Le finisheur routier

Je suit avec le finisseur qui est le complément de la raboteuse.

La encore un engin monté sur chenilles, qui comme la raboteuse peuvent très bien être constituées de mes premières chaines en alu dans ce cas tuiles plates comme celles constituant ma dragline géante. Mais aussi être constitué des patins et chaines Bruder des pelles ?

Un châssis relativement bas tel une pelle, la dessus se greffe un auget récepteur de granulats versés par un camion benne poussé par le finisheur, la encore ça peut être le Bruder non radio commandé, ou juste sa benne hydraulique ?

En fait de camion benne, l'idéal serait de pouvoir débrayer la traction de l'essieu moteur en roue libre ? et c'est fortement possible grâce au système du crabot monté sur l'arbre moteur.

L'idée en faits sur le mini chantier du pont sur rivière, c'est de toujours travailler en montée, et ainsi les pneus du camion sont toujours au contacts du rouleau pousseur du finisseur ?

Coté radios, je vois bien  un pupitre spécial avec radios interchangeables ? La radio mère de chaque engin, rabot ou finisseur, sur lesquels on ajoute au choix celui du camion benne, on a ainsi le contrôle permanent des deux engins à la fois ?

Je reviens au finisseur, l'auget déverse son contenu sur le sol présumé par un tapis roulant du genre ramasseur de fumier à palettes comme dans les fermes, il est ensuite laminé par le finisseur comme un fer à repasser, la hauteur de la couche de goudron sera réglable électriquement.

En faits la encore un modèle exceptionnel dans ses formes mais d'une simplicité biblique.

Coté nombre de voies actives : les propulsions des deux chaines sur mixer de voies, le sens de marche sur inverseur, la hauteur du laminage, le gavage par transporteur à palettes qui peut être couplé sur la mise en marche sous tension du modèle ? et suprême raffinement, le ramassage central des granulats par bords des augets rabattables. la encore une radio 8 voies est nécessaire.

Si je ne voulais pas me casser la tète, les chenilles pourraient bien être des Bruder, car ce modèle ne force pas il doit juste se trimballer à la vitesse d'un escargot, de même que les patins pourraient être d'origine Bruder, ne changeons pas une équipe qui gagne ? Idem pour le type de propulsion sachant que les moto réducteurs seront cachés dans la structure.

En faits la encore un modèle simple mais fortement représentatif de ce que l'on voit sur nos routes ? Avec forces détails structurels juste pour faire jolis.

Mort de rire, enfin des modèles simples sans fioritures, pour s'amuser tranquillement lors des expositions?

Pour ce modèle simple, je voit bien deux patins de pelle Bruder, avec la motorisation habituelle mais avec des moto réducteurs du type Hobbyking plus petits s'ils en ont de réductions plus fortes.

Cette motorisation est imposée par la largeur hors chenilles certainement plus étroite que ces pelles , A vérifier sur pièces PDF ?

Le temps de faire des copies et vérifications je reviens .

admin-jpg a écrit:Pour ce modèle simple, je voit bien deux patins de pelle Bruder, avec la motorisation habituelle mais avec des moto réducteurs du type Hobbyking plus petits s'ils en ont de réductions plus fortes.

Cette motorisation est imposée par la largeur hors chenilles certainement plus étroite que ces pelles , A vérifier sur pièces PDF ?

Le temps de faire des copies et vérifications je reviens .

 Voici selon Jpg le modèle choisis :

Tout à fait Josie, voici ses caractéristiques :

DYNAPAC F 1700C

Largeur de base (je suppose que c'est la cote extérieurs chaines) 1700, ce qui donne au 1/14, 121mm, mais je puis tricher, j'en ai vu de 248 mm de largeur chenilles.

En faits je voudrais garder la largeur des châssis Bruder des pelles ?

Largeur de travail assez variable de 4400 à 3400 car il y a extension hydro et mécanique. soit au 1/14 =4400 maxi=314 mm

épaisseur de pose  maxi 270. au 1/14= 20 mm

Longueur châssis 2060 (en faits sa longueur sera celle du châssis chenilles, plus la partie arrière d'étalement(fer à repasser) soit  147 mm mais le châssis Bruder est bien plus long d'où plus de stabilité de l'engin.

Largeur chaines 260.soit 18 mm lol les chaines Bruder font 30 mm, mais en plastiques peuvent se recouper sur cisailles d'établis grâce à un longeron en butée, mais leur largeur me convient très bien, surtout qu'on les verra que sur la tranche .

Ils précisent entrainement chaines par moto réducteurs à planétaires.

Vitesse de travail de 0 à 32 mètres minute. ce qui donne en vitesse maxi 5 dixième à la seconde, le régulateur de vitesses à intérêts à être à la hauteur ?

Vitesse de transfert sur route 3,80 km /h soit 3800:60= 63 mm minute lol pire qu'un escargot, si déjà 3 mètres minute ça ne sera pas si mal ?

En faits tout va dépendre des motoréducteurs à planétaires de micro visseuses, c'est assez petit au carré 30 mm avec des taux réducteurs de 1/60.

Mais si je ne modifie pas la largeur du châssis Bruder, je puis utiliser les RB 35 bien connus.

Si je me réfère à ma pelle j'ai des RB 35/200 c'est très lent, des RB35/100 c'est deux fois plus rapide, ça sera donc la vitesse de translation sur route, et pour la vitesse de travail, un crantage dans l'émetteur comme pour les gaz avions, avec un cran prononcé pour la vitesse de travail.

Pas d'élargisseur de voie, je travaillerais sur la largeur châssis d'origine, car ces élargisseurs ça complique le transfert des granulats en largeur .

Coté granulat j'avais vu cette matière sur les catalogues conrad pages ferroviaires, je puis aussi faire avec du sable teinté avec de la suie ou autre toner en poudre ?

Du coup il va me falloir refaire le rouleau mono bille vibro de Bruder ?

Le transporteur avant est bien à palettes comme les transports de fumier.

Les deux augets avant sont repliables, bien sur sous vérins hydro.

En faits en tant que version hydro on a les vérins des augets et le relevage de l'épaisseur d'enrobé appliqué, on pourrait rajouter les extensions de voie. au pire 4 voies hydrauliques, surtout pour la véracité du modèle, et ses facilité de mise en œuvre.

Si 4 voies hydro, une 5 em pour la pompe, la sixième et 7 em pour la propulsion la 8 em pou l'inversion de sens de marche.

Le transporteur peut être actionné par inter depuis la cabine, ou mis en marche avec l'ensemble de l'installation.

Cet après midi, j'ai donc commencé mon finisheur, pour cela, base de départ, un châssis de pelle Bruder sur chenilles, que je vais équiper des deux RB 35 200 que j'avais en stock, tout à fait comme nos pelles classiques Bruder.

J'ai donc marouflé les deux barbotins en alu.

J'ai collé le châssis Bruder de façons à découper le dessus, en enlevant le carré supportant le fut de tourelle.

De façon à diminuer la hauteur châssis pour la pose de mes équipements d'étalage du pseudo goudron.

Il y a des fortes chances que je le construise en tôles d'acier brasées brox d'un mm. pour conserver un tant soit peu du poids nécessaire à planifier l'enrobé.

Lol, mon pseudo goudron sera bien de l'enrobé: du sable enrobé d'une teinte de couleur, pas forcément noire, celle ci peut être rouge ?

Jean jacques ? Tu voulais des modèles exceptionnels ? Tu sera servis .

Mon fournisseur promodel m'a donné de la poudre de toner d'une cartouche épuisée, je vais donc tenter l'essais de mélanger du sable fin avec du toner noir ?

Je me doute bien qu'une fois mélangé, ce nouveau pulvérulent doit être tachant ? Autrement dit, à manipuler avec des gants.

Ils peuvent me fournir en toner des trois autres couleurs, Jaune ,  rouge, bleu.

Mort de rire du goudron jaune et bleu une première sur chaussées. Alors que noir et rouges sont courants.

Mort de rire , je vous tient au courant, bzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz.



Pour la chaine du transporteur interne, celui qui refoule le goudron dans la machine, j'ai pensé à de la chaine à rouleaux de 6, par petits éléments raccordés sur les palettes, en faits il ne faut pas beaucoup de ces palettes, tout au plus une huitaine fabriquées spécialement pour se raccorder à la chaine, les entrainements seront alors eux aussi des barbotins taillés pour.

Ces palettes se meuvent sur une base lisse faite en tôle acier ou alu ainsi que leur retour sous cette base pour ne rien accrocher au passage de la structure du châssis chenilles.

Je compte donc sur le poids du fer à repasser arrière, et des limiteurs d'épaisseurs pour étaler et limiter les débordements de matière.

Celle ci sera donc étalée sur une portion de route préalablement  construite et resservant indéfiniment.

En fin de soirée j'ai commencer à tailler dans le gras du châssis, en enlevant le fut de tourelle, le but est de poser après ajustages d'un fond plat à bord relevés en alu vissé collé mastiqué, ceci pour assurer à nouveau la rigidité originelle du châssis chenilles.

Le vide ainsi créé laisse un espace de 110 mm de large suiffant pour véhiculer le "goudron " sous le fer à repasser, la largeur finale ne dépassera pas la largeur extérieure chenilles.

Une fois le convoyeur posé, il faudra que je constitue le caisson moteur , c'est la ou réside tout l'équipement de commande, on le voit entre l'auget réglable et la plateforme de conduite.

Puis la construction des deux augets relevables hydrauliques.

Les deux moteurs des chenilles se retrouveront sur l'avant du modèle, protégés par le plastron avant, le transporteur à palettes ne commençant qu'après.

En faits pour la chaine transporteuse ça sera une chaine galle et roues dentées plastiques pour chaine galle.

La chaine galle est ce type de chaines à maillons fils utilisées surtout par méccano, reprises par Modelcraft chez conrad.

Avantages certains, c'est le raccourcissement rapide de la chaine ou son allongement, du fait de la nature même de la chaine, laiton cadmié ou acier cadmié, possibilité de souder étain voir même brasage argent d'éléments extérieurs telles des barrette de convoyage, puisque chaque maillon se démonte aisément de la chaine.

Les pignons ressemblent plus à des barbotins que des pignons des chaines à rouleaux.

De la constitution même des chaines , celles ci peuvent barboter dans la mélasse, rien dans la constitution chaine roues dentées ne craints des enrayements, ensemble idéal pour des convoyeurs de pondéreux.

Je vais donc attendre ma commande et faire en conséquence.

La chaine fait 1 mètre de long, séparée en deux 50 cm ce qui laisse entre roues moins de 25 cm de long car tout va dépendre du diamètre des roues dentées longueur idéal je pense pour mon système.

Suivant encombrement , le système d'entrainement sera interne au tapis soit externe, mais plus difficile à loger le micro réducteur dans l'un des patins de chenilles, par renvois d'angle, qui peut être à réduction de 1/2.

Pour en utiliser de temps en temps ton systeme est bon  du bon boulot

Merci manitof, mais pour l'heure je ne fait que mon cahier des charges et sélectionne mes fournitures.

Pour la motorisation du transporteur , je me suis dégotté un micro réducteur que je vais monter sur une roue dentée de réduction supplémentaire, car le réducto fait 1/50 il prendra place en avant du tapis entre celui ci et les moteurs de chenilles.

JP c'est comme Fort boyard, toujours plus, haut, toujours plus fort !!!

Quand même un sacret culot de se lancer dans un si beau projet !  

Ca et le rabot ça me tient au cœur depuis la création de ce forum. merci Clément.

Ce sont des engins très minutieux et capricieux à l'échelle 1 autant à conduire qu'à réparer, alors y donner vie à cette échelle c'est vraiment "fou" mais si bon de voir ton futur résultat !!!

Bon courage donc pour la suite !

Clément ? Si tu a bien lu mes préambules, mon engin sera simplifié : certes le tape à l'œil qui fonctionne hydro: les deux augets et le relevage fer à repasser, le tapis à palettes et les chaines de roulements.

Sur un châssis de pelle Bruder, quoi de plus simple ? En faits un engin tape à l'œil qu'on ne voit jamais sur nos mini chantiers ?

Il faut donc tricher: comment veut tu réellement poser de l'enrobé chaud ? Il faut bien tricher et trouver des solutions ?

Pareils pour la raboteuse ? A la rigueur un rouleau qui arrache du styro sur une piste aménagée, une translation, deux directions, des relevages hydro, une direction servos, des tapis roulants d'évacuation. La encore un engin tape à l'œil qu'on ne voit jamais.

Comment veut tu raboter vraiment du goudron ? A ce niveau de durcissement c'est similaire à du béton ? Faut pas rêver ?

A part la photo au début du post, tu as quoi qui t'aide a te lancer sur ce projet ? parce que à part connaitre à fond la machine réelle, je vois pas comment on peut faire.

Au pif lol.

si tu as des questions fonctionnement finisseur tu n'hesite pas

Non mais t'inquiète pas JP j'avais bien compris que tu n'allais pas faire la concurrence à Eurovia ou Colas     

Bon j'ai bien vu des concasseurs à cette échelle qui t'aurai bien "limer" les doigts, mais c'est vrai que là faut bien avouer que ce n'est pas réalisable...

L'effort serait bien trop important !

Mais je voulais dire par là que c'était top de s'attaquer à ces deux engins, car tu l'as dis toi même, on en voit pas du tout sur les diverses expos  

Cet aprèm je me suis occupé de mon engin, par la pose de deux RB35/200 que j'ai récupérés sur des modèles avortés, j'ai fait comme Fabien, un support en U plié en alu mou de 2,9 percé et fraisé, des photos suivent.

Puis mon plombier à coté m'a pliée une tôle d'acier galva de 0,5 mm, pour placer dans le fond du châssis, ce U plié préfigure le plancher réceptacle du Bazard, c'est sur lui que les palettes du transporteur viendront s'appuyer au retour.

Du coup je lui ai demandé la sole sur lequel le tapis circulera ?

Teamtoyota19 a écrit:Bon j'ai bien vu des concasseurs à cette échelle qui t'aurai bien "limer" les doigts, mais c'est vrai que là faut bien avouer que ce n'est pas réalisable...

L'effort serait bien trop important !

Celui-là, je pense qu'il fait plus que te limer les doigts...  

https://youtu.be/VYOFFjyoDp0

Lui, est plus... Perfectionné...

https://youtu.be/0X2Y7tOmlBE

Les photos du siècle :



Un montage tout ce qu'il y a de plus standard.







Ca, c'est la vue en enfilade, la partie jaune c'est ma table de travail, mais on voit que le fut de tourelle n'existe plus, à la place une échancrure pour poser la sole de réception.





La mise en place provisoire de cette sole de base.





La sole prise en enfilade dans son échancrure du châssis, elle y sera fixée par vissage, elle est le châssis vont participer au portage de l'appareillage et superstructures.





Une vue plus resserrée.



Les moteurs constituent l'avant de l'engin, la sole est penchée sur l'arrière, ainsi s'il y a de l'eau elle coulera en arrière engin sur sol horizontal bien sur.





Vue de coté.





Vue latérale avec ce qui préfigure le fond tôlé du tapis transbordeur du goudron lol. C'est sur ce fond que défileront les palettes poussant le matériaux.





Et vue de devant.

Ce qui me fait penser que je me suis trompé de post ? Pas grave je mettrait des photos quand il sera plus évolué.

Mon plombier m'a laissé la chute de tôle, super pour tout découper dedans, surtout que certains éléments seront brasés.

J'aie reçue la chaine galle, et les roues d'entrainement, je vais pouvoir construire le transporteur à palettes.

J'ai donc séparée en deux parties égale la longueur livrée (1000) qui une fois réassemblées donnent avec les grandes roues, un peu moins que la longueur des chenilles. Mais ce qu'il faut pour pousser le pondéreux en arrière sous le fer à lisser.

Pour les palettes pas hautes, je pensait les faire en laiton, des barrettes carrées de 3 ou 4, à souder étain sur les maillons de la chaine, il faut juste que ces barrettes appuient légèrement sur la tôle du transporteur, ce faisant elles emportent une partie du pondéreux, c'est par la répétition en continu, que le pondéreux finira sous le fer à repasser.

En faits il faudrait que je trouve le moyen mécanique de les monter sur les maillons de chaine, plus que par soudures.

L'avantage de la chaine galle et des roues dentées, c'est que ça ne craint pas de travailler dans la boue.

De faits cet engin est resté à l'état de projet. Et le pire c'est que j'aie les fournitures pour le faire.

Mais les idées me trottent toujours en tète, pour cela j'ai posée la question à tecnimodel qui vendait des petites chaines plus typées TP, et s'il pouvais en avoir plusieurs paires en vue de la fabrication d'une raboteuse.

Le model en question est monté sur 4 pieds tubulaires qui sont en faits des vérins giratoires, assurant la montée et mise à niveau de l'engin, mais aussi sa direction, en bout de chacun des pieds un patin support de chenilles motorisé, un challenge à relever, et Steve m'avais données des idées de motorisation pour le chargeur Volvo C 145, voir ce sujet dans les premières pages ?

Le rabotage aurait été fictif, mais l'engin roulant et son tapis roulant fonctionnel.

Mort de rire, c'est partis mon kiki, les gus se mettent à faire des finisseurs routiers, Bartste commence le premier su un Ammann AFT 400-2, que déjà se présentent les problèmes de transports de "l’enrobé".

Je vais laisser faire, certes c'était déjà l'un de mes projets il y a 8 ans à la création de ce forum, commencé et pas prêt d’être finis.

Coté enrobé j'avais l'idée du Tonner en poudre noire des imprimantes, mélangé à du sable fin, le goudronnage aurait été fictif, mais Steve veut remplacer ses dalles de béton pas jojo de ses routes de jardin, par du mortier, heureusement qu'il y a des spécialistes de ce matériaux à base de ciment qui est une véritable vérole pour toutes sortes de mécanismes.

Certes c'est tentant de vouloir faire des routes de type enrobé noires et de rouler dessus, reste à trouver le pondéreux qui s’étale, se nettoie facilement, surtout dans la machine.

Il parles de transporteur à base de vis d’Archimède, alors la je le dit tout net c'est casse gueule, car pour mon bateau à chauffe au charbon, j'avais fabriqués des Stocker, ou alimentateurs de chaudières, la vis d’Archimède malgré un charbon anthracite finement pulvérisé coinçait en permanence la vis dans le tube transporteur, le tout en acier, la vraie solution fut le piston de poussé du pulvérulent, actionné par un cliquet monté sur la sortie du moteur à vapeur, ce qui me permis de faire un parcourt raisonnable de type Naviga dans un concours réservé aux bateaux à vapeur à Noisy le grand , près Paris.

Le stocker était chargé sur le dessus du tube par une trappe ouverte dans celui ci et au même diamètre, la vis de poussée était de la tige filetée de 6 au pas de 100, car il fallait une progression lente pour charger le charbon en permanence dans la chaudière, et bien sur système parfaitement nettoyable.

S'il veut pouvoir transporter du mortier il faut une chaîne transporteuse et ce sont des palettes à ciel ouvert qui le font avancer, les chaines sont extérieur au bac de transport, et les palettes frottent sur la largeur du bac, et ça, c'est nettoyable, mais pas avec du mortier à base de ciment il faut donc trouver autres choses ?

Ils parlent d'un liant élastique genre élastomère d'enduit de façade. si en peinture dite à l'eau la machine sera nettoyable à l'eau, mais il faut que tout soit en inox pour ne pas rouiller.

https://youtu.be/ahn-SZLmpng



Si l'on comprends bien comment ça fonctionne, il ne faut étaler ce sable qu'à sec, ce qui veut dire que le finisheur doit poser ce sable dans un décaissage du terrain pour bien le contenir, des épaisseurs de 15 à 20 mm devraient etre suffisantes, puis arroser en pluie et laisser durcir un bon mois, le nettoyage du finisheur se faisant alors à l'air comprimée vu que ce sable est sec.

Par contre SAMSE le précise que ce sable polymère n'est pas fait pour des surfaces larges, un sac de 20 kg coute 40 €, donc pas donné. et à poser sous certaines conditions météorologiques.

Alors on peut se poser la question de l'idée de Steve : Faire la préparation d'un mortier léger sable fin tamisé comme pour un enduit et du ciment pour mortier, mais sans eau, donc un pulvérulent sec qui pourra très bien s’étaler par la machine dans un décaissage , avec pose d'un grillage fin en métal déployé, ne restera plus alors qu'à vaporiser de l'eau sur la surface, je dit bien vaporiser et non arroser en douche pour ne pas abîmer le lissé du revêtement.  Le mortier étant humecté et non transformé en béton bien gras durcira rapidement.

D’ailleurs les Maçons quand ils posent des bordures de trottoirs étalent un béton à peine mouillé, celui ci est compact mais non détrempé, mais suffisamment gras pour coller les bordures et durcit rapidement, posé la veille dur le lendemain.

Et donc ce mortier posé par lissage et renforcé dans sa masse par un grillage fera une excellente route. Reste à savoir si ce mortier sec peut se colorer en noir sans altérer ses capacités.

Imaginez si ça réussis, Steve sera obligé de fabriquer aussi une machine pour poser les bandes de circulation sur ses chaussées, RC bien entendu avec lecture lasser pour son alignement.

Mort de rire , une aventure à suivre durant quelques mois.

Quoi qu'il en soit, faut essayer en achetant un sac de ce sable, pas moyens de juger tant que l'assais n'a pas été fait.

Minces des problèmes, pas sortis des auberges le Steve. Mais s'il essaie le truc, alors ça sera SA solution.

Comme les autres , je m'installe et j'observe.

Moi ça serait plutôt la raboteuse Wirtgen qui me ferait de l'oeil, comme le finisheur un engin tout à faits inutile même si comme Steve l'engin aurait été parfaitement fonctionnel avec un vrais rabot à grande vitesse, un truc comme les raboteuses à bois à vous couper, pas le souffle mais les doigts. 

Disons que la raboteuse peut fonctionner fictivement et avoir tous ses organes parfaitement fonctionnels, en sommes s'amuser à faire semblant, pour cela comme stéve j'ai commencé à mettre du matos de coté comme des chenilles.

Et l'idée me vient à l'instant, je dispose de la base chenillée prévue originellement pour la grue télescopique, base déjà motorisée.

Montée avec une base tournante sur roulements donc inutile pour ce que je veux en faire.

Mais en admettant de la laisser en place, et m'en servir de base de départ pour un finisheur maison au mortier sec.

Je puis alors imaginer un engin test : une base chenillée RC pilotable munie sur cette barbette d'une trémie porteuse du mortier sec, à sa base une vanne basculante pour ouvrir la trémie, qui se déverse entre les chenilles dans un auget limitant sa hauteur, l'engin avançant à petite vitesse réglable, étale son mortier sec après pose d'un grillage fin pour le renforcer.

Ne reste plus alors qu'à vaporiser de l'eau pour faire durcir ma route.

Vu que ma trémie est montée sur barbette donc pivotante sur 360 ° possibilité de faire aussi des bordures de trottoirs en parallèle de la route une fois durcie dans des caissons préalablement posé en bordure de route.

La pose d'un joint tournant électrique est indispensable pour faire fonctionner les chenilles, le coffre de la radio serait attenant à la trémie , à l'opposé de l'auget et contenant aussi la source d'anergie électrique, du genres lipo en 2 S, car on a pas besoin d'une extrême vitesse pour un tel engin.

Comme je l'ai déjà dit, un engin de TP est un tas de ferrailles prévus pour effectuer certains travaux bien ciblés, donc un engin de la sortes très spécifique, n'est la maquette de rien du tout, mais un engin construit pour sa tache précise.

Bien sur les grincheux vont commencer à râler.

Je rétorquerais, que si mon principe fonctionne et me faits routes et trottoirs ? pourquoi me faire une vraie maquette de finisheur ?

Vous imaginez si le truc réussis ? La tronche que vont en faire certains ?

Personnellement si je fait une telle machine, c'est pour me faire plaisir vu que comme Steve je n'aie pas de jardin pour exploiter mon FINISHEUR HOME MADE.