Automobile phaèton à vapeur radio commandée
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Automobile phaèton à vapeur radio commandée
C'est il y a bien longtemps, à une époque ou j'étais fan de vapeur vive, l'idée de construire une voiture à vapeur Stanley type phaéton, à conduite par queue de vache.
Voiture moderne pour l'époque 1903, roues à rayons, pneus gonflables, suspensions à lames de ressorts, différentiel, moteur à vapeur rapide, chaudière à vaporisation instantanée, vitesse sur route, frisant les 100 km /h.
Ca parait fou a cette époque, mais c'est la vérité, grâce aux vaporisations instantanées et aux hautes pressions de la vapeur surchauffée, bruleurs au fioul lampant, dans un véritable foyer à injection, et des pressions de l'ordre des 80 à 100 bars vapeur.
L'appareils évaporatoire est de deuxième génération, d'origine, j'avais montée une chaudière à tubes de Field carrée à chauffe par sourdines camping gaz, mais ne bénéficiait de pas assez de rapidité de production vapeur, et en petite quantité.
J'ai donc fait une refonte de ma bagnole et lui ai montée une chaudière de Kindon, à vaporisation semi instantanée, puisque départ à froid, les 12 bars sont obtenus en 5 minutes, grâce a 3 sourdines camping gaz, alimentées en formule liquide avec vaporisateur à gaz.
La motorisation est faite par un moteur bi cylindres à double effets , à coulisses d'inversion Stephenson plans d'origine René Lefèvre, plans parus en 1975 dans la revue Le Model réduit de bateaux, ce moteur, je l'ai construit à plusieurs dizaine d'exemplaires, avec des cylindrées variables.
Le gros moteur vapeur de la loco routière, est issue directement de ces plans, pourquoi faire compliqué, alors que des systèmes marchent très bien ?
Je puis dire qu'en 20 ans de pratique, j'ai bien du construire plus d'une centaine de moteurs à vapeur divers lol, ça parait fou, mais c'est ainsi, et ne venez pas me traiter d'affabulateur ? 53 ans de modélisme ne m'ont jamais tué, mdr.
Mais du vrais modélisme, n'en déplaise à monsieur Xénon. Faut pas juger les gents sans les connaitre.
Ce fameux moteur vapeur, monté ici horizontalement, transmission mixte par engrenages réducteurs renvois d'angle, et chaine Galle sur différentiel sur arbre moteur, en fait, de la véritable mécanique de précision, n'est ce pas Môssieur Xénon ?
Le pilotage se fait de la manière suivante:
Mise en chauffe de l'évaporateur, contrôle de la pression sur manomètre , arrivés aux 12 bars, ouverture du régulateur vapeur, mise au paravent en marche avant par basculement des coulisses Stephenson, qui modifient les positions des tiroirs à vapeur.
Le modèle avance d'abord en cahotant, cela est du à la condensation de la vapeur dans des cylindres froids.
puis au fur et à mesure du réchauffage, le moteur se libère.
En température maximum le bolide roule vers les 30 km /h, ça parait fou, mais c'est ainsi les puissances vapeur dépassent ce qu'on peut imaginer de nos jours.
Direction bien sur par radio, et l'on régule la vitesse sur le régulateur vapeur et sur les coulisses.
l'autonomie du réel était de 30 km, ce modèle à une autonomie de 10 minutes environ, qui lui permet de parcourir environ 500 mètres voire plus suivant vitesse au sol.
J'ai commencé sa construction vers 1980, il a aujourd'hui 34 ans et doit encore fonctionner après une bonne remise à niveau.
La roue à rayons droite avant.
Les dessous du châssis tubulaire.
Le siège en bois ouvragé vernis, le conducteur est Lord Livingstone, un colonel Anglais de l'armée des indes, généralement accompagne de son chat.
Je précise que la voiture est un des nombreux modèles de Stanley, est une maquette exacte, alors les ceusses qui ne savent pas , ils ferment leurs gueules, et demandent avant de dire des conneries . Lol et mort de rire .
Voiture moderne pour l'époque 1903, roues à rayons, pneus gonflables, suspensions à lames de ressorts, différentiel, moteur à vapeur rapide, chaudière à vaporisation instantanée, vitesse sur route, frisant les 100 km /h.
Ca parait fou a cette époque, mais c'est la vérité, grâce aux vaporisations instantanées et aux hautes pressions de la vapeur surchauffée, bruleurs au fioul lampant, dans un véritable foyer à injection, et des pressions de l'ordre des 80 à 100 bars vapeur.
L'appareils évaporatoire est de deuxième génération, d'origine, j'avais montée une chaudière à tubes de Field carrée à chauffe par sourdines camping gaz, mais ne bénéficiait de pas assez de rapidité de production vapeur, et en petite quantité.
J'ai donc fait une refonte de ma bagnole et lui ai montée une chaudière de Kindon, à vaporisation semi instantanée, puisque départ à froid, les 12 bars sont obtenus en 5 minutes, grâce a 3 sourdines camping gaz, alimentées en formule liquide avec vaporisateur à gaz.
La motorisation est faite par un moteur bi cylindres à double effets , à coulisses d'inversion Stephenson plans d'origine René Lefèvre, plans parus en 1975 dans la revue Le Model réduit de bateaux, ce moteur, je l'ai construit à plusieurs dizaine d'exemplaires, avec des cylindrées variables.
Le gros moteur vapeur de la loco routière, est issue directement de ces plans, pourquoi faire compliqué, alors que des systèmes marchent très bien ?
Je puis dire qu'en 20 ans de pratique, j'ai bien du construire plus d'une centaine de moteurs à vapeur divers lol, ça parait fou, mais c'est ainsi, et ne venez pas me traiter d'affabulateur ? 53 ans de modélisme ne m'ont jamais tué, mdr.
Mais du vrais modélisme, n'en déplaise à monsieur Xénon. Faut pas juger les gents sans les connaitre.
Ce fameux moteur vapeur, monté ici horizontalement, transmission mixte par engrenages réducteurs renvois d'angle, et chaine Galle sur différentiel sur arbre moteur, en fait, de la véritable mécanique de précision, n'est ce pas Môssieur Xénon ?
Le pilotage se fait de la manière suivante:
Mise en chauffe de l'évaporateur, contrôle de la pression sur manomètre , arrivés aux 12 bars, ouverture du régulateur vapeur, mise au paravent en marche avant par basculement des coulisses Stephenson, qui modifient les positions des tiroirs à vapeur.
Le modèle avance d'abord en cahotant, cela est du à la condensation de la vapeur dans des cylindres froids.
puis au fur et à mesure du réchauffage, le moteur se libère.
En température maximum le bolide roule vers les 30 km /h, ça parait fou, mais c'est ainsi les puissances vapeur dépassent ce qu'on peut imaginer de nos jours.
Direction bien sur par radio, et l'on régule la vitesse sur le régulateur vapeur et sur les coulisses.
l'autonomie du réel était de 30 km, ce modèle à une autonomie de 10 minutes environ, qui lui permet de parcourir environ 500 mètres voire plus suivant vitesse au sol.
J'ai commencé sa construction vers 1980, il a aujourd'hui 34 ans et doit encore fonctionner après une bonne remise à niveau.
La roue à rayons droite avant.
Les dessous du châssis tubulaire.
Le siège en bois ouvragé vernis, le conducteur est Lord Livingstone, un colonel Anglais de l'armée des indes, généralement accompagne de son chat.
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