Un D8 tète béche, godet et lame de pousse, Push pull

Avec l'arrivée de Clément et de son bull Free lance, l'idée m'est venue ce matin : Pourquoi ne pas construire un engin bizarroïde en formule Delta avec les anciennes chaines alu remaniées en crampons d'un engin n'ayant jamais existé.

Un châssis porteur à chenilles delta munis d'un  coté d'une lame de pousse, et de l'autre d'un brancard à godet ?

Un engin de type va et vient avec les barbotins centraux sur moto réducteurs à brushless, ou a charbons, parce que j'ai deux de ces moto réducteurs à moteurs 540 et grosses boites carrées prévus pour un projet qui ne s'est jamais fait.

Un truc moche au possible, m'enfin, un tas de ferrailles fait pour un usage précis.

Coté cabine de conduite, le gars est assis de coté, il dirige aussi bien son chargeur que son pousseur, d'ailleurs cette position de conduite est ainsi pour les gros doubles billes des surfaçages de goudronnages des routes, l'engin allant de droite à gauche.

Alors une caisse symétrique avec au centre les barbotins en sur élévation, et de chaque coté les roues folles sur patins sans pont Cantilever, car mon engin est prévus pour fonctionner sur sols plans.

L'idée de sa construction est : un engin de nettoyages des sols plans avec la lame, et par retournement le chargement de ce qui a été poussé.

Coté radio 5 voies sur Taranis X9D plus, chacune des chenilles sur sliders déportés sur Joysticks en push pull, puis relevage des brancards sur manches, le godet du chargeur sur l'un des manches en latéral tel un godet de pelle.

Je vois l'engin simplissime destiné aux nettoyages des surfaces planes de mon mini chantier d'extérieur, la cabine peut etre récupérée sur un  track Bruder posée de coté.

Concrètement la caisse sera en acier d'un mm, mais construite autours des moto réducteurs et de la cabine du track.

Les chaines alu de récupération sur celles montrées à Clément sur son topic, les barbotins étant en hostaforme bagués d'alu de chaque coté. Me restera alors a tourner deux roues folles en plus, les galets de portage et de retours sont déjà sur les anciens patins, patins que bien entendu je récupère pour ce nouvel usage.

Les brancards des lame de pousse et de godets sont montés sur la caisse a l'instar du D5, les micro vérins a vis sans fin chinoises qui ont déjà fait leurs preuves. Propulsion sur Lipo 3 s de 5 amp posé en position couché entre les deux moto réducteurs, tus les mouvements sur varios inverseurs disposés avec le récepteur dans les deux lobes latéraux avec capotages relevables façons capots de bagnole, et bien sur cabine amovible.

J'ai un brancard de chargeur destiné au Xérion 5000 avec ses supports, le tout en alu fraisés avec godet Bruder, reste juste a construire le brancard de lame et celle ci. 

Un truc fastoche vite fait bien fait. mdr sur un ou deux mois tapants.

La tôle acier sera achetée au brico du coin, parce que d'accés immédiat, s'ils en ont en 1 mm

Deux joues découpées sur cisailles d'établis, deux plaques avant arrière, un fond plat général, deux capots relevables un peut ouvragés.

Les deux joues sont montées ensembles pour etre percées pour les moto réducteurs, et deux axes de maintient des patins de chenilles en acier de 6, les trous d'axes supposés du brancards de lame. Tandis que pour le brancard de godet, les deux supports alu fraisés sont plaqués de chaque coté (en conservant leurs largeurs initiales que conditionne le godet plastique).

Faire ces 2 cotés en fonction de l'accu et de l'équipement, les patins chenillés seront fabriqués en fonction de cette longueur.

J'ai dit que les mouvements se font sur varios inverseurs de tailles standards de 40x40, ceux ci (5 varios) seront posés collés sur une platine alu fixée au dessus de la lipo juste sous la cabine de conduite.

Pour Clément : ci dessus ma façon de voir la construction d'un engin, je penses un modèle aussi bizarre soit il, je le construit sur papier, ici sur le forum, sachant par avance ou se trouvent :mes fournitures.

Je le détaille sur ce cahier des charges, ce qui me fait entrevoir des solutions, que je met en pratique pour la construction.

Constructions qui ne peut se faire qu'avec un atelier bien équipé.

Souvent sur tous forums, et avant sur les revues modélistes, les gars sont pleins de projets, jamais mis en chantier, par faute de moyens de production.

Donc, en fonction du genres de modèle, en tout premier, la construction de l'atelier du mécanicien, avec ses outils et ses machines.

Nantis de son atelier, le modéliste peut enfin commencer ses projets.

Mais pas le contraire, car a chaque étapes il lui manquera toujours quelques choses, dont en priorité le tour de mécanicien.

Avec lui, puis de la patience, des idées, du courage et quelques fournitures métalliques, se fabriquer les compléments indispensables au travaux sur métaux.

Le tour est essentiel, et bien sur ses outillages de base, et additionnels, puis vient la panoplie des outils a mains plus ou moins communs a toutes sortes de choses, puis les petites machines additionnelles, tronçonneuses a scie fraise, petites meuleuses sur renvois d'angle, la dremel, le touret à meuler et affuter, la perceuse sur colonne.

Les manières de s'en servir s'apprennent à notre contact.

Nantis de son atelier le néophyte va enfin pouvoir exercer ses talents sur les métaux.

Mais j'y penses tout d'un coup, j'aie en stock des chaines de chars en plastique à crampons avec les deux barbotins, chaines prises par erreur pour faire ma chenillette à moteur thermique, pourquoi pas les prendre pour ce track ? Parce qu'en faits c'est bien un track.

Bon la caisse ferait 150 de haut par 280 de long, les barbotins de tigres diamètre 50 aux fonds des dents ont une empreinte d'entrainement en D, et diamètre 8, les axes des motos en 8 mais D 7, à réajuster pour les barbotins en D 6, les roues folles feront 50 aussi. Les galets seraient à refaire aux empreintes des chaines, justes porteurs, sans boggies 8 sur la longueur seraient bien. ils chevauchent les barbillons de guidages intérieurs, chaines larges de 50.

Ca serait alors un Tractopousse.

Je croit bien que ce truc ne se fera pas, car j'ai pas mal de travaux de réfections sur les autres modèles.

Ce matin j'ai fait les bricos du coin, 4 barres de cornières d'alu de 15,5, pour les crampons du bull Bruder D11, un bout de tôle acier de 250x500x0,75 pour le track push pull, et des baguettes d'argent enrobées et nues, j'ai le décapant.

Et du torche bugne à Auchan.

Ça serais sympas et original comme engin
. Avec pas mal d'éléments récupérer en plus...
Puis c'est sur qu'il a de bonne chance de rapidement évoluer vite et bien.

C'est vrai que pour moi c'est un peu frustrant d'avoir l'envie d'avancer mais d'être bloquer parsque j'ai pas encore tout les outils indispensables..Je le savais en commençant que j'allais vite être coincer c'est vrai que c'est pas super agréable, mais un passage obligatoire dans quelques mois déjà ça devrais avoir bien évoluer.

Heureusement en attendant je peut lire les expériences de ceux qui peuvent créer ou l'on déjà fait.
Je peut aussi réfléchir à d'autres projet qui ne nécessiterait pas forcément le matériel qui me manque.

Au moins je t'aurais donner envie de réaliser ce nouvel engin c'est déjà ça !

Bon courage pour ta création !

Le tour et le tournage, s'est vite révélé indispensable quand je pratiquais l'aéromodélisme. Etant métallier, forcément le travail des métaux , ne pouvais se faire qu'avec de l'outillage et des machines.

A mon époque il n'y avait pas grands choses pour l'amateur, le seul tour combiné qui existait était l'unimat 1d'origine Allemande, un tour à banc de ronds parallèles, convertible en fraiseuse, et j'avais deux bons copains qui en avaient 1, l'un en modélisme naval vapeur, et l'autre en aéromodélisme, et qui me le prêtait alternativement, ce fut un réel bonheur de créer mes rêves.

Puis étant marié je fit la connaissance d'un médecin chirurgien de la main à l'hôpital St Luc à Lyon, il avait une propriété avec du terrain et s'était construit un réseau ferroviaire en 7 pouces 1/5 sur son terrain, il était d'une gentillesse a toutes épreuves, j'ai ou travailler ainsi chez lui à construire mon premier moteur à vapeur à 2 cylindres oscillants pour un grand Cargo de 2 mètres de long .

J'alternais ainsi d'amis en amis aux tournages des métaux, puis je fit la connaissance d'un ingénieur mécanicien à l'école normale supérieure de Lyon, qui m'appris des tas de choses en tournages fraisages, avec lui je fondait l'association vapeur hobby 69, et comme support je construisit un réseau ferroviaire portatif de type Decauville, en 5 pouces, voie de 127 mm, et avec lequel on partait en démonstrations dans la région Rhône alpes, c'est à cette époque vers mes 40 ans que j'achetais mon premier tour, un Toyo 210 et sa colonne de fraisage , un petit ensemble conçus autour d'un gros centre d'usinages.

Plus tard j'achetais d'occasion une fraiseuse sur établis puis le grand frère du petit tour, le 360 que j'ai encore.

Le tour avec qu'un mandrin 3 mors, tu ne va pas loin, mais tu fait déjà pas mal de travaux avec, alors il faut rechercher les accessoires du tour, ou en adapter d'autres provenances.

Tu te dit alors : soit je travaille à la main et fait un travail dégueulasse ou approchant.

Ou tu travailles les métaux sur machines, et la tu atteins rapidement à la perfection.

Sans machines, tu achete tout et tu monte des ensembles du commerce.

Avec machines tu crée réellement tes réves, mais les machines ont aussi des limites, qui sont tes propres limites des connaissances générales en mécaniques de précision.

Les livres t'aides beaucoup, et le contact avec des usineurs, et surtout tes propres travaux sur tes machines.

De faits une fois en possession du tour, tu va pouvoir construire avec assez de précision des accessoires de tours qui te sont indispensables.

Au jour d'aujourd'hui, je ne me pose plus les questions de savoir comment je vais faire, j'aie mes machines et ma technicité, je fait en conséquence de tout ça.

De faits des tas de créations de modèles imaginaires ou ayant existés, mais en restant dans les limites de mes machines et de ma technicité.

Surtout et très rapidement, tu t'aperçoit des milliers d'euro économisés, la moindre bricole achetée dans le commerce coute des ronds, toi tu te la fabrique avec des métaux bruts.

Il y a 10 ans un vérin Leimbach coutait 90 € en moyenne, je le sortais pour 20 € environ de matières premières.

Bien sur il faut tous les petits outillages, tarauds, filières, tarauds aux pas métriques fins qui prennent moins de matières donc demandent moins de force a être machinés: 6x75, 8x75, 10x100, 12x100, 14x100, avec ces outils durant des années je fabriquait des accessoires vapeur vive, et des appareils et moteurs a vapeur pour moi et d'autres.

Du moment que tu a tes machines et ta technicité, tu peut travailler pour ceux n'étant pas équipés machines, ce qui te paie les compléments.

Souvent sur les forums, les gars ont des tas d'idées, mais ne peuvent les réaliser par fautes du manque des machines.

Ainsi la pelle Mécalac un môme voulait en faire une avec des seringues hypodermiques, 6 mois plus tard il avait disparu des forums, et le plus fort ce sont les tas de connards qui le confortait dans ses rêves.

Moralité . Tu veux te faire un bull en métal, tu t'achète tes machines pour les faire.

Allé bon courage et bonnes lectures, n'oublie pas le coin technique bourré d'informations dont la tronçonneuse a scie fraise quasiment indispensable du moment que tu usine.

Oui, je comprend, ça devais être sympas d'avoir eu l'opportunité de crée ses rêves grâce à ces amis bien gentils !

C'est vrai que moi a 27 ans, qui gagne pas des fortunes, qui suis vraiment  amateur en travail des métaux, un peu autodidacte comme toi,  j'envisage de m'équiper et je m'estime bien chanceux... 

Oui ,après pour les gens qui se lance dans des truck et qui ne vont pas au bout je pense que de toute façon on a tous dans sa vie des projets qui se ferons  jamais, en grandissant on se rend compte qu'on ne fera pas tout, alors on essaye de priorisé ou naturellement on est attirer pas des choses plus que d'autres, donc ça peut arriver a tout le monde de laisser tomber un projet je pense, certains peut être plus que d'autre, moi je m'entraine à aller au bout des chose et bien les faire justement..Parsque j'excelle pas forcement dans le fait d'aller au bout des choses en général, je préfère être honnête, mais justement, j'ai bien réfléchis avant de m'inscrire, si oui ou non j'avais vraiment envie de me lancer la dedans, et franchement oui, il est certain que je vais pas arriver comme ça faire et un œuvre d'art du premier coup..

Et surtout la Moralité que tu à écrit  ,c'est exactement celle que j'ai vis avis de du projet de bull en métal et j'en ai parler dés le début.


J'ai envie d'avoir ces machines et d'apprendre à travailler avec, comme le post a souder à l'arc, c'était un peu rêve d'avoir l'occasion ne serais ce que d'essayer, puis l'occasion ne se pressentent pas j'ai acheter le mien et je mis suis mis y'a quelques semaines, les toutes première fois j'ai même pas réussi a déposer assez de métal pour joindre deux pièces, et puis hier soir j'ai mis trois point net et précis pour souder 2 écrou de 14 l'un sur l'autre au centre d'un carré de tôle 30x30mm, deux point sur celui du dessous et un pour lié les deux c'était terminer sans bavure rien du premier essais.. un trou au centre de l'ensemble a la perceuse a colonne après ça a pas bouger d'un pouce.. après bon si j'avais  un tour  j'aurais pu réussir les pièce voulut, bien mieux presque a la perfection, la elles ont pleins de défauts ect ,mais apparemment fonctionnel, je me suis quand même bien galérer pour un résultat que tu pourrais qualifier de très "grossium", fait avec bite et couteaux mdr ! 

Et du coup, ce bull pushpull, tu l'a commencer, ou tu te concentre sur les révisions de tes engins ?