Première Réalisation Bull en métal

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pour connaître les dimensions de tes pignons tu fais une recherche "pignon a chaine o6b ou pas de 9,52" chez Michaud chailly ou tridistribution ou d'autres encore.
de là tu a accés aux descriptifs avec dessins cotés en fonction du nobre de dents choisis.
comme jean-paul l'a dit le mieux avant de faire quoi que ce soit est de recuperer le plus d'infos possibles (relevé sur le bruder mais aussi pdf de l'engin réel puis mise a ton echelle)
ensuite tu dessine déjà ta caisse puis le train de chenilles (la carrosserie tu t'en fou un peu au début puisqu'il te faut déjà une base pour commencer (tu complètera le dessin par la suite)
là tu peux déjà te rendre compte des proportions et voir si quelquechose cloche ou pas et si c'est bon tu as tes mesures pour les pièces a commander (et du premier coup en plus )

pour voir si tu as visé juste ou pas pour les pignons de 15 retrace la caisse que tu as fabriqué sur papier et en prenant les cotes que jean paul t'as donné pour les barbotins trace un train de chenille avec sa chaine et ses tuiles et vois si c'est cohérent,c'est la meilleure façon de savoir

pour les moteurs faut savoir que les descriptions ali sont souvent fausse,il ne faut pas esperer avoir les 10kgs de couple annoncés
les 30rpm sont bien en terme de vitesse pour un engin de ce type (enfin selon ton diametre de barbotin qui jouera sur la vitesse) mais ça c'est une vitesse a vide et il ne faut pas l'oublier donc en charge tu sera plus proche des 25rpm et là tu t'apercevra que c'est limite.
moi j'ai gardé les boites de réduction de 30rpm et j'ai monté des brushless un peu plus rapides que les moteurs charbon d'origine pour arriver dans les 40trs/min a vide mais avec beaucoup plus de couple.
contrairement a ce que tu disais précedement le coup de la conversion n'est pas très élevé (motoréducteur+moteur brushless+ controleur pour les deux cotés = une trentaine d'euros sur ali)
toi tu a payé un motoréducteur 12€ je crois?si c'est ça tu n'as pas du chercher assez   on les trouve entre 5 ou 6 €

Comment j'ai trouvés les diamètres des barbotins ?

Mais mon cher, je me fournis en matières premières chez Michaud chailly depuis plus de 40 ans, en tant que retraité et en tant que professionnel.

A Lyon on a aussi Barret qui est la même chose que michaud, de ces faits je possède tous les catalogues papiers ou ces roues dentées sont référencées avec les cotes nécessaires.

Mais ils ne possèdent pas tout, notamment les chaines de transporteurs à palettes.

Quand je construit un engin je calcule à peut près tout sur mes catalogues, de faits je commande exactement ce qu'il faut.

OK vus de ta superstructure sur ta caisse.

Alors autres précisions, quand on construit, on se base généralement sur du Bruder, parce que faire des caisses, c'est facile, mais faire des cabines hypers détaillées c'est hyper chiant, alors, pourquoi se fatiguer a en faire une, alors que celles de Bruder conviennent très bien.

Toi tu a extrapolé les dimensions, et donc forcement la cabine ne te resservira plus, parce que pas adaptée a ta caisse.

Regardes le bull de Greg  il a récupérée la cabine du track de Bruder (le chargeur à chenilles),  bien plus grosse, et construit sa caisse autours de sa cabine, de faits les 2 s'intègrent facilement.

Puis l'on construit plus en alu qu'en acier, si on le fait, c'est qu'on est conscient des difficultés en plus, et à la fois des facilités que nous apportent le brasage des métaux très fins.

Greg a donc construit sa caisse en panneaux d'alu, assemblés par cornières vissées, pour plusieurs raisons : Il se trompe ? Il démonte et rectifie, et remonte sans dégâts collatéraux. Pour une question de poids relatifs, l'alu est plus léger que l'acier.

Relatif parce que en acier très fin de l'ordre de 0,7 dixièmes, brasés, c'est presque plus léger que de l'alu, mais ?

Mais , un bull n'est pas un avion, il a besoin de poids pour s'accrocher au sol, mais ?

Mais qui dit poids dit aussi puissance motrice, si trop lourd l'engin n'avancera pas, et si en plus les moto réducteurs sont mals proportionnés, l'engin fera du sur place en s'essuyant les pantoufles. lol. Greg en a fait l'expérience vite rectifiée avec des brushless plus petits et plus puissants.

Mort de rire, encore des pages qu'il va falloir comprendre ? Pfuitttt, pas sortis de l'auberge ?

Peut etre, moi ce que je vois, c'est qu'en trois jours tu en aura appris plus qu'en six mois,

Alors ? Ou sont tes intérêts ?

Alors dans un premier temps, on ne va pas s'intéresser à la superstructure, mais à la construction des patins en mode Cantilever, et on fera avec ce que tu a commandé. Et on le construira ce premier bull, à la condition de bien nous suivre et nous écouter, tous écarts sera punis par des coups de pieds au cul et des corrections de trajectoires couteuses et fatigantes.

A bon entendeur, bonne nuit.

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Pour te dire Clément, que ce petit D5, devrait etre traité tel quel.

A mes débuts je l'ai traité RC avec la motorisation des deux chenilles et le relevage de la lame, et il a très bien fonctionné durant des années parce que léger, je l'ai vendu comme d'ailleurs tous mes bruder de débuts, le double billes, la niveleuse, le bull à chenilles caoutchouc, le Merco porte engins que j'ai toujours plus de 25 pelles Cat 322, le dernier dumper Volvo les chargeurs à pneus et à chaines, le tractopelle JCB.

La devise c'est de conserver le plus possible les structures plastiques Bruder, et de radio commander le plus possibles d'actions.

Pour les constructions en métaux, ça part d'une autre façon : Ne pas singer Bruder, mais faire le plus possible se ressembler a ce qui existe, et dans ce cas partir de PDF de modèles hors Bruder, et si le constructeur est talentueux de reproduire le maximum de fonctions radio commandées, Sur les camions un suisse place 32 fonctions sur ses modèles, c'est possible grace aux radios programmables.

Mais en conservant une échelle donnée, lui, construit au 1/15, de ce fait des modèles parfaitement coordonnés.

Ce qui ne l'empêche pas d'avoir des modèles au 1/14 et au 1/16. Son nom : Steve (Bartste) son pseudo. l'acronyme de son prénom et de son nom.

Clément ? Pour toi, Dans la mesure du possible lit tous les nouveaux messages dans tous les topics et toutes les rubriques, car en faits tout est lié, un sujet autre que le tient, peut très bien contenir des informations pour ton propre modèle.

Et je suis d'avis de continuer sur ta lancée avec le déjà fait, même si ça ne sera pas forcément beau, ça te fera une solide expérience des travaux sur métaux.

Tu a mis en place tes deux moto réducteurs ? En faits tu ne va garder que le trou des axes, et tu va reboucher les 8 trous à la soudure.

Pour ce faire tu plaque à l'intérieure de la caisse un bout de tôle alu de 3 qui recouvre les 4 trous des vis, l'alu ne va pas fondre avec la soudure, mais cette toile va permettre aux soudures de rester sur place dans les trous, une fois un peu refroidies tu pique le laitier noir et tu resoude jusqu'à ce que les trous soient remplis.

Puis avec un disque de meule à lamelles tu arase les soudures.

On part sur un pont Cantilever, les axes des réducteurs sont à 6, tandis que les trous , on dit alésages des barbotins sont à 10, et tu me diras à combien tu a percés les trous de passage des axes ?

Ces préambules, pour travailler comme un pro.

Il va s'agir, et en accord avec un tour de mécanicien, d'enfiler un axe en acier étiré de 10 de parts en parts dans la caisse en laissant dépasser de chaque cotés pour y enfiler les deux barbotins. Suivant le diamètre que tu a percé dans la caisse, peut etre faire des bagues d'adaptation ?

Une fois ces bagues et cet axe en place, les roues dentées peuvent se mettre en place.

Et on laisse cela de coté ( A conditions que cette boite soit propre intérieure et extérieure).

On va s'occuper des patins de chenilles oscillants, on va les faire comme mon gros bull, avec deux cornières se chevauchant et vissées, et avec les galets sur boggies, sa roue folle montée sur ressort de tension et son trou arrière de l'axe d'oscillation traversant la caisse (pas celui des barbotins)

Je t'ai fait boucher les trous de fixations car tu remettra tes réducteurs de biais suivant grosso modo la pente du fond, de façon à y faire passer l'axe oscillant de parts en parts.

Reçoit ta chaine mais laisse la de coté avec les attaches rapides.

La suite , c'est d'acheter au brico du coin une barre d'un mètre de cornière alu de 50x25, d'un rond étiré de 6 et un autre de 10.

Parlons du tour, avec lui, car les outils ne sont pas fournis avec aucune machines, il y a dessus un petit mandrin 3 mors a serrage par quilles, il faudra en plus une contre pointe tournante à queue de 6 ou 8, et un mandrin à 4 mors concentriques.

Le tour s'achète en france,  parce que lourd, mais les accessoires en chine parce que pas chers., les temps de voyages ont été très raccourcis ces temps ci malgrés le covid, on peut avoir les fournitures sous 10 jours ce qui est court.

Et puis du moment qu'on a un tour, on se fabriquera des accessoires purement concentriques comme le porte filières au diamètre de 25,4, puis chez un marchand d'outillage un pied a coulisse, c'est pas cher 15 €. Les outils en chine un jeu d'outils en carrés de 8 à pastilles des carbure brasées.

Tu a la perceuse sur colonne, il te faudrait un petit touret pour affuter forets acier et outils de tour, pas cher aussi de provenance chine en diamètre 125.

Et puis le tournage, c'est affaires de précisions et de patience, mais qu'est ce qu'on peut en faire des choses.

Pour en revenir à ton bull, il ne faut pas etre plus royaliste que le roi, et donc tricher de partout. 

Ainsi les patins des chenilles ne sont pas traités maquette mais modèle réduit, constitués de deux cornières recoupées sur la longueur pour faire un U de 50x25 extérieur, ce profilé fait 2 mm d'épaisseur de parois, donc de 25 éxtérieur moins 4 mm il fera 21 intérieur. La, au brico, il faudra se trouver du U alu de 20x20 pour faire les supports des galets de portage sur boggies. Des bouts de 20 mm de longs à peut près, percés de deux trous de 3 de parts en parts, tius ces trous se feront sur la perceuse a collonne, mais ils seront tracs de chaques cotés et pointés au pointeau, pour bien centrer le foret de perçage, tius coulages de trous équivalant au rebut de la pièce.

C'est dans ces petits patins que tourillonneront les galets de portage faits eux aussi en alu.

Pour ces galets on part sur du rond alu AG5 mécanique, on en découpe autant que chaque cotés en réclament, suivant la longueur des gros patins, soit entre 6 et 8 galets.

Le BD 3 n'admet en broche que 10 mm de passage, on sera donc obligés de couper tous les galets à la cote intérieure des petits U de 20x20 qui devrait faire 1,5 de parois, donc intérieur 17 mm.

Ces galets seront recouvrant la chaine, autrement dit, tournés comme les bobines de fils à coudre en bois, de cette façon la chaine est parfaitement maintenue en ligne lors des reptations en virages.

Ils seront percés au tour à 4 parce qu'en faits ils tourillonneront sur des manchons de tube laiton de 3x4 qui feront la longueur juste de l'intérieur des petits U. Mais pour ces manchons on va aller plus loin dans la précision : On trouve aux brico des tubes de 2x3, 3x4, 4x5, etc donc des cotes rondes, pas pratiques, tandis que si les galets tourillonnent sur des manchons faits en ronds plein laiton de 4 ou de 5, on aura la possibilité de les percer au tour à 2,5, pour les tarauder à M 3.

De ce fait chacun des galets tourillonne sur du laiton, et alu et laiton font toujours bon ménages, de plus ces manchons seront bloqué dans leurs patins par des vis tètes fraisées de 3x6.

Puis chacun des patins seront percés au centre de la même façon a 5, pour tourillonner dans le grand U fabriqué par assemblages.

Autrement dit, au tour on va fabriquer si 3 patins et 6 galets par cotés, 9 manchons de 5 percés et taraudés à 3 par coté, et donc 18 manchons fabriqués en deux séries, ceux des galets, et ceux des oscillation.

Il te faudra alors acheter un taraud dit GUN, spécial pour taraudages sur machines.

D'ailleurs tous tes tarauds devraient etre GUN. Parce qu'un seul passage suffit, tandis que les autres par 3, il y a l'ébaucheur, l'intermédiaire et le finisseur qu'il faut passer les uns après les autres, c'est long et fastidieux.

Un taraud machine Gun peut se monter sur une visseuse pour tarauder à la main. Il fera un très long usage .

La suite c'est le tendeur du galet dit roue folle.

La roue folle sera aussi en alu, prise dans un rond d' AG5 et taillé comme les galets en bobines.

Mais parlons du profil d'usinages de ces deux roues ?

Que ce soit galets de portage et de retours ou roues folles, leur usinages doivent supporter le genre de chaine que tu veux mettre.

Son diamètre intérieur sera celui de la roue dentée, intérieur des dents.

Le barbotin soutient la chaine par ses rouleaux, ses dents sont taillées de telle sortes qu'il s'enroule sur la chaine sans saccades.

La roue folle devrait elle aussi etre taillée pour rouler sans saccades, elle portera alors sur les rouleaux intérieurs, et non sur les parois vertical des maillons. et l'ensemble de la chaine sera alors guidé par la forme en bobine creuse.

Je te ferais un dessin en coupe de l'usinage de la roue folle.

Sur mes préambules hier, j'avais parlé de lumières ovales sur les cotés avant des patins, ces lumières vont permettre aux roues folles de bouger d'avant en arrière poussées par le ressort de tension intérieur.

En faits de lumières il y en a deux par cotés, une devant ou tourillonne la roue folle, et une derrière qui est le guide en translation du coulisseau de tension.

Ah un truc très important sur le travail au tour : Une pièce concentrique doit etre tournée d'un seul tenant, sans aucun démontages sous peines de pertes de concentricité.

Ca ne le fait pas sur tours neufs, car ses éléments de serrages n'ont pas encore pris du jeux.

La roue folle sera alors sérrée en 3 mors si le diamètre maximum des roues le permet, c'est pourquoi je te fait prendre un mandrin 4 mors a serrage concentrique qui est de plus grand diamètre.

Et contre centrée par la pointe tournante prise dans le mandrin 3 mors porté sur la contre poupée, ainsi bien centrée on peut a l'aise tourner les pièces spéciales sans se les prendre dans la gueule.

Roues folles et galets seront alors tournés et percés sur le tour dans la première prise.

Autre outils indispensable, les pointes a centrer au moins une de 5 sera nécessaire pour tous les travaux notamment les perçages sur le tour.

Enregistre déjà tout cela, et on en reparles.

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Bonjour clement
Je vais essayer de te répondre de mon téléphone.
Concernant la chaîne comme toi je n'avais qu'une attaché rapide donc j'ai procédé par matage comme pour une chaîne de vélo ou moto en fait.
tu meule legerement la tête du dernier axe d'un seul côté puis tu le chasse pour de s'accoupler la chaîne.
Une fois fait tu te retrouve donc avec un maillon à équerre et une équerre.
Tu mets ta chaîne à longueur et tu replace le maillon et son équerre à l'opposé et sur une surface dur qui ne rebondi pas genre étau ou enclume tu frappe les deux têtes pour les déformer un peu(attention de ne pas trop "serrer" ton maillon, il ne doit pas être dur une foi fait)
Bien sur tu serra tributaire de tes équerres donc la longueur définie sera en fonction de ta chaîne nouvellement fermée
Voilà j'espère avoir été assez clair, c'est pas facile à expliquer

Et pour le montage du barbotin j'ai fait comme ton schéma de gauche sauf que je n'ai pas de vis entre barbotin et entretoise.
Tout est monté serrant( très même) et ensuite remontage sur le tour pour corriger les éventuels défauts d'alignement lors du pressage pour que la pièce tourne parfaitement rond.
Ensuite perçage à 6 et perçage puis taraudage à 3 pour la vis de blocage.
Sur mon post tu dois voir lors du montage des brushless une image de l'ensemble monté

En faits pour ces attaches de raccord des deux bouts de la chaine, il vaut mieux utiliser une attache rapide , mais qui se place sur une section neutre sans équerres, d'où peut etre l'intérêt d'avoir des équerres espacées.

Certes la méthode Greg, peut paraitre compliquée, mais plus réaliste dans le raccordement.

C'est vrais que ces chaines à équerres sont prometteuses, les difficultés proviennent des raccordements et des tuiles et demandant pas mal de travail.

A l'opposé les chaines du commerce moulées en alu dur, ne sont pas données, mais plus réalistes, j'en avait achetées 200 maillons pour ma grue à chenilles liebherr 1050, mais trop courtes alors re fraisés 4 maillons dans la masse.

Leurs raccordement ne posant aucun problèmes.

En faits il vaut mieux au départ faire ses calculs de prix de revient :

Acheter (plus ou moins chers ) des maillons tout faits et pas se faire chier à les fabriquer, et donc du temps de gagné.

Ou acheter ces chaines à équerres un certain prix, plus les roues dentées, et tout fabriquer soit même, si bien outillé ?

Ce dernier cas, impose d'acheter une cisailles à levier d'établis, d'etre outillé pour raccorder les chaines, plus la technicité, acheter les profilés faisant office de tuiles, les tronçonner toutes rigoureusement pareilles, les percer sur gabarits, les tarauder et les visser sur la chaine a équerre.

Tout ça prends du temps monnayable que j'avais quantifié à 8 € de l'heure.

(vous travaillez vous à 8 € de l'heure ) Ca m'étonnerais fort.

Combien de temps avez vous mis pour fabriquer vos chaines ?

un exemple de 100 H, à 8 € de l'heure, ça fait 800 € de main d'œuvre, plus fournitures, alors que 200 maillons chez RCBRmin coutent 200 €.

Pour moi il n'y a pas photo finish 700 € d'économisés, on peut s'en payer des maillons moulés.

Bien sur, vous aller me rétorquer que vous ne comptez pas vos heures ?

Je les ai comptées moi a fabriquer mes chaines acier à partir de profilés fraisés sur CNC plus ma M' d'O, 4 € le maillon, plus du double, donc invendable. et des centaines d'heures fatigantes et dangereuses sur des machines avec les doigts presque au contact des outils tranchants.

Et pourtant, je suis super outillé de plus professionnel Métallier.

Même pour mes premières chaines alu, me reste que la fierté de les avoir faites moi même, c'est pas bésef au regard du temps passé et de leur dangerosités.

Et le monde autours ? Qu'en pensera il ?

Il s'en fout royalement.

Puis, au sujet de ces moto réducteurs, la solution du manchonnage de rallonge, est une solution barbuche, car la roue dentées les chaines et leurs montages de tuiles, sont très lourdes, et vont influencer dans le temps les usures des paliers de sortie de l'arbre moteur de 6.

Sur mon PR 764 le premier, les deux barbotins étaient sur un arbre commun traversant la caisse de parts en parts de 10 mm, et munis extérieurement de roues dentées au module 1 de 40 dts, de faits les réducteurs attaquaient ces roues dentées par un petit pignon acier de 10 dts au module 1 sur un ratio de 1/4.

De faits l'axe de sortie des réducteurs planétaires ne supportaient pas tout le poids de ces montages lourds.

Pour ton Bull Clément, on pourrait faire pareils, sachant que les trous percés dans la caisse sont patatoïdes de révolution, et qu'il failles les baguer, si ce n'est de les reboucher comme les autres.

Tu me dit que relever les moto réducteurs est impossible, en faits avec cette solution, c'est tout à faits possible.

On reprends pour etre plus clairs :

Axe commun libre sur paliers soutenant les barbotins, ainsi, ceux ci ont un massif solide dès le départ.

Les patins de chaines sont oscillants sur un axe commun placé en avant de l'axe des barbotins, et passant sous les moto réducteurs.

La liaison des axes moto réducteurs/ axes barbotins peut se faire de différentes façons : soit par engrenages au module 1 en extérieur, mais très salissants, la terre envahissant les dentures.

Soit par engrenages intérieurs dans ce cas ces moto réducteurs à vis sans fin deviennent obsolètes car prenant trop de place avec leurs coffres. Il faut alors leur préférer les moto réducteurs en ligne sur renvois d'angles à 45° en intérieur.

La, on a les immenses possibilités des réductions roue dentées motrice sur plateau denté en réduction sur axe barbotins.

Bien sur ce montage sera fait en fonction de la position de sortie de l'axe barbotins dans le fond de coffre.

Du coté réductions, il faut au préalable savoir le diamètre de barbotin avec chaine montée, ce diamètre nous laisse une certaine longueur de chaine posée au sol, c'est donc sa longueur circonférentielle, je l'avais calculée au pif l'autre soir de 82 mm de diamètre ce qui donne en circonférence 257,48 mm par tour.

Quels seraient alors les chaines de réductions ?

On part arbitrairement du groupe moto réducteur, Greg nous l'a prouvé, les moteurs charbons zéro, reste alors les moteurs Brushless bien plus petits et plus coupleux, à monter sur moto réducteurs en ligne.

On fait ici des calculs empiriques : Admettons des brushless de 1000 KV ce qui est déjà beaucoup, 1000 KV c'est 1000 tours par volt, quels sera le voltage de l'engin ? On peut parler de 11,1 v en 3 S lipo ce qui donne une vitesse à vide moteur de 11,1 x 1000 = 11100 tours minute qu'il va falloir réducter avec un réducteur planétaire, les meilleurs qu'il soit, soit acheté nus sans moteurs, (voir du coté d' Ali Express Chine, soit en récupération sur mini perceuses visseuses Chinoises pas cher, et donc draguer du coté des brico et des super marchés.

L'idéal étant de trouver des mini perceuses visseuses en 6 volts maxi à 10 € pièce, on démonte les deux parties et l'on trouve à l'intérieur un moteur charbons accouplé a un réducteur planétaire à corps en plastique, et en général à deux étages de réduction ce qui leur donne un couple extraordinaire. Ratio de 1/3,3 par étage, donc sur deux étages 1/6,6 de réduction.

En bout du moteur un pignon denté, qu'il faut extraire avec un arrache moyeu, et suivant le diamètre de l'arbre, trouver des brushless au même diamètre, et l'on ré" enfile ce pignon sur l'arbre moteur brushless. La liaison entre moteur et réducteur se faisant par vissage depuis la rosace de centrage du réducteur sur la face avant du moteur.

Voici posé grossièrement comment ça doit etre.

Dans la réalité je travaille différemment, je récupère presque tout dans la machine, je met le moteur de coté ainsi que sa gachette inverseuse et ses accu ni cad.

Le réducteur planétaire à son corps en plastique ainsi que sa rosace d'entrée, tandis que le cylindre denté intérieur est en métal moulé très dur et trempé dur, les engrenages du premier étage en plastique résineuse, et ceux du second étage en métal moulés, les premiers servant de fusibles en cas de vrais gros blocages.

Sur perceuse visseuse gros modèle on a en plus un limiteur de couple de serrage, il se peut que sur les petites ce soit pareils, en faits il faut les acheter simples sans limiteurs de couples, c'est plus simple à démonter.

Si la petite machine se termine par un fourreau en 6 pans intérieurs, tant mieux.

Donc le réducteur planétaire inclue dans sa sortie un arbre épais suivis de ce fourreau qu'il faudra enlever (je penses), les buts étant de récupérer le planétaire et de le modifier à notre sauce.

Dans ces planétaires la couronne dentées est montée libre, on l'enlève, on enleve aussi les deux plateaux d'engrenages, reste alors dans le corps en plastique le canon en acier de type Métafram chargé d'huile, il se chasse assez facilement.

on achète alors du carré alu de 30x30 de la longueur approximative du corps en plastique, et c'est la que le mandrin a 4 mors concentriques devient super utile, on monte le bout de carré AG5 dans le mandrin bien centré, que l'on va aléser pour encastrer légèrement dur, la couronne dentées intérieure, en désafleur de 2 mm.

Dans la lancée on finit l'alésage aux diamètres du canon métafram à deux diamètres.

Chez le fournisseur métaux on aura pris soins de lui demander un bout de carré de 30 pour le couvercle rosace de centrage du moteur ? Note qu'il faut à chaque fois deux ensembles ?

Cette rosace sera elle aussi usinée sur le tour, il faut en tirer un carré bien centré alésé, avec un bossage tourné au diamètre intérieur de l'alésage du carré précédent, il doit rentrer sans jeux, mais frottant, il y sera fixé dans les 4 coins par vis fraisées de 3.

Cette rosace fera alors en épaisseur hors tout 5 mm finie.

Les moteurs brushless out runner sont conçus pour les avions, leurs faces avant ne présentent aucune protubérance de centrage. mais il faudra les centrer parfaitement sur les deux rosaces couvercles des planétaires ? Pour cela, on tourne une rondelle alu au diamètre de l'alésage de sortie de la rosace, et du diamètre de l'arbre de sortie moteur, et on les enfiles les uns sur les autres.

Généralement un brushless se démonte complètement, on procède alors par contre traçages des trous de sa fixation par l'intérieur sur la rosace alu avec une fine aiguille retournée, on trace leurs emplacements sur la rosace.

On démonte et l'on pointe précis les trous au pointeau, et on perce par diamètres successifs pour ne pas couler les trous, en final ce seront des fraisages a faire en dessous de la rosace pour la fixer sur la face avant du moteur.

L'axe de celui ci sera à recouper, il faut qu'au montage le pignon s'engrenne sur les planétaires, mais sans toucher l'étoile de leur support.

Comment est fait la sortie de ces mini perceuse ? Je n'en sait rien du tout, ça sera suivant leurs états.

On a donc un bloc carré alu suivis du moteur, donc un bloc moto réducteur, et suivant sa sortie de préférence un axe lisse sur lequel on va monter un pignon denté d'angle en réduction sur le plateau monté sur l'arbre secondaire, ou directement sur l'arbre barbotins.

Tu va me dire que si tu fait ainsi ce montage l'engin ne pourra pas tourner l'arbre étant commun ?

En faits cet arbre était commun pour la fabrication des patins chenillés leur alignements et leurs centrages, mais en faits il se compose de deux demi arbres imbriqués l'un dans l'autre, comme papa dans maman lol.

L'arbre est de 10 conformément aux diamètres des barbotins donc tres solide.

On en coupe deux longueurs et d'une certaine longueur (qui sera a recouper après usinages )

Au tour, on perce l'un a 6 sur 4 cm de long, puis on tourne sur le second une fusée de 6 de  40 de long, sur cette longueur usinée on fera au milieu un chambrage annulaire de profondeur 1 mm, qui  va servir de blocage en longueur les deux arbres montés l'un dans l'autre, par une vis de pression a contre écrou extérieure de 3 par vis sans tète , cette vis va empêcher les deux demis arbres de se séparer en tournant.

On a donc deux demi arbres qui ne peuvent tourner sur de la tole de 1,5, il leur faut donc des paliers montés sur roulements à billes de 10x26x8, ces deux roulements seront encastré dans des rosaces en alu tirées d'un carré alu de 30x30, vissé sur ses 4 coins depuis l'extérieur par vis fraisées de 3. Rosaces placées a l'intérieur du coffre.

On  a donc un arbre composé de 2 demi arbres tourillonnant sur roulements un montage inusable dit à vie.

Sur chaque demi arbre coté paliers un plateau dentés d'angle correspondant en diamètre au taux de réduction souhaité, qui y sera bloqué par vis sans tète mais aussi par clavette radiale traversante le moyeu de la roue et le demi axe.

On a donc deux demi arbres moteurs en réduction, reste alors a monter sur supports alu fraisés les deux blocs moteurs en réduction sur l'engrènement entre les deux roues dentées.

On avait dit moteurs en vitesse de 11100 tours à vide, les planétaires nous donnent un ratio de 1/6,6, soit une réduction de 11100: 6,6= 1681,81 tours minute tempéré par la sortie finale en réduction d'angle suivant ce que l'on trouve dans le commerce, 1/1, 1/2,  1/3,  1/4, ces plateaux au prorata de la place disponible en coin arrière du fond de caisse , j'admet alors u  ratio de 1/3 ce qui me donne une roue dentée de 46 de diamètre en exemple.

Si ratio de 1/3 la vitesse finale au barbotins sera de 1682 (cote ramenée au plus fort): 3= 560,60 tours minute, ce qui au développé de chaine donne : 257x560=144075 millimètres minute, ou 144 mètres minute ce qui est fort honorable, soit 2,4 mètres seconde plein pot, tempéré par les varios inverseurs de brushless. Vitesse qui me semble encore rapide.

Le dernier Ratio de 1/4 nous donnerais : Roue de 40,8 en diamètre il faut donc que le coin inférieur fasse au moins 21 de coté.

 On reprends nos vitesses, 11100 tours au moteur: 6,6=1682:4=420 tours minute aux barbotins,x257=108 mètres minute,:60=1,80 mètres seconde.

Coté roues dentées d'angle on prendra en hostaforme qui est un plastique chargé fibres de verre hyper solide et bien moins chers.

Bien sur les calculs portaient sur un  brushless de 1000 KV, mais suivant ceux de Greg on peut en avoir de plus faibles KV, ce qui va grever la vitesse finale.

Greg a mis des 930 kv ce qui donne une vitesse a vide de 10323 tours.

10323:6,6=15644=391 tours aux barbotins x 257=100 mètres minute soit 1,67 mètres seconde.

Bien sur on peut rechercher le KV le plus faible, la vitesse finale sera au prorata de ces KV.

Pour te dire, mon Bull PR ainsi modifié grimpe aux arbres le couple en finale est dément.

A l'origine montés sur brushless et planétaires, et en réduction finale extérieure de 1/4, il tirait les charges du transport éolien de DODO 6600 DCD depuis de 40 kg aussi bien à plat qu'en cotes, et encore sur chaines de pelles sans de vrais crampons.

Mort de rire, quand tu aura lut tout ça, tu aura la tète comme citrouille.

Puis, du coté fournitures on va passer directement par moi, ainsi je me fournis en industriel et paie deux fois moins chers que toi, et surtout trouverais tous les métaux en qualités et dimensions qu'il te faut.

Pour les engrenages Michaud chailly, je paie le port et les fournitures.

Coté planétaires suivant ce qu'on trouvera aux bricos ou aux superettes.

En faits mes buts c'est de te faire construire ton bull de façons économique, il n'y a pas de raisons de payer fort cher des fournitures abordables en industrie.

Voici comment ça se passe : On sélectionne ce qu'il te faut, si métaux tu m'envoie une somme forfaitaire de X qui sera révisée suivant prix du fournisseur et ports dus.

Je vais chez mon fournisseur métaux et je prends ce qu'il faut débités aux longueurs bruts voulues pour les usiner.

Soit c'est moi qui les usinent pour commencer, soit c'est toi quand tu aura tes machines, je groupe les métaux et autres fournitures et te les envoies par poste, plus pratique pour moi, elle est situé juste derrière chez moi à 20 mètres en colissimo.

Pour dire : Tu vois tous les calculs a faire pour un modèle réduit fonctionnel ?

A propos, quelles sont ta ou tes radios commandes, marques types, modèles, et si tu a des photos ça sera encore mieux ?

On parlais aussi de chaines d'engins, voici deux patins d'une grue de levage treillage de type Mamoet, chaque patins comprends 72 maillons, pour un total de 144 maillons, constitués de 144 tuiles plates, et de 288 demi maillons.







La largeur des tuiles est de 50, le diamètre sur plats de tuiles au droit des barbotins est de 72 mm.

J'ai enlevé 3 tuiles de façons a voir comment sont faits les demi maillons, montés sur axes laiton de 3 et tenus par rondelles grifax.


Les chaines ci dessus sont tout à fait transformables pour un bulldozer, il suffit juste de démonter les tuiles et de les refaire en alu pris dans de la cornière, aux bonnes sections, donc recoupées sur cisaille et gabarits, puis percées et fraisées toujours sur gabarits.

Je ne suis pas fou, pour mes barbotins, j'utilise les mèmes roues dentées mais au pas de 8 mm, aux nombres de dents voulues et en Hostaforme bien moins chères, ici il y a deux roues hostaforme par barbotins pour faire la bonne largeur.



Mon track 632 avec sa deuxième paires de chaines, les premières étant des chaines de chars Tigre de Heng Long en métal moulé genre alu cassantes comme du verre, en faits les chaines des chars, n'ont rien à voir avec les chaines TP.



 Lui aussi est monté sur pont Cantilever, on voit l'axe oscillant devant le barbotin sur le patin a tendeur de chaines.


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Suite des deux phrases du dessus des 2 photos.


Ceux ci sont liés par les tuiles avec 2 vis de 2,5x5 TF.

Les demi maillons, c'est du plat alu fraisé de 20x5, les tuiles du plat alu de 16x2 recoupées dans le sens de la longueur, parce que je me suis fabriquée une mini tronçonneuse à scie fraise de 100 à dentures fines, le moto réducteur étant un moteur d'essuies glaces de bagnoles, je puis ainsi couper en butées a des longueurs exactes et précises toutes mes pièces.

J'en suis à mon second moteur d'essuies glaces, le premier m'à fait 30 ans de bons et loyaux services, le second est monté depuis 6 ans environ.

Avec cette tronçonneuse, ce sont des millions de pièces tronçonnées depuis 36 ans, sans fatigue bien sur et rapidement.

Les demi maillons sont fraisés sur ma fraiseuse en avance automatique par barrettes de 280 mm de long , puis débités sur ma tronçonneuse grace à un gabarit de serrage monté sur l'étau machine de celle ci. Les tuiles le sont aussi mais en butée fixe.

Chaque demi maillons est percé sur ma perceuse sur gabarit de perçages de sortes qu'elles sont rigoureusement identiques, à 3 mm, puis les coins sont recoupés à la cisaille à mains pour donner un semblant d'arrondis.

Puis repris sur un autre gabarit pour etre percées a 2 et taraudés à 2,5 pour y fixer les tuiles.

En faits toutes ces pièces sont retravaillées sur gabarits.

A mes débuts de fabrication de ces chaines au pas de 8 mm, j'en ai fait 12 mètres linéaires, durant un mois et demi, je n'en voyais pas la fin.

Sur les photos les axes sont assemblés aux rondelles grifax, sur gabarits.

Par la suite les chaines acier ont été fraisées en CNC pour les tuiles a demi crampons et les demi maillons, livrés par coupons de 80 cm, les demi maillons déjà percés des trous d'axes par un pro du fraisage, et ça m'a couté 400 € mais des milliers d'heures de travail économisés.

En faits en tant que serrurier, je construit tout sur machines et gabarits, les seules façons de sortir des pièces a peut près convenables.

Tomgoul les a faites sur imprimante 3 D ainsi que barbotins et roues folles.

En faits quand j'aie commencés mes fabrications de chaines, on étaient en 2009, on ne trouvais rien du genre sur le marché, ou a des prix astronomiques, de faits les fabricants mondiaux se sont penchés sur nos problèmes, et les chinois sortirent des chaines tout à fait acceptables aux échelles demandées, a des prix sans concurrence.

C'est comme les vérins hydrauliques, aux débuts il n'y avait que Leimbach sur le marché, mais des vérins qui fuyaient au bout d'un an, alors je me suis lancé dans la fabrication de mes propres vérins brasés argent donc très solides, et ne fuyant pas grace a des joints spécifiques hydrauliques, en quelques années j'en ai fabriqués plus de 750, pour moi et d'autres, puis Magom est arrivé, avec des superbes vérins pas chers fabriqués en CNC, alors j'aie arrêtés mes fabrications.

Vous comprendrez vite que ceci m'à payé pas mal de choses ?

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Du coté du dessin, c'est éxactement comme ça que je voyais les montages, bravo, on est sur la mème longueur d'ondes, chapeau bas le JPG, je suis scotché.

Pour tes chaines c'est beaucoup plus complexe que tu ne croit.

C'est d'ailleurs dommages que les équerres soient montées sur les éléments extérieurs, ils auraient fait partie des éléments intérieurs, les raccordements auraient été plus faciles, avec une attache rapide standard.

En faits ces chaines ne sont pas du tout conçues pour ce genres de montages, les acheteurs se foutent complétement qu'il manque une palette support entre deux raccords, puisque c'est l'ensemble qui est porteur et transporteur. 

Vous parlez de meuler les axes ? Alors moi je dit que c'est une connerie monstre.

Sur les chaines a rouleaux, les axes sont spéciaux, d'un diamètre plus petits de quelques centièmes au milieu pour tout ce qui porte sur les maillons intérieurs, et leurs extrémités ont quelques centièmes de plus pour le sertissage

De ces simples faits les axes sont porteurs et les maillons intérieurs tourillonnant.

Toutes les chaines a rouleaux se dessertissent avec un démonte maillon, c'est en sommes un  aarraches moyeux spécialisé dans les démontages des chaines, mais fabriqués pour tous les types de chaines : simples, doubles, triples, voire quadruples.

Le corps de l'appareil reprends la chaine par ses maillons extérieurs, en se centrant sur eux, de façons a présenter la pointe d'enfoncement de l'axe à enlever, bien sur en acier durs trempés et cémentés, il est hors de questions que quelques pièces se cassent ou plient, l'appareil est conçu pour les industriels.

Et donc en vissant le canon fileté, l'axe est repoussé sur l'épaisseur du maillon extérieur porte cornières de fixation. sans dommages pour l'axe ni pour la chaine.

On se retrouve à droite avec un élément avec équerres, et à gauche avec un élément intérieur. De l'autre coté, si la chaine a été démontée avec l'outil, on se retrouve avec un élément intérieur qui se raccordera parfaitement avec l'élément avec équerres.

Donc pour tous démontages il faut calculer les longueurs pour qu'elles se raccordent.

Certes le pas est connu de 9,525 mm, mais en faits on ne calcule pas leurs longueurs par rapport au pas, mais par rapport aux équerres.

En faits suivant montages des axes sur la caisse, et malgrés le tendeur, on peut etre trop long, ou trop court. Et, soit on construits les patins plus longs, soit plus courts pour un meilleurs raccordement.

Le truc en faits c'est de construire la caisse motrice comme indiqué, et de ménager un espace en longueur pour l'axe oscillant.

Les patins seront alors construits avec l'arrondis de la chaine dépassant sur l'avant, et au ras du cul, ou légèrement dépassant.

On aura pas coupée la chaine, et on la monte alors qur les barbotins et roues folles et on fait un simulacre de raccordement au mieux comme décrit plus haut, on marque l'endroit ou l'axe est retiré, on le retire, de ce fait la chaine devient à bonne longueur, on en fait deux identiques, on les ré emmanches l'une dans l'autre, et on enfonce l'axe chassé au marteau et chasse goupilles a extrémité plate. Le maillon reposant sur une sortes de tas en acier épousant la forme des maillons et réhaussant la chaine en évitant les équerres, une fois ré enfoncé à sa position originelle, la chaine redevient mobile.

On la met en place sur les patins, en essayant de la tendre un maximum, en faits pour ce pré montage, on compresse les ressorts et l'on met des cales devant les fentes, cales de 8 mm de large par 4 d'épaisseur (bouts de plats laiton qu'on aura fabriqués et que l'on conservera toujours.

Les roues folles étant reculées de 8 mm, on tends la chaine, et l'on trace à la pointe a tracer fine le trou de l'axe oscillant sur la caisse.

Si la caisse est parfaitement orthogonale, c'est à dire d'équerre de partout et à bonnes longueurs, on trace l'autre coté de façons que l'axe soit d'équerre par rapport à la caisse et a son axe médian.

On enleve les chaines et l'on monte les patins sur l'axe traversant, et on remonte les chaines cales en place.

On compresse les chaines et l'on enlève les cales, les chaines seront alors parfaitement tendues.

Ok pour les radios, une Taranis X 9 D plus, une at9  et celle du milieu  MX, super 

non pas égaré sur les radios, à mon avis tu devraitd lite et une QX7 les garder , et réserver la Taranis pour les TP, pour la question des ressorts de rappels c'est con comme la mort, on trouves de partout de fins ressorts d'extensions et l'on ouvre de chaque coté deux boucles, le ressort se reprends sur une clavette qu'on peut faire soit même dans du plat d'alu de 2 mm.

La taranis parce que j'en ai deux en X9Dplus, une 9D lite et une QX7, et des tas de radios diverses, soit une trentaines d'émetteurs et des récepteurs en guise de ceinture de frocs.

Gardes pour l'instant les ensembles radios, mais vends les modèles sans les récepteurs, les acheteurs se démerderont avec leurs propres radios.

Aller bonne nuit demain levé à 7 h.

Autant pour moi, je me rend compte que j'ai dit une bêtise.
J'ai bien meulé un axe mais c'était pour séparer la chaîne en deux parties au début.
Bien évidement comme l'a dit Jean-Paul il faut repousser l'axe avec un dérive chaîne ou encore au pointeau comme dans mon cas.
Je trouve que vous vous prenez trop la tête avec la longueur de chaîne car même si rajouter un maillon prends 20mm cela n'ajoute qu'un cm sur la longueur total une fois refermée donc 5mm répartis sur l'avant et l'arrière et hop.
On peut aussi compenser avec le diamètre des roues en jouant sur le nombre de dents et diamètre des roues folles et galets hauts.

Merci Greg, non , pas vraiment se casser la tète, en faits j'éssaie de lui éxpliquer les différentes possibilités.

Bien sur que les démontages devraient se faire sur dérive chaines, note en passant qu'eux aussi conseilles de meuler la tète de l'axe a démonter, comme tu l'a fait, mais c'est ton cas, de séparer la chaine en deux.

Dans mon explications, il s'agit de récupérer l'axe chassé, pour le remettre en place, conservant ainsi l'intégrité des maillons de la chaine.

Bien sur que ta solution manuelle est économique, je la pratique aussi, dans ce cas il faut un chasse goupilles écourté en acier dur du diamètre légèrement inférieur au diamètre de l'axe à chasser, placer la chaine sur un support dur en acier, avec un trou, pour recevoir l'axe, support un peut plus épais que l'épaisseur de la chaine, sur le coté en soutenant les deux cotés, et frapper l'axe à chasser, il restera en place sur l'épaisseur de la partie porteuse des équerres.

Alors la chaine se sépare.

Au remontage on ré imbrique les maillons et on rentre l'axe.

Moi avec des chaines standards, j'utilise des attaches rapides et me fout des axes fichus. Mais la, la chaine n'est pas standard.

Oui on peut compenser avec une roue avec une dent de plus, mais Clément dans sa précipitation a tout acheté.

Mon explication tient compte de ces achats.

Greg ? Imagine le tout seul dans son coin, à se faire chier sans aides ? Au bout de quelques mois, tellement il se fera suer de ne pas y arriver, laissera tous tomber.

Il a frappé je penses à la bonne porte, nos expériences conjointes va l'aider à se construire son bull.

Le track je le vends 600 € avec sa radio Hobby king, mais il faut que je le révise avant, et changer les axes des chaines, laiton et grifax, et voir pourquoi ça coince en arrière.

Mais j'ai aussi le gros D10 de bruder, en version hydro sur la lame et son réglage d'incidence à vendre. 600 €

Coté accu ce sont des gros bâtons ni mih de 4 amp contenus dans le caisson supérieur de cabine.

Tous les motos réducteurs sont de type RB 35, paradoxalement LESSU à sortis le 634 avec mon système a chaines pour les mouvements des vérins de relevage brancards.

S'il était à refaire je mettrait des N 20 avec des vis chinoises.

D'ailleurs il pourrait faire l'objet d'un futur projet tel un D8 à lame et godet.

Pour ton bull, la cabine du track Bruder, serait mieux que celle du D 5.

Je crois me rappeler que sur Taranis, les manches étant complexes, on puisse changer de mode de pilotage pour les Gaz, en dévissant ou revissant deux vis, les manches étant pourvus déjà des clavettes et ressorts de mise aux neutres.

De faits pour ton bull 3 voies sont nécessaires, les deux manches , un pour chaque chenille, puis l'un des deux pour le relevage de la lame. Tu veux mettre un servo ? Mais un servo a lui aussi un neutre milieu, et l'un des manches sera inutile, on se sert alors d'un des sliders.

Pour mes deux X9D plus j'ai déviés les sliders sur des joysticks de jeux vidéo, sur la radio de 2012, les joys stricks regroupent les 2 voies des sliders, et les 2 voies des potards.

Sur celle de 2019, les joys sticks regroupent que les deux sliders.

Ces joys sont donc très pratiques pour les commandes des chenilles ou des actions réclamant proportionnalité.

En faits ces idées d'utiliser des joysticks de jeux vidéo ont la doit à Steve Bartste du forum des camions, vu que ces joys ont des potentiomètres de même valeur que les manches radios, 5 Homs.

Sur taranis, seules les voies annexes des sliders et potards sont proportionnelles, puis tous les inters sont tout ou rien.

Du point de vue réglages notre ami Bamo a crées des topics pour chaque choses, donc facilités des réglages, et puis il y a le forum Taranis, ou tous les possesseurs de ces radios y sont membres, moi j'y suis JPG74.

Et puis j'ai un ami vétérinaire aéromodéliste qui touche sa bille pour Taranis et qui me fait mes réglages fins. à coté de chez moi à 10 km.

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Alors, pour l'ouverture de la taranis, il faut scotcher les inters qui sont sur le plan de joint, du coté gris, car en l'ouvrant ils risquent de tomber.

Un bout de guidoline entoure l'inter par l'arrière au dessus du capotage noir, entoure l'inter, et se colle de chaque cotés de l'inter sur la façade grise, par deux pattes.

Ainsi maintenus, on peut ouvrir le fond.

Oui, normalement les clavettes des neutres et les ressorts sint déja en place sur les deux manches, puis pour les gaz, et de chaque cotés deux lamelles imbriquées permettent de faire crantages ou glissement doux, en les soulevant en dévissant les vis, le ressort du neutre reprends ses droits avec la clavette basculante du neutre.

Le procédé est génial, car on peut passer du mode 1 au mode 2 sans bricoler les manches, car c'est toujours chiant.

Il n'y a guerre que ces problèmes d'inters qu'ils ont corrigés au fur et à mesures des versions.

Ou en programmation dans radio setup on peut changer les modes des manches électroniques.

Mais on verra cela doucement étapes par étapes.

Puis pour le pilotage, on peut préférer le pilotage mono manche, celui de droite, avant arrière et droite gauche direction, les chars de combats Heng Long sont ainsi, c'est assez désarçonnant, je préfère la solution doubles manches.

Les sliders sont très mal placés, on les touche constamment en déréglant les accessoires, la pose de joysticks sur le dessus de l'émetteur rétablis ces déséquilibres, les joys étant (pour les miens ) à 3 voies.

Je te ferais des photos de mes deux X9D plus, configurées différemment avec ces joysticks.

Ma X9D plus de 2012.



Avec les deux joysticks au dos, qui reprennent les deux sliders, et les deux potards.



L'inconvénient c'est que couchée, ce sont les joys qui prennent des coups, alors pour corriger ce défaut majeur, on a changées leurs positions.



Posés sur le dessus, ils ne craignent plus rien, sur ce modèle de 2019 modifié par Taranis deux joys  reprennent que les sliders, chacun le siens.

En conservant aux potards leurs conditions, car il est souvent pratique pour un engin hydraulique de faire varier la puissance de la pompe avec un potentiomètre.

Mais en programmations souvent, cette notion de réglages est obsolète.

Ici dans cette configuration les deux joys servent aux chenilles sur une pelle.

Sur une pelle les deux manches sont occupés par, à droite, flèche et godet, à gauche tourelle et balancier, cette forme de pilotage reprends exactement les mèmes formes sur les engins réel, de sortes qu'un conducteur de pelle réelle ne sera pas perdu aux commandes d'une pelle modèle réduit.

Puis les commandes des chenilles sur joysticks, pourquoi ?

Parce qu'avec joys, on conserve la mobilité à la pelle dans ses évolutions de bras, alors que dans la forme de commutation, on utilise deux fois les manches, en arrière la pelle, en avant les chenilles, c'est ou l'un, ou l'autre.

Très souvent sur engins complexes à plus de 20 voies, on a un besoin Absolut de conserver sa mobilité, la déviation des sliders sur joysticks résout ces problèmes de simultanéité.

Comme tu peut le voir, mes deux radios ont un module HF externe ? De ce faits mes deux radios me donnent 32 voies chacune.

Hormis cela, le fait d'avoir un module externe nous permet de pouvoir utiliser plusieurs fois les manches sur un même modele grace aux commutations.

Taranis en Standard en module interne nous donne 16 voies, mais répartis sur les manches, inters, sliders, potentiomètre.

Et très souvent, on a besoin d'utiliser les manches deux fois tel mon tracto pelle JCB de bruder :

Les manches a la conduite du tracteur et les actions sur le brancard et le godet, (4 voies).

Mais par commutation et grace au module externe, la commandes sur manches des fonctions de rétro pelle :

La flèche et le godet à droite, la tourelle et le balancier à gauche.

Sur ces engins, on ne peut pas manger et pisser, on ne peut conduire le tracteur et utiliser la pelle.

Mais attention je ne parles que de radio commande, sur le réel du fait des conduites intérieures le conducteur se sert de toutes ses commandes grace a ses joysticks complexes a plusieurs voies.

Et donc sur cet engin hormis les commandes citées, le brancard et le godet servent de stabilisateurs avant, les joys servent aux stabilisateurs arrières, puis des inters annexes servent au télescopage du balancier, un autre au déport latéral de la flèche rétro, ici, ce sont des fonctions de réglages.

De faits un engin à 12 voies effectives. En tout électrique sur micro vérins a vis.

Avant Taranis, on utilisait plus de deux radios montées en pupitre, inconvénients de poids et dimensions respectable du pupitre, mais avantages des simultanéités des commandes. J'aie utilisées jusqu'à 4 radios différentes montées sur pupitre.

Avec Taranis et ses deux modules, tu commande une pelle sur module interne, et un autre engin sur module externe tel un camion benne, tous deux restent sous tension sous commande d'un seul émetteur.

Par exemple ton bull, puis le track, ou encore le camion benne, et la pelle, le tout par commutations multiples.

En déportant les sliders et potards sur joysticks, ca permet d'avoir le contrôle par commutations de 4 engins sur manches, les 4 cités plus haut.

L'exemple de la pelle et du camion : 7 voies absolus à la pelle sur manches et inters, 3 voies sur le camion benne a relevage hydro donc 10 voies, on en a encore 6 sur inters pour un engin ne réclamant que des commandes sur inters.

Puis on passe en externe, ou la encore on peut commander de 2 à 3 engins.

Ce peut etre une pelle, un camion benne, un concasseur, un chargeur sur pneus ou chaines.

Le concasseur casse et produit des granulats, il est chargé par une pelle juchée sur son tas de n'importes quoi, le chargeur charge le camion benne.

Certes le concasseur est un engin en marche continue sur secteur, mais s'il est monté sur chenilles il doit retrouver sa mobilité en déplacements et mises en chantier des ses tapis roulants.
Ca fait bien 4 modèles a s'occuper. Avec une seule radio. et 4 récepteurs .