DAHOX F1275 par Raphi et Jpg. Tome 3.

Super, je me suis trouvé un chouette bac de disconnection, le couvercle d'un container en plastique de 500x400 nous servant à stocker les bouteilles de Perrier vides, le couvercle je ne savais qu'en faire ? ses bords font 2 cm de haut idéal pour les fuites.

De plus les outils sont dedans, et je ne risque plus de perdre des vis et autres outils.

Donc recherche de qui appartient quoi , de faits je repère par couleurs identiques aux servos les voies découvertes hydrauliques, ainsi en cas de démontages je retrouverais chacune des voies hydro.

Bloc servos de grue, servo vert à la rotation de pinces de grue .

Puis la rotation de grue sur son massif fonctionne aussi, celle ci sur moto réducteur, néanmoins il me faudra changer son pignon de 12 dents en plastique trop mou qui se déforme.

Normalement voie bleue c'est le relevage de flèche, mais pas assez d'huile, à voir demain.

Avec l'huile tout rentre dans l'ordre.

Je retrouves doucement mes repères sur les distris de grue.

Ce qu'il y a de bien sur distris Leimbach, c'est qu'on peut inverser le sens des vérins, si un manche est à l'envers.

Pour cela j'ai fabriqué il y a longtemps, une empreinte emmanchée à placer sur les boisseaux tournants, et à l'aide de la vis de réglages du neutre, voir dans quel sens agit le servo et le distributeur, c'est relativement long à faire mais ça reste prècis.

A présent je recharge l'accu de l'engin qui est arrivé à la limite de décharge.

En faits de fuites, ce sont celles d'hier chez Stéphane, l'huile s'est répandue dans les caissons, et comme il y a des trous de partout, ça tombe goutte à gouttes dans le bac.

Mais en tant que fuites avérées, nada, que des suintements, pour de si gros engins zéro fuites ça n'existe pas.

Par contre Stéphane, il faudra m'activer les trims des manches, pratiques pour ajuster les neutres des voies hydro de grue.

En tous cas, le déplacement des servos grue est hyper pratique, tout et apparent, et facilité d’accès.

Mème la rotation de flèche est pratique par moteur. Alors qu'avant ça fuyait sec.

Un peut avant midi aujourd'hui, je me suis remis sur cet engin, pour voir ou était ma fuite arrière ?

Bien m'en à pris, je n'avais pas sérrés les deux gros quicks du distributeur tracteur, quel gland.

Alors démontages partiels de ce qui me gênais à l'arrière, pour enlever le bloc complet, deux en roulements de ruban téflon et remise en place, cette fois bien serré.

Puis en début d'après midi je suis passé aux essais dynamiques.

Première constatation, vu que la grue prends un certain poids sur l'arrière, la direction est totalement inefficace, les roues avant ayant tendance à se soulever, donc ça ripe et ne tourne pas en avant, mais plus en arrière, j’avais remarqué ce phénomène sur le xérion, en marche avant, le châssis d'avant étant allégé, il y a ripage de la direction , tandis que l'arrière bien chargée par la grue rétro, en marche arrière vire parfaitement.

Deuxième point, cette direction hydraulique ne vaut rien du tout, c'est bien trop lent, pour être efficace une direction se doit d’être instantanée et non avec du retard.

Le remède sera de supprimer la direction hydrau et de la remplacer par servo costaud, il hic c'est la place qui manque maintenant.

Pour bien faire il me faudrait le placer comme celui de la pelle rétro du Xérion sur l'axe de rotation des deux châssis, mais ça risque d’être trop rapide.

Vu que j'aie de la refuite sur l'arrière, de placer un secteur denté en module 1 sur le châssis avant de 180 ° qui se fixe sur ce châssis avant, et un servo costaud en rotation d'au moins 360 °, dont un pignon moteur soit monté sur son axe, et engrené sur le secteur, avec la démultiplication et la vitesse du servo cette direction sera plus franche et instantanée, avec retour au neutre.

Coté servo de boite deux vitesses HS, parce que l'autre fois chez Stéphane il a trop forcé en butée, alors qu'il aurait fallut revoir ses courses, le fait est que la grande vitesse devrait être celle de marche normale, mais comme cette fonction marche bien, si servo changé et course réglée, cette fonction peut être maintenue.

Coté direction par servo, je puis me permettre de monter un secteur denté de 180 ° de 60 mm de diamètre, avec un pignon servo de 12 dents.

Il y a bien aussi la solution crémaillère, une crémaillère est montée juste d'un coté, et dans le châssis arrière un servo modifié, sur inverseur Thor CTI à blocages de fins de courses.

Vue la suppression des deux vérins de direction, la double tubulure part avec eux, ce qui me fait gagner de la place en châssis arrière pour ce servo.

La solution secteur cranté est la plus facile à monter, car apparente.

L'allègement de l'arrière sera insignifiant. Il me faudra certainement lester l'avant avec une ou deux gueuses de plombs moulées.

Ces essais dynamiques ont durés 30 minutes sans déceler de fuites.

Pour l'heure je dispose de roues dentées Hostaforme au module 1 et de pignons de 12 dts. 

L'idée pour mieux centrer le poids de la grue, serait de la retourner de 180 ° et de déplacer ses supports vers l'avant, à termes il faudrait que le bout extrême de la flèche en position horizontale soit toutes canalisations en place, à 5 mm de l'arrière de la cabine.

Donc bien étudier que la grue en travaux ne butte en aucune façons sur la cabine.

La grue plus centrée sur le milieu devrait rendre la direction plus efficace.

Vu que j'ai placé les 4 distributeurs de grue en arrière de celle ci, donc sur l'avant, vont se retrouver sur l'arrière engin et sous la flèche.

Le massif de flèche sur l'arrière est plat, rien ne gène de ce coté ci.

La caisse arrière à ses parois parallèles, ça ne devrait pas poser de problèmes leur déplacements sur l'avant.

Au pire refaire deux supports s'adaptant au mieux sur ces nouvelles dispositions.

Je puis reculer la grue de 80 mm, en faits la placer de 80 mm sur l'avant, ce qui est énorme, et en plaçant une crémaillère plus longue, pouvoir placer la grue au repos au dessus de la cabine déplaçant ainsi tout le poids de flèche sur l'avant.

Le fait de virer les vérins de direction dégage tout le dessous de la grue, pour pouvoir positionner le moto réducteur de tourelle à droite.

Coté rotation de flèche, cette solution électrique est de loin la meilleure.

Le  bloc distri arrière est composé de 1 bloc de 3 et un de 2, l'idéal serait de remplacer le 2 par une voie unitaire, à acheter.

Pour sa direction, en farfouillant dans mes stocks de moto réducteurs j'ai mis la main sur un RB 35/600 qui va aller pile poil avec un secteur de roue dentée, je devrais bien avoir dans mes stocks un vario inverseur de brushed ?

Dans ce même stock un tas de RB 35 de récupération neufs achetés pour des engins maintenant démolis, pour le déménagement de 2015/2016 il m'a fallut faire des choix d'engins à conserver d'autres à démolir, donc récupération de leurs éléments.

Décidément tout va bien et tout va mal.

Reprise des essais ce matin que voila le boisseau de la lame qui se coince ? Plus moyens de relever celle ci, grave.

Le mieux en faits c'est que le bloc distri arrière celui du châssis soit libre, juste tenu par ses durits.

De ce faits en soulevant ce bloc, il est aisé de le manipuler en tous sens, pour justement débloquer les boisseaux. Ma technique : dévissage du bouchon arrière, on enlève le ressort de poussée, on enlève la croix rotative, et en repoussant le boisseau avec un outils, et d'autres parts un autre outil contre le boisseau, avec des mouvement de va et viens on arrive à les débloquer, on finit par remette la croix et avec un outil spécialisé, faire des va et viens du boisseau, ce qui arrange tout.

J'ai noté que dans les circuits des minuscules copeaux de sciures alu, c'est ça qui coince les boisseaux.

Coté direction rien ne va plus, tous les systèmes envisagées foirent, trop compliqués à mettre en oeuvre, par contre en rallongeant la crémaillère, aux limites acceptables sans dépasser le gabarit de largeur, ramener la grue sur l'avant, déplace le centre de gravité et charge l'essieu avant, la direction devrait être améliorée.

Le seul remède sera l'achat d'une barre de crémaillère carrée chez Michaud chailly.

Ah, la rotation avec le moto réducteur c'est idéal, par contre par programmation revoir sa vitesse de course que je trouve encore trop rapide, mais le pignon hostaforme tient le choc.

Coté fuites ça a l'air de s’être résorbé, plus de vraies fuites, bien sur il faut que les deux caisses se vident complètement, je place en tant qu'éponges du papier absorbant.

Pour dire vrais , tout casser pour changer le type de direction me faisait singulièrement suer, j'en ai déjà tellement bavé sur ces engins que trop c'est trop.

Gros chantiers donc, nettoyages des circuits hydro.

En faits les distris leimbach sont chers mais ce sont les meilleurs distris du marché, de plus étanches, avec des passages internes de 2 mm.

Comparativement à Magom, (après compréhension parfaite de leur fonctionnements ), plus faciles à réparer sans tout démonter, on procède élément par éléments, de faits on peut remettre sous pression de suite.

Au dela bien sur de leurs positions sur les modèles.

On a tous intérêts à bien penser à leur installation, il faut une parfaite accessibilité, des bouchons, des servos et des vis de réglage, autrement dit ils doivent être placés à plats, et que ces trois cotés soient parfaitement accessibles.

Je vais donc revoir la position du bloc arrière à plat et plus haut, de façons a être apparents et au dessus de la caisse, car pour pouvoir intervenir dessus, il est impératif que le bloc soit fixe.

Maintenant qu'il fait beau, mon Dahox trône en permanence sur la table du balcon , car il ne se passe pas un jour ou je bricole dessus.

En faits ce modèle ne sert strictement à rien, à moi tout du moins, mais il est un excellent banc d’essais de modifications.

Ce week end était consacré aux dérouillages des boisseaux des distri leimbach qui ont la fâcheuse tendance à se gripper.

Les corps sont en dural, mais les boisseaux sont en acier doux qui ont la fâcheuse habitude de rouiller sous l'action des composantes hydrauliques.

En faits les boisseaux se coincent à mi courses, de faits sous l'action des servos, on peut avoir pleine action dans un sens, et rien ou presque rien dans l'autre sens.

Ce n'est pas grave en soit quand on connait le remède, et que les distris soient faciles d’accès.

On ote le servo de la voie incriminée, on enlève la croix de manœuvre rotative, puis avec un tournevis fins, on passe par le trou de la vis de réglage pour appuyer alternativement par à coups sur l’extrémité du boisseau, cela à pour effets de le débloquer, on fait ça durant quelques minutes.

Puis on remet la croix tout en appuyant sur le boisseau pour bien engager la croix.

A l'aide d'un outil emmanché à la forme d'un palonnier on agit sur la croix et le boisseau en tournant plusieurs fois. 

Puis on met sous pression de pompe, et en agissant sur l'empreinte on réglé la position neutre du boisseau, on vérifie bien le sens de rotation du servo, par rapport à la commande : Manche ou inters. Puisque sur distri leimbach on peut changer ces sens d'actions.

Une fois le neutre trouvé on met en place la vis de réglage en appuie sur le roulement excentrique de la croix, et l'on remonte le servo en place. En faits il faut trouver le juste neutre, généralement de construction, les croix se trouvent à angles droits aux neutres.

Mais et c'est impératif, les boisseaux doivent agir sur toute l’étendue de leur course, d'ou ces nettoyages d’entretiens réguliers, surtout si inactifs durant de longs mois.

Hier tout fonctionnait, ce matin certaines fonctions hydro étaient HS. Et c'est justement au moments ou je veux faire des essais roulages directifs.

Il faut alors tout reprendre point par point sur la table avec cette douce chaleur estivale.

En fin de soirée, je voulais procéder à des essais de roulages avec grue en avant, d'un seul coup un bruit bizarre au niveau pompe, mort de rire c'est l'axe moteur qui foutait le camp, et la cage moteur qui tombait au fond du carter.

Quand je dit que cet engin me sort par tous les pores de ma peau c'est bien le cas, chaque jour suffit sa peine, chaque jour une couille nouvelle.

Pas grave bien sur, un axe à remettre un moteur à revisser en place, mais quand mémé ça fait un tantinet suer.

Alors imaginons cet engin en démonstrations extérieure ? Perpétuellement en panne pour une raison ou une autre, une histoire comme une autre de passer pour un ballot qui n'y connait que dalle en débardeur forestier.

Réparé une fois n'était pas suffisant, nouvelle panne de ce coté, donc ce matin, échange de bons procédés, remplacement pour un arbre plus long de 15 mm.

Reste plus qu'à remonter le moteur de pompe.

D'autres parts j'ai commandée une crémaillère hostaforme pour la rotation de grue, le barreau fait 25 cm de long c'est pas cher et ça rapportera gros, 6 € avec le port de Lyon, il y aura juste à placer un lardon de rattrapage de jeux. En acier le carré fait 10x10, en plastique il est de 9x9.

Il faudra juste que je place un lardon d'un mm derrière la crémaillère sur l'intérieur du massif de flèche, un lardon en laiton pour l'usure.

Cette crémaillère rallongée va permettre à la grue des rotations sur 360 ° dans chaque sens, juste sur un tour. et éviter d'etre en butées sur les arrêts d’extrémités.

Moteur de pompe remonté ça va nettement mieux et c'est silencieux.

Constatations, la direction hydrau fonctionne à conditions de rouler, car en roulant ça engage les vérins à pousser, du coup j'ai fait un 360 ° tout en avant arrière droite gauche.

Une fois la ligne droite dépassée l'angle s'accentue très vite, au point de se retrouver en crabe.

Dans cette configuration la grue est au dessus de la cabine de conduite et télescopée, ça donne du poids sur l'avant et ça dégage le champ de vision du conducteur.

Ho , tout n'est pas parfaits, il y a des défauts, comme certaine rotations qui restent coincées telles les rotation de pinces. Il y a des extrêmes à ne pas dépasser.

Coté vitesse de pompe le vario se met en sécurité si le moteur chauffe de trop, pourtant il est ventilé par ventilateur électrique placé en calandre, peut être qu'un contro plus puissant serait un avantage?

En tous cas le pilotage sur Taranis programmée , c'est un vrais régal, tout est quasi en réponses instantanées.

Il y a néanmoins des défauts comme la lame d’étrave qui fonctionne avec le relevage de grue en position tracteur, mais heureusement pas l'inverse.

Il me faudrait trouver le moyens de purger tous les circuits, de la limaille d'alu se trimbale dans ces circuits, ce qui est étonnant car l'aspiration est protégée par filtre plongeur.

Certainement des dépôts lors des montages. D’où les boisseaux souvent coincés. Heureusement que maintenant ils sont d’accès aisés.

Apparemment j'ai perdu deux moyeux de roues noirs, mais retrouvé le pot d'échappement maintenant en place.

Coté boite deux vitesses route, la voie du servo sera à régler en longueurs des courses, de façons à ce que le servo ne force pas en bouts des courses.

Car la grande vitesse serait un tantinet rapide lors des manœuvres, mais suffisante lors des translations.

J'ai quand même des pertes d'huile mais capillaires, ça n'influe pas vraiment sur les différends fonctionnements, une remise à niveaux est facile, faut juste que je me fasse un réservoir à pompe électrique autonome.

sympa tout ça

Tout à fait Raphi, mais que de travaux et modifications.

J'aie reçue ce matin ma nouvelle crémaillère Hostaforme, je l'aie préparée vue qu'elle 9x9, et l'acier 10x10, je lui ai placé un lardon acier d'un mm au dos vissés par 4 vis de 2,5x4 tètes fraisées, la rotation peut ainsi se faire sur plus de 360 ° que voila un autre demi problème : Le moto réducteur provisoire à finit par lâcher, heureusement j'en ai un de replacement en bon état de RB 35 /600.

Re démontage du massif de grue pour changer ce moto réducteur.

En faits c'est tous les jours une nouvelle couille.

Tantôt les distris de grue fonctionnent nickel, le lendemain ils sont tous en panne. Certes il y a des merdouilles dans les circuits qui bloques les boisseaux, pour bien faire faudrait ouvrir chaque circuit et faire débiter chaque  sorties de vérin dans un bidon en faisant des va et viens aux boisseaux, pour espérer purger les circuits de ces micro merdes.

Ou encore tout démonter, tous les circuits hydro, et les remonter en dehors de l'engin, pour tout remettre en pression hydro et purger les circuits.Mais c'est très complexe à faire.

Pour bien faire il faudrait tout remonter sur un mannequin d’essais hydro extérieur au modèle.

Le réservoir huile est indépendant, donc hors de son logement il est raccordé à la pompe et son moteur, puis de la pompe on se dirige vers la nourrice du limiteur et dispatcheur, (pièce indépendante du châssis mais fixée sur lui).

De la on passe dans le châssis arrière.

Dans ce châssis un Té dispatche vers le bloc tracteur arrière, et vers le bloc de grue, pour elle pas question de tout démonter les circuits hydrau.

Mais on peut tomber la grue et la monter sur un support stable faisant partie du mannequin.

Sur ce mannequin on monte comme s'ils étaient en place tous les vérins, tout du moins leurs culots arrières.

Et pour bien faire les distris parfaitement accessibles de tous cotés.

Ce mannequin est dans un bac étanche, il faut pouvoir l'y enlever, pour intervenir sur tous les éléments mais l'y replacer pour les essais à l'huile et à l'air.

A l'huile sous radio ça coince parfois, il faudrait pouvoir souffler de l'air dans les circuits, pour les nettoyer des saletés accumulées ?

Ce n'est que sur que rien ne vienne boucher les circuits qu'on peut tout remonter.

Le gros ennuis sont les distris leimbach et leurs nipples de sorties, quasiment indémontables, d'autres parts des quicks en tube de 4 font 8 de diamètre sur pointes d’hexagones, alors que l'entre axes des nipples sont de 7 mm.

Ceci pour expliquer que si l'on veux souffler les distris, on ne peut les démonter.

L'idéal pour de tels engins, serait une propreté nickel de tous les circuits hydro avant remontages.

On est pas près d'y arriver.

jamais été si prés

ou en est tu du tient ? Raconte ?

pas retouché pour l'instant, je pense que je vais tout démonter, nettoyer, et reprendre du départ.

Un démontage complet de la partie hydro c'est un sacré travail, peut être est ce la ? La solution ?

Pour bien faire il faudrait tout souffler à l'air comprimée.

Les tubes c'est facile, les vérins aussi, ce sont les distris les plus chiants car non démontables à fond, les transferts internes sont difficiles à bien nettoyer. et en soufflant on risque de plus les boucher.

je pensais les rincer avec un liquide pour bain ultra son, anticorosion, et anti mousse

et pourquoi pas passer les distri aux ultra sons carrément

En faits les distris Leimbach sont complexes, tous les transferts intérieurs sont percés depuis l'extérieur, le dessus, la ou sont les servos, d'ailleurs tu voit ces transferts, les uns sous les servos, les autres dans les vis arrière, puis une fois forés les trous de 2 sont repris et taraudés à 2,5, ceux extérieurs reçoives une vis six pans creux collée, les autres intérieurs alésés à 2,5 et des billes de 2,5 y sont enchâssées et rivées.

Normalement sortis de chez Leimbach c'est nettoyé et essayé.

Mais c'est nous avec nos constructions et nos montages qui incluons des bourres et autres micro copeaux dans les systèmes, l'huile fait le reste avec la pompe.

Lors d'un démontage des distris Leimbach, faut tout enlever.

En premier les bouchons arrières puis avec une aiguille courbée oter les toriques enchâssés, bien entendu les ressorts, puis par les trous des vis sur l'avant chasser les boisseaux, après avoir enlevés les excentriques et les rondelles sous ceux ci.

En toutes logiques faut tomber les durits vérins et les nipples, ainsi avec l'air comprimée on peut chasser les impuretés sauf celles ayant pu pénétrer les transferts internes.

En faits leimbach sont ballots, ils auraient placés comme moi sur des copies de leurs distris, des vis de 2,5 sans tètes au fonds de leurs transferts, en cas d'obstruction on pouvais tout démonter et chasser à l'aire les merdouilles dans les transferts.

Et en visuels passer une tringle de 1,5 dans ces transferts et les voir sortir par les alésages des boisseaux.

j'essaierais quand j'aurais retrouvé la motivation, et le temps

lol, pour le miens il me faut basculer la grue pour interchanger le moto réducteur de rotation, et une fois le nouveau en place , il va certainement me tomber une nouvelle merde sur le dos.?????????????????????

La motivation :: Tu met ton engin sur la table du balcon, et tu prends les problèmes à bras le corps.

Maintenant grâce à la taranis, c'est facile de voir IMMÉDIATEMENT ou est le problème.

oui, je pense sérieusement a investir dans ce sens

Tu a la 9 x E qui est complète avec un récepteur X8R à télémètrie qui te donne 16 voies internes et 16 voies éxternes, et tous ses boutons et interrupteurs, plus deux sliders latéraux.

La QX 7 est la mème mais épurée des deux sliders et un peu moins d'interrupteurs.

En faits pour nos engins, Stephane 74 me l'a configuré ainsi sur ma x 9 E :

L'inter SE est un commutateur, il permet de passer d'un modèle à l'autre. J'ai donc deux récepteurs 8 voies en interne.

L'un des récepteurs est nommé 1, l'autre 2.

On commence par le mode tracteur inter SE poussé vers l’extérieur.

Le 1 sert à la propulsion et à la direction, puis toujours sur manches le relevage de lame et la fermeture des pincettes.

Le potentiomètre S 1 sert la puissance de pompe.

Puis trois inverseurs servent le bouclier  sa pince et le changement des vitesses.

On passe alors en récepteur 2 par basculement de l'inter SE vers soit.

Sur ce récepteur tu sert la grue, et avec les manches à nouveau : le relevage de flèche à droite avec le serrage de la pince.

Au manche de gauche le télescopage et la rotation de grue.

Sur inter extérieurs ou sliders la rotation de la pince.

Dans la logique radio commandée de ces deux engins, nos deux camox, on a deux entités, tracteur et grue, et l'on doit se servir dans les deux entités des deux manches, le commutateur nous permet ces exploits.

En faits avec Taranis on pense différemment, mais on est obligés de penser radiocommandes et non pilotage réel.

Le gus dans sa cabine se sert de ses mains et de ses pieds pour conduire son ensemble, il à donc ses jambes pour faire plusieurs fonctions, qu'on a pas nous même, avec juste nos deux mains, mais les Taranis nous offrent des possibilités que n'ont pas nos deux radios couplées.

Ainsi quand on pilote le tracteur on ne pilote pas la grue ? Mais c'est tout aussi facile de passer de l'un a l'autre par l'inter SE instantanément sans point mort.

Ainsi tu conduit ton débardeur, tout en remorquant une charge, plus quelques grumes dans la pince sérrée de la grue.

Ou encore la charge en pinces de bouclier la grue servant à rectifier la position arrière des grumes pour les passages difficiles.

Et quand tu charge la pince de bouclier, avec la grue celui ci est posé au sol,lame également qui stabilise l'engin.

Mais si tu doit de déplacer un tantinet, l'inter te permet instantanément ces déplacements.

Taranis édite des fiches de couleurs, pour repérer sur ton émetteur les fonctions assignées, et sont fort utiles surtout si tu a engrangés dans ton émetteur en mémoires 60 modèles.

Avant la venue de Stéphane, barste avait commencés ces explications forts embrouillées pour moi, de fait une radio modifiée avec des boules sur les 16 voies internes.

Une fois qu'elle a retrouvées ses caractéristiques originelles il lui a été facile à tout programmer.

Je dit facile par ce que ces gars ont pigés les raisons taranis, pas pour nous qui y arrivons difficilement.

En faits au départ  on nomme les récepteurs en leur attribuant un chiffre, puis on les place dans une logique, celle ci est D 16, puis on binde chacun des récepteurs.

On attribue un chiffre aux récepteurs pour les nommer dans l’émetteur, pour ne pas se tromper si d'autres récepteurs sont utilisés, lors de notre conduite ces chiffres seront rappelés en interne en permanence par l'émetteur.

Une fois bindés on va procéder à la nomination des commandes émetteur qui sont des entrées, (d'ou l'avantage des fiches nominatives).

Une fois nommées on leur attribuent des fonctions en pourcentages par rapports aux neutres des manches, moins 100%, plus 100 %, à faire dans Mixages, on va leur attribuer un sens de débattements, un pourcentage de débattements exponentiels, toutes sortes de réglages mis en mémoire pour nous faciliter le pilotage des engins.

Une fois ceci posé on va se servir des Sorties, celles sur le récepteur, et l'on affinera les sens des commandes, les voies desservies, leurs courses, les éxponentialités, même des asservissements de pompe en fonction des applications de nos commandes.

Comme tu voit je comprends tout, mais ne sait pas y mettre en application, mais ça va venir doucement mais surement.

Stéphane m'a donc réglé le tracteur Xérion, la pelle JOB, ce Dahox, et il y aura d'autres engins dessus.

Et sur la X 7 plus réservées aux modèles volants à cause du manche des gaz. mais que tu peut annuler au profit de retours aux neutres complets.

Sur modèles volants on a souvent besoin de fonctions de confort assurés par des modes de stabilisation qui prennent des voies donc des inters, mais sur nos engins, pas besoin, on se les réserve alors comme commandes directes.

Sur X 7 on a deux manches et 4 trims qu'on peut programmer au choix aussi, et en haut et de chaque coté deux inters deux positions dont un momentané, deux autres en inverseurs et un potentiomètre rotatif de chaque coté.

On analyse alors nos possibilités de commandes :

On dit que celui du dessus gauche c'est SE toujours destiné à la commutation entre récepteurs.

Fonctions grue.

Le potard gauche à la pompe, le manche de gauche à la rotation de grue et au télescopage.

Celui de droite au relevage de flèche et au serrage de pinces, un inter au choix pour la rotation de pinces, grand levier ou levier court (histoire de s'en rappeler)

Fonctions tracteur.

Inter SE à basculer.

les manches à la conduite et aux actions de lame et de pincettes.

Puis les inters au choix pour bouclier et pince, boite deux vitesses, klacson, lumières.

En faits les possibilités sont immenses à cause de la commutation, puisque toutes les commandes vont resservir deux fois.

De faits pour nos engins on ne s'en sert pas de toutes.

La X7 est plus facile à régler avec son bouton rotatif.

La X7 est vendue nue sans accu sans récepteur, sans carte SD, par exemple chez Bang good tu peut avoir des promos à 105 €, le récepteur à 32 €x2 la carte micro SD à 4 €, un pack d'accu ni mih par mon entremise 10 € pour un total de 183 €.

JP. je te laisse le soin de déplacer de message si tu juge plus pertinent de le mettre ailleurs.

de bien belles réalisations, et des idées a exploiter peut être.

pour info, la grue fait environ 3500 euros hors frais de port


https://www.facebook.com/pg/rccustomizermalaysia/photos/?tab=album&album_id=246807635515566

La grue sur camion ? oui ça les vaut mais c'est pas cher. Vue le nombres de fonctions hydrauliques.