Tracteur à vapeur routier sur pneus de 250 kg
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Tracteur à vapeur routier sur pneus de 250 kg
Suite aux deux journées d' hier, au retour en voiture je me faisait mon cinéma tout seul:
J'avais construit en 2008, un tracteur routier sur pneus de 250 Kg à chauffe au charbon, L'idée m'est venue de le transformer en buldozzer, avec une lame, bien sur le relevage , s'il avait été à vapeur, aurait été l'idéal, un seul vérin à pousser, en tète de l'engin juste dèrrière la lame poussant sur un brancard faisant partie de la lame.
Le tracteur possède sa marche avant et arrière, par inversion du sens de marche à vapeur par coulisses stephenson.
J'avais concut l'ensemble pour rouler très lentement , de l'ordre de 4 km/ H . Donc une vitesse tout à fait compatible avec un bulldozer.
La propulsion se fait sur les roues arrières, par l'intermédiaire d'un différentiel de tondeuse à gazon, tandis que la diresction par roues avant et arbre oscillant, l'est par un volant de direction, à partir de la cbine de conduite.
L'idée est donc de monter un brancard, sur les cotés chassis de l'engin, ne dépassant pas le gabarit de ma remorque de transport, avec son gros vérin de relevage.
En vapeur se pose toujours le problème du graissage des cylindres, celui ci est assuré par une pompe contituée d'un moteur oscillant, ou plus prosaiquement d'une pompe manuelle, car dans ce cas un seul cylindre à faire monter.
Pour le fonctionnement de ce vérin, forcément il faut une vanne deux voies: D'un coté admission de vapeur, de l'autre échappement de vapeur, et bien sur au milieu arret
La vanne doit etre rammenée en cabine pour une action facilité.
Par rapport à l'hydro, certainement plus d'élasticité tout à fait comme l'air comprimée, de plus le cylindre aura toujours tendance à se reffroidir très vite, d'ou une isolation calorifique poussée, car dès le reffroidissement, condensation qui fera retracter le vérin.
L'autre solution serait d'avoir un treuil manuel, genre treuil leve bateaux à manivelle, mais le mouvement risque d'etre lent, par contre si treuil bien concu, levage et abaissage sécurisé, la lame reste en place la ou on l'a placée.
Je parlais de vapeur car ma chaudière est une grosse productrice de vapeur, le moteur à du mal à tout consommer, et souvent le soupapes crachent à l'éxtérieur la sur production au détriment du niveau chaudière, et pertes de rendement au niveau moteur, mais qu'est ce que c'est rigolot de se trimballer en vapeur sur chemins ?
Et puis ça changerais de l'ordinaire un bull à vapeur ?
Le châssis de ce tracteur lors de sa construction en 2008, commencé en Mars 2008, finis opérationnel avec sa remorque pour le 14 juillet 2008, soit en tout et pour tout 4 mois de travaux relax.
Le moteur à vapeur en construction un truc finis d'environ 50 kg, alors quand des charlot du pseudo de Xénon me dit que je ne suis pas un vrais modéliste, que lui faut il de plus ? Fait en autant gars ?
La chaudière à vapeur au charbon de moins de 25 litres son poids est de 100 kg finie, large foyer, pour une chauffe optimale, et un coefficient évaporatoire inconnus à ce jour. Appareil à tubes de fumés, ça vous bouffe 30 kg de charbon sur une journée la bébête, et vous passe 500 litres d'eau.
L'intérieur du foyer, soudage des tirants de parois.
Le montage sur le châssis. Je m'amuse comme un fou lol.
Le tracteur est prévus pour le remorquage de son conducteur et d'une carriole à 4 passagers, soit un ensemble routier de plus de 500 kg tracté à la vitesse de 5 km/ h, vitesse de sécurité.
Ici premier siège sur mono roue, qui ne m'a pas donné satisfaction, le suivant étant un dolly à timon et deux roues porteuses.
Les passagers ne sont pas forcément des mômes, ici le quintal lol.(100kg)
L'engin se précise, montage des bâches à eau, 25 litres dans chacune avec siphon, pompe immergé dans l'une pour remplissage chaudière, en effet l'engin est autonome, batterie auxiliaire embarquée pour remplissage chaudière, gyrophare de sécurité, sirène d'avertissement et bien sur les feux de route, l'engin pouvant circuler la nuit.
Première mise sous pression, après épreuve conforme de chaudière à froid à 12 bars, mise en chauffe par tirage naturel, et montée en pression douce au timbre des 6 bars, au terme de ces essais purge rapide pour contrôler toutes les étanchéité, et surtout l'évacuation rapide des surpressions, car la , si ça pète sa se déchire et ça peut faire très très mal.
Essais concluants.
L'engin prends sa forme définitive.
Terminé et presque opérationnel, reste les essais en route en solo et passagers.
Puis j'ai participé à des expositions régionales dans les monts du lyonnais et dans le sud de la France.
L'engin à a ce jour, une centaine de kilomètres dans les roupettes, et près de 200 passagers transportés en toute sécurité , les voyages étant protégés des escarbilles et des intempéries.
Me voici en situation dans les jardins de la Mairie de Ste Foy l'argentière Rhône. le 14 Juillet 2008.
Lors d'une exposition à Ambert, puy de dôme. Une marche de rodage en solo, à l'origine l'engin allait beaucoup plus vite, environ 10 km /h, mais ça risquait d'être dangereux surtout avec une charge remorquée, sur un seul frein à tambour sur l'arbre moteur à différentiel. Une modification s'imposait, par une réduction supplémentaire, sur le système de débrayage à manivelle.
Les 4 km/h ont été résolutoire.
En fait un tel moteur à vapeur de 550 cc de cylindrée par tour, à un couple ENORME, qu'il faut tempérer.
Les moteurs à vapeur en général ont toujours des couples énormes tant qu'on leur donne à manger, volume et pression, c'est comme nos engins TP, si volume débit et pression sont au rendez vous, les vérins iront de paire, et l'engin sera performant.
Un moteur à vapeur est lent, c'est pour cela que sur locomotives ferroviaires les moteurs sont couplés directement sur les essieux.
Un moteur à vapeur donne son couple dès sa mise en route, et si le régulateur vapeur est ouvert trop grand, les roues perdront de l'adhérence et patineront sur place, on dit que la loco s'essuie les pantoufles, ce n'est bon ni pour les roues et rails, ni pour les moteurs ni pour la consommation vapeur, ni pour la traction.
J'avais construit en 2008, un tracteur routier sur pneus de 250 Kg à chauffe au charbon, L'idée m'est venue de le transformer en buldozzer, avec une lame, bien sur le relevage , s'il avait été à vapeur, aurait été l'idéal, un seul vérin à pousser, en tète de l'engin juste dèrrière la lame poussant sur un brancard faisant partie de la lame.
Le tracteur possède sa marche avant et arrière, par inversion du sens de marche à vapeur par coulisses stephenson.
J'avais concut l'ensemble pour rouler très lentement , de l'ordre de 4 km/ H . Donc une vitesse tout à fait compatible avec un bulldozer.
La propulsion se fait sur les roues arrières, par l'intermédiaire d'un différentiel de tondeuse à gazon, tandis que la diresction par roues avant et arbre oscillant, l'est par un volant de direction, à partir de la cbine de conduite.
L'idée est donc de monter un brancard, sur les cotés chassis de l'engin, ne dépassant pas le gabarit de ma remorque de transport, avec son gros vérin de relevage.
En vapeur se pose toujours le problème du graissage des cylindres, celui ci est assuré par une pompe contituée d'un moteur oscillant, ou plus prosaiquement d'une pompe manuelle, car dans ce cas un seul cylindre à faire monter.
Pour le fonctionnement de ce vérin, forcément il faut une vanne deux voies: D'un coté admission de vapeur, de l'autre échappement de vapeur, et bien sur au milieu arret
La vanne doit etre rammenée en cabine pour une action facilité.
Par rapport à l'hydro, certainement plus d'élasticité tout à fait comme l'air comprimée, de plus le cylindre aura toujours tendance à se reffroidir très vite, d'ou une isolation calorifique poussée, car dès le reffroidissement, condensation qui fera retracter le vérin.
L'autre solution serait d'avoir un treuil manuel, genre treuil leve bateaux à manivelle, mais le mouvement risque d'etre lent, par contre si treuil bien concu, levage et abaissage sécurisé, la lame reste en place la ou on l'a placée.
Je parlais de vapeur car ma chaudière est une grosse productrice de vapeur, le moteur à du mal à tout consommer, et souvent le soupapes crachent à l'éxtérieur la sur production au détriment du niveau chaudière, et pertes de rendement au niveau moteur, mais qu'est ce que c'est rigolot de se trimballer en vapeur sur chemins ?
Et puis ça changerais de l'ordinaire un bull à vapeur ?
Le châssis de ce tracteur lors de sa construction en 2008, commencé en Mars 2008, finis opérationnel avec sa remorque pour le 14 juillet 2008, soit en tout et pour tout 4 mois de travaux relax.
Le moteur à vapeur en construction un truc finis d'environ 50 kg, alors quand des charlot du pseudo de Xénon me dit que je ne suis pas un vrais modéliste, que lui faut il de plus ? Fait en autant gars ?
La chaudière à vapeur au charbon de moins de 25 litres son poids est de 100 kg finie, large foyer, pour une chauffe optimale, et un coefficient évaporatoire inconnus à ce jour. Appareil à tubes de fumés, ça vous bouffe 30 kg de charbon sur une journée la bébête, et vous passe 500 litres d'eau.
L'intérieur du foyer, soudage des tirants de parois.
Le montage sur le châssis. Je m'amuse comme un fou lol.
Le tracteur est prévus pour le remorquage de son conducteur et d'une carriole à 4 passagers, soit un ensemble routier de plus de 500 kg tracté à la vitesse de 5 km/ h, vitesse de sécurité.
Ici premier siège sur mono roue, qui ne m'a pas donné satisfaction, le suivant étant un dolly à timon et deux roues porteuses.
Les passagers ne sont pas forcément des mômes, ici le quintal lol.(100kg)
L'engin se précise, montage des bâches à eau, 25 litres dans chacune avec siphon, pompe immergé dans l'une pour remplissage chaudière, en effet l'engin est autonome, batterie auxiliaire embarquée pour remplissage chaudière, gyrophare de sécurité, sirène d'avertissement et bien sur les feux de route, l'engin pouvant circuler la nuit.
Première mise sous pression, après épreuve conforme de chaudière à froid à 12 bars, mise en chauffe par tirage naturel, et montée en pression douce au timbre des 6 bars, au terme de ces essais purge rapide pour contrôler toutes les étanchéité, et surtout l'évacuation rapide des surpressions, car la , si ça pète sa se déchire et ça peut faire très très mal.
Essais concluants.
L'engin prends sa forme définitive.
Terminé et presque opérationnel, reste les essais en route en solo et passagers.
Puis j'ai participé à des expositions régionales dans les monts du lyonnais et dans le sud de la France.
L'engin à a ce jour, une centaine de kilomètres dans les roupettes, et près de 200 passagers transportés en toute sécurité , les voyages étant protégés des escarbilles et des intempéries.
Me voici en situation dans les jardins de la Mairie de Ste Foy l'argentière Rhône. le 14 Juillet 2008.
Lors d'une exposition à Ambert, puy de dôme. Une marche de rodage en solo, à l'origine l'engin allait beaucoup plus vite, environ 10 km /h, mais ça risquait d'être dangereux surtout avec une charge remorquée, sur un seul frein à tambour sur l'arbre moteur à différentiel. Une modification s'imposait, par une réduction supplémentaire, sur le système de débrayage à manivelle.
Les 4 km/h ont été résolutoire.
En fait un tel moteur à vapeur de 550 cc de cylindrée par tour, à un couple ENORME, qu'il faut tempérer.
Les moteurs à vapeur en général ont toujours des couples énormes tant qu'on leur donne à manger, volume et pression, c'est comme nos engins TP, si volume débit et pression sont au rendez vous, les vérins iront de paire, et l'engin sera performant.
Un moteur à vapeur est lent, c'est pour cela que sur locomotives ferroviaires les moteurs sont couplés directement sur les essieux.
Un moteur à vapeur donne son couple dès sa mise en route, et si le régulateur vapeur est ouvert trop grand, les roues perdront de l'adhérence et patineront sur place, on dit que la loco s'essuie les pantoufles, ce n'est bon ni pour les roues et rails, ni pour les moteurs ni pour la consommation vapeur, ni pour la traction.
Dernière édition par admin-jpg le Dim 19 Jan - 9:05, édité 14 fois (Raison : avaux relax)
Re: Tracteur à vapeur routier sur pneus de 250 kg
Aujourd'hui, sommé par mon proprio qui m’hébergeais mon tracteur à vapeur gratos, de le déménager ailleurs.
Mon gendre m'à permis de le garer aux intempéries sur le parking de son entreprise, d'ici un an il sera complètement foutus.
A moins que je puisse le recouvrir de vrais polyane costaud et indéchirable ?
En faits je le reprendrais à l'atelier, je le démonterais pour en récupérer le moteur à vapeur, et quelques accessoires de valeur, le reste iras à la ferrailles.
Ce genre d'engin est agréable pour celui connaissant bien la vapeur, certes agréables à conduire, mais chiant à maintenir en pression, eau, pression, charbon, intensité de chauffe tirage, si ces conditions ne sont pas réunies, pas de traction vapeur..
Tant que j’étais dans les monts du lyonnais, quasi célibataire, avec garage et atelier je pouvais garer mes modèles, et celui ci, maintenant c'est quasi impossible, si je le casse c’est sur , ça sera la mort dans l’âme.
Mon gendre m'à permis de le garer aux intempéries sur le parking de son entreprise, d'ici un an il sera complètement foutus.
A moins que je puisse le recouvrir de vrais polyane costaud et indéchirable ?
En faits je le reprendrais à l'atelier, je le démonterais pour en récupérer le moteur à vapeur, et quelques accessoires de valeur, le reste iras à la ferrailles.
Ce genre d'engin est agréable pour celui connaissant bien la vapeur, certes agréables à conduire, mais chiant à maintenir en pression, eau, pression, charbon, intensité de chauffe tirage, si ces conditions ne sont pas réunies, pas de traction vapeur..
Tant que j’étais dans les monts du lyonnais, quasi célibataire, avec garage et atelier je pouvais garer mes modèles, et celui ci, maintenant c'est quasi impossible, si je le casse c’est sur , ça sera la mort dans l’âme.
Re: Tracteur à vapeur routier sur pneus de 250 kg
Moriturie te salutant César.
J'ai ferraillé mon tracteur à vapeur hier en soirée, stocké chez moi depuis 5 ans puis chez mon gendre aux intempéries, bloqué de toutes parts sauf le moteur, hier après midi je l'ai en partie désossé, récupéré le moteur encore fonctionnel et le sifflet de locomotive, et ferraillé chez un ferrailleur local qui m'en donne avec sa carriole 50 €.
Un tracteur à vapeur aussi rigollot soit il est un engin bien particulier, qui est à maintenir sous vapeur, qu'il roule ou non, donc d'une maintenance difficile.
Tant que l'on s'en sert souvent, et mis en pression, il fonctionne bien, si on l’arrête de nombreuses années, les parties en acier rouillent et bloques les mouvements.
Et puis un évaporateur n'est pas anodin vis à vis de la loi, doit être éprouvé dans les normes régulièrement tous les 5 ans, et du coté assurances responsabilité civile peut coûter fort cher, à la revente on demande un certificat de matières, Il faut le stocker à l'abris des intempéries suivants des prescriptions particulières ainsi pour tous ces inconvénients il est plus facile de le ferrailler, que de le conserver en engin mort.
Le tracteur à vapeur Beeeuk est donc mort, c'était un bon serviteur d'un autre temps.
D'un autre coté , je vais essayer de vendre son moteur à vapeur deux cylindres en état de marche sur le bon coin après un nettoyage ? Peut être en tirerais je un bon prix ?
J'ai mis sa remorque de transport en vente aussi sur le bon coin.
J'ai ferraillé mon tracteur à vapeur hier en soirée, stocké chez moi depuis 5 ans puis chez mon gendre aux intempéries, bloqué de toutes parts sauf le moteur, hier après midi je l'ai en partie désossé, récupéré le moteur encore fonctionnel et le sifflet de locomotive, et ferraillé chez un ferrailleur local qui m'en donne avec sa carriole 50 €.
Un tracteur à vapeur aussi rigollot soit il est un engin bien particulier, qui est à maintenir sous vapeur, qu'il roule ou non, donc d'une maintenance difficile.
Tant que l'on s'en sert souvent, et mis en pression, il fonctionne bien, si on l’arrête de nombreuses années, les parties en acier rouillent et bloques les mouvements.
Et puis un évaporateur n'est pas anodin vis à vis de la loi, doit être éprouvé dans les normes régulièrement tous les 5 ans, et du coté assurances responsabilité civile peut coûter fort cher, à la revente on demande un certificat de matières, Il faut le stocker à l'abris des intempéries suivants des prescriptions particulières ainsi pour tous ces inconvénients il est plus facile de le ferrailler, que de le conserver en engin mort.
Le tracteur à vapeur Beeeuk est donc mort, c'était un bon serviteur d'un autre temps.
D'un autre coté , je vais essayer de vendre son moteur à vapeur deux cylindres en état de marche sur le bon coin après un nettoyage ? Peut être en tirerais je un bon prix ?
J'ai mis sa remorque de transport en vente aussi sur le bon coin.
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