Une pelle de démolition au 1/14
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Une pelle de démolition au 1/14
J’ouvre d'avance ce post pour Laurent (C'est drole, ils s'appellent tous laurent ?) pour une pelle de démolition.
D'après les photos de Phiphi42, qui a conduit différends engins, il y aurait la 345 D de Cater pillar, et la 974 de 100 tonnes de Liebherr ?
Laurent voudrait aussi l’élargissement des patins de chenilles.
Certes la 345 D de cat serait plus restreinte, en fait je pencherais plus du coté de la 974 de liebherr, à cause de la place assez conséquente du coté tourelle, de la longueur des patins de chenilles, qui ajouté à élargissement de voie permettra une très grande stabilité au sol lors des rotations.
On pourrait si l'on optais ^pour la 345 D de cat se servir de la Wédico 345 comme base de départ, mais ? D'une part on serait bridé par l’équipement de série, et par l’exiguïté de la tourelle, puisque le groupe d'origine est un leimbach qui lui est limité en pression et débit.
Certes la 100 tonnes est nettement plus grosse que mes 964 qui ne font que 60 tonnes.
Maintenant reste à savoir si la flèche de démolition est comptée dans le poids des 100 tonnes ?
Je vais donc pécher les pièces PDF de la 974 de liebherr et étudier sérieusement ses équipements ?
Dores et déjà, sur les photos de phiphi42, il me semble avoir vu les deux vérins du moignon de flèche ? celui du triangle intermédiaire, celui du balancier, celui de l'articulation de l'outil du bout ?
Il y a bien sur une bosse détachable, pose d'un ripper, Laurent serait très partisan d'une cisaille hydro ?
Sur la 964, la pompe me parait un peu juste, on pourrait donc voir pour une Jung plus volumétrique, et tourner beaucoup plus vite, avec un moteur plus puissant et moins de réduction ?
Et tout comme la mienne une double alimentation, embarquée et extérieure.
Sur les 964 j'ai opté pour des batteries plombs qui participent au lestage de la tourelle, les lipo sont légères, mais l'on a la possibilité de monter en voltage en intensité et capacité.
Sachant qu'on peut toujours placer un vrais contre poids de lestage moulé ?
Voila pour les premiers préliminaires .
D'après les photos de Phiphi42, qui a conduit différends engins, il y aurait la 345 D de Cater pillar, et la 974 de 100 tonnes de Liebherr ?
Laurent voudrait aussi l’élargissement des patins de chenilles.
Certes la 345 D de cat serait plus restreinte, en fait je pencherais plus du coté de la 974 de liebherr, à cause de la place assez conséquente du coté tourelle, de la longueur des patins de chenilles, qui ajouté à élargissement de voie permettra une très grande stabilité au sol lors des rotations.
On pourrait si l'on optais ^pour la 345 D de cat se servir de la Wédico 345 comme base de départ, mais ? D'une part on serait bridé par l’équipement de série, et par l’exiguïté de la tourelle, puisque le groupe d'origine est un leimbach qui lui est limité en pression et débit.
Certes la 100 tonnes est nettement plus grosse que mes 964 qui ne font que 60 tonnes.
Maintenant reste à savoir si la flèche de démolition est comptée dans le poids des 100 tonnes ?
Je vais donc pécher les pièces PDF de la 974 de liebherr et étudier sérieusement ses équipements ?
Dores et déjà, sur les photos de phiphi42, il me semble avoir vu les deux vérins du moignon de flèche ? celui du triangle intermédiaire, celui du balancier, celui de l'articulation de l'outil du bout ?
Il y a bien sur une bosse détachable, pose d'un ripper, Laurent serait très partisan d'une cisaille hydro ?
Sur la 964, la pompe me parait un peu juste, on pourrait donc voir pour une Jung plus volumétrique, et tourner beaucoup plus vite, avec un moteur plus puissant et moins de réduction ?
Et tout comme la mienne une double alimentation, embarquée et extérieure.
Sur les 964 j'ai opté pour des batteries plombs qui participent au lestage de la tourelle, les lipo sont légères, mais l'on a la possibilité de monter en voltage en intensité et capacité.
Sachant qu'on peut toujours placer un vrais contre poids de lestage moulé ?
Voila pour les premiers préliminaires .
Re: Une pelle de démolition au 1/14
Second volet:
Le gros problème actuellement pour nos pelles modèles, ce sont les distributeurs, les meilleurs sur le marché sont les Leimbach, sauf que les diamètres de passages internes sont faible, 2 mm.
Ce fait même ralentis singulièrement les débits de pompe, puisque dès l'arrivée du fluide au distributeur le canal interne fait 2 mm.
L'idée donc pour un si gros engin demandant une force colossale et du débit pour relever sa flèche de démolition, est d'utiliser des électrovannes mais électro aimants en 12 v
On avait étudiés les principes avec Pierre allias Volvo25 sur engin-rc.fr, pour mon ballet des pelles.
En fait chez les fournisseurs hydro comme Jung, il n’existe pas à proprement parler des distributeurs comme Leimbach, tout du moins à ma connaissance ?
Le principe repose donc sur l'utilisation de 4 électrovannes par vérin, fonctionnant deux par deux et en diagonal du système.
Le hic étant donc le déclenchement de ces électro vannes deux par deux.
Le montage hydraulique lui aussi est assez complexe, puisque il faut alimenter les vérins dans les deux sens.
Pour le ballet des pelles, pour faire marcher 3 pelles à vérins , 2 à chenilles à 3 vérins et 1 à pneus à 4 vérins plus deux camions bennes à relevage de benne hydro,soit 12 vérins , il a fallut 48 électro vannes, ce qui prends une place considérable.
Les commandes étant assurées à partir de faux émetteurs bricolés de façons à déclencher des inters inverseurs montés sur les sticks.
Pour une pelle de démolition comme la veut Laurent il faut pouvoir disposer de : 2 vérins d'écartements de voie, bien sur couplés ou non ? Si pas couplés 8 électrovannes.
pour ceux de flèche couplés 4 électro.
pour ceux du triangle deux fois 4.
pour le bout du balancier 4.
pour la cisaille 4.
Soit 24 électrovannes, certes des passages certainement généreux, mais des volumes assez conséquents, et un schéma hydraulique assez complexe.
A cela se rajoute les moyens de contrôler les vannes, à partir du récepteur radio ?
Déjà , à la défense du principe des distris Leimbach: C'est que ceux ci ne sont que peut sollicités ?
Ceux de relevage de flèche au démarrage pour la relever, mais une fois en position, que des réglages d'angle.
reste donc le triangle de manœuvre du balancier, le vérin de bout de balancier et celui ou ceux des outils.
Ceux d'écartement de voie le sont au démarrage ou au replis, mais une fois positionnée on y touche plus.
En fait on peut mixer les distributeurs : du leimbach pour les vérins peu sollicités, des électrovannes pour ceux demandant force et débit ?
Ne reste en lice que ceux commandant les outils.
En fait Laurent veut une pelle de démolition, pourquoi faire ? Démolir quoi ? Car il faut bien l'avouer , des bâtiments modèles en béton même friables ça n’existe pas chez les commerçants en modélisme ?
Il lui faudra donc construire de toutes pièce un bâtiment en matériaux de construction assez conséquent, transporté sur un chariot lui servant de socle, bien sur à l'échelle, de façons que lors des expositions il puisse progréssivement le casser d'expos en éxpos.
A mon avis, la meilleure matière pour construire un bâtiment modèle à démolir, serait le plâtre moulé.?
Laurent devrait alors envisager le chantier suivant, qui changerait certainement la donne:
On a la donc un chantier de construction d'un bâtiment en plâtre teinté couleur béton, bien sur par un immense immeuble mais une petite maison à 2/3 étages avec toiture en pente ou non, à mouler sur coffrages, à l'aide d'une grue et d'une centrale à béton, à moins d'utiliser une tourie mélangeuse sur camion du genre bruder, la tourie déversant dans un godet levé par une grue genre LTM auto portée. ?
Ca c'est le premier volet construction.
Le second volet est la démolition:
Entre en piste la pelle de démolition sur une structure complète ou déjà commencée en démolition.
Dans le principe construction, il faut bien noter que les pans de murs déjà préalablement démolis lors des précédentes démolitions peuvent être reconstruits par coulage du plâtre ?
En fait sur deux jours, le samedi reconstruction partielle du petit pavillon, et le dimanche démolition de celui ci ?
En deux jours deux spectacles ?
Pire, le pavillon est reconstruit le matin, démolis l'après midi.?
Laurent peut aussi envisager une solution plus simple se passant de grue, quoi que la pelle de démolition peut aussi être équipée d'un treuil avec un mouflage de levage , pour le godet de coulée ?
Néanmoins je donne une idée de mini chantier en pente ?
Le bâtiment à construire et démolir se trouves en pente ? il lui faut donc construire en bois une structure de pente comprenant le batiment, la plateforme basse pour la démolisseuse et la plateforme haute pour la tourie de coulage, celui ci se faisant par gravité, dans les goulottes du camion ?
Les principes sont parfaitement réalisables, introduction du plâtre en tourie à la main, puis de l'eau contenue dans le réservoir haut du camion, malaxage bien liquide , et coulée rapide.
En fait le jeu consiste à couler rapidement un pan de mur, avec le mouflage de la pelle de déposer les coffrages, puis de démolir un autre pan de mur plus dur, ou carrément celui qui vient d’être construit ?
Quand j'ai construit ma grue à tour, c'est à ce type de chantier auxquels je pensait ? Un chantier totalement autonome, assuré par une ou deux personnes, le miens consistant à construire un bâtiment.
En fait , il faut bien se dire, qu'il est impossible de montrer à un seul visiteur, dans un temps très court, les manips pour établir la construction d'un plan de mur, et de sa démolition ?
Le but d'un tel chantier mobile, est de s’assurer d'un chantier en continue, fatallement ça finira par se savoir durant ce salon, les visiteurs du samedi ayant assistés à la construction voudront voir sa démolition ?
Il est évident pour des raisons de rapidité d'action être plusieurs à mener ce chantier ? Mais réunir deux ou trois gars supers intéressés à faire le même truc durant plusieurs saisons est plutôt utopique. Faire l'unanimité sur un truc donné par plusieurs personnes n'est pas si évident que cela ?
Autant alors être seul que mal accompagné.
Le gros problème actuellement pour nos pelles modèles, ce sont les distributeurs, les meilleurs sur le marché sont les Leimbach, sauf que les diamètres de passages internes sont faible, 2 mm.
Ce fait même ralentis singulièrement les débits de pompe, puisque dès l'arrivée du fluide au distributeur le canal interne fait 2 mm.
L'idée donc pour un si gros engin demandant une force colossale et du débit pour relever sa flèche de démolition, est d'utiliser des électrovannes mais électro aimants en 12 v
On avait étudiés les principes avec Pierre allias Volvo25 sur engin-rc.fr, pour mon ballet des pelles.
En fait chez les fournisseurs hydro comme Jung, il n’existe pas à proprement parler des distributeurs comme Leimbach, tout du moins à ma connaissance ?
Le principe repose donc sur l'utilisation de 4 électrovannes par vérin, fonctionnant deux par deux et en diagonal du système.
Le hic étant donc le déclenchement de ces électro vannes deux par deux.
Le montage hydraulique lui aussi est assez complexe, puisque il faut alimenter les vérins dans les deux sens.
Pour le ballet des pelles, pour faire marcher 3 pelles à vérins , 2 à chenilles à 3 vérins et 1 à pneus à 4 vérins plus deux camions bennes à relevage de benne hydro,soit 12 vérins , il a fallut 48 électro vannes, ce qui prends une place considérable.
Les commandes étant assurées à partir de faux émetteurs bricolés de façons à déclencher des inters inverseurs montés sur les sticks.
Pour une pelle de démolition comme la veut Laurent il faut pouvoir disposer de : 2 vérins d'écartements de voie, bien sur couplés ou non ? Si pas couplés 8 électrovannes.
pour ceux de flèche couplés 4 électro.
pour ceux du triangle deux fois 4.
pour le bout du balancier 4.
pour la cisaille 4.
Soit 24 électrovannes, certes des passages certainement généreux, mais des volumes assez conséquents, et un schéma hydraulique assez complexe.
A cela se rajoute les moyens de contrôler les vannes, à partir du récepteur radio ?
Déjà , à la défense du principe des distris Leimbach: C'est que ceux ci ne sont que peut sollicités ?
Ceux de relevage de flèche au démarrage pour la relever, mais une fois en position, que des réglages d'angle.
reste donc le triangle de manœuvre du balancier, le vérin de bout de balancier et celui ou ceux des outils.
Ceux d'écartement de voie le sont au démarrage ou au replis, mais une fois positionnée on y touche plus.
En fait on peut mixer les distributeurs : du leimbach pour les vérins peu sollicités, des électrovannes pour ceux demandant force et débit ?
Ne reste en lice que ceux commandant les outils.
En fait Laurent veut une pelle de démolition, pourquoi faire ? Démolir quoi ? Car il faut bien l'avouer , des bâtiments modèles en béton même friables ça n’existe pas chez les commerçants en modélisme ?
Il lui faudra donc construire de toutes pièce un bâtiment en matériaux de construction assez conséquent, transporté sur un chariot lui servant de socle, bien sur à l'échelle, de façons que lors des expositions il puisse progréssivement le casser d'expos en éxpos.
A mon avis, la meilleure matière pour construire un bâtiment modèle à démolir, serait le plâtre moulé.?
Laurent devrait alors envisager le chantier suivant, qui changerait certainement la donne:
On a la donc un chantier de construction d'un bâtiment en plâtre teinté couleur béton, bien sur par un immense immeuble mais une petite maison à 2/3 étages avec toiture en pente ou non, à mouler sur coffrages, à l'aide d'une grue et d'une centrale à béton, à moins d'utiliser une tourie mélangeuse sur camion du genre bruder, la tourie déversant dans un godet levé par une grue genre LTM auto portée. ?
Ca c'est le premier volet construction.
Le second volet est la démolition:
Entre en piste la pelle de démolition sur une structure complète ou déjà commencée en démolition.
Dans le principe construction, il faut bien noter que les pans de murs déjà préalablement démolis lors des précédentes démolitions peuvent être reconstruits par coulage du plâtre ?
En fait sur deux jours, le samedi reconstruction partielle du petit pavillon, et le dimanche démolition de celui ci ?
En deux jours deux spectacles ?
Pire, le pavillon est reconstruit le matin, démolis l'après midi.?
Laurent peut aussi envisager une solution plus simple se passant de grue, quoi que la pelle de démolition peut aussi être équipée d'un treuil avec un mouflage de levage , pour le godet de coulée ?
Néanmoins je donne une idée de mini chantier en pente ?
Le bâtiment à construire et démolir se trouves en pente ? il lui faut donc construire en bois une structure de pente comprenant le batiment, la plateforme basse pour la démolisseuse et la plateforme haute pour la tourie de coulage, celui ci se faisant par gravité, dans les goulottes du camion ?
Les principes sont parfaitement réalisables, introduction du plâtre en tourie à la main, puis de l'eau contenue dans le réservoir haut du camion, malaxage bien liquide , et coulée rapide.
En fait le jeu consiste à couler rapidement un pan de mur, avec le mouflage de la pelle de déposer les coffrages, puis de démolir un autre pan de mur plus dur, ou carrément celui qui vient d’être construit ?
Quand j'ai construit ma grue à tour, c'est à ce type de chantier auxquels je pensait ? Un chantier totalement autonome, assuré par une ou deux personnes, le miens consistant à construire un bâtiment.
En fait , il faut bien se dire, qu'il est impossible de montrer à un seul visiteur, dans un temps très court, les manips pour établir la construction d'un plan de mur, et de sa démolition ?
Le but d'un tel chantier mobile, est de s’assurer d'un chantier en continue, fatallement ça finira par se savoir durant ce salon, les visiteurs du samedi ayant assistés à la construction voudront voir sa démolition ?
Il est évident pour des raisons de rapidité d'action être plusieurs à mener ce chantier ? Mais réunir deux ou trois gars supers intéressés à faire le même truc durant plusieurs saisons est plutôt utopique. Faire l'unanimité sur un truc donné par plusieurs personnes n'est pas si évident que cela ?
Autant alors être seul que mal accompagné.
Re: Une pelle de démolition au 1/14
Commençons par quelque chose de solide, autrement dit la base de tourelle et les patins de chenilles.
Comme dit phiphi, la voie est extensible, d'un maxi à un mini, mais un mini plus mini que la normale ?
Ce mini extra risque aussi d’être un frein à l’extension des patins ?
A partir de la base, soit on établis de forts vérins avec grosses tiges qui font office de supports, un vérin sera monté rigide, l'autre sera monté mobile, pour compenser les effets de faux parallélisme au châssis.
Soit l'autre solution des fortes tiges supports, dont une doit être oscillante pour compenser ces efforts de faux parallélisme, surtout pour éviter les coincements inévitables dans ce genre de montages.
Coté motorisation de patin celle ci est incluse dans le patin, un moto réducteur longitudinal, avec renvois d'angle sur l'axe du barbotin avec limiteur de couple.
Du point de vue moteurs, soit des moulins charbons soit des brushless.
Je ne conseille pas mes chaines, trop chiantes à fabriquer alors que Véroma en fait de très jolies moulées en résine chargées fibres de verre exactement à notre échelle . D'ailleurs ils font les barbotins et tous les galets qui vont avec, surtout par simplicité mais pas par économies.
Comme dit phiphi, la voie est extensible, d'un maxi à un mini, mais un mini plus mini que la normale ?
Ce mini extra risque aussi d’être un frein à l’extension des patins ?
A partir de la base, soit on établis de forts vérins avec grosses tiges qui font office de supports, un vérin sera monté rigide, l'autre sera monté mobile, pour compenser les effets de faux parallélisme au châssis.
Soit l'autre solution des fortes tiges supports, dont une doit être oscillante pour compenser ces efforts de faux parallélisme, surtout pour éviter les coincements inévitables dans ce genre de montages.
Coté motorisation de patin celle ci est incluse dans le patin, un moto réducteur longitudinal, avec renvois d'angle sur l'axe du barbotin avec limiteur de couple.
Du point de vue moteurs, soit des moulins charbons soit des brushless.
Je ne conseille pas mes chaines, trop chiantes à fabriquer alors que Véroma en fait de très jolies moulées en résine chargées fibres de verre exactement à notre échelle . D'ailleurs ils font les barbotins et tous les galets qui vont avec, surtout par simplicité mais pas par économies.
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