le fer à repasser, ou mini trains en voie de 100 mm, par JPG.

Ils ne sont pas particulièrement bruyants, la gamelle qui sert d'échappement est efficace pour le bruit mais bride pas mal le moteur en perfs

J'ai pas besoin de perf à 2 km/h ?

Bon j'aie pas mal de fournitures dont le roue de 30 dts, mais j'aie aussi dans mon stock une vis sans fin pour axe, des fois qu'el;e corresponde ? Non pas de bol, c'est ni le bon angle ni le bon pas.

Et puis le nez de boeuf qui a pris ma commande m"'a commandés 9 roues à chaines de 14 dts alors que je lui ai dit 4, ca me fait 20 tunes de plus pour rien.

Bref j'ai tout sauf la vis d'entrainement.

Coté acier tout sauf les 4 barres de plats de 16x4.

En faits je n'aie pas ce dont j'ai le plus besoin.

Pas grave il y a du job par ailleurs.

Tu as remarqué que c'est toujours LE truc dont tu as besoin tout de suite qu'il te manque ?

C'est ca, mais dans un sens, c'est pour tout avoir à dispo.

Par ailleurs il y a du job pour 1 mois ou 2, mais faut bosser, pas bricoler sur le net.

pour le net, j'aurai plus parié sur la crevetticulture que le bricolage  on décortique plus que bricole. 

C'est vrai, une fois tout réuni, on peut enchainer le projet presque jusqu'à la fin. La tu peux attaquer les courbures de rails, ce qu'il te manque c'est plutôt pour la loco non ?

Non, ce qu'il me manque ce sont les barres de plats de 16x4 pour les éclisses et les rajouts des rails de 10 mm.

Je puis juste percer un trou de 6,5 d'un bout sur les rails extérieures courbes, et sur les droites, sur gabarit. Puis les fraiser d'intérieure.

Oui coté tracteur j'aie les fournitures du chassis, toutes les boites d'assieux et toutes les roues à usiner. Des travaux de série, en partie sur gabarit au tour.

Mort de rire, les couillonnades en continues :

Eux se trompent en me vendant 5 roues dentées pour chaines de 9,52, et moi je me trompe dans le nombre et références des roulements.

Dans mpn stock je vois 11 boites identiques de roulements SKF, j'en ouvre une , c'est du 10x26x8, parfait que je me dis, ce sont tous les mèmes ?

Ben non de 3 sortes différends.

J'en commande donc 7 de plus, et eux se trompent dans les références donc pas les mèmes.

Alors ce matin course chez Michaud faire des échanges et ou j'aurais certainement un avoir.

Ne pouvant plus dormir, parce que couché trop tot, j'ai dessinée la vue en coupe de mes roues du tracteur, j'ai donc 144 de jeux entre longerons, 99 de jeux entre voiles des roues, et bien entendus leurs profils, les axes sont en 12, donc tout est à ce diamètre, sauf les fusées des axes en boites d'éssieux à 10.

il y aura 1 essieu avant moteur avec deux roues dentées de 14 dts le premier est le mouvement moteur venant de la roue de champs et sa vis motrice, la seconde étant l'accouplement avec le seconds essieux.

Les axes faisant 12 seront cylindrés à 10 pour obtenir l'écartement entre voiles des roues de 99, les pignons à chaines conservent leurs diamètres de 12, une vis sans tète permettra de les positionner sur les axes, puis seront pointées arc.

Une fois en place les roues seront soudées sur les axes de même que les roues dentées

Coté longerons empattement 350, 75 d'axes aux tamponnements.

Les échancrures des boites d'éssieux de 35x35x20 seront de 30 par 58 de haut, les boites coulisseront dans ces échancrures, des barrettes de bas de boites les empêchent de tomber et renforcent les longerons eux mèmes, ces barrettes sont vissées en vis de 4 TR sur les longerons, barrettes en U allongés en plats de 16x4.

Ces boites sont aussi montées sur ressorts de compression DANLY de 20x25 de longs.

Le moteur sera monté oscillant pour débrayer la vis de la roue pour les manoeuvres à pousser à la main, la vis sera sous carter alu (ancien manchon de raccords des rallonges, refendu en dessous pour s'engrener à la roue.

Un carter tôlé à roulements entourera la roue de bronze, pour barboter dans la graisse, carter retenu en rotation sur son chassis de montage, remplissage a vue par le haut.

A coté sur cet axe sera la roue dentée de 14 dts motrice.

En principes sur un tracteur le chassis est rigide mais creux, il est d' habitudes de placer un tablier tôlé sur ce chassis, qui peut etre composé de bandes de toles de 2 mm disposées sur les cotés et devant derrière, pour y poser des accessoires de marche, comme une batterie de 12 v pour les phares de route, et pour le ou les klacson à 2 tons le centre du chassis restant dégagé pour sa maintenance.

Une fois équipé de son tablier, tous loisirs nous est donné de confectionner un carénage strict ou Fantaisie. Bois pour la légèreté, acier pour la longévité.

Je pensais à un carénage genre loco de mickey, loco vapeur des dessins animés.

Un cylindre en avant représentant la chaudière, et une cheminée, et en arri-re une casquette d'abris du début du siècle des chemins de fer.

Le tracteur étant conduit grace à sa poignée de commande des gaz, et de son arrêt moteur. Poigné qui peut etre plantée sur un tube attenant au chassis.

Je pensais aussi à un frein de type disque, mais le simple fait de l'arret moteur fera frein, vu l'entrainement à vis sans fin non réversible.

Ok, pièces reprises qui seront remboursées ce lundi, quand aux roulements ils en avaient en stock sur place, je les ai pris.

J'aie donc toute ma mécanique, la vis sans fin dans 3 semaines.

Un job à faire en premier, l'élésage du manchon alu à 28;1 ou 28,2 pour donner du jeu à la vis en périphérie.

Fabriquer dans du rond alu de 30 deux cuvettes supports des roulements de 8x24x8 et donc dans du 10 d'épais deux cuvettes de 28 extérieures, par 24 intérieures sur l'apaisseur des roulements, cet ensemble devra rentrer gras dans le manchon pour etre collé cyano et c'est la vis creuse qui les tiendras à bonne distance.

Une fois ce truc fait, vu que j'aie la roue bronze, re fraiser en dessous du manchon pour son passage.

Puis second job d'importance ce sont les longerons du chassis, en faits suivis du montage du chassis, car j'en ai besoin pour aligner moteur, transmission et essieux, réservoir d'essence, Batterie et avertisseurs.

Il me faut un chassis roulant pour établir mes courbes, de ce qu'on appelle l'inscription en courbes, on a besoin du chassis au plus long empattement pour prévoir le sur écartement des rails.

Il faut que cet empattement passe largement sur toutes les courbes sans etre géné dans son roulage.

C'est pour cela que mes roues ont des tables de roulements en largeur supérieure à la moyenne, de façons que le train des roues navigue de droite et de gauche, sans qu'aucune des roues ne tombent dans l'ornière.

Ici le travail est simple, mais dés qu'il y a aiguillages, il faut le construire aux normes de tous les engins roulants dessus.

Il se peut que plus tard je construise un aiguillage pour remiser le train complet. Ou servir de dessertes aux autres wagons de voyageurs construits ultérieurement.

Du coté des usinages, j'aie ressoudées arc toutes les mini chutes de plats de 16x4 avec le nouveau masque, que c'ent est un vrais plaisir, puis meulés, pour recouper dedans 25 petits bouts de plats à ressouder au bout des rails intérieurs.

En faits avec l'ancien masque , je ne voyais que très peu l'arc, avec celui ci , je n'amorce plus que très rarement vu que je vois la micro étincelle qui déclanche l'amorçage, puis aussitot amorcée la soudure se fait à corps en creusant et chargeant l'interstice entre morceaux.

Une fois surfacées de partout c'est un bout continu de plat comme ses grandes sœurs.

Soudures pénétrantes à coeur gage de solidité dans le temps.

A monistrol je t'apprendrait à souder, tu verra qu'une fois bien compris tu y arriveras comme moi.

C'est sur qu'il ne faut pas mégotter du coté du masque, l'important c'est de voir Tout ce que tu fait, sans t'abimer la vue.

Et dire que j'ai appris avec ces masques simplifiés depuis mes 15 ans, ça en fait des années sans conforts de soudures, et pourtant des milliers de soudeurs ont appris dans ces conditions de vue comme dans un tunnel pas éclairé. Rien qu'à la lueur de l'arc.

ah bah le masque passif que j'ai, tu ne vois même pas la pièce ou la baguette sans avoir une grosse lumière dessus. par contre on voit très bien la matière en fusion sans éblouir. Et en plus c'est une poignée, le vrai masque de red is dead, le film primé au festival de cannes dans la cité de la peur

A mon époque on avait que ça pour souder, on en prends vite l'habitude, son avantage c'est que tu pose dedans ta poigné à baguette et comme c'est du carton c'est isolant, et la baguette ne d'éclanche pas des arcs a qui mieux mieux.

Avec le masque on ne sait pas ou poser la poignée, sans risquer des coups d'arcs.

Il faudrait une anse crochet à la ceinture, pour y accrocher la poignée si elle à un crochet de manœuvre , pour celles a serrages ça sera un réel problème.

C'est un point essentiel que n'ont pas imaginés les ergonomes.

J'ai commencés mes usinages par tout ébavurer au touret en lechant les bavasses, puis j'ai commencés les dressages des rondelles et leur centrages en vue de leurs perçages à 4 puis à 10.

Une fois toutes percées reprises en 3 mors, juste sur 4/5 mm qui corresponds à l'épaisseur du boudin de roues, pour cylindrer la table de roulement, je mange 5 mm en rayon, sur 1 cm de largeur.

Mes finitions se font avec un outil spécial avec des tas d'arrondis, pour les congés raccords, et les sommets des boudins.

Quels que soit leur diamètres les roues sont identiques..

Les 6 axes de roues sont coupés précis a 154 à la tronçonneuse, ils sont centrés en bouts, pour une reprise entre pointes lors des finitions de concentricité, une fois les roues montées et les roues d'angrenages.

Pour eux ré alésages à 12, le touret à meuler va me redresser tous les tranchants de mes forets..

Les axes de 12 seront repris en 3 mors pour les cylindrer à 10 en tant que fusées

Pour les boites d'éssieux je dispose depuis de nombreuses années d'un gabarit d'usinage sur le tour, qui me permet d'usiner des carrés de 50 et de 40 de façons concentriques, pour le 35 de ré usiner 4 lardons de 2,5 qui compensent les jeux périphériques, le carré est alors serré par 4 vis sans tètes inclus dans les cotés.

Ca me permet de les centrer, les dresser, les aléser aux diamètres des roulements, ce qui m'évite le montage du 4 mors et ses fastidieux réglages de balances. d'où d' ENORMES pertes de temps.

Puis toutes les boites seront reprise en étaux de fraiseuse pour y recevoir des entailles de 5 sur 2,6 de profondeur pour coulisser dans les échancrures des longerons..

C'est moi qui au mini train de Ste Foy avait usinées les centaines de roues que composent le cheptel des wagons de tous poils, les membres prétextant avoir cassés leur tours en usinant les roues, bonne occasions de tout me laisser faire.

Descente en cave juste avant la vase, usiner mes roupettes, dressages et centrages puis deux perçages pour finir à 10.

En après midi travaux sur les bandes de roulement.

Foin des copeaux d'alu maintenant copeaux d'acier autrement plus tranchants.

Ce soir mes 12 roue sont ébauchées au brut et commencent à ressembler à des roues de chemin de fer, par après, préparer mes 6 axes des roues, puis d'aléser les
3 engrenages à 14 dts à 12 et 1 à 10 si elle ne l'est pas Deja ?

De manières à placer mes roues et les roues dentées sur les éssieux moteurs.

Pareils pour les boggies mais juste enfilées et soudées.

Ces 6 essieux montés seront alors profilés entre pointes en ce qui concerne les boudins des roues, pièces essentielles d'un chemin de fer.

çà prend forme. tes boudins sont en quelle matiere ? je suppose que c'est eux qui porteront l'usure et seront à changer de temps en temps

Dans nos roues de modeles réduits les boudins font partis de la roue, tout est en acier usiné.

Sur mon premier loco tracteur Thermique, les boudins des roues se sont effacés après plus de 40 000 km, c'est dire le tour de la terre par l'équateur.

Ce chiffre n'est pas usurpé, il est calculé aux nombres de tours effectués sur un circuit portatif, doublé du circuit fixe de Ste Foy l'argentière sur 13 ans d'utilisation environ.

On en revenais pas au club à cette époque ? Plus de 40 000 km en un peut plus de 13 ans.

13 ans ca me fera au BAMO 90 ans. Mais ça m'étonnerais que je vive si vieux, et de toutes façons c'est mon réseau et mon train que je sortirais quand ca me chanterais. Ce n'est pas le réseau de n'importes qui.

Par après tout dépendra des fetes de villages alentours et des bénévoles qui me donneront un coup de main pour tout gérer.

Bon après deux jours de repos farniente et modeles TP, faut que je me remette au turbin.

Toutes les roues sont ébauchées au carré, demain je m'occuppe des 6 essieux, centrage par pointages, puis traçages au trusquin des portées de 10 mm correspondant aux diamètres d'alésages des roues, et des organes de transmission, pour le tracteur.

La suite pour les 2 boggies. Hyper acier est en vacances une semaine, reprise le 2 Janvier, j'irais donc chercher des plats pour la confections de ces deux boggies, les flancs à l'identiques que le tracteur, et des plats épais dit de traverses danseuses.

Mais la confection des 4 essieux des boggies m'occupperont un bon moment.

Le travail fastidieux sera la confection des 12 boites d'éssieux.

Dans un 1 er temps fraiser des plats alu de 20x8 de 50 de longs à ramener à 7,5 précis qui serviront de calage des boites d'éssieux dans le gabarit d'alésage, et qui seul me permet de travailler en série :

Mise en place de chacun des blocs pour pointages centrage.

puis perçages à 4 puis 10 et la dans la foulée pour ne pas perdre la concentricité, alésages à 26 aux diamètre des 12 roulements de boites d'éssieux.

Tout comme les roues, pas fatigant mais fastidieux.

Quand on tourne on ne peut pas faire autres choses sous peines de cagades.

Dans la suite en semaine traçages des deux longerons, puis préparation des échancrures des boites d'assieux, traçages des deux traverses de tamponnement en vue de la pse des attelages spéciaux JPG à chocs et tractions.

Puis assemblages pointages et soudures arc.

Ce paragraphe est une copie des questions réponses données par erreur de sujet à John, et ou Mike à cru bon d'y répondre, et pour ne faire de torts à personne, je l'ai reportée ici.

A mes débuts c'étaient les machines à vapeur qui retenaient toutes mes attention, pour bateaux auto et voies ferroviaires.

En 1985 je crée mon club Vapeur Hobby 69 club centré sur la vapeur en tous modélisme, et pour démontrer nos possibilités, construction d'un réseau ferroviaire en voie de 127 mm sur lequel d'années en années les membres venus nombreux venaient y faire rouler leurs machines de leur propres fabrications, vapeur, électriques thermiques et thermos hydrauliques, lors des démonstrations dans des expositions ou fêtes de village.

Durant 4/5 ans on a sillonnées les routes de la région Rhone Alpes pour faire mirer notre réseau de chemin de fer, à transporter petits et grands, on effectuais entre 12 et 13 démonstrations par ans, mais le but véritable était de trouver une municipalité complaisante pour nous prêter un terrain viabilisé pour y monter un réseau ferroviaire fixe, et ce fut Ste Foy L' Argentière dans le rhone 69..

Ce réseau existe toujours et transporte petits et grands à la bonne saison touristique de débuts Avril à fin Septembre, d'autant qu'à coté est le chemin de fer touristique de la Brevenne en voie normale qui fait marcher un train touristique de St Bel 69 à Ste Foy L'Argentière sur une trentaines de km dans une vallée verdoyante, de Juin à fin Septembre.

Un connard est venu en 2005 pour me casser la baraque,  et j'ai démissionné au bout de 15 ans de président fondateur.

Mes trains roulent encore sur nos 3 réseaux et ont à leur actifs des milliers de km parcourus tant à la construction des réseaux que des bâtiments eux mèmes et bien sur aux transports des voyageurs.

Avant de casser ma pipe, je voudrais renouer avec le ferroviaire de jardin en re construisant un petit train en voie de 100 mm, un écartement jamais utilisé, qui sera mon propre écartement du Mini Train du Lac du Tornet 74330.

En somme, tu vas nous faire une chemin de fer au 1/10 de voie métrique, qui effectivement n'existe pas (pour le moment ^^)

Mais non Mike, un écartement n'est pas systématiquement associé à une échelle.

100 mm c'est 100 mm, la largeur de mon tracteur est 300 mm, ça ferait 3000 au 1/10.

Fin du HS.

Ce soir mes 6 essieux ont été cylindrés, et pour l'éssieu moteur du tracteur montées avec roues et roues de chaines à rouleaux, les photos suivent.

Pour Marc je met l'accent sur l'aspect des soudures arc, de très pret tu y verra une succéssion de petits croissants, c'est formé par l'arc électrique, toutes soudures arc devraient avoir cet aspect.

Tu remarquera aussi que le début du cordon se trouves en dehors de la soudure, c'est du à l'ammorcage, et par après une fois amorcées les soudures sont continues.

Tu y verra aussi qu'elles ne font pas le tour, pourquoi ? Parce qu'eune seule soudure tiendra plus d'une tonne, alors 2 petites ??????

Sur un axe de 12 c'est suffisant, sur les roues d'engrenages elles sont plus longues par plaisir de souder, mais bon sang j'ai vite arrêté, fumées et asphyxie proches.

L'éssieu monté est l'essieu moteur dont le mouvement vient du moteur lui même.

Je me permets de te corriger, vu que j'ai appris la soudure autogène au chalumeau, les vagues que tu as, ne viennent pas de l'arc électrique, mais de l'avancement de ton bain de fusion au fur à mesure que tu progresses dans l’exécution de la soudure, on peut faire exactement les mêmes vagues avec de la soudure au chalumeau, c'est d'ailleurs le sein graal, car tu démontres ta maitrise de la flamme, de la fusion, de l'apport en métal et de la régularité de ton avancement.
J'ai même vu un concours des olympiades des métiers, où un des concurrents l'a fait sur de la soudobrasure au laiton (dit brox par abus de langage), c'était super beau à voir, on aurait dit un travail fait par un robot tellement c'était maitrisé

Fin du HS.

Pour demain fabrication de deux bagues de blocages pour montages en soudures.

Lors des montages je place mon éssieu vertical, mais vu que la siuydure fait du retrait, un roue peut sze soulever, occasionnant une rotation anarchique.

Les rondelles bien appuyées ou encore pluis longues que les fusées et un bon serre joint les plaquera en butées, les soudures arcs peuvent alors se faire à l'aise.

Une fois soudures faites, reprises en 3 mors d'un coté et de l'autre en pointe tournante, pour à l'aide de mon outils à profiler, retailler le profil des boudins.

0 l'intérieur aux viles des roues le profilage est fait pour les passages en aiguilles, tandis que le profilage extérieur contre la table de roulement c'est les guidages en lignes et en courbes

Entre voiles intérieurs j'ai 89, les épaisseurs boudins au brut sont de 5 mm chacun, de sortes qu'en courbes et lors du montage en gabarit il y ai un sur écartement profitable au tracteur et de son empattement rigide, l'intérieurs des boudins va alors redresser sa course pour lui faire s'inscrire en courbes.

C'est ce qu'on appelle le calage des roues, dans tous écartements les boudins ont une forme spéciale qui s'adapte aux types des rails sur lesquelles elles roulent.

Ces calage doivent etre rigoureux sur tous les trains de roues, tous identiques.

Après les soudures des essieux, je passerais au fraisage des plats de 20x7,5 de 50 de longs pour mon gabarit d'usinages des boites carrées de 35.

La encore ca se fera en série, mais dans une prise chacune des boites aura son pointage, ses pré perçages qui peuvent aller à 11 et un peu plus profond dans la boite que leurs longueurs, (pour ménager une sortes de boite à graisse à vie), Perçages jusqu'à 15 de façons à commencer les alésages a la barre à aléser, au diamètre final de 26, sur 8 de profondeur.

Puis 4 boites seront réservées au tracteur, les 8 autres aux 2 boggies ou j'éspére en Janvier pouvoir trouver chez Hyper des toiles plus minces en 3 mm..

C'est exacte Mike, c'est bien les bains de fusion qui font ces vagues, mais en électrique et c'est flagrant l'arc en arrière de l'avancement forme aussi ces vagues d'avancement, une preuve irréfutable que le bain de soudure s'est bien établis et le mariage fait à coeur.

Je l'ai précisé à Marc, pour qu'il voit bien si ses soudures se sont faites à coeur ou par collages.

Ses premières essais ont été fait sur un vieux poste arc, et avec un masque tenu en mains, à l'indice protane bien trop sombre, de ce fait impossibilité pour lui de bien cerner sa soudure une fois l'ammorce faite, d'où l'urgence d'acheter ces cagoules Leds qui sont fabuleuses.

En faits si ses soudures ne se sont pas faites, c'est qu'il s'y est mal pris, il faut etre DECONTRACTE toute tremblote se traduit par du n'importes quoi. On a une expo ) Monistrol Sr Loire les 22 et 23 Avril, on amene nos poste de soudure pour lui apprendre à souder arc, au moins pour ses grosses machines comme la tronçonneuse a scie fraise, et d'autres constructions d'amateurs.

J'en avais une achete en chine mais avec un indice d'assombriseement trop fort au repos, je n'y voyais que dalle, m'occasionant des soudures dégueulases.

Ici depuis que j'ai acheté cette cagoule,, je retrouve ma dextérité et du plaisir à souder à l'arc.

Je soude en tous postes depuis mes 16 ans en apprentissage de serrurerie dans une boite de serrurerie charpente métalliques surtout sur postes rotatifs.

Mais j'atait trop loin du domicile travail, plus de 30 km à vélo hivers compris, on a donc rompus le contrat, et on en a crée un autre chez un patron à 2 km du domicile, et la uniquement postes statiques, pas mort de rire je ne savais plus du tout souder, j'ai du tout réapprendre.

J'adore la soudure arc en toutes positions même en piscines municipales sur filtres a sable pourris à mort vide d'eau mais plein de sable humide, bonjours les soudures couchés avec masque classique. Ou les soudures en montant, et j'exelles en soudure descendantes sur tôleries fines.

Je ne crache pas sur les TIG et MIG en méccano soudures mais que c'est long a faire à cordons multiples et radiographiées.

En fonction publique ça m'est arrivé de bosser une nuit entière pour terminer des soudures d'urgence sur installations d'une piscine vidée exprès pour ca, vu que les pompes et filtrations étaient en dessous du bassin, j'étais aidé par le gérant de la piscine un pied noir, putain de sacré soudeur arc en toutes positions qui me prenait pour un charlot, mais quand il m'a vu souder nickel et étanche, il vint vers moi pour me remercier, et on est devenus des copains.

Nos tuyauteries acier étaient souvent en diamètre 500 car basses pressions mais énormes debits, ca dépotais la dedans.

Chalumeau ou arc, ce qui compte c'est de ne pas sucrer les fraises (et à ce jeu là, j'étais pas le meilleur) mes soudures étaient souvent étanches, mais laides au possible, le St Graal de la vaguelette, je ne l'ai jamais atteint en 2 ans de pratiques en CAP/BEP plomberie, j'étais bien meilleur théoricien. Sur du bout-à-bout, je me défendais mais sur du pied de biche qui est la soudure la plus complexe au chalumeau, à cause de la réflexion du front de flamme du dard (tu le sais aussi bien que moi) là, c'était beaucoup, beaucoup moins bien.

Mon maitre de stages était de la trempe de ton copain, capable de souder étanche, beau, la tête en bas les pieds en l'air, avec une tasse à café dans une main

alors mes dernières soudures ne sont pas du collage je peux te l'assurer. on aperçois même quelques vagues sur l'une d'entre elles. C'est clair que avoir mes 2 mains vont combattre la tremblotte et voir ou je pose ma baguette pour pas amorcer à 2cm de la cible sera un plus non négligeable.

Je tire mon chapeau aux mecs qui soudaient d'une main avec un masque tenu par sa poignée en plastique qui ne permet pas de voir au travers avant le début de l'amorçage. Moi j'ai pas réussi.

En faits, c'était du feeling, une question d'habitudes, une fois le bout de la baguette amorcée sur un bout de ferraille ou l'établis métallique, on approchait le bout de la baguette de l'endroit à souder tout en mettant le masque devant nos yeux et l'on amorcaient franchement sans trembler bien sur et la soudure commençait.

Avant ces masques à Leeds, les soudeurs pro portaient des cagoules comme ces masques, et portaient des gants de cuir, des vêtements de cuir des tabliers de cuir, toutes protections aux UV et infra rouge, Et du fait de la cagoule ils avaient leurs 2 mais pour souder et diriger le bout de la baguette sans se bruler.

L'équipé se composait de 2 gars, le métallo qui préparais et le soudeur qui soudait. Ca c'etait dans les grosses entreprises.

Pour les petites le gars métallo était aussi soudeur, on pointais, on s'assurait des bons montages et on soudait par passes discriminatoires, en faits de manières dirigées pour avoir le moins de retraits et de dilatations possibles.

C'est sur que c'est un métier, de longues années de pratiques en toutes positions et sur divers chantiers, en ateliers et en poses.

Hier l'essieu soudé, je l'ai fait par habitudes mais avec le sentiment de bien faire grâce au masque à Leeds.

Je ne soude qu'à la 1,5 diamètre maxi de mon ondularc en intensité maximum, et je m'adapte alors à la fusion, et aux conditions dans lesquelles je soude, et bien sur mes supports. J'aborde mes soudures comme j'aborde tous mes travaux de métallerie, c'est à dire dans le calme et la sérénité, la soudures est le prolongement de mon esprit.

La c'était du grossium parce ce que ça ne demande pas autres choses, mais si je devais souder des tôles fines je le ferais aux brasures brox au chalumeau.

Bien comprendre que tous ces outillages si bien maitrisés sont les prolongements de nos esprits : On sait ce dont on dispose, on a usiné en conséquences, on procéde alors aux assemblages définitifs.

Cet essieu est donc terminé, une fois soudé repris sur le tour, pour faire les finitions des boudins, et redresser ce qui à légèrement bougé, et surtout la concentricité et le parallélisme.

Il y aura juste une reprise sur le bout de fusée pris en 3 mors qui marque sa portée, un coup de lime douce autours suivis d'un coup de papier de verre ou toile émeri.

Et donc tous les essieux seront dans le même états une fois assemblés. Et mis de coté pour passer aux autres phases de fabrications. Les boites d'essieux.

Dites vous bien qu'en ferroviaire de jardin, j'aie derrière moi une pratique de 30 ans environ. Je n'en suis pas à mes premiers essieux.