Autoportée Atkinson, camion grue à flèche treillage de dépannage époque 1940.
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Autoportée Atkinson, camion grue à flèche treillage de dépannage époque 1940.
Dans le courant de l'année 2007, tout en construisant la grue à tour, je m’aperçut que le mode de montage imposait la construction simultanée d'un camion à flèche de montage. Et simultanément à la demande d'un suisse du forum MCR de Lausanne, la construction du LTM 1100 5-1
J'avais commencé 6 mois plus tôt , d'après photos un camion de dépannage à flèche treillage ATKINSON un modèle anglais rétro, à flèche courte mais néanmoins démontable, ma solution eue eté de construire trois éléments de 1 mètres pour arriver à la hauteur de 2060 mm au mouton, hauteur nécessaire au montage de ma grue à tour.
Des photos seront explicites de ce modèle maintes fois remanié, mais dont l'immense flèche me relevait les 6 kg du porte flèche.
L'engin à été relayé par le LTM, il sert actuellement servis par un conducteur d'engins à la pose des contre poids de la grue à tour, se déplaçant rapidement il peut être mis à poste la ou c'est nécessaire.
A la moitié de l'année 2007 la grue à tour venant à achèvement, je commençait la construction de ma commande Suisse, et tout comme la nooteboom, n'y connaissait strictement rien dans ces engins très spéciaux, d'autant que le client , comme d'habitude était très exigeant.
Ce LTM de liebherr est donc un auto portée à 5 essieux, divisés en deux groupes directionnels avant et arrière de deux essieux, l’essieu médian étant à l'origine relevable.
Cet un engin qui vire court malgré sa longueur de près d'un mètre et son poids conséquent de 20 kg.
Prévus à l'origine hydraulique mais avec mes systèmes, est revenu au tout électrique avec bonheur.
La partie camion est radio commandée, la partie grue est filoguidée.
Pour la partie camion il dispose de trois voies, deux directions indépendantes et une réversion du sens de marche.
pour la partie grue d'un relevage flèche rapide, d'un télescopage tout aussi rapide, d'une rotation de tourelle à variation de vitesses, et de deux treuils de levage, l'un pour le palan mouflé à 7 brins l’autre pour le GIB ou flèche additionnelle à deux volées, et d'un relevage de contre poids, d'une corne de brume dite de sécurité.
L'engin est capable de relever à 2500 une charge de 6 kg avec sa flèche quasi verticale, mais plus c'est haut et penché moins la charge est importante.
La encore suite à des différends avec le commanditaire, l'engin à l'époque de sa livraison, n'était pas du tout opérationnel, nous avons dus casser la vente, il a été remboursé de ses avances et j'ai gardé le modèle, mis au placard, puis repris 6 mois après avec le EURÊKA habituel, sa transformation au tout électrique filoguidé ne m'a demandé que trois jours, c'est un engin extraordinaire, dont je ne me séparerais pas.
Si ça intéresse des modélistes j'ai en préparation deux LTM 1070 3 essieux sur base roulante Tamiya.
J'avais commencé 6 mois plus tôt , d'après photos un camion de dépannage à flèche treillage ATKINSON un modèle anglais rétro, à flèche courte mais néanmoins démontable, ma solution eue eté de construire trois éléments de 1 mètres pour arriver à la hauteur de 2060 mm au mouton, hauteur nécessaire au montage de ma grue à tour.
Des photos seront explicites de ce modèle maintes fois remanié, mais dont l'immense flèche me relevait les 6 kg du porte flèche.
L'engin à été relayé par le LTM, il sert actuellement servis par un conducteur d'engins à la pose des contre poids de la grue à tour, se déplaçant rapidement il peut être mis à poste la ou c'est nécessaire.
A la moitié de l'année 2007 la grue à tour venant à achèvement, je commençait la construction de ma commande Suisse, et tout comme la nooteboom, n'y connaissait strictement rien dans ces engins très spéciaux, d'autant que le client , comme d'habitude était très exigeant.
Ce LTM de liebherr est donc un auto portée à 5 essieux, divisés en deux groupes directionnels avant et arrière de deux essieux, l’essieu médian étant à l'origine relevable.
Cet un engin qui vire court malgré sa longueur de près d'un mètre et son poids conséquent de 20 kg.
Prévus à l'origine hydraulique mais avec mes systèmes, est revenu au tout électrique avec bonheur.
La partie camion est radio commandée, la partie grue est filoguidée.
Pour la partie camion il dispose de trois voies, deux directions indépendantes et une réversion du sens de marche.
pour la partie grue d'un relevage flèche rapide, d'un télescopage tout aussi rapide, d'une rotation de tourelle à variation de vitesses, et de deux treuils de levage, l'un pour le palan mouflé à 7 brins l’autre pour le GIB ou flèche additionnelle à deux volées, et d'un relevage de contre poids, d'une corne de brume dite de sécurité.
L'engin est capable de relever à 2500 une charge de 6 kg avec sa flèche quasi verticale, mais plus c'est haut et penché moins la charge est importante.
La encore suite à des différends avec le commanditaire, l'engin à l'époque de sa livraison, n'était pas du tout opérationnel, nous avons dus casser la vente, il a été remboursé de ses avances et j'ai gardé le modèle, mis au placard, puis repris 6 mois après avec le EURÊKA habituel, sa transformation au tout électrique filoguidé ne m'a demandé que trois jours, c'est un engin extraordinaire, dont je ne me séparerais pas.
Si ça intéresse des modélistes j'ai en préparation deux LTM 1070 3 essieux sur base roulante Tamiya.
Dernière édition par admin-jpg le Dim 30 Nov - 14:38, édité 1 fois
Re: Autoportée Atkinson, camion grue à flèche treillage de dépannage époque 1940.
J'ai proposé à Axel de lui vendre mon camion grues ATKINSON dont je ne me sert plus, voici à sa demande des photos de détails de cet ensemble routier.
Actuellement la partie camion est radio commandées en 27 méga, je lui propose de lui monter la 6 voies 2,4 giga prévues pour Pastaga, radio qui va aller tout à fait à ce modèle: 2 voies sur manches pour la direction et le sens de marche.
2 voies sur manches pour la tourelle et le relevage de flèche.
Quand aux deux treuils ce sont les voies auxiliaires dont j'ai modifié les boutons, avec des manches à reprise des neutres.
Tous ces moteurs sont des réducteurs RB 100 et 200, pour la partie grue, ils se contenteront très bien de varios Thor 15 et 14.
Un accus lipo 7,4 v de 5 amp et le tour est joué pour s'mmuser le plus longtemps possible au grutier levageur.
J'avais conçus cet engin, pour le montage de ma grue à tour, sa flèche est rallongeable avec deux éléments de 50 cm et un de 30 cm ce qui permet outre les deux éléments de base et de tète de porter la longueur à 2060.
En fait il me fallait 2 mètres pour le relevage du porte flèche de la grue avec ses 6 kg, le moufle comportant 5 brins.
Par la suite la commande de mon Suisse pour le LTM 1100 ayant capotée, je me suis servis de cet engin bien plus pratique avec sa flèche télescopique.
Le boitier au sol c'est le filoguidage, dont le câblage est autrement plus compliqué qu'une radio commande.
En fait je l'ai expliqué à Axel, quand j'ai commencé en TP il n'y avait pas de radios 2,4 giga sur le marché, tous mes engins étaient radiocommandés, MAIS lors des expositions j'étais perpétuellement emmerdé par les bateaux et surtout les avions, a tel point quer je ne pouvais pas me servir de mes modèles, en désespoir de cause j'ai passé nombre d'entre eux au filoguidage, j'étais ainsi à l’abri de ces désagréments de fréquences.
De nos jours ces systèmes ne se justifient plus d'autant que les radio King ne sont pas chères et que les vario ont fichtrement baissés de prix.
De ce fait, tous mes engins actuellement sont commandés soit par des radios King, soit de vieilles radios transformées au 2,4 giga, ou encore des neuves transformées de la même façon avec les modules DYE de Corona.
Imaginez une radio F14 neuve en 2,4 à 150 € qui dit mieux ?
Le boitier de commandes, le bouton jaune étant le variateur de vitesse de rotation tourelle.
La prise de raccordement SUB-D d'informatique à 15 conducteurs le câble DEEPER quand à lui est à 12 conducteurs, car il faut ramener la puissance dans le boitier.
L'arrière du camion sans sa prise de contact.
Les portes arrières de grues sont ouvrantes, elles coulissent latéralement, en fait toutes les portes sont coulissantes et le toit est amovible pour accessit à l'appareillage quel qu'il soit.
L’accu général était en soute arrière de grue. La rotation est limitée du fait du passage des fils de puissance dans l'axe de tourelle.
Le trou carré en haut à droite était celui de l'inter général radio.Portes ouvertes l'installation des moto réducteurs de tout l'appareillage: Deux treuils à chaines, treuil de relevage flèche, rotation de tourelle.
Suite après souper.
Actuellement la partie camion est radio commandées en 27 méga, je lui propose de lui monter la 6 voies 2,4 giga prévues pour Pastaga, radio qui va aller tout à fait à ce modèle: 2 voies sur manches pour la direction et le sens de marche.
2 voies sur manches pour la tourelle et le relevage de flèche.
Quand aux deux treuils ce sont les voies auxiliaires dont j'ai modifié les boutons, avec des manches à reprise des neutres.
Tous ces moteurs sont des réducteurs RB 100 et 200, pour la partie grue, ils se contenteront très bien de varios Thor 15 et 14.
Un accus lipo 7,4 v de 5 amp et le tour est joué pour s'mmuser le plus longtemps possible au grutier levageur.
J'avais conçus cet engin, pour le montage de ma grue à tour, sa flèche est rallongeable avec deux éléments de 50 cm et un de 30 cm ce qui permet outre les deux éléments de base et de tète de porter la longueur à 2060.
En fait il me fallait 2 mètres pour le relevage du porte flèche de la grue avec ses 6 kg, le moufle comportant 5 brins.
Par la suite la commande de mon Suisse pour le LTM 1100 ayant capotée, je me suis servis de cet engin bien plus pratique avec sa flèche télescopique.
Le boitier au sol c'est le filoguidage, dont le câblage est autrement plus compliqué qu'une radio commande.
En fait je l'ai expliqué à Axel, quand j'ai commencé en TP il n'y avait pas de radios 2,4 giga sur le marché, tous mes engins étaient radiocommandés, MAIS lors des expositions j'étais perpétuellement emmerdé par les bateaux et surtout les avions, a tel point quer je ne pouvais pas me servir de mes modèles, en désespoir de cause j'ai passé nombre d'entre eux au filoguidage, j'étais ainsi à l’abri de ces désagréments de fréquences.
De nos jours ces systèmes ne se justifient plus d'autant que les radio King ne sont pas chères et que les vario ont fichtrement baissés de prix.
De ce fait, tous mes engins actuellement sont commandés soit par des radios King, soit de vieilles radios transformées au 2,4 giga, ou encore des neuves transformées de la même façon avec les modules DYE de Corona.
Imaginez une radio F14 neuve en 2,4 à 150 € qui dit mieux ?
Le boitier de commandes, le bouton jaune étant le variateur de vitesse de rotation tourelle.
La prise de raccordement SUB-D d'informatique à 15 conducteurs le câble DEEPER quand à lui est à 12 conducteurs, car il faut ramener la puissance dans le boitier.
L'arrière du camion sans sa prise de contact.
Les portes arrières de grues sont ouvrantes, elles coulissent latéralement, en fait toutes les portes sont coulissantes et le toit est amovible pour accessit à l'appareillage quel qu'il soit.
L’accu général était en soute arrière de grue. La rotation est limitée du fait du passage des fils de puissance dans l'axe de tourelle.
Le trou carré en haut à droite était celui de l'inter général radio.Portes ouvertes l'installation des moto réducteurs de tout l'appareillage: Deux treuils à chaines, treuil de relevage flèche, rotation de tourelle.
Suite après souper.
Re: Autoportée Atkinson, camion grue à flèche treillage de dépannage époque 1940.
La cabine est basculante sur l'avant, pour accéder au servo et à la direction.
La tète de flèche, l'engin à 5 ans et à participé à 30 montages de ma grue à tour, le LTM à autant, j'ai à mon actif plus de 60 montages démontages de ma grue à tour.
Sur le toit de la cabine, les quilles de montage de la flèche.
Coté droit de tourelle porte ouverte
Attentif le gus, s'agit pas de démâter ?
Les trois rallonges de flèche.
Le système de clampage des éléments par fiches acier.
Deux éléments montés.
Deux ponts maison, trains de roues Bruder.
Les 3 contre poids béton pour un poids de 4 kg (suivant charge et verticalité du mat).
Et enfin la radio 6 voies modifiée que je propose de monter.
Re: Autoportée Atkinson, camion grue à flèche treillage de dépannage époque 1940.
Pour Steeve:
En fait cet engin avait été construit d'origine en 8x4, soit deux directions et deux ponts moteurs à une époque ou je n’utilisait pas encore du matériel Tamiya.
J'ai donc construit entièrement mes deux ponts différentiels à partie de pignons meccano sous carters alu, et les deux directions, mais en fait vue le peu de souplesse des suspensions l'engin virait difficilement, j'ai donc supprimée la direction arrière.
Mais l'ensemble propulsif ne m'a jamais données entière satisfaction, et c'est bien dommage car c'est un chouette engin que l'on ne voit pas souvent dans les expos.
l'idéal serait une refonte de l'engin, avec la pose de deux ponts tamiya, et une radio commande complète en lieu et place du filoguidage.
Ces différends filoguidages ont été dictés à une époque ou le 2,4 giga n’était pas encore apparut sur le marché, et ou les fréquences 41, 72 et 2 étaient les reines utilisées par tous, et en exposition nous étions les parents pauvres.
Dorénavant ces dispositions n'ont plus cours, mais les transformations coutent néanmoins chers, et la passation d'un mode à l'autre prends également un temps appréciable.
J'ai donc la propulsion et le direction 2 voies, rotation flèche, relevage, et deux treuils, soit une radios 6 voies serait la bien venue.
Coté radio , manche de droite et gauche à la conduite standard du camion en mode habituel, puis rotation flèche et relevage sur manches mais inversés, reste alors les deux treuils sur voies auxiliaires rattrapées sur neutres artificiellement.
Les stabilisateurs d'origine étaient radio commandés mais compliqués transformés depuis en manuels, petits stabs et grands stabs pour relever de fortes charges.
L'engin m'a donc servis au début pour monter ma grue à tour, environ 35 montages et démontages, puis relayés par le LTM 1100 avec 45 montages et démontages à ce jour, une vraie usine.
En fait cet engin avait été construit d'origine en 8x4, soit deux directions et deux ponts moteurs à une époque ou je n’utilisait pas encore du matériel Tamiya.
J'ai donc construit entièrement mes deux ponts différentiels à partie de pignons meccano sous carters alu, et les deux directions, mais en fait vue le peu de souplesse des suspensions l'engin virait difficilement, j'ai donc supprimée la direction arrière.
Mais l'ensemble propulsif ne m'a jamais données entière satisfaction, et c'est bien dommage car c'est un chouette engin que l'on ne voit pas souvent dans les expos.
l'idéal serait une refonte de l'engin, avec la pose de deux ponts tamiya, et une radio commande complète en lieu et place du filoguidage.
Ces différends filoguidages ont été dictés à une époque ou le 2,4 giga n’était pas encore apparut sur le marché, et ou les fréquences 41, 72 et 2 étaient les reines utilisées par tous, et en exposition nous étions les parents pauvres.
Dorénavant ces dispositions n'ont plus cours, mais les transformations coutent néanmoins chers, et la passation d'un mode à l'autre prends également un temps appréciable.
J'ai donc la propulsion et le direction 2 voies, rotation flèche, relevage, et deux treuils, soit une radios 6 voies serait la bien venue.
Coté radio , manche de droite et gauche à la conduite standard du camion en mode habituel, puis rotation flèche et relevage sur manches mais inversés, reste alors les deux treuils sur voies auxiliaires rattrapées sur neutres artificiellement.
Les stabilisateurs d'origine étaient radio commandés mais compliqués transformés depuis en manuels, petits stabs et grands stabs pour relever de fortes charges.
L'engin m'a donc servis au début pour monter ma grue à tour, environ 35 montages et démontages, puis relayés par le LTM 1100 avec 45 montages et démontages à ce jour, une vraie usine.
Re: Autoportée Atkinson, camion grue à flèche treillage de dépannage époque 1940.
j'ai encore la carrosserie que j'avais fais pour ce projet commun malheureusement tout le reste et parti
mais je risque de monter ce Atkinson en chassi cabine et faire une jolie remorque ou simplement créer une dépanneuse
mais je risque de monter ce Atkinson en chassi cabine et faire une jolie remorque ou simplement créer une dépanneuse
steeve van- Messages : 19
Date d'inscription : 17/01/2013
Re: Autoportée Atkinson, camion grue à flèche treillage de dépannage époque 1940.
Pourquoi pas une petite dépanneuse ? Sait tu mon ami que nous ne sommes pas très loin l'un de l'autre ? Je réside près d' Annecy soit à 70 km de Genève, et nous prenons avec ma compagne la vignette suisse. Avec la rocade sur St Julien, la frontière est vite la .
D'ailleurs l'an passé"e je lui ai fait visiter quelques coins de suisse aux alentours du Léman: Le mini train de Pully, le Swiss vapeur Park, Monthéy, Villeneuve, Pas de Morgins.
Au printemps il faudra se faire un petit visu près de chez toi , Tu te rappelle Migro ?
Moi ça me ferait plaisir de te revoir, et l'occasion d'aller vers chez toi ? Autre occasion de lui faire découvrir ton beau pays .
D'ailleurs l'an passé"e je lui ai fait visiter quelques coins de suisse aux alentours du Léman: Le mini train de Pully, le Swiss vapeur Park, Monthéy, Villeneuve, Pas de Morgins.
Au printemps il faudra se faire un petit visu près de chez toi , Tu te rappelle Migro ?
Moi ça me ferait plaisir de te revoir, et l'occasion d'aller vers chez toi ? Autre occasion de lui faire découvrir ton beau pays .
Re: Autoportée Atkinson, camion grue à flèche treillage de dépannage époque 1940.
pas de souci pour moi ma porte et toujours grande ouverte !
oui la Migro c'était génial !
je vais regardez tout ça pour la dépanneuse
et oui on n'est pas très loin l'un de l'autre c'est cool !
oui la Migro c'était génial !
je vais regardez tout ça pour la dépanneuse
et oui on n'est pas très loin l'un de l'autre c'est cool !
steeve van- Messages : 19
Date d'inscription : 17/01/2013
Re: Autoportée Atkinson, camion grue à flèche treillage de dépannage époque 1940.
Je verrait bien une dépanneuse à bigue relevable et à sommier en H, pourquoi pas un engin hydrauliques ? Un petit truc à deux voies ?
En plus fastoche avec ma putain d'expérience , une dépanneuse de camions par exemple avec une cabine rétro ?
Soit un engin à 4/5 voies plus peut être un treuil de bigue et un treuil de traction ? une dépanneuse mixte polyvalente.
n fait des 4 engagés dans ce challenge à la Steeve, j'étais le premier à sortir mon engin, lol, travail uniquement d'après 3 photos d'une grue auto portée Anglaise à flèche treillage.En 2007.
J'étais partis dans l'idée d'une flèche simple, puis avec la construction de ma grue à tour, la nécessité de posséder une grue de relevage et de montage, m'ont fait modifier celle flèche , démontable avec deux rallonges de 80 cm et une de 30 cm.
Bien m'en a prit ça devenue indispensable vu le type de montage adopté pour cette grue.
En faitn vu le poids de l'ensemble porte flèche, flèche et contre flèche équipée de ses contre poids, soit plus de 20 kg, il est impossible de monter cet ensemble d'une pièce sur le mat déja dréssé et monté, une grue de levage est absolument indispensable, générallement dévolu aux LTM télescopiques.
Les grues à Tours ECB quand à elles sont plus faciles à mettre en œuvre, pas de porte flèche, juste un couronnement pivotant , la flèche faisant partie intégrante de la contre flèche, en fait cet ensemble si faible allongement, peut se placer d'un bloc sur le mat.
Celui ci bien entendu est constitué de deux grands éléments rigides faisant partie intégrantes de la base lestée.
En fait , il est impensable de monter une grue à tour sans grue de montage.
Le LTM 1100 avait été construit pour un ami Suisse, les trois mois de construction qu'il demandait se sont transformés en 1 an et demi, le fou construire un tel ouvrage en trois mois ? Pour en fin du compte un engin pas oppérationnel du tout, du coup on a tout annulés et j'ai gardé mon engin, qui m'a bien servis par la suite au montage plus vérique de ma grue à tour.
Lors de l'expo de la Balme en fin Novembre, je hissait en télescopage des éléments de mes contre poids, donc pas fait pour ça, CRAC les câbles de renvois internes ont lâchés, et les éléments télescopés sont redescendus à vitesse grand VE.
En fait cet engin est à reprendre presque entièrement pour plus de fiabilité:
Refaire la base de tourelle en tôles d'alu épaisse deux joues en 4 ou 4 mm parallèles sur une châssis rigide, le reste entourant la tourelle n'étant que du carrossage, reprendre levage et télescopage en hydraulique, re transformation de l'ensemble en radio commandé intégral. Et bien sur révision du télescopage et raccrochage des câbles.
En fait c'est un travail pénible, puisqu'il faut tomber entièrement la flèche et travailler sur établis, cette dépose sera mise à profit pour refaire entièrement la base de tourelle en plus solide et orthogonale.
Certainement reprise des suspensions avant de l'engin par pose d'amortisseurs à ressorts cat l'avant de l'engin est très lourd, le poids du mouton de flèche y étant pour beaucoup dans le porte à faux avant.
Autrement dans l'ensemble l'engin est agréable avec ses multiples fonctions:
Doubles directions indépendantes et motrices, essieu central relevable d'origine, en fait une hérésie vu le poids total roulant, supprimer une portée d’essieu revient à charger d'avantage les autres.
D'origine suivant cahier des charges jambes et vérins de stabilisation télescopiques hydrauliques, relevage de flèche et télescopage hydraulique, rotation tourelle, d'ailleurs la couronne plastique et son pignon seront remplacés en acier vu le couple de torsion, deux treuils indépendants l'un pour le mouflage principal à 7 brins maximum, l'autre pour le GIB à un brin, relevage des contre poids, mise en place de la contre flèche et contre fléchette permettant des levages à 3 mètres et 4,500 mètres. charge en mouflage 6 kg maxi, et 1 kg en contre flèche.
En plus fastoche avec ma putain d'expérience , une dépanneuse de camions par exemple avec une cabine rétro ?
Soit un engin à 4/5 voies plus peut être un treuil de bigue et un treuil de traction ? une dépanneuse mixte polyvalente.
n fait des 4 engagés dans ce challenge à la Steeve, j'étais le premier à sortir mon engin, lol, travail uniquement d'après 3 photos d'une grue auto portée Anglaise à flèche treillage.En 2007.
J'étais partis dans l'idée d'une flèche simple, puis avec la construction de ma grue à tour, la nécessité de posséder une grue de relevage et de montage, m'ont fait modifier celle flèche , démontable avec deux rallonges de 80 cm et une de 30 cm.
Bien m'en a prit ça devenue indispensable vu le type de montage adopté pour cette grue.
En faitn vu le poids de l'ensemble porte flèche, flèche et contre flèche équipée de ses contre poids, soit plus de 20 kg, il est impossible de monter cet ensemble d'une pièce sur le mat déja dréssé et monté, une grue de levage est absolument indispensable, générallement dévolu aux LTM télescopiques.
Les grues à Tours ECB quand à elles sont plus faciles à mettre en œuvre, pas de porte flèche, juste un couronnement pivotant , la flèche faisant partie intégrante de la contre flèche, en fait cet ensemble si faible allongement, peut se placer d'un bloc sur le mat.
Celui ci bien entendu est constitué de deux grands éléments rigides faisant partie intégrantes de la base lestée.
En fait , il est impensable de monter une grue à tour sans grue de montage.
Le LTM 1100 avait été construit pour un ami Suisse, les trois mois de construction qu'il demandait se sont transformés en 1 an et demi, le fou construire un tel ouvrage en trois mois ? Pour en fin du compte un engin pas oppérationnel du tout, du coup on a tout annulés et j'ai gardé mon engin, qui m'a bien servis par la suite au montage plus vérique de ma grue à tour.
Lors de l'expo de la Balme en fin Novembre, je hissait en télescopage des éléments de mes contre poids, donc pas fait pour ça, CRAC les câbles de renvois internes ont lâchés, et les éléments télescopés sont redescendus à vitesse grand VE.
En fait cet engin est à reprendre presque entièrement pour plus de fiabilité:
Refaire la base de tourelle en tôles d'alu épaisse deux joues en 4 ou 4 mm parallèles sur une châssis rigide, le reste entourant la tourelle n'étant que du carrossage, reprendre levage et télescopage en hydraulique, re transformation de l'ensemble en radio commandé intégral. Et bien sur révision du télescopage et raccrochage des câbles.
En fait c'est un travail pénible, puisqu'il faut tomber entièrement la flèche et travailler sur établis, cette dépose sera mise à profit pour refaire entièrement la base de tourelle en plus solide et orthogonale.
Certainement reprise des suspensions avant de l'engin par pose d'amortisseurs à ressorts cat l'avant de l'engin est très lourd, le poids du mouton de flèche y étant pour beaucoup dans le porte à faux avant.
Autrement dans l'ensemble l'engin est agréable avec ses multiples fonctions:
Doubles directions indépendantes et motrices, essieu central relevable d'origine, en fait une hérésie vu le poids total roulant, supprimer une portée d’essieu revient à charger d'avantage les autres.
D'origine suivant cahier des charges jambes et vérins de stabilisation télescopiques hydrauliques, relevage de flèche et télescopage hydraulique, rotation tourelle, d'ailleurs la couronne plastique et son pignon seront remplacés en acier vu le couple de torsion, deux treuils indépendants l'un pour le mouflage principal à 7 brins maximum, l'autre pour le GIB à un brin, relevage des contre poids, mise en place de la contre flèche et contre fléchette permettant des levages à 3 mètres et 4,500 mètres. charge en mouflage 6 kg maxi, et 1 kg en contre flèche.
Re: Autoportée Atkinson, camion grue à flèche treillage de dépannage époque 1940.
En ce début Janvier 2007, début de la construction de cet auto portée ATKINSON, Lolosnop va certainement y voir son propre châssis ?
Donc deux U en alu de 20x10 se regardants, sur 4 traverses de même nature, assemblés par cornières intérieures en 15x15 vissées puis rivées.
L'important étant d'avoir un châssis de base sur lequel monter tous les éléments.
Détails structurels d'assemblages, traverses grugées pour conserver le profil.
traverses assemblées de même façon.
A mes débuts, je ne connait pas tout des camions et TP, quand aux fournitures elles sont introuvables et très chères ? Ma seule solution, c'est de tout fabriquer puisque je possède les machines pour ce faire ? Et puis il y a aussi le coté passion du véritable constructeur.
Ci dessus les carrés alu de 40x40x50 pour tailler des ponts différentiels maison, De quoi en faire au moins 6 complets.
puisqu'il me faut tout construire, voici l'embase tournante à roulement de la tourelle de ce camion 4 axes. Ici une embase de récupération de renvois d'angle BONFIGLIOLI.
l'embase va m'occuper un bon moment , que des pièces alu de récupération sauf la couronne 100 dts hostaforme, je dirait des moments d'intenses plaisirs à usiner.
Sur cette embase le plateau de tourelle de la grue.
Après des heures de tournage, aperçut de ce que serons mes différentiels : Deux demi coquilles assemblées par tenons et mortaises de centrage, renfermant les mécanismes en pignons meccano du différentiel.
Peut être pas la meilleure solution, mais celle donnant de bons résultats pour un amateur ?
Avec le recul du temps je vais opter pour des ponts tamiya standards avant et arrière. Qui se trouvent au détails chez nos fournisseurs, tandis qu'en 2007, c'était introuvable.
Je n'en suis pas à mon premier différentiel ? j'en fabrique pour mes modèles depuis 30 ans au moins, les premiers l'étaient avec des pignons de réveil matin.
Le mécanisme dans ses deux coquilles, on distingue l'un des planétaires, et à gauche les dents de la couronne d'entrainement, qui sera raccordée par le pignon moteur venant de la transmission moteur.
En réduction pour plus de clarté ????????????????????
Le pignon moteur et son palier en bout d'un Réducteur RB 35 accouplé en direct sans cardans. car manque de place sur l'avant occupé par les deux directions et leurs servos. A l'impossible nul n'est tenu, sauf par les têtus lol.
Donc deux U en alu de 20x10 se regardants, sur 4 traverses de même nature, assemblés par cornières intérieures en 15x15 vissées puis rivées.
L'important étant d'avoir un châssis de base sur lequel monter tous les éléments.
Détails structurels d'assemblages, traverses grugées pour conserver le profil.
traverses assemblées de même façon.
A mes débuts, je ne connait pas tout des camions et TP, quand aux fournitures elles sont introuvables et très chères ? Ma seule solution, c'est de tout fabriquer puisque je possède les machines pour ce faire ? Et puis il y a aussi le coté passion du véritable constructeur.
Ci dessus les carrés alu de 40x40x50 pour tailler des ponts différentiels maison, De quoi en faire au moins 6 complets.
puisqu'il me faut tout construire, voici l'embase tournante à roulement de la tourelle de ce camion 4 axes. Ici une embase de récupération de renvois d'angle BONFIGLIOLI.
l'embase va m'occuper un bon moment , que des pièces alu de récupération sauf la couronne 100 dts hostaforme, je dirait des moments d'intenses plaisirs à usiner.
Sur cette embase le plateau de tourelle de la grue.
Après des heures de tournage, aperçut de ce que serons mes différentiels : Deux demi coquilles assemblées par tenons et mortaises de centrage, renfermant les mécanismes en pignons meccano du différentiel.
Peut être pas la meilleure solution, mais celle donnant de bons résultats pour un amateur ?
Avec le recul du temps je vais opter pour des ponts tamiya standards avant et arrière. Qui se trouvent au détails chez nos fournisseurs, tandis qu'en 2007, c'était introuvable.
Je n'en suis pas à mon premier différentiel ? j'en fabrique pour mes modèles depuis 30 ans au moins, les premiers l'étaient avec des pignons de réveil matin.
Le mécanisme dans ses deux coquilles, on distingue l'un des planétaires, et à gauche les dents de la couronne d'entrainement, qui sera raccordée par le pignon moteur venant de la transmission moteur.
En réduction pour plus de clarté ????????????????????
Le pignon moteur et son palier en bout d'un Réducteur RB 35 accouplé en direct sans cardans. car manque de place sur l'avant occupé par les deux directions et leurs servos. A l'impossible nul n'est tenu, sauf par les têtus lol.
Re: Autoportée Atkinson, camion grue à flèche treillage de dépannage époque 1940.
Une fois mes deux ponts montés , mise en place sous le châssis avec des ressorts à lames maison.
Puis construction et mise en place de 4 stabilisateurs biais, couplés entre eux et motorisées pour la descente, mais vu le faible empattement, surtout au vu de la stabilité au montage de la grue à tour, je les ai supprimés pour des stabs repliables à grands allongements doublés de jambes de force immensément longues.
En effets ce camion prévus pour des dépannages m'a en faits plus servis au débuts au montages de ma grue à tour comme 3 em main.
C'est le projet de construction d'une autoportée LTM 1100 pour un ami suisse, avorté qui l'a remis en question, ce LTM prévus en hydro mais pas vraiment fonctionnel est resté longtemps inoccupé, fautes de trouver des solutions.
Les idées ayant jaillies d'un seul coup, suivis de sa transformation, il me servit dorénavant au montage de la grue.
Cet Atkinson aura fait néanmoins 75 montages et démontages de grue, sur 4 ans.
Les dessous du châssis, le moto réducteur est très près des ponts vu l'impossibilité de le placer ailleurs, mais si bien caché entre les longerons, une fois sur ses roues on ne voit plus rien.
Et même si le moteur est suspendu sous les longerons, vu de notre position debout on ne le voit plus.
Je fais du modélisme, pas du maquettisme, je me fiche complètement de sortir des sentiers battus, mon soucis principal c'est que ça marche, l'engin est fonctionnel depuis milieu 2007.
mise en place des gardes boues arrières.
Début fabrication de la cabine de conduite engin typicaly Englich how how how ?
C'est vrais, c'est moche, mais c'est Anglais, et justement parce qu'elle n'est pas belle que cette cabine me plait, la seule et unique en France.
Puis construction et mise en place de 4 stabilisateurs biais, couplés entre eux et motorisées pour la descente, mais vu le faible empattement, surtout au vu de la stabilité au montage de la grue à tour, je les ai supprimés pour des stabs repliables à grands allongements doublés de jambes de force immensément longues.
En effets ce camion prévus pour des dépannages m'a en faits plus servis au débuts au montages de ma grue à tour comme 3 em main.
C'est le projet de construction d'une autoportée LTM 1100 pour un ami suisse, avorté qui l'a remis en question, ce LTM prévus en hydro mais pas vraiment fonctionnel est resté longtemps inoccupé, fautes de trouver des solutions.
Les idées ayant jaillies d'un seul coup, suivis de sa transformation, il me servit dorénavant au montage de la grue.
Cet Atkinson aura fait néanmoins 75 montages et démontages de grue, sur 4 ans.
Les dessous du châssis, le moto réducteur est très près des ponts vu l'impossibilité de le placer ailleurs, mais si bien caché entre les longerons, une fois sur ses roues on ne voit plus rien.
Et même si le moteur est suspendu sous les longerons, vu de notre position debout on ne le voit plus.
Je fais du modélisme, pas du maquettisme, je me fiche complètement de sortir des sentiers battus, mon soucis principal c'est que ça marche, l'engin est fonctionnel depuis milieu 2007.
mise en place des gardes boues arrières.
Début fabrication de la cabine de conduite engin typicaly Englich how how how ?
C'est vrais, c'est moche, mais c'est Anglais, et justement parce qu'elle n'est pas belle que cette cabine me plait, la seule et unique en France.
Re: Autoportée Atkinson, camion grue à flèche treillage de dépannage époque 1940.
merci pour ces photos, au début ça ressemble en effet à mon châssis, mais après au niveau des ponts je suis loin d'un tel résultat
lolosnop- Messages : 867
Date d'inscription : 05/04/2014
Age : 49
Localisation : mende
Re: Autoportée Atkinson, camion grue à flèche treillage de dépannage époque 1940.
Ah ça mon gars , c'est autres choses, si tu n'avais pas tant chipoté coté argent, tu aurait déjà un camion roulant ?
J'ai faits mes ponts parce qu'en 2007 on ne trouvais rien dans les commerces spécialisés, et au jour d'aujourd'hui, ne plus s'emmerder, des ponts tamiya existent chez tous les revendeurs, et pour celui ci ça sera deux ponts moteurs et un pont directeur sur roues tamiya.
On va pas revenir en arrière, mais tu aurait choisie la version tamiya tu avait ton bahut ?
Moi c'est pas pareils c'est mon job de métallier qui veut que je soit capable de maitriser tous les métaux.
TU voulais construire du Bruder ? Tu construit du Bruder.
Je veux construire du Bruder, tous les moyens pour y arriver sont pour moi, je me fiche des conventions, je fais comme je veux et comme je peut.
Il y a une suite avec encore un tas de photos de détails.
Après on passera à la construction de la grue à tour, et peut être en même temps à celui du LTM 1100 ?
J'ai faits mes ponts parce qu'en 2007 on ne trouvais rien dans les commerces spécialisés, et au jour d'aujourd'hui, ne plus s'emmerder, des ponts tamiya existent chez tous les revendeurs, et pour celui ci ça sera deux ponts moteurs et un pont directeur sur roues tamiya.
On va pas revenir en arrière, mais tu aurait choisie la version tamiya tu avait ton bahut ?
Moi c'est pas pareils c'est mon job de métallier qui veut que je soit capable de maitriser tous les métaux.
TU voulais construire du Bruder ? Tu construit du Bruder.
Je veux construire du Bruder, tous les moyens pour y arriver sont pour moi, je me fiche des conventions, je fais comme je veux et comme je peut.
Il y a une suite avec encore un tas de photos de détails.
Après on passera à la construction de la grue à tour, et peut être en même temps à celui du LTM 1100 ?
Re: Autoportée Atkinson, camion grue à flèche treillage de dépannage époque 1940.
Dans la suite de la construction du camion, pose d'un platelage central, puis construction de la cabine de la grue.
Tout comme le track, j'avais eue la chance d'avoir de l'alu pré laqué blanc, que j'ai su placer en extérieur, ce qui pour les finitions peintures étaient l'idéal.
Toutes mes tôleries et superstructures en alu étaient tout d'abord assemblées par éclissages vissés, puis une fois sur de mon fait rivé pour les parties ne devant plus se démonter.
L'avantage du rivetage, c'est que ça reste démontable, il suffit de repercer le rivet en son centre, rivets de 2x5 TF ou TR recuits, c'est très facile à écraser ou à mater, la grue à tour est entièrement construite de cette façon.
L'état d'avancement au 8 Mars 2007.
Il me fallait impérativement avoir conformité de cabine pour accès directs à l'équipement.
Pour cela , sur trois cotés des portillons coulissants comme sur le modèle.
Tout comme le track, j'avais eue la chance d'avoir de l'alu pré laqué blanc, que j'ai su placer en extérieur, ce qui pour les finitions peintures étaient l'idéal.
Toutes mes tôleries et superstructures en alu étaient tout d'abord assemblées par éclissages vissés, puis une fois sur de mon fait rivé pour les parties ne devant plus se démonter.
L'avantage du rivetage, c'est que ça reste démontable, il suffit de repercer le rivet en son centre, rivets de 2x5 TF ou TR recuits, c'est très facile à écraser ou à mater, la grue à tour est entièrement construite de cette façon.
L'état d'avancement au 8 Mars 2007.
Il me fallait impérativement avoir conformité de cabine pour accès directs à l'équipement.
Pour cela , sur trois cotés des portillons coulissants comme sur le modèle.
Re: Autoportée Atkinson, camion grue à flèche treillage de dépannage époque 1940.
Ma tourelle de grue à finis par prendre formes :
Le premier palier de retour du moufflage de flèche est en place.
Un exemple de benne preneuse à câbles que je m'étais amusé à construire ? Avec des câbles c'est trop léger, mais avec un vérin hydro, la force de serrage est bien meilleure, une telle benne doit certainement bien aller sur une flèche de pelle en rigide.
Le massif support de flèche au repos.
Le premier palier de retour du moufflage de flèche est en place.
Un exemple de benne preneuse à câbles que je m'étais amusé à construire ? Avec des câbles c'est trop léger, mais avec un vérin hydro, la force de serrage est bien meilleure, une telle benne doit certainement bien aller sur une flèche de pelle en rigide.
Le massif support de flèche au repos.
Re: Autoportée Atkinson, camion grue à flèche treillage de dépannage époque 1940.
Mes ponts différentiels maison ne m'ont jamais donnés de vraies satisfactions, il y avait toujours quelques choses qui déconnait dans les engrenages, alors l'idée de cette fin d'année 2018, c'est de le transformer pour le montage de deux ponts sans différentiels tamiya.
J'ai les carters, les couronnes de dif et les pignons moteurs, je n'aie plus qu'à faire ces transformations.
Juste le temps de finir la grue LTM 1100 et de tout remonter, je me met sur cet engin.
l'idée est tentante de remonter une radio complète du genre Taranis, mais j'ai aussi des commutateurs de fonctions CTI à disposition.
Le hic est que ces commutateurs imposent une rotation partielle de la grue sur 350°, car obligations de passer les fils des servos de commutation au travers de l'axe de tourelle.
Il y a bien sur le joint tournant chinois à 12 contacts voire plus , qui ferait l'affaire.
En faits les plus et moins sont communs pour les 4 voies, donc 2 fils, ne reste alors que les 4 signaux, soit 6 fils de contacts.
Sur cet engin j'ai le relevage de flèche, le treuil principal, la rotation de tourelle, mais il me semble avoir un treuil secondaire ?
En remontant plus haut de quelques pages, ça me remettra en mémoire ce super camion grue.
Oui c'est bien ça, j'ai un treuil secondaire, le principal est mouflé pour des relevages en lourds, le second est juste d'un brin pour des relevages rapides et légers.
Du coup la vente avec cet Axel ne s'est jamais faite, et moi je garde tous mes engins.
Le plus malheureux en faits, c'est qu'après mon décès tous ces beaux engins de TP partiront chez un ferrailleur, mon gendre n'en ayant rien à faire des ces modèles réduits.
Et puis les acheteurs de notre époque préfèrent acheter en Chine du neuf que de s'emmerder avec de l'occase à la JPG mal foutus lol.
J'ai les carters, les couronnes de dif et les pignons moteurs, je n'aie plus qu'à faire ces transformations.
Juste le temps de finir la grue LTM 1100 et de tout remonter, je me met sur cet engin.
l'idée est tentante de remonter une radio complète du genre Taranis, mais j'ai aussi des commutateurs de fonctions CTI à disposition.
Le hic est que ces commutateurs imposent une rotation partielle de la grue sur 350°, car obligations de passer les fils des servos de commutation au travers de l'axe de tourelle.
Il y a bien sur le joint tournant chinois à 12 contacts voire plus , qui ferait l'affaire.
En faits les plus et moins sont communs pour les 4 voies, donc 2 fils, ne reste alors que les 4 signaux, soit 6 fils de contacts.
Sur cet engin j'ai le relevage de flèche, le treuil principal, la rotation de tourelle, mais il me semble avoir un treuil secondaire ?
En remontant plus haut de quelques pages, ça me remettra en mémoire ce super camion grue.
Oui c'est bien ça, j'ai un treuil secondaire, le principal est mouflé pour des relevages en lourds, le second est juste d'un brin pour des relevages rapides et légers.
Du coup la vente avec cet Axel ne s'est jamais faite, et moi je garde tous mes engins.
Le plus malheureux en faits, c'est qu'après mon décès tous ces beaux engins de TP partiront chez un ferrailleur, mon gendre n'en ayant rien à faire des ces modèles réduits.
Et puis les acheteurs de notre époque préfèrent acheter en Chine du neuf que de s'emmerder avec de l'occase à la JPG mal foutus lol.
Re: Autoportée Atkinson, camion grue à flèche treillage de dépannage époque 1940.
Bonjour Grégory en faits tes ponts vont vachement me servir sur ce camion grue, pour remplacer mes ponts maison qui ne fonctionnent pas vraiment bien.
Quand je l'ai construit, je n'avais pas trop de ronds à puiser sur ma retraite, il fallait que je me démerdes, des blocs d'alu étaient moins chers que deux ponts Robbe au 1/16 vu que l'engin était cette échelle.
J'avais déjà réalisés des diff fonctionnels mais à l'air libre qui prenaient toutes les saloperies, j'ai voulu essayer mes propres carters, mais il n'est pas facile de réaliser des pièces mécaniques en remplacement de pièces moulées, de faits des ponts fonctionnels sur leurs différentiels, mais d'accrochages difficiles des pignons moteurs d'attaque.
Ce qui fait que ce camion grue n'a jamais pu rouler sur circuits ce qui est frustrant.
Tes pièces détachées vont donc me faire compléments aux deux ponts robbes incomplets, l'un est fonctionnel, pour l'autre il lui manque le différentiel.
Ce qui sera un plus pour vendre l'engin dans de bonnes conditions.
Alors encore un TRÈS GRAND MERCI.
Quand je l'ai construit, je n'avais pas trop de ronds à puiser sur ma retraite, il fallait que je me démerdes, des blocs d'alu étaient moins chers que deux ponts Robbe au 1/16 vu que l'engin était cette échelle.
J'avais déjà réalisés des diff fonctionnels mais à l'air libre qui prenaient toutes les saloperies, j'ai voulu essayer mes propres carters, mais il n'est pas facile de réaliser des pièces mécaniques en remplacement de pièces moulées, de faits des ponts fonctionnels sur leurs différentiels, mais d'accrochages difficiles des pignons moteurs d'attaque.
Ce qui fait que ce camion grue n'a jamais pu rouler sur circuits ce qui est frustrant.
Tes pièces détachées vont donc me faire compléments aux deux ponts robbes incomplets, l'un est fonctionnel, pour l'autre il lui manque le différentiel.
Ce qui sera un plus pour vendre l'engin dans de bonnes conditions.
Alors encore un TRÈS GRAND MERCI.
Re: Autoportée Atkinson, camion grue à flèche treillage de dépannage époque 1940.
En faits je me suis trompé, je n'ai qu'un pont directionnel complet plus un carter nu, tes pièces vont me servir à le reconstituer.
Et vu que j'en au un directionnel je vais le monter en dernier comme pont directionnel moteur.
Dans la lignée, axe avant directionnel libre, puis pont moteur différentiel fixe, puis pont moteur directionnel.
Pour le pont fixe je dispose de tes différentiels dont un possède un demi cardan avec axe, il me faut en en récupérant un d'autre modèle faire son pendant pour bénéficier de l'entrainement.
Chez Robbe, l'ENORME avantage qu'on avait c'est que ses ponts étaient conçus mixtes, directionnels ou fixe, par adaptations d’accessoires.
Alors pour ce pont fixe il me faut refaire les deux demi arbres de roues mais sans cardans qui sortent des planétaires avec méplats doubles d'entrainement, ces ensembles tourillonnent dans des roulements de 5x10x4 ou 5 puis ces axes sortent tout droits pour se monter sur les roues doubles qui ici sont des Bruder.
Pour le directionnel, juste adapter les doubles roues bruder sur les hexagones de 6 ou 7 sortant du pont.
Chez Bruder , les roues jumelées sont factices et creuses, et vu que les entraîneurs sont des hexagones, il faut la contre pièce hexagonale intérieur, et quoi de mieux qu'une clé tubulaire ? dont son extérieur sera arrangé pour pénétrer dans les jantes bruder, une fois en place centrés les remplir de colle chaude pour assurer la prise sans que ça gène les directions.
D’où l'utilité des machines outils qui permettent de faire de bonnes adaptations.
Ca ne veut pas dire qu'il faut abandonner les travaux purement manuels, mais se servir des deux façons de faire.
Et vu que j'en au un directionnel je vais le monter en dernier comme pont directionnel moteur.
Dans la lignée, axe avant directionnel libre, puis pont moteur différentiel fixe, puis pont moteur directionnel.
Pour le pont fixe je dispose de tes différentiels dont un possède un demi cardan avec axe, il me faut en en récupérant un d'autre modèle faire son pendant pour bénéficier de l'entrainement.
Chez Robbe, l'ENORME avantage qu'on avait c'est que ses ponts étaient conçus mixtes, directionnels ou fixe, par adaptations d’accessoires.
Alors pour ce pont fixe il me faut refaire les deux demi arbres de roues mais sans cardans qui sortent des planétaires avec méplats doubles d'entrainement, ces ensembles tourillonnent dans des roulements de 5x10x4 ou 5 puis ces axes sortent tout droits pour se monter sur les roues doubles qui ici sont des Bruder.
Pour le directionnel, juste adapter les doubles roues bruder sur les hexagones de 6 ou 7 sortant du pont.
Chez Bruder , les roues jumelées sont factices et creuses, et vu que les entraîneurs sont des hexagones, il faut la contre pièce hexagonale intérieur, et quoi de mieux qu'une clé tubulaire ? dont son extérieur sera arrangé pour pénétrer dans les jantes bruder, une fois en place centrés les remplir de colle chaude pour assurer la prise sans que ça gène les directions.
D’où l'utilité des machines outils qui permettent de faire de bonnes adaptations.
Ca ne veut pas dire qu'il faut abandonner les travaux purement manuels, mais se servir des deux façons de faire.
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