BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps

Coté durcissement des résines, je vais attendre encore jusqu'à demain, car si le coté droit du sandwich n'à pas pris, je nettoierais le truc et reviendrait à l'araldite rapide neuve.

Pour ces sandwich, il me faut araser ce qui dépassent en trop des morceaux de pain, puis recourir aux masticages à durcissement rapides, tel le Sintofer de carrosserie. et en final recourir aux limages et ponçages.

A termes ça serait une coque apte à recevoir sa couche de blanc, donc racheter du gelcoat, et voir à mon brico s'ils ont du polyuréthane et des teintes pour résines.

Pour bien faire il me faudrait faire des essais de flottaison chargé finis, pour voir ou j'en suis de sa ligne de flottaison.

Celle que j'imagine doit se situer à hauteur de la partie sous coque arrière, cul posé dans l'eau avec un enfoncement de 5 mm à 1 cm maximum, car sur l'arrière outre la tuyère, l'hélice et la chaise et le tube, il y aurait juste le servo de direction.

Ce qu'il faut prendre en compte, c'est la surface portante de l'arrière de la coque, qui est assez grande suivant la formule d' Archimède; Tout corps plongés dans un liquide, n'est pas remonté au bout de 10 minutes, est considéré comme noyé ?

En faits, tout corps plongés dans un liquide, subit une poussée de bas en haut, proportionnel au volume déplacé.

350x250 =87500x10 (1 cm)= 87,500 cm3, pour la partie arrière qui devrait se prolonger sur l'avant parallèle au niveau du pontage.

Ce sont en faits de sacrés calculs à faire dans un bac aux dimensions connues, et avec un volume d'eau déterminé, et voire de combien de cm le niveau remonte dans le bac lorsque le modèle arrives dans ses lignes d'eau.

Je ne l'ai jamais fait pour aucun modèles, mais à chaque fois je suis retombé dans mes lignes d'eau en rapport avec les machineries installées.

Pas que je soit un génie, mais à chaque fois des coups de pots pas possibles.

Au pire, finis chargé de ses machine et en état de marche que le fond bombé ne descende pas sur ses lignes d'eaux, au pire un savant lestage à coup de gueuses de plombs.

Sur les navires anciens ils lestaient avec des galets trouvés sur les plages à galets, c'est pour cela qu'ils sombraient très rapidement  n'ayant pas de caissons de flottabilité, et étant lourds par lestage.

ouais a l'époque c'etait tout corps plongé dans un liquide qui ne remonte pas à la surface au bout d'1 minute est considéré comme définitivement perdu xD

Et cette histoire de corps plongés dans les liquides me fait penser  celle ci : pourquoi les belges sont souvent au fond des piscines les bras en croix ?

je l'ai déja entendu, mais je me souviens plus de la vanne

par ce que dans le fond !!, ont n'est pas si c..

Pfuitttttttttt, mais tu est belge Pascal ?

Mais je voudrait bien savoir d'ou viennent ces blagues sur les Belges, les blondes , les Juifs ??????????????????

Bon, la résine durcis lentement, ça va me permettre de bosser sur l'élévateur.

ah oui très bon, bravo Pascal. je ne m'en souvenais plus de celle la

Après la douche de madame, finitions sur la quille et le sandwich, arasée ce qui dépasse et ponçages pour voir ou ça en est.

Et ça me plait bien.

La résine est sèche mais poisse encore un peu.

Mais avant de passer le gelcoat, il me faudrait faire des congés d'araldites le long de la quille sur la jointure avec le fond, mais il me faut passer au brico pour en acheter, ça finirait l'étanchéité totale de cette coque. avec l'achat du gelcoat et du polyuréthane et de teintes rouges et noires.

Je disait gelcoat blanc mais en faits autant de suite partir sur du rouge, teinte pour gelcoat, et finalité sur polyuréthane teinté en rouge.

Et comme mes apparaux de propulsion et direction sont démontés, peintures au polyuréthane directement en rouge.

Marc ? Comment supprimer des images sur une micro carte SD ? Celles qui me servent à prendre les clichés sur mon petit appareil GOPRO je n'y arrives pas et elles saturent toutes les deux.

en général les images se trouvent dans le répertoire DCIM sur la carte SD. tu mets la SD dans un adaptateur sur le port USB, dans ton navigateur tu ouvres la carte SD (je ne sais pas la lettre c'est H chez moi), tu vas dans le répertoire DCIM. Il y a peut être un ou plusieurs sous répertoires, tu vas dedans et tu verra la liste des photos. tu n'as plus qu'à sélectionner celles que tu veux effacer et à appuyer sur la touche suppr de ton clavier. pour en sélectionner plusieurs soit tu appuies sur shift et cliques la première et la dernière, soit tu appuies sur la touche ctrl et tu cliques sur chacune des photos. ensuite tu appuies sur suppr, il te met un avertissement "êtes vous sur ?" tu fais oui et çà les effaces

l'autre solution plus chiante, directement sur l'appareil tu passes en lecture et pour chaque photo à retirer, soit tu as un bouton corbeille, soit tu sélectionnes et tu fais effacer. mais çà dépend de l'appareil.

OK mais comment je fait pour l'ouvrir ? Quand je la met dans l'adaptateur il me dit qu'il n'y a pas de photos nouvelles, et c'est tout, je clique sur OK et l'image disparaît sans plus et sans m'ouvrir une autre fenêtre.

Je vais faire des courses au brico et je reviens.

faut l'ouvrir comme un disque dur. Tu cliques sur poste de travail, et tu dois avoir un disque amovible

OK Marc, ça marche, sur la carte 32 méga il y avait 142 photos, j'ai tout viré.

Merci.

Bon coté produits, j'aie du gelcoat blanc, de la teinte rouge et noire, un petit pot de vernis polyuréthane, et deux cartouches d'araldite rapide.

De faits j'ai déjà le fond de pot de gelcoat blanc, avec le nouveau faire une dose pour couvrir la coque, mais teintée en rouge.

Faudra attendre le durcissement pour juger des résultats.

Quand au vernis polyuréthane, lui aussi se teinte dans la masse, une fois durcis, l'aspect de la surface est tendue et très dure.

J'avais fait ainsi la coque de mon second vapeur à chauffe au gaz, appliqué sur recouvrement en résine plus tissus de verre, c'était très solide.

Je m'en servirais si l'aspect du gelcoat ne me donne pas satisfaction.

Par après , pour la bande de flottaison, assez subjective entre une coque équipée mais lège, et une coque en charge, un bandeau de 2 cm de haut environ.



En faits non, des œuvres vives en rouge, flottaison blanche, coque noire, pontages vert structures blanches.

Je vais donc conserver mon fond de pot blanc pour ces détails.

Mais l'intérieur de coque et sous pontages en vert polyuréthane.

Du point de vues accastillages, outre les énormes manches à air (c'est bête j’étais au brico, je ne les ai pas marqués donc pas achetées) des bittes d’amarrages doubles dites chaumards, deux roulettes de renvois, deux  bittes uniques centrales AV AR, plus 4 bittes doubles, deux à l'avant, deux à l'arrière, tout à faire en laiton, plus les feux de navigation vert et rouge sur poste de pilotage et ceux sur le mat indiquant certainement le genre de bateau ?

Sans oublier les deux massif de poussage.

Tu es sur que ce sont des manches à air ? sur le toit ? J'aurai plutôt dit des haut parleur pour que le pousseur guide le capitaine du cargo dans les manœuvres à effectuer pour aider à l'accostage.

Mort de rire, ou a tu lut cela ?

Les fanaux sur le toit sont les feux de position, rouge à gauche , vert à droite. J'ai pas parlé des manches à air.

Les manches a air seront devant le roof et derrière lui participant activement aux refroidissements des moteurs.

Doublement mort de rire, t'y connait que dalle en mini marine ? , des hauts parleurs sur le toit ? Mouarffffffffffffff, pour gueuler les ordres aux matafs, on aura tout vu et entendu, sacré Marc, tu m'a bien fait rigoler.

J'ai appliqué un léger congé de colle Araldite le longs des quilles pour parfaire l’étanchéité, et je ferait pareils à l'intérieur quand celle ci aura durcie, pour ne pas coller au chantier.

Dedans je vais essayer avec ce mastic sinto FER, ou les vides sont plus importants à garnir tel le tube d’étambot, et les vides laissés par la quille elle même.

De toutes façons avec ces produits à durcissement chimique , il me faut prendre du temps.

J'y connais absolument quedal dans ce domaine. Je suis tellement ignorant que j'arrive jamais à savoir si Babord c'est gauche ou droite.

Bâbord tribord ?

Quand tu est dans le bateau, l'avant est devant toi, l'arrière et derrière toi, Bâbord est à gauche , tribord est à droite.

C'est le principe de Batterie : Ba bord gauche  tri bord droite.

et en prime dans tribord  il y a un I tout comme dans droite il y a un I  

je n'avais pas vu sur le modèle d'origine que la quille se prolongeait vers la proue jean paul?
est tu sur de ton coup?
j'aurais tendance a penser que le bateau sera moins manoeuvrable dans cette disposition.

Sur mon premier pousseur ARAMIS en électrique il était ainsi construit, mais maintenant la coque est très vieille, plus de 50 ans et se détruit par séchage des colles.

Bien sur il avait deux tuyères Kort fixes et deux hélices droites gauches maison et deux gouvernails couplés, l'engin était tellement manœuvrable que rien qu'avec l'inversion des moteurs il tournait presque sur place, puis avec l'adjonction des gouvernails il tournait sur lui même, donc l'avancé de la quille ne gêne en rien ses mouvements.

Je penses que cette quille a été montée ainsi pour permettre au bateau lors des carénages de tenir tout seul sur lui même, ainsi faits aucuns risques de basculer sur l'avant et encore moins sur l'arrière, j'avais fait publié ses plans à l’époque dans la revue  : Le modèle réduit de bateau et j'avais obtenus les plans gentiment par les chantiers des sablières Rhône Saône.

Ce bâtiment à été construit en 4 exemplaires, et celui qui m'intéresse navigue toujours a la pousse des barges de sable entre le pont de vaise, et le confluent du Rhône et de la Saône à La Mulatière Lyon bien sur ma ville natale.

Outre le fait de se passer de BER, cette avancée de quille lui permet de mieux conserver sa trajectoire en ligne droite surtout à la pousse des barges.

A une époque j'atais emplyé municipal et mon poste était la piscine du rhone, et un jour l'undes remorqueurs vint accoster le quai du Rhône, j'atait justement la, tu penses un amateur comme moi, le capitaine m'a pris à son bord, lui qui ne poussait pas mais remorquait à contre, il m'a laissée la barre entre le pont de pérrache et le pont pasteur, et ben mon colon, pas facile à barrer à contre, il faut constamment anticiper et donner des petits coups de barre de droite et de gauche.

En poussage c'est différends, la barge si barge unique fait corps avec son pousseur de fait ça fait une très longue péniche, il faut aussi anticiper mais sans donner des coups de barres, anticiper à cause de l'inertie de sa longueur, mais comparativement c'est plus facile à barrer du fait des deux moteurs indépendants, par contre tu ne vire plus sur place mais en t'aidant du courant de la rivière.

Tu imagine le bateau a quai avec sa barge cappellée devant, il déhale, donc décolle du quai, sa barge est en amont, lui en aval.

Il braque à droite en donnant plus de moteur à gauche, la barge oscille au large, il donne alors des deux moteurs pour emmener son équipage au milieu du courant, arrivé la il donne de la barre à droite en conservant de l'erre le courant choppe la barge et lui dirige le nez en aval, une fois arrivé à 45° en aval, il; redonne des moteurs, il vire sans se casser la tète, c'est la flotte qui le tourne, (à lège).

En charge c'est cette fois les moteurs et leur puissances qui donnent le ton, la barge est tellement enfoncée que le courant à du mal à la pousser due aussi au poids du à l'inertie de l'ensemble, mais le capitaine doit redoubler de vigilance à cause de cette inertie, et de ne pas se faire embarquer par le courant.

Faits étonnant, ma maquette malgrés des erreurs dans les dessins de carène avait les mèmes réactions et qualités de manœuvres identique a ses grands frères.

Javais même fait la barge à sable à l’échelle du 1/6 en 5 parties emboîtables, deux avants identiques et 3 puits centraux, je pouvais charger 200 kg de gravier, ou me coucher dedans , (au risques de chavirer) et radio commander mon ensemble, une barge de 3 mètres de long, une sortes de gros kayak .

A lège ça allait très bien pour pousser et manoeuvrer, mais en charge j'étais nettement sous motorisé.

Je me suis servis longtemps de mon pousseur comme récupérateur de bateaux modèles en détresse au large grace à un harnais fait comme une pince de crabe se fermant et se bloquant sur le bateau perdu, et je le ramenais à bon port.

J'ai commencé a faire des bateaux à l'armée marine nationale à Toulon à coté de mon escorteur d’escadre La Bourdonnais ou j’étais pompier de bord 3 em classe et quartier maitre chef 3 galons au poste de combats feux avec 15 mec engagés sous mes ordres. Ce qui les faisaient divinement chier.

J'en connait un sacré rayon en mini marine allant même à la vapeur au charbon.

Pour ce qui est de ma coque, je m'astique, je m'astique. Et ça me fait du bien.

Çà astiquer, on est experts à) va donner un super résultat. Les erreurs de carène ne sont a mon avis pas important du moment sure tu respectes la symétrie. C'est surtout çà qui va faire que ton bateau va à la fois filer droit, mais également ne pas avoir tendance à pencher du côté ou il va chavirer

Vu que j'ai coulée encore un peu de résine polyester dans la fente sous le tube d’étambot, la résine à coulée en trop dans l'arrière de la coque contre le tableau arrière, et bien sur c'est durcis mais ça poisse encore, en faits la résine ressues  ses matières un peu comme de la transpiration, en faits ses liquides, mais qui finissent par durcir à leur tour quelques jours plus tard, et durant ce laps de temps, pas bien possible de manipuler la coque, on s'en fout de partout.

Et puis dans mon village on a recensé des malades du coronavirus, vous allez voir qu'on va etre en quarantaine, calfeutrés chez nous, ce qui est fâcheux quand aux essais de la coque dans l'eau au lac tout proche, voire si elle est étanche ?

Si elle ne l'est pas ça sera surtout du coté du tube d'étambot rapporté., il me faudrait faire alors à l'intérieur une sortes de coffrage parallèle à la quille des deux cotés, et bourrer en mastique sintofer à durcissement rapide.

Ca mastique, et ça colle et ça talque, et le Covid 19 nous visite à plein, avez vous vue qu'a La balme de Sillingy ou j'habite on va bientôt etre mis en quarantaine, le fromager est infecté, il a contaminé sa famille et dimanche passé il a fait bamboula avec 200 personnes aussi infectées.

Ce soir on est passés à la télé chaîne nationale la 2.

Va falloir que je ressorte mon équipement d'homme grenouille pour sortir dehors.

Avec Josie on se confine et on va bouffer des pâtes jusqu'à la saint glin glin.

On est pas dans la merde, écoles administrations, réunions publiques fermées jusqu'au 15 mars.

En faits on va plus crever parce qu'on ne pourra plus prendre nos médicaments, et aussi par ce qu'on aura plus rien à manger, et pas de ce putain de virus de merde.

Et pas mort de rire.