Pelle mytique : Poclain TY 45 Première version à moteur thermique.

Pour cette pelle, je viens de commander mon 6 em Toyan chez BG pour 136 €, le prix le plus bas chez BG est de 111 €

Celui ci est à refroidissement par eau et air, il est monté avec chemise eau, mais n'a pas de pompe à eau, celle ci pourrait etre une centrifuge à faire moi même ?

Ca m'éviterais ainsi de foutre en l'air le montage de ma chenillette.

J'aie deux radiateurs prévus pour eux, quoi que des pompes centrifuges, BG ou Stirling doit en  vendre ? Si pompe nue, possibilité de marcher sur la riue dentée a 30 dts du réducteur mais ici en augmentation du régime, dans ce circuit de refroidissement il n'y a pas de pression, donc une pompe qui mouline.

Bon, faut que je bosse un peu sur ma pelle qui ne se construira pas toute seule.

Avant les buses du pot du monster, je m'occupais de l'ensemble de transmissions dont l'arbre est assez raide à tourner, en faits c'est mieux ainsi pour centrer et brider le boitier du planétaire à fixer sur la barbette bien centré.

La, il faut que je pointe les 4 trous avec un foret de 2,5 en dessous de la barbette, puis après démontages percer ces trous à 3 fraisés intérieurs pour y visser le planétaire.

La, il me faudra re démonter un roulement du blochet pour l'aléser à 5,2, remettre l'axe et le roulement et que ça tourne librement, aléser aussi à 5,2 la pièce en té et lui donner du jeu pour le blochet.

En faits ces raideurs à demi voulues me sont profitables pour centrer mes deux montages.

J'ai du aussi approfondir le logement de l'engrenage du planétaire de 2 mm, bien sur ça raccourcis d'autant le palier de la transmission finale, mais à ce niveau ça tourne déjà plus lentement, de ce fait l'axe de 12 dépasse de 2 mm en plus, profitable également pour centrer le support du renvois d'angle qui sera fixé sous le planétaire.

Des tas de défauts profitables pour les suites du montage.

Coté barbette ça m'à permis de mesurer ce dont j'ai besoin en longueur d'axe de 5, pour y visser le tablier de tourelle, et la roue d'angle.

On admet que la tourelle repose sur la barbette montée sur le châssis roulant, le tablier est monté, ainsi que la roue d'angle.

Son entrainement se fait par les deux pignons d'angle de marche avant, point mort et marche arrière.

cet arbre coulissant sera porté par deux roulements de 5x10x4 sur paliers alu, cet arbre sera actionné par un servo sur les 3 positions, sa sur élévation sera profitable à la roue plastique de 30 dts de la réduction primaire.

La position de cette roue sera aussi sur paliers, elle entrainera l'arbre coulissant par cardan télescopique, le moteur quand à lui sera posé à coté, ventilateur opposé à la cloche d'embrayage, et devant le ventilo, le radiateur à nid d'abeilles du refroidissement, dirigé sur l'arrière de la tourelle, qui sera garnie pour son carénage d'une grille à sheds, les sheds sont des tôles pliées en Z regardant vers le bas, et brasées sur un cadre les entourant, de cette façon, on assure la ventilation, quand à la pluie, celle ci ne peut pas rentrer sous le capot, par sécurité contre les rongeurs on place à l'intérieur un grillage à mailles fines.

Le moteur étant posé d'un coté de cette roue, l'entrainera par sa cloche d'embrayage, cette roue entrainera aussi la pompe centrifuge que j'aie commandée chez Stirling Chine, 26 €.

Le moteur brushless dit de secours s'engrènera aussi sur cette roue par son harnais à bascule d'embrayage, puis la pompe hydro sera entrainée par l'arbre coulissant, avec encore un cardan télescopique.

En faits cette roue en réduction sera le vrais nerf moteur de l'engin:

Réduction de propulsion, réduction de vitesse de pompe, réduction du moteur de secours, mais augmentation de vitesse de la pompe centrifuge.

Quand le moteur thermique fonctionne, tous ces périphériques fonctionnent.

Quand il est arrêté, c'est le brushless qui prends le relais, à la rigueur je puis même monter la pompe centrifuge sur le harnais du brushless, pour la débrayer, puisque thermique arrêté  il n'a plus besoin de pompe de circulation qui charge l'arbre de transmission inutilement.

Cet engin est véritablement un défi technique, tout à base de mécaniques.

Coté pompe j'en ai deux, une petite Magom en pièces détachées a monter, et une plus conséquente de marque JUNG Allemande de  12 cc de cylindrée et de 12 litres minute à 3000 tours.

De faits il faut savoir rester modeste, un distributeur Leimbach à boisseaux coulissants à 4 voies maximum. Flèche, balancier, godet et auxiliaire, l'auxiliaire à lui seul pourra assurer les mouvements de plusieurs outils.

Maintenant un peut de techniques hydraulique pour nos nouveaux membres.

Nos engins hydro fonctionnent à l'aide d'une pompe dite à engrenages à lobes, pour les plus courantes, ou par des pommes plus sophistiqués à engrenage planétaire et bien sur plus chères et qui peuvent monter à 300 bars.

Nos pressions de service restant faible aux alentours de 12 bars.

Il nous est impératif de ne pas dépasser cette préssion pour plusieurs raisons.

Raisons qui sont en relations directes avec les tubes souples utilisés, tubes souples originellement construits pour l'air comprimée à 10 bars maximum d'une part, mais aussi à cause de leur ramollissements sous les actions conjuguées de la pompe de son moteur, du moteur général, des frottements des pistons dans les cylindres, de l'huile en mouvements dans les circuits.

On emploie soit des tubes Polyuréthanes souples, soit des tubes polyamides plus rigides .

La pression maximum admissible pour le polyuréthane à froid est de 30 bars environ.

La pression admissible pour le polyamide est de 55 bars à froid.

Dans nos engns et sous le carénage de nos installations, il n'est pas rare que la température monte aux 35 °, il n'en faut pas plus pour ramollir les tubes dont les pressions de service vont chuter de moitié.

Pour le polyuréthane la pression tombe à 15 bars maxi ils sont tellement mous que par endroits des gonfles se produisent tel du chewing gum, et éclatent avec les douches grasses qui s'en suivent.

Pour le polyamide la pression maxi sera alors de 26 bars, pareils des gonfles se produisent amincissant les parois qui finissent par éclater.

En modélisme TP, les divers équipementiers se sont basés sur le polyuréthane pour leurs divers raccords mécaniques.

Coté polyamides du fait de plus fortes pressions les épaisseurs relatives des parois des tubes sont augmentées ne permettant plus d'utiliser les raccords pour polyuréthane.

C'est pour cela, que dès le départ, il faut choisir un mode de pression suivis de la qualité des tubes souples utilisés.

Il est bien évident que l'utilisation du polyuréthane nus permet de faire des circuits hydro véritablement maquette, car ces tubes se déclinent ainsi : 2,5x4 pour les plus gros, 2x3, et 1x2,5, les raccords métalliques sont fabriqués dans ce sens.

A partir de la pompe on établis les circuits hydrauliques ainsi.

On part du réservoir d'huile hydro : on puise en point bas, soit par aspiration, soit par gravité, on filtre le fluide, puis le tube se dirige vers la pompe, en sortie de celle ci, on intercale un appareil appelé régulateur de pression et de débit, à une entrée et deux sorties, m'appareil est réglable manuellement, c'est donc un détendeur, on les fabrique nous mèmes, le fluide rentre dans l'appareil, si les distributeurs sont fermés, le fluide retourne au réservoir. Si les distributeurs sont utilisés le fluide va directement sur eux, l'appareil fermant progressivement le débit vers le réservoir.

Les distributeurs sont des valves inversables destinées à faire fonctionner les vérins en push pull, donc poussés tirés, le fluide revient toujours aux distributeurs puis retourne au réservoir.

Ne surtout pas s'attendre à pouvoir faire des mouvements simultanés de tous les vérins à la fois, car ici il s'agit de débits et pas encore de pressions.

De plus, si l'on veux que nos vérins remplissent les rôles qui leur sont assignés, il faut qu'ils aient une bonne surface de pistons, sachant qu'un vérin travaillera mieux en poussant qu'en tirant, car sa surface sera entravée par la présence de la tige de piston qui diminue sa surface.

On va alors dimensionner le diamètres extérieurs de ceux ci, pour obtenir suffisamment de forces de levage.

Mais surtout, ne singez pas les vrais engins qui eux fonctionnent sur plusieurs pompes à plus de 300 bars et ont des débits sans communes mesures avec nos modèles.

Les anciens nous ont appris que les systèmes les plus simples sont les meilleurs, on associe alors une seule pompe à des distributeurs associés a des vérins.

Mais sur les vrais engins, le moteur diésel puissant entraine au minimum 3 pompes à différentes pressions et débits, de sortes que si leurs circuits sont triples, une pompe par vérin, la simultanéités des commandes peut alors se faire.

Ce qui nous retient, c'est la place disponible sous les capots, le prix de ces installations triples et la complexité de leurs installations.

A mes débuts ma première pelle bruder fut mue par 3 pompes actionnant chacune leurs vérins en circuits fermés, un seul groupe demandais un réservoir de disconnection, les vérins doubles de flèche.

Les pompes à lobes de celles utilisées à remplir de carburants les modèles thermiques étaient les fameuses KAVAN noires dont la pression maximum était de 3 bars, mais ici, ce n'était pas tant la pression qui était utile, mais le débit assez important des pompes à lobes qui assuraient des travaux correctement.

En faits si on construit comme ma poclain un bras à un seul vérin à chaque fois, on peut alors utiliser 3 pompes identiques qui fonctionnent en circuits fermés, donc pas de réservoirs, et ce sont les longueurs des tubes qui assurent la capacité d'un réservoir.

Dans ce cas, les pompes fonctionnent toutes en réversibilités sur varios inverseurs et l'on se passe de distributeurs, les vérins fonctionnant eux aussi en réversibilités ont les actions qui leurs sont assignées et les 3 mouvements sont assuré en simultanéité.


A parts moi, personne ne l'a fait, parce que ça ne se fait pas, et c'est bien dommages.

Voici, j'ai assemblé la barbette avec le planétaire, un montage très compliqué, le blochet est en place, avec l'arbre moteur vertical, et son pignon moteur en dessous qui entraine les 3 planétaires, de faits l'arbre du renvois tourne très lentement.

Sur le blochet j'ai enfilé le gros roulement de tourelle, puis la couronne dentée, l'ensemble tourne à la main axe de propulsion et blochet de tourelle. tout est monté sous graisse mécanique

A ce stade d'avancement, j'ai le choix entre continuer sur la transmission vers le châssis et le pont moteur.

Soit partir sur le tablier de tourelle et travailler dessus.

La logique veut que je continue sur le châssis roulant, mais sans oublier de découper le tablier de tourelle et le mettre en place sur la barbette, à cause de la roue d'angle et stopper momentanément sur ses aménagements.

Il ne faut pas oublier qu'un châssis est porteur c'est le support absolu de l'engin.

En suivant, ce soir j'ai fourré la roue d'angle avec un jet laiton de 8 percé à 5, une vis tangentielle sur le moyeu de 4x10la serre sur l'axe.

Quand le tablier sera monté sur le blochet, je réajusterais la roue et limerais un méplat pour la vis.

Pour le tablier, je vais tricher sur sa largeur, il est donné pour 153x254 de long. En faits le milieu des roues jumelées est de 139, alors de 153 je le passe à 155x254, plus avec l'allongement donné par l'entre axe barbette, entre axe du pont suivant engrenages. Je penses que ces dimensions ne changeront pas.

Après calculs plus précis le tablier fera 230x170, axe barbette longitudinal, à 36 d'un bout, puis moitié moitié en largeur soit 85.

36 à cause du diamètre de barbette de 70.

La longueur me sera profitable pour tout loger, 

En largeur à cause de la cabine, le tablier est déporté de son coté, et ce qui est absolu c'est l'axe de barbette sur ce tablier déporté à gauche en position route.

La triche c'est de considérer la largeur du tablier symétrique, le déport à gauche est de 85, soit le milieu du pneu extérieur, le double est donc de 170, qui a droite se retrouvera au milieu du pneu extérieur droit, cette sur largeur de 15 mm peut m'etre profitable pour loger mon équipement.

Je vais le débiter demain en bas à la cave, en largeur côtoyant les axes des roues jumelées, et pour la longueur, la différence des dessins et de la cote réelle de mon renvois d'angle. Car j'ai besoin de ce tablier pour la suite à donner.

Pour ce renvois d'angle au dessous du planétaire, il me faut le tailler dans un bloc d'alu mais ouvert, ce ne sera pas un carter fermé.

Le mieux est que je fasse un dessin grandeur d'exécution.

Les formes générales de l'engin seront conservées mais pas ses vraies dimensions, faut savoir tricher avec les fournitures utilisées.

Tablier monté sur la barbette ( ou fut de tourelle).

Le tablier étant en place, je me met sur le renvois d'angle du pont.

Il sera fait en alu d'un bloc d'un carré de 30x30x40 de long.

Un décentrement en bout du carré, va me permettre d'usiner le chambrage qui enserre le canon du pont, juste derrière l'engrenage, ce canon fait 14 avec 6 nervures en périphérie, je les élimine sur mon 360 en 3 mors sur mandrin de reprise, le renvois d'angle va donc prendre ce canon, en rentrant sérré, collé cyano une fois tout monté, une fois en prise la matière passe au dessus du renvois d'angle fixé sur son arbre d'entrée, passe au dessus du second pris sur l'axe du planétaire, et vient se fixer en dessous du corps du planétaire.

Ce renvois d'angle est en fait un guide de position. Mais ne participe pas aux roulements des engrenages.

Dans l'atelier en cave, j'ai fait la pièce en angle du support du renvois d'angle du pont, taillé dans la masse à la fraiseuse, mort de rire une fois réalisée, j'aurais tout aussi bien pu la faire dans une cornière alu à parois épaisses, je me serait moins fait suer.

Rien n'est perdu , elle pourra toujours se refaire si celle ci ne va pas.

Puis j'ai cylindré le canon du pont, ainsi la cormière y rentre à force pas besoin de colle pour que ça tienne.

Mais il y a encore du job.

Hé les gu gus ? Vous n'avez pas l'impression de pourrir mon topic ? lol

Allez jouer ailleurs, dans la cour des petits, ici vous êtes dans la cour des très grands Bac plus (à sable). non mais ?

Vous trouverez votre topic, au titre, La cour des petits, Mort de rire.

admin-jpg a écrit:Hé les gu gus ? Vous n'avez pas l'impression de pourrir mon topic ? lol

Allez jouer ailleurs, dans la cour des petits, ici vous êtes dans la cour des très grands Bac plus (à sable). non mais ?

Nous te donnons des idées pour un diorama en fond pour tes futures vidéos de cette Pelle 

En faits, en guise de vidéos et de dioramas, je suis en appartement, et sur mon balcon j'ai installé un mini chantier, ou je mumuse dans du terreau mélangé à de la litière à chat et c'est la dessus que je fais mes essais, il y a une ligne de chemin de fer pour évacuer les déblais

Hier soir j'ai tout laissé en plan sur ma chaise d'atelier, j'en avais plein les bottes.

Il faut en faits que je ré ajuste des pièces qui butent sur un détail, en effets l'axe de transmission tourne bien mais accroche un tantinet à un endroit caché,  et ça, c'est chiant.

Mais je vais continuer sur ma lancée du montage du pont car ça va me permettre de situer le châssis par rapport à la transmission et au tablier en place.

Vus que mes montages sont mécaniques, tout est démontable.

Moi aussi en appart mais pas de balcon , je l'ai supprimé pour augmenter le volume de notre pièces a vivre qui fait maintenant 45 m2 . 
Bref quand je construits il faut en permanence monter , démonter , remonter , redémonter , etc ..... Jusqu'à être satisfais du résultat et c'est cette partie du taf que je préfère

Des carters en plastiques Tamiya, j'en avais achetés plus ou moins par erreur une bonne huitaine, avec des couronnes des couvercles de diff et des pignons d'attaques, en vue de faire des engins de tous poils au 1/14.

Puis les moteurs Toyan sont arrivés, le thermique à toujours été ma grande passion, en vol circulaire avions à mes débuts en 61, et par la suite en radio commandes avions et en bateaux en passant par deux engins roulants, mais j'ai toujours déploré l'absence de vrais moteurs de configuration automobiles, auto refroidis.

Les Chinois les on construits et de très belles manières, mes rêves allaient se réaliser. 

Tous nos engins TP pèchent par leur manque d'autonomies, accu lipo comme tous les autres, certes relativement silencieux et pas polluants, tout du moins dans l'immédiat.

Il me fallait rechercher les moyens de rendre mes moteurs thermiques les plus silencieux possible, mais malheureusement autant polluants.

Déjà un  Bull Le PR 764 remanié en bull ancien sans cabine, équipé d'un toyan mono cylindres 4 tps mixte air et eau, la, autonomie à la clé et puissance au rendez vous , mais le rêve aurait été d'équiper une pelle.

On dira ce qu'on voudra au sujets des moteurs thermiques, pour moi, de telles réalisations sont à chaque fois des challenges, réussir à faire mouvoir un engin quelconque avec un moteur thermique.

Toyan à sortis ces mono cylindres à moteurs a essence, un peut plus chers en ce qui concerne le système électronique de production de l'étincelle d'ignition, et bien sur moins polluant, mais ces systèmes assez conséquents en volumes.

Il ne me semble pas qu'ils en ai sortis un a refroidissement à l'eau en plus de l'air, c'eut été l'idéal pour cet engins poclain.

Mais comme leurs dimensions ne changent pas, possibilité plus tard d'en monter un.

Alors hier en soirée à la cave j'ai descendu en plus un demi carter Tam en vue de cylindrer en extérieur son canon porte roulements, pénétrant serré l'équerre de liaison pont planétaire barbette.

Ce matin je démonte le pont pour lui remplacer sa demi moitié à canon modifié, l'autre monté en pignon d'attaque et roulements équipera une demi moitié arrière.

steftaz13 a écrit:Moi aussi en appart mais pas de balcon , je l'ai supprimé pour augmenter le volume de notre pièces a vivre qui fait maintenant 45 m2 . 
Bref quand je construits il faut en permanence monter , démonter , remonter , redémonter , etc ..... Jusqu'à être satisfais du résultat et c'est cette partie du taf que je préfère

C'est également ma tasse de thé sur tous mes modèles, parfois c'est 10 à 15 démontages remontages d'affilés, bien sur je peste contre mon incurie, ça me détends les nerfs, je suis loin d'etre patient, mais je ne casse jamais rien par colères.

Je viens de recevoir le Toyan, ils n'ont jamais été aussi rapides, sa chemise est à refroidissement d'eau, et la pompe est dessus alors que sur l'annonce elle n'y était pas, les autres du même type je les avait payés 220 €, celui ci 136 €, comme quoi sur leurs annonces, pour un même produit, il faut chercher le prix le plus bas.

J'aie donc une pompe extérieure en rab pour un autre projet, c'est ça le stock.

En cave sur fraiseuse, j'ai affinée la pièce qui est en faits en dural inox, et qui est dure comme du chien, ma fraise croqueuse à eue du mal à croquer. 

Plus de refuites de partout pour régler les entre dents des pignons.

Toujours du coté Toyan, un moteur à essence au lieu du méthanol, devrait etre moins polluant ? Et comme BG fait de somptueuses promotions, j'en ai commandé un pour 158 €, il coute plus de 280 €, plus la centrale CDI d'allumage 78 €.

Pour celui reçu ce matin, il a du etre manipulé par des mains inexpertes qui avaient décalé l'arbre à came, de 180°, j'ai tout remis en place. et montées les pales du ventilateur et le moteur du démarreur

Pour celui à essence commandé, la pompe extérieure servira, quoi qu' il est aussi a refroidissement eau, et ce n'est pas dit qu'il n'aie pas lui aussi sa pompe en place sur le cylindre ? Pour une pelle l'odeur sera certainement plus supportable.

Mais il faut que j'achète aussi une bougie pour celui ci.

Tu aurais du en prendre un en Diesel, ça apporterait une touche de réalisme question odeurs

Malheureusement ça n'existe pas encore, moteur lent et coupleux ne faisant pas trop de bruits.

Pour celui reçu, j'ai ôté le silencieux d'échappement, pour le remplacer par un cube creux fixé par la vis creuse en M 7x75 au passage de 5. cube creux en alu sur lequel je visserais un des pots standards que j'ai, avec évacuation en haut.

Voici à quoi ressemble mon montage préliminaire :



Vue de dessous pattes en l'air, en vert le tablier, en alu la partie cylindriques, est la barbette qui se fixera sur le chassis roulant, au dessus est le planétaire qui est lié à la barbette, c'est donc une partie fixe.

Au dessus est le renvois d'angle du pont, et le pont a différentiel lui même, il tient grace à la cornière en dural.





Le tablier en vert tourne bien sur sur lui même, et la barbette dépasse au dessus du châssis.



La couronne dentées d'angle supérieure entrainée par le moteur mais en réduction.



12 tours de la couronne supérieure, correspondent à un tour de roues.

Le châssis de type caisson repose sans suspensions sur le pont, fixé sur celui ci par ses trous de montages en M 3, de ce fait la cornière alu est juste la pour assurer la liaison constante des engrenages du renvois d'angle.

Maintenant c'est en fonction du tablier par rapport au pont, que je vais pouvoir fabriquer ce châssis tôle en caisson renversé.

Pour bien faire, il me faudrait fabriquer le pivot de direction avant, et son axe en Vé inversé, et bien sur ses roues en place. Le servo est bien la partie la plus facile à installer.

La hauteur du châssis est conforme à mon cahier des charges, 43 mm du dessous barbette à l'axe du pont

La barbette est prisonnière entre les deux gardes boues des roues arrières.

Le châssis est tracé sur la tôle, d'une seule pièce jusqu'à l'avant en contres plis.

Les cotés seront aussi tracés en contre plis, ainsi à l'assemblage, le châssis aura directement son profil.

Un petit rectangle sur l'arrière bouchera ce châssis, c'est contre lui que se place le massif des stabilisateurs.

Le châssis affleure l'axe des roues arrières, un décroché de 7 mm vers le haut permettra de placer le pont sur 2 supports brasés, je vois bien pour ça deux carrés de 10x10 de 20 de longs, qui seront taraudés à 3.

Une fois ce châssis réalisé, je puis placer les doubles roues jockey.

A ce stade d'avancement je m'occuperais de la tourelle, cabine  bras de flèches et massif de flèche.

Celui ci chevauche mon système support d'axe coulissant d'inversion de sens de marche , un massif de flèche ....massif et haut, et creux dans sa base intérieure une pièce entièrement fraisée mais en H dans sa partie supérieure pour placer le pied de flèche.

Le creux intérieur me permettra de placer mon palier d'axe.

Certes j'aurais pu le mettre en place dans le bas du massif, je préfère cette solution pour bien ajuster mon axe horizontal, et ne pas tout amalgamer.

Les tôles seront à la fois cisaillées sur cisaille d'établis à levier, et tronçonnées dans les replis.

En faits quand mes 3 coupons seront séparés, ils seront plus mobiles pour se présenter à la cisaille.

Dont je préfère les coupes rectilignes sans trop de déformations.

Comme on dit souvent : j'ai hâte que l'engin repose sur son châssis roulant.

J'ai tracés tout ce qui concerne le châssis, ce qu'il y a de bien, c'est que tout se fera sur la cisaille, donc pas de déformation des coupons.

Il me restera des chutes en longueur pour les bras. Et peut etre pour le carénage .

Pour celui ci, des montants pliés en oméga, quoi que du tube carré acier fasse aussi bien, garnis entre montants de ces fameux Z, des pièces en tôles à bonnes longueurs, pliés en forme de z allongés, et pointés sur les montants, c'est sur que des photos seraient les bien venues, un dessin de coupe sera plus explicite.

Pour la cabine et ses détourages des fenêtres, une fraiseuse CNC aurait été l'idéale.

Moi je fais ça par pièces détachées, et les détourages des fenêtres avec mes micro tronçonneuses, le plus emmerdant ce sont les angles de celles ci, pour avoir de beaux arrondis, je perce aux forets après traçages, les coupes droites se font entre ces divers trous.

Voici, tôlerie découpée, redressée plié et façonnée percée à 50 pour la barbette, prête à etre montée par brasages, après quelques courses à Auchan.

belles pièces JP

Ben oui, je suis pro métallier et tout ce qu'il faut pour travailler les métaux.

Ici de la tôle acier de 0,75 prise à Leroy merlin, une fois assemblés par brasages argent, sera conforté au brox laiton par points, une fois assemblé c'est indéformable tel un caisson, de plus, encore plus léger que de l'alu, la job et la Mecalac sont ainsi construites, volumineuses et pourtant très légère, et indéformable.

On a un membre :Tomgoul militaire, qui fait en alu ou acier épais car n'a pas confiance en la solidité des caissons.

En tôles minces tu respecte les formes extérieures et augmente ton volume intérieur au profit de l'équipement.

Bon je vais à Auchan pour quelques emplettes pour Josie, des Pants Culottes, j'en ai pour 1 h environ.