Ramasseur de containers à grue mixte hydraulique et électrique.

Cette fois c'est bon pour la grue, une fois bien réglée en rotation.

La longueur de sa crémaillère, 100 mm est bonne, son point mort est sur l'axe de la benne, dans chaque sens elle fait 180 °, donc un tour complet sur 360°.

Les fins de courses je les placerais derrière la crémaillère dans des creux fraisés dans la crémaillère, le plus près possible du mat de flèche pour éviter les filasses trop longues.

Les courses des vérins sont tout ce qu'il y a de bien, pas mal de relevage au vertical, et compas assez fermé pour le relevage, pour le brisé, idem à la Fleche, quand au télescopage, c'est plus 145 en allongement.

Les durits des brisés et télescope passent derrière le mat, les réglages des rotations ont permis de voir que les durits ne coincent nulle parts, mais leurs mises a longueurs enfichées dans le bloc des distributeurs se fera flèche sur l'axe avant, pour profiter de leurs jeux en plus.

Le moto de rotation est encore trop rapide, mais j'en ai d'autres encore plus lents, et identiques, tant en formes qu'en longueurs, diamètres et fixations, la encore c'est bon d'avoir du stock. De plus se démontants instantanément, vu que c'est le bloc de fixation qui vient avec le moto, de sortes que l'interchangeabilité se fasse en dehors du camion directement sur l'établis.

Encore un truc : la grue en rotation télescope replié mais flèche étendue, le camion accuse une légère gite de chaque coté, qu'est ce que ça serait flèche télescopée et en charge ? Les stabilisateurs sont donc indispensables.

Pour eux je vais étudier des jambes télescopables avec N 20.

En faits voici comment ca se présente : les deux tubes fixes carré en alu peuvent pas se fixer cote à cote, mais l'un au dessus de l'autre, il faut donc que les tubes acier télescopables en positions fermés, les vérins verticaux soient rentrés dans la structure.

Ainsi positionnés j'aie de la place sur les cotés, en refendant sur leurs longueurs les tubes alu, pour placer dans les tubes acier télescopables des pions d'actions sur les fins de courses, cachant par la même ces fins de courses qui restent néanmoins fragiles.

En développés, ce sont les fins de courses qui assureront les sécurités d'arrêt en allongements au choix, quand aux durits hydro des stabs, et j'ai vu ca sur un vrais camions, elles se replient dans la structure et ne dépassent pas le gabarit surtout en tubes de 1,5x3. J'aie donc tous intérêts à commander ces télescopages de façons indépendants, mais les stabilisations hydrauliques seront assurées des 2 cotés de toutes façons. commandés par une seule voie hydro.

Encore un challenge casse tète en perspective.

La fraiseuse Proxxon ne va pas chômer.

A son sujet, je la trouve géniale, car je puis faire instantanément tous travaux d'ajustages sur ce que je construit, alors qu'avant, j'était obligé de m'habiller et descendre en cave pour faire le moindre ajustage en fraisages.

Si je déménage en logement plus restreint grosse fraiseuse et gros tour seront remisé sur des rayonnages me laissant la place aux petites machines.

Ces 2 grosse machines font 80 kg pour la fraiseuse et 60 kg pour le tour, l'idéal serait alors un établis tournant et blocable, d'un coté le tour, de l'autre la fraiseuse, le tout monté sur un entablement à galets maison. Toujours une économie en gains de place.

Alors, j'aie du tube acier de 12 pour les télescopes et du tube alu de 15 pour les fourreaux.

Le temps de faire des dessins, je passerais en fabrication.

parfait tout çà. Cà avance super bien. C'est clair que le jour ou mon atelier bouge au garage, la Proxxon et l'Emco resteront ou ils sont dans la maison.

J'adore ton idée d'établi rotatif, si tu pars sur un plateau carré de 80cm de coté à mon avis tu peux y mettre les 2, il te faudra quand même un système à galets costaud ou une bonne butée à billes pour la rotation si tu le fais en pied central car tu devras supporter 150kg de charge, à moins que tu le mettes sur roulettes rotatives freinées sur du 4 pieds.