Niveleuse RICHIER N 52 1C de 1975 au 1/9

Voici l'engin que je me propose de construire pour Didier Defond , l'organisateur du Rétro Machines à Cordelles 42.

En faits, je recherche aussi de la documentation écrite avec photos et surtout les caractéristiques dimensionnelles ?

Voici don l'engin vue du cul, peut être pas l'idéal, car de face en soirée le soleil directement dans la poire, c'est pas l'idéal non plus.



Sa plaque de présentation.

J'ai donc essayé de faire des photos de détails éclairés le plus possible par le soleil.

Le réel : Moteur diésel sur boite à vitesses, puis boite de transfert au niveau inférieur, placée en avant juste derrière la cabine qui entraine par arbre de couche à Cardans le pont différentiel certainement à blocage.



Pour le modèle on se passera de différentiels, juste une réduction de vitesse, par engrenages coniques acier sous cloche étanche, à voir certainement en module de 1,25

Les deux sorties du pont servent aussi d'axes oscillants pour les deux groupes de roues latéraux, sous carters acier massifs montés sur roulements à rouleaux, et très certainement entrainement par chaines à rouleaux double, du tout à fait classique pour ces engins.



Les deux patins de roues ont une forme d'accent circonflexe.

On voit bien sur cette vue le palier support de pont servant aussi à l'oscillation des patins de roues.

On a donc un chassis acier monté en poutrelles creuses par mécano soudure, le col de cygne originel se subdivisant sur l'arrière, en deux branches. Support moteur et boite, support brancards de propulsion arrière, support du réservoir que l'on voit , photo précédente cerclé de deux brides.
Tout comme LRZ si place suffisante entre ces deux longerons pour placer les distributeurs hydro.







La forme du chassis col de cygne.

Sous le col de cygne, le support de lame mobile en tous sens, suspendus par deux vérins indépendants pendulaires, plus un vérin de déplacement latéral actionné par double vérin et crémaillère placé juste devant la cabine et derrière le col de cygne.



Le râteau riper à 3 dents.


Le vérin du riper.



Sa manivelle est montée dans un palier à double usages : Action sur la barre de manoeuvre à rotules du déplacement latéral du porte lame, et de support au vérin de riper à 3 dents placé sous la cabine, c'est un riper en berceau fixé sur une pièce acier en forme de U articulée en dessous arrière de cabine, ou prolongation du chassis col de cygne, s'abaissant sur l'avant, de sortes qu'en position levé il ne gène aucunement.



Le vérin double à crémaillère mais à simple effet de manoeuvre du déplacement latéral du support de lame.



Le berceau support de lame en fait partie directement et comporte le système de rotation à vérin hydro, le pignon de sortie à gros module sort de la boite sur le dessous de l'avant et entraine la couronne à denture extérieure, apparemment à rotation presque totale.
Je dis apparemment car il y a aussi les flexibles du vérin de déplacement de lame latéral.


Le porte lame est articulé sous l'avant du col de cygne par rotule, de faits il se meut en tous sens mais limité par ses débattements totaux, et ceux des vérins.





Les deux photos du haut montrent les supports de vérins et bielle de manoeuvre du déport latéral par rotules, sur un coté ce support est double pour deux rotules.




La lame est donc suspendue sous cet anneau engrenage, lui même pris en sandwich en trois points, par le support à rotules.
Je n'aie pas vu d'axe central, il semblerait que les trois points fixes, à glissements doux, remplacent le pivot central, ce glissement se fait donc de l'intérieur de la couronne. En faits pas de toile centrale de façons à faire tourner au maximum sur elle même cette lame juste limitée en rotation par un pion venu de fonderie, qui vient buter contre le support moteur hydro de rotation de couronne.



Sur le porte lame, des goussets de réglages d'angles, l'axe du bas tient la lame, l'axe du haut fait les réglages appuyés oar des crantages.

La lame parait tenir sur le porte lame par une glissière ouverte au dessus et une autre placée en bas de lame, juste une glissière de guidage, la dessus il doit y avoir un certain jeu de débattement d'avant en arrière, mais je n'aie pas vu comment la mame tenait au porte lame ? LRZ sur camions, à fait une double rainure , il me semble haute et basse, ainsi la lame reste solidaire de son porte lame.



Le profil de la lame .



Le moteur hydro de rotation de couronne.



Le support des deux vérins de lame, est composé de deux ferrures placées verticalement, et de formes telles qu'elle permet le déplacement sur trois points des supports des vérins, on peut donc les monter ou les descendre suivant les travaux à effectuer.





Vue arrière du support.



Vue sur la crapaudine support de vérin.



Une autre vue des fixations basses des vérins de lame.



La butée haute, fixée sur le porte couronne, et dont la longueur est calculée pour la totalité du débattement latéral du porte lame.

L'engin est simple outre son râteau riper à 3 dents, pas de lame avant pas de riper arrière.



La direction est hydraulique par un seul vérin et barre de manoeuvre.





Vue sur l'avant de la roue gauche, avec son vérin de direction.



Le pont support avant est oscillant, il comporte à l'opposé du vérin de direction, un vérin d'angle de chasse, la barre de commande passe alors par le milieu du pont de direction.



Un complément de stabilité d'oscillation est placé au devant du pont oscillant évitant tous jeux excessifs.



L'avant de l'engin.

Il semblerait que la barre de manœuvre du vérin d'angle de chasse, soit traversant de son vérin ? De ce fait les deux plats latéraux permettent au vérin de suivre les mouvements oscillants de la cinématique de mouvements du pont avant.

Les 6 roues à chevrons sont de grands diamètres, mais relativement étroites j'ai photographié une des roues arrière justement pour ses références. Donc 6 jantes à tourner en jets d'alu et tubes Schedule.

Voici pour la partie technique réelle, nous bien sur on trichera en fonctions de nos besoins réels.

Le modèle sera construit au 1/9, une échelle moyenne, , pas de différentiel mais un couple en réduction, pareils pour la motorisation en vue de gagner de la place, un brushless sur boite planétaire en position verticale entrainant le couple conique en réduction, donc variation de vitesses par vario inverseur.
Cette échelle parce que Didier Defond adorerais conduire une niveleuse radio commandée, et qu'il se moque éperdument de l'échelle.
La cabine sera figurative et contiendra l'accu lipo 11,1 v

Donc de la place sous le capot moteur de part et d'autre, sur l'avant les distributeurs hydro, sur l'arrière la pompe hydro, puisant son jus directement dans le réservoir que l'on voit sur l'arrière.

A notre disposition plusieurs vérins : les deux du support de lame, celui d'orientation latérale du support, celui du riper, celui de la direction et celui de l'angle de chasse, celui du déport latéral de lame.

Quand à la rotation certainement un moto réducteur du genre planétaire sur brushless.

En nombre de voies : Direction hydro, sens de marche électro, commande de pompe, commandes indépendantes de chacun des vérins : les deux de support, celui du latéral, celui du riper, le déport de lame, le vérin de chasse.

Il se pourrait très bien que je remplace celui de direction par un gros servo intégré à la structure de l'avant du col de cygne.

Au total 10 voies dont 6 hydro et 4 électro.

On pourrait envisager une radio 8 voies à commutations de voies, mais tout comme la job il faut la simultanéité de toutes les commandes à la fois, je verrais plus une Taranis à cet effet.

Je penses que l'ensemble poutre chassis sera découpé en tôle acier d'un mm, et chapeauté par des lardons, comme la job et les Dahox, certes c'est long à faire mais parfaitement rigide et léger.


C'est un métal et ses assemblages que je maitrise le plus.




Au pif un pneu fait 1,200 mètre de diamètre, l'espace entre deux pneus est de 30 cm, (c'est bête j'avais pas de mètre sur moi ), je puis dire alors que l'entre axe des roues arrières est de 1500.

Je n'aie pas trouvé de PDF pour cet engin.



J'ai décanté un peu son cahier des charges, ses roues font 120, j'ai trouvé chez TC machine les pneus idéaux, 120x30, jante de 58, 23 € pièce. 335/80R18XM27. Je ferais moi même les jantes, jantes annulaires sur toile en 4 points de fixation sur l'anneau, large moyeu pour se raccorder sur le moyeu de roues par 10 boulons en M3.

Le pont moteur est fixé sous les longerons du chassis, les ponts de transmission des roues en accent circonflexes de 40 de larges sur 30 d'épaisseur en alu fraisés contiennent les roues dentées d'entrainement à chaines à rouleaux de 6, ces ponts oscillent sur roulements à l'extrémité des fusées de pont, que je ferais moi même .



L'engin fera 900 de long ht pneus, 780 entre axes extrêmes et 630 entre premier et second essieu, 220 de large engin, le compartiment moteur fait 80 de large sur 300 de long, cabine comprise dont je puis estimer la longueur au niveau chassis de 1 mètre, donc 10 cm. Longueur compartiment moteur 200.



Hauteur sol dessus cabine 300, garde au sol sous réservoir arrière 70.



Le chassis est constitué de profilés acier de 15/10 montés en IPN, de poutre centrale il se sépare en deux IPN sur l'arrière, vu les larges courbes je penses les cintrer aux rouleaux, l'assemblage des chapeaux seront brasés brox.



Moteur brushless de 1000 KV sous 11,1 v, en réduction planétaire de 1/60 sur pont rigide sans différentiel, ce moteur sera donc en position vertical au dessus du pont, disposition déjà adoptée pour la niveleuse Bruder. 1000 KV donnent 11100 tours, en réduction de 1/60, =185 tours, plus une réduction de pont de 1/3, ce qui nous donne une vitesse sur route maxi de 23,235 mètres minute. La pompe Magom brushless sera placée tète en bas au dessus du réservoir arrière pendulaire, non fictif.

La place pour les distributeurs Magom est suffisante en capot moteur, en fait tout l'équipement électro mécanique sera placé dans ce long compartiment moteur. 80x200x 80 de haut coté cabine et 70 coté arrière grille de ventilation.

Etant toujours dans mes rêves, et sur idée d'un gus sur les camions, une niveleuse free lance mue par un Toyan mono cylindre. j'ai ici même les photos d'une niveleuse Richier 6 roues ancienne.

Sur cet engin, pas mal de mécaniques, 

La partie arrière et ses 4 roues sont montées dans des carters identiques, donc retournables entrainements par engrenages droits, pour moi ça serait plutôt entrainement par chaines à rouleaux de 6, sur pont central sans différentiel, rendant oscillants les deux balanciers.

Tout comme le Dahox la pompe hydro de tye Magom, est entrainée par le moteur, en faits sur son premier rapport de réduction.

Rapport qui entraine un planétaire à un étage de réduction puis la boite d'inversion mécanique, et suivant les positions respectives moteur pont, peut etre une boite de transfert. Plus j'y penses, plus la boite de transfert est indispensable.

Cela permet de disposer de la longueur en capot moteurs pour installer le groupe décrit plus haut, avec boite de transfert qui peut etre à réduction, (Ca se calcule tout cela), de faits entrainement par cardan télescopique du pont situé sous le bloc moteur et dont le bas du carter dépasse en dessous du carénage.

restons dans la normale des échelles au 1/12, échelle gonflée par rapport au 1/14, quoi que le PR 764 est au 1/14 et à pourtant été traité avec un toyan.

L'idée serait donc de copier au 1/15 par exemple la niveleuse Bruder , mais de la refaire en acier brasé brox et argent.


Et en mème temps ci dessus je pensait la faire au 1/10 question de logeabilité du matériel.


Parce qu'en faits tout va se loger dans le compartiment moteur.


Le moteur et son embrayage, ici on est avec la première version air, donc ventilo collé contre la grille arrière droite, puis vient la cloche d'embrayage pour une longueur de 120 mm, au 1/10 la soute faisait 200 de long par 80 au carré.


En faits c'est la constitution du châssis  en Y sur l'arrière qui va conditionner les emplacements des distributeurs hydro.


Coté fonctions hydro, on a la direction et la chasse des roues les deux vérins de relevage, celui du riper, celui du déport de lame.
e parles d'hydro, mais en faits la plupart des vérins peuvent etre électriques : La direction et la chasse des roues, les 2 du relevage celui du déport de lame celui du riper, celui de translation de lame,  la rotation de lame , puis pour la conduite de l'engin: les gaz, le débrayage brushless, sa commande de marche, la boite des vitesses. Si je penche pour le 1/10 j'ai plus de latence et de place pour tous ces vérins électriques. Puis je parlais de fins de courses électriques, mais à y bien réfléchir, si les tiges filetées des vérins ont une rondelle de butée, plus un torique élastique, le moto réducteur se bloque contre eux en fins de courses


De faits tous électrique, plus de pompe ni de distributeurs mais des varios inverseurs, dans ce cas il faut en trouver des simples cartes avec leurs connectique.


La cabine de conduite est archi simple, il y a des portes ouvrantes, oui juste nécessaires pour mettre en route l'électronique qui sera installé au ras du plancher, à la rigueur sous un doublage en faux plancher. 



C'est sur, depuis que j'en parles une niveleuse thermique me plairait assez.

Non mais vous imaginez ? une niveleuse au 1/10 mue par un moteur thermique ?

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Le châssis longeron pourrait etre en U de laiton, ou d'acier le laiton et l'acier  se recuisent, c'est à dire se chauffent au rouge pour les ramollir.

L'acier est mieux que le laiton car pour le fondre il faut aller au blanc brillant, on le chauffe au rouge sombre et il se cintre facilement autours d'un gabarit de formes.

Pour faire simple il est constitué d'un tube acier profil a froids tubulaire carré de 25x25, il sera cintré à chaud sur gabarit avec butées et dessin de son profil, une fois en forme, son arrière sera refendu en deux dans le plan vertical pour former les châssis arrière porte machinerie.

Admettons qu'on ne veuilles pas le déformer aux cintrages a chaud ? On le remplis de sable au refus et on bouche les deux cotés étanche, une fois en formes on le vide et le refends en 2 sur l'arrière.

Donc un dessin a tracer grandeur sur un bout de tôlé acier ou encore un plat acier de 100 ou plus sur la longueur voulue.

De plus j'ai reçu le toyan 2 cylindres à l'instant pour le Dahox, pour le 1 er je l'avais payé 350 €, rendez vous compte 68 € de différence.

Désolé Pat si je te déçoit, mais cette niveleuse me titille depuis 4 ans, de plus une Richier que je puis faire au 1/9 l'échelle du rouleau Richier.

en tout cas pour la radio 10 voies, taranis à 100%, 2 X6R en réception, petits discrets et encore trouvables.

1/9eme c'est pas conventionnel, mais tu fais l'échelle que tu veux, l'essentiel est de garder les même proportions, il vaut mieux avoir un modèle à une échelle personnalisée qu'un modèle qui va être au 1/16ème à l'avant et au 1/12eme à l'arrière parce que ce sont des échelles communes...

D'ailleurs perso j'hésite encore entre du 1/14 et du 1/12eme pour la kobelco.

1/12, parce que l'on ne voit pas la différence. La difference c'est un bonhomme Bruder en cabine, certes un petit bonhomme ( A notre taille 1, il y a bien des petits hommes, comme des grands zommes lol)

ouais et puis j'aime les gros engins. Mais 1/8eme c'est un peu trop gros en pelleteuse xD. elle fera quelle taille ta niveleuse en 1/9eme, dans les 80cm de long non ?

Lis le topic, tout y est écrit : 900 environ par 220 et hauteur 300, compartiment moteur 200x80 roues de 133 Chassis en profilé acier tubulaire de 15x20 ou mieux 25x25 si je trouve, refendu en 2 sur l'arrière pour soutenir le compartiment moteur.

Ce chassis je puis le faire en cave sur gabarit, voici comment on fait ça en sérrurerie :

La base serait un plat acier large, ou une tole de 3 mm de 1000x300, tenue en étau par en dessous avec un plat acier sur champ et soudé arc, ainsi fait le gabarit est tenu horizontal.

La dessus je trace le profil en long du longeron/chassis, et la hauteur du tube, 25x25, ca forme un S allongé.

Je prends alors du plat acier de 25x3 que je forme au martelage sur l'atau parralléle au profil éxtérieur tracé, une fois en forme, je le soude par pointages arc sur la tole.

Puis vient le moment du formage à chaud au Chalumeau, je pince le coupon en bout coté gauche sur l'avant d'engin, et le bride avec une presse acier, je chauffe alors le tube aux endroits de cintrage et le force à chaud sur la forme, ca viens comme du beurre vu que c'est du tube mince. Puis pour le dernier cintre fermé celui la (la partie support moteur ) j'utilise une floppée de serres joints, et je force le tube chaud à venir se caser sur le gabarit, je laisse refroidir sur le gabarit bridé.

Le plat cintré en S sera bien sur à la longueur voulue de sortes que je trace le tube et le recoupe à cette longueur.

La partie arrière sera refendue en deux à la scie sauteuse ou a la meule fine à tronçonner à jusque devant le vérin de déport tourniquet de lame, et vu que le tube a été largement recuit, il s'écarteras relativement facilement.

Peut etre dessouder le plat initial pour le reformer à ce niveau à la forme en vue de dessus.

Certes c'est du boulot, mais en sortie le chassis aura sa forme définitive.

Une fois assemblé il sera d'une rigidité exceptionnelle.

rien que la tôle de 3mm en 100*300 çà va te faire une base de 7 kg, avec les bons pliages et soudure Arc, tu vas pouvoir de balader assis sur la poutre au prochain salon de saint Rambert xD

Mais non, tu n'à pas compris, cette tole c'est un gabarit de mises en formes à chaud, pas la niveleuse.

Alors, au 1/9, longueur HT 1000, largeur HT 244 hauteur HT 333.

Le compartiment moteur fera 222 de long par 90 de large et 90 de haut.

Le diamètre des roues de 133 environ.

La cabine de conduite fera 111 de long par 90 de large et 250 environ de hauteur au dessus du chassis.

A cordelles le Patron de Rétro machines Didier Deschamps un ancien des TP faisait une démonstration avec sa niveleuse débarrassée de sa cabine, il la faisait rouler sur 3 roues, droites ou gauche en équilibre sur la pointe de lame, et lui bien sur en déséquilibre dans sa cabine de conduite, à 45 ° une erreur et il tombait et se faisait écrabouiller par sa machine, (ce n'est jamais arrivé).

Bien sur j'ai relus ce topic, alors du point de vue Radio :

direction et angle de chasse hydro, 2 voies.

Relevage tourniquet 2 voies hydro.

Déport latéral du tourniquet 1 voie hydro.

Le tourniquet sur moteur électrique,  le déport de lame, peut se faire électrique, donc  2 voies.

Le riper central 1 voies hydro.

Les gaz du moteur,  1 voie sur servo , son inverseur mécanique 1 voie sur servo,

La pompe hydro sur le toyan ven permanence vus que la direction est hydraulique

Le toyan à un démarreur électrique commandé par bouton poussoir positionné en cabine, et bien sur un embrayage à masselottes automatique sur ralentis.

en mode débrayage comme en mode brushless, il te faut une voie récepteur. Il n'y a que commandé par le toyan en permanence que tu supprimes une voie.

Bien sur on parle coté récepteur, coté radio, avec les mixages on peut supprimer une commande en couplant la pompe sur une action de vérin

Attends, je dis une bêtise, la pompe doit marcher en permanence, vu que la direction est hydraulique, donc la question ne se pose plus, pompe couplée en permanence au moteur.

Elle peut l'etre qu'en sortie d'embrayage, en amont pas possible vu que tous les axes sont pris.

Mais j'ai rectifié plus haut ces nouvelles données.

euh non pas forcément, la direction elle est sur un vérin, donc pareil si tu tournes pas tu n'as pas besoin de pompe. on la couple comme les autres voies avec la pompe sur la radio

Si tu préfères en permanence ok, n'oublies pas le limiteur de pression pour reflouer l'huile vers le réservoir

Tu préconise donc la mise en route de la pompe que sur action des vérins, quels qu'ils soient ?

Ca implique de faire marcher la pompe sur brushless et non sur le thermique, sur la batterie du démarreur par exemple ?

En faits sur le thermique, la pompe ne consommes pas de jus, juste son huile lol.

Bien sur le limiteur est quasi indispensable, pour lui, je prends un limiteur SENGA que je modifie à cet usage, avec une base additionnelle de retours vers le réservoir, limiteurs réglables grace au pointeau d'origine.

si tu es un fan du débrayage manuel, tu peux très bien faire comme sur un brushless. c'est un servo qui va commander ton embrayage. si une des commandes hydro n'est pas à 0, servo  à 100% tu embrayes, sinon servo à 0% ou -100% tu débrayes (tu utilises une courbe si tu veux moins de 0, çà tombe bien j'ai expliqué comment on les faisait dans mon dernier tuto xD).

Oui, j'ai lu, et je demande à relire et encore, pour bien y comprendre.

On dit courbes sur Taranis, moi je dirais courses et exponentiels et tutti quanti.

Oui pour les débrayages manuels, vu que sur Taranis on est pas bridés sur le nombre des voies en action.

Sur Poclain et Richier les embrayages brushless de secours sont sur les périphériques entrainés.

Ici le système sera plus simplifié.

En faits tout réside sur l'inverseur mécanique qui prends son mouvement sur la cloche d'embrayage et le transmet plus haut à l'axe d'entrainement dit moteur, le réducteur y est branché dessus.

J'aimerais récupérer l'inverseur de la Viraal, qui posséde sur l'axe moteur haut une double roue dentées, un montage à moi, l'une des roues ne sert à rien en faits elle pourrait entrainer la pompe mais en augmentation du régime, provisoire, vu que plus bas les satellites donnent la réduction.

Un merdier sans nom fonctionnel. La pompe peut alors etre montée dessus avec embrayage. J'ai tout ce qu'il faut du tout premier monster loupé. et du 2 em aussi. Une longue suite de récupérations.
Au sortir de l'inverseur, il me faut ramener la vitesse à plus lent sur le pont fixe, pour les grosses roues motrices.

Pour l'heure tout est flou dans ma tète, du comment monter le moteur sur ces breslages.

je te laisse cogiter sur la mécanique, tu est bien meilleur que moi dans ce domaine

Ne pas confondre  course et courbe. 
la course c'est le débattement physique de ton servo et çà se règle dans la page output en fonction de ton montage mécanique.
la courbe c'est le comportement de ton servo par rapport à une commande. la courbe agit toujours dans les limites de la course. Si tu dis à ton servo qu'il ne peut avoir que 20% de débattement négatif dans output, si ta courbe dit -100%, c'est -100% des 20%

oui une courbe peut être une exponentielle,  mais comme je l'explique, çà peut etre ce que tu veux jusqu'à 17 points. vas le relire, en plus j'ai mis les captures d'écran

Du coté des roues, j'en ai 4 issues de ma Jeep Rochobby au 1/6, 113x30, certes un peux petites de 2 cm au diamètre, donc plus pêchues en traction, allant moins vite, il faut juste que j'en pique 2 sur sa remorque remplacées par des roues du Big grumes un peut plus larges mais meme diamètre .

J'aie des roues montées sur jantes, pourquoi ne pas les utiliser même plus petites ?

Ces roues de Jeep sont assez rétro, celle du camion Militaire américain plus récentes feront moins rétro mais toutes montées sur jantes a empreintes hexagonales de 12.

Pourquoi dans un premier temps ne pas assayer avec celles ci j'en ai en nombres suffisant 6. Pneus à crampons de TT.

Du point de vue construction, je commencerais pour le chassis poutre en tube acier PF de 25, cintré à chaud sur gabarit, au moins l'arrondis du col de cygne en S autours d'un mandrin au bon diamètre (tronçon de tube).

Sable a refus dans le tube d'un mètre bouchonné aux 2 bouts, pour éviter la déformation du tube.

Pour ces courbes, c'est la notion du manche à 3 vitesses qui désarçonne, peut on dans ce cas la, utiliser la pièce en H de Tamiya sur l'émetteur ?

On fonctionne en courbes, mais ici on a des positions bien déterminées.

Par après c'est selon les habitudes de chacun.

Mais ces courbes peuvent avoir leur utilités dans les commandes des vérins, en fonctions des forces demandées à la pompe.

Avec les courbes, Taranis devient couillue.

oui ton système en H n'est finalement qu'une position définie de ton manche avec un guidage mécanique. tu peux très bien si tu en as besoin utiliser les courbes. dans ton cas je parlais des courbes parce que quand les manches sont au neutre, ton servo sera au neutre avec le mioxage standard manche/embrayage de pompe. toi il faudrait qu'ils soient à -100% comme un inter à 2 position. les courbes permettent de le faire.

J'explique comment automatiser la boite tamyia à 3 vitesses mécaniques en fonction du manche. y a même le graphique dans le tuto. typiquement une application de la courbe. Je pourrais même en théorie utiliser les courbes pour mon levier 5 vitesses + marche arrière sur le camion. Je ne l'ai pas fait, mais c'est plus simple que les switchs logiques qui eux sont encore un autre niveau et je vais peut être les utiliser quand je me remettrais dessus.

Tu le fais en tube carré ton châssis ? je ne sais pas quelle force il va te falloir pour le plier mais va falloir le chauffer au rouge pour pas casser. Si j'avais du le faire, j'aurai plutôt découpé 2 pièces à la forme du col pour les cotés et cintré 2 plats fin pour ensuite braser le tout et refaire la poutre carrée. Cà reste dans mes possibilité de travail du métal actuellement. Mais je n'ai ni ton expérience, ni ton outillage.

Je vais faire la poutre en tube carré à profil à froid de 25, il sera remplis de sable à refus fin puis les deux bouts soudés, ensuite par chauffes successives cintrés sur un mandrin au bon diamètre, ces tubes minces se cintres facilement à chaud au rouge sombre, une fois aux formes définitives sur dessin, recoupé sur l'arrière pour l'ouvrir en deux pour le chassis moteur, soit à la scie sauteuse acier, soit à la tronçonneuse à disque fin d'un mm.

En faits au recue de la bruder, sa longueur en sera au prorata, certainement moins long qu'un mètre. que je trouve particulièrement long, c'est le tourniquet central et sa lame qui me guideront dans mes choix.

Sur un tel engin pas mal de rotules, il y en a chez Michaud chailly.

Peut etre que le compartiment moteur sera plus long, c'est l'équipement qui me guideras.

admin-jpg a écrit:Je vais faire la poutre en tube carré à profil à froid de 25, il sera remplis de sable à refus fin puis les deux bouts soudés, ensuite par chauffes successives cintrés sur un mandrin au bon diamètre, ces tubes minces se cintres facilement à chaud au rouge sombre, une fois aux formes définitives sur dessin, recoupé sur l'arrière pour l'ouvrir en deux pour le chassis moteur, soit à la scie sauteuse acier, soit à la tronçonneuse à disque fin d'un mm.

En faits au recue de la bruder, sa longueur en sera au prorata, certainement moins long qu'un mètre. que je trouve particulièrement long, c'est le tourniquet central et sa lame qui me guideront dans mes choix.

Sur un tel engin pas mal de rotules, il y en a chez Michaud chailly.

Peut etre que le compartiment moteur sera plus long, c'est l'équipement qui me guideras.

T’embête donc pas à souder les bouts avant de cintrer, fais avec des bouchons en bois enfoncés à force au marteau, c'est comme ça que j'ai appris en plomberie pour le cintrage au sable (ça me rajeunit pas non plus, ça fait 25 ans déjà!)
N'oublie pas le tassage, c'est important si tu ne veut pas réduire la section, ça doit être encore plus sensible sur tube carré que sur du tube rond