plutôt que d'investir dans un tour pour filetages, autant investir dans plus classique avec des accessoires complémentaires.

J'ai acheté le BD en france, parce qu'avec le port, c'était abordable, puis tous les attachements achetés en chine, à des prix qui n'ont rien à voir aux prix européens., de faits des économies substantielles pour d'autres compléments mécaniques.

Et puis du moment qu'on a les machines, on peut se faire les compléments purement statiques, portes filières, ou par exemple un porte mandrins et plateau à manivelle pour fraisages sur fraiseuse.

Outre que ç'est moins cher, c'est un bon moyen d'apprendre a usiner. Avant même de commencer à bosser sur un modèle.

Je t'engage à lire le topic sur mon bull DN 10, ou il y est questions de tournages de précisions et de taraudages et autres filetages, pas besoin pour cela d'appareil à fileter.

Pour toi, l'idéal serait d'acheter les tarauds et filières à partir de 2 mm.

Si possible en tarauds GUN qui sont spéciaux pour tarauder sur visseuses ils s'utilisent à l'unité.

Pour les filières il te faut du 25,4 en diamètres jusqu'à 10 ou 12, et il te faudra fabriquer ton porte filière en tous métaux a ton choix.

Moi le deal que je te propose, c'est le BD 3, vendu avec mandrin 3 mors, puis chez BG en chine, tu commande un mandrin 4 mors concentrique, je te donnerais les références, un mandrin de perçage pour ce tour en contre poupée qui se visse sur l'attachement, une contre pointe sur roulements, des outils de tour en carrés de 8 jaunes à pastilles de carbure brasées, un petit touret à affuter, avec meule corindon pour acier et diamant pour carbure.

Pour ce tour il n'y a malheureusement pas de mandrins 4 mors indépendants, celui que j'ai est trop gros, c'est un SAN OU chinois de 80, ou chercher parmis les productions européenne  si on en trouve encore, vu que tous ces fournisseurs achètent chinois, et revendent fort cher à 4 fois le prix.

J'en ai trouvé un en alu une chtite merde pas pratique du tout faits pour un micro tour en alu.

Voila au moins pour ton premier départ sur machines, tu n'aura pas dépensés des fortunes, et tu pourra commencer à bosser.

Ca ne t'empêches pas dans quelques années d'en acheter un plus gros en gardant celui ci.

Mon petit D5 à les mèmes maladies que toi Clément, pas assez d'accrochages aux chenilles, dents des barbotins pas assez hautes, il me faut donc les surélever, avec des vis sans tètes de 2 ou 3 mm, en faits il me faudrait des vis de 3x6 de longs, 3 mm de vissage dans le plastique et 2/3 mm d'accrochage.

Ce peut aussi etre des vis de 2 ou de la tige filetée de 2.

Je me met au turbin et je t'en donne les résultats en dynamique.

Ca améliore un tantinet l'accroche des chaines, mais dans mon cas ce sont les engrenages plastiques de transmission qui morflent, les dents sautent parfois les une sur les autres.

Il faut ajuster précis les vis à la meule en tournant les barbotins en ne laissant qu'un mm à dépasser.

De plus sur le relevage j'aie un réducteur nické, deux dents de bouffées sur le N20 de coté sur la couronne finale, il sera a changer et montage d'un fin de courses a diodes.

Et pourtant je ne l'ai pas fait forcer outre mesures, mais un jouet reste un jouet.