DAHOX F1275 par Raphi et Jpg. Tome 3.

 Je rebondis ce soir sur cet engin, je suis thermique, j'adore les moteurs thermiques, et ces moteurs Toyan sont quand mème fabuleux.

L'idée qui me trotte par la tète, c'est du lui monter un toyan bi cylindres, pour la pompe et la propulsion.

Pour les moteurs thermiques il leur faut monter un embrayage centrifuge, c'est quasi obligatoire, puis de la une réduction par engrenages droits au module 1, vu que les cloches d'embrayages sont en module 1.

Réduction donc pour la pompe et la propulsion.

La pompe doit etre entrainée en permanence vu que la direction est hydraulique, mais en réduction de 1/3 à 1/4, c'est dire qu'au ralentis, les masselottes n'enclanchent pas sur l'embrayage, il faut mettre les gaz pour avoir cet entrainement.

Puis en sortie de réduction un planétaire de perceuse à deux étages est obligatoire.

En sortie de planétaire la boite d'inversion mécanique qui possède son point mort, de la les entrainements aux essieux arrière et avant.

Cette chaine mécanique n'est pas sommes toutes énorme, elle peut etre sur élevée, pour placer en dessous la chaine cinétique des mouvements aux roues.

Actuellement l'engin se propulse sur moteurs brushless qui entraine une réduction par engrenages hostaforme, de la entrainement de chacun des essieux par cardan télescopique au milieu sur l'articulation oscillante, et sur chacun des ponts moteurs un renvois d'angle également en engrenages hostaforme à 45 °, puis sur chaque roues un planétaire de perceuse à deux étages.

La pompe hydro est située devant juste derrière la grille de calendre munie d'un ventilo électrique.

L'insertion d'un toyan 2 cylindres pourrait se faire facilement.

Actuellement l'engin fonctionne sur lipo 3 s de 10 amp, qui est en charge, lipo montée précédemment sur mon multi rotors DJI F 450, me permettent presque une heure de vol.

Le moteur thermique ne demande qu'une lipo 3 S de 2300 milli pour son démarreur quand aux chauffes bougie je ne leur fait plus confiance, grace à mon montage je puis utiliser un soquet portatif, pour chauffer de 1 à 4 bougies en simultanéité.

Le brushless d'entrainement est munis d'une boite à deux vitesses de perceuse Hitachi, son mouvement était commandé par un servo sur excentrique, solution mécanique idéale si le servo n'avait pas grillé, je pourrais lui préfèrer alors mes micro vérins à vis à larges goujures mais entrainés par moto réducteur plus costaud.

Dans ce cas la place du moteur risque d'etre juste.

Un 2 cylindres  prends en longueur 125 mm, dans ce cas, virer la boite actuelle pour une boite Stirling sans vitesses juste avec marche avant, point mort et marche arrière en réduction. Boites qui possèdent deux sorties avant et arrières.

Il y aurait alors la possibilité de monter sur la sortie avant un engrenage de déport pour entrainer la pompe Jung en réduction de 1:3.

Cet engin actuellement pèse 30 kg et ne peut fonctionner qu'en extérieur.

Donc voici la chaine de propulsion et entrainement pompe :

Le moteur munis de sa cloche d'embrayage, et son pignon moteur qui s'engrenne sur une roue en réduction, montée sur l'axe d'entrée d'un planétaire à deux étages de réduction, puis la boite mécanique d'inversion.

La roue primaire entrainée par le moteur devrait réduire la vitesse de ^pompe de 1500 tours environ.

Ces moteurs sont donnés pour 10 000 tours, si je réduit à 1/5 je tourne à 2000 tours avant planétaire, vitesse suffisante pour l'entrainement de la pompe Jung donnée entre 1500 et 3000 tours par le constructeur.

Puis la boite mécanique réduit la vitesse d'avant et encore plus la vitesse d'arrière.

Les ponts actuels sont très compliqué faits d'ensembles mécaniques faits maison, tandis que des ponts métalliques sans différentiels, ceux du camion militaire au 1/12 pourraient faire affaire. mais avec sorties montées en réduction sur couronne plastique a dentures intérieure, vu que chaque arbre est fixés aux deux caisses, le déhanchement étant donné par le joint oscillant de direction.

Je dirais alors simplification et gains de place pour un nouvel équipement plus léger. Une autonomie super augmentée en fonction de la quantité de carburant emporté, une véracité accrue par un échappement au dessus de la cabine fonctionnel

Actuellement l'engin fonctionne sur Taranis 12 voies, la propulsion demande 1 voie pour le moteur, une voie pour le changement des vitesses, 1 voie pour la pompe. Je dis alors économie d'une voie la pompe tournant en permanence quand le moteur embraye, et quand le point mort est appliqué sur la boite d'inversion.

Point n'est dans mes propos , d'économiser sur les voies de commandes, mais de voir avec quoi je puis commander mon engin.

Sur cet engin j'ai toujours eues des fuites en partant du réservoir, alors le refaire mais indépendant, ou en acheter un de ceux servant de réserve de carburant inox soudés TIG, parfaitement étanches.

La place gagnée par la suppression des planétaires permettra une meilleure logeabilité.

Si fuites jugulées au départ, alors engin amélioré.

Quand j'ai acheté le bi cylindres, je l'aie soigneusement rodé au banc l'été passé, comparativement aux mono cylindres, il démarre plus facilement.

Toyan à sortis un autre bi cylindres avec pompe incorporée pour un meilleurs refroidissement à l'eau, prix identique à celui en ma possession. 

Ca vaudrais le coup de transformer cet engin.

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La folie est faite, le bi cylindres air, 2 ponts métal, 1 boite d'inversion, puis 4 couronnes à dentures intérieures chez Conrad.

Nos deux engins en faits étaient assez compliqués, les arbres moteurs sont lisses de 10 sur paliers, puis de chaque position des roues des carters de réduction à engrenages, qui sont entrainés par des planétaires à 2 étages, et bien sur les  renvois d'angles, parce qu'à cette époque on avait pas tout sous la main.

Aux jours d'aujourd'hui, on dispose d'un tas de fournitures nouvelles, et que ça vaut le coup une telle transformation radicale.

Tout comme le Paris Dakar qui est hybrid une double propulsion n'est pas négligeable en soit.

C'est dire que cette transformation je la ferais à notre rentrée de Grèce en octobre, entre temps j'aurais reçu tout le matériel.

Ayant gagné du volume en places de récupération, pourquoi ne pas réutiliser le moteur brushless et le greffer sur la couronne de réduction pour avoir encore une propulsion Hybride ?

C'est ça qui serait géant, un gros engin de moins de 30 kg en propulsion mixte ?

Sauf que si le moteur thermique ne marche pas, je n'aie pas de direction hydraulique.

Alors la question est posée : comment faire une double direction ?

La solution est simple en elle même : une double vanne d'arrêt, circuit d'aller et de retour, ce qui impose pour la pompe un entrainement hybrid également.

Mais on peut envisager la solution suivante : vanne de commutation hydro double, et seconde mini pompe de type Magom ?

Houla la que ça devient compliqué ?

La direction est régit par un distributeur hydro RC et sous pompe en réduction, celle ci ne fonctionne que si le thermique est en route.

Admettons que ce groupe pompe soit sous embrayage ? Pourquoi faire, puisqu'elle est sous brushless en réduction ?

Donc on la laisse ainsi en entrainement électrique ce qui simplifie les montages.

Pour bien expliquer les problèmes : les distributeurs sont du type Leimbach par étages, soit des blocs unitaires à 3 étages assemblés, soit des blocs unitaires qu'on assemble entre eux, ce qui laisse des possibilités immenses d'obtenir un ou plusieurs groupes hydrauliques.

La vraie solution de remplacement serait mes vérins électriques à vis chinoises : La pompe est donc entrainée par le moteur thermique que s'il s'embraye,

La direction est assurée par vérins a vis chinoise, ce qui libère une voie hydraulique.

La pompe hydro ne ferait alors fonctionner que les périphériques de fonctionnement débardages.

Seul le moteur de propulsion brushless serait débrayable pour une marche en électrique.

Descente de chez moi en électrique, puis arrivé en bas mise en route du thermique, la direction restant électrique.

La lipo n'aurait alors a supporter que la réception, la direction et les mini servos des distributeurs hydro.

A l'origine la lipo était en position verticale dans la cabine de conduite, actuellement couchée à plat au dessus du moto réducteur de propulsion.

Les démontages n'interviendront qu'en Octobre, normalement je pourrais enlever toute la mécanique de transport sans démonter l'hydraulique.

Les 4 roues seront entièrement démontée pour incruster les couronnes dentées intérieures, ces couronne y tiennent par 4 vis de 3 sur les jantes alu.

Je penses conserver les paliers supports des arbres des roues à leur place actuelles.

Ce qui va sauter ; les 4 réducteurs de transferts, les 4 planétaires, les deux renvois d'angles, le moto réducteur de propulsion à brushless.

J'aie commandés deux ponts métal au 1/12, l'un a une sortie (il n'en restait plus qu'1, l'autre a 2 sorties, mais fixes tous les deux.

En principes ce sont des ponts à différentiels, il suffit de les oter, l'arbre de couche fait 5, monté sur roulements.

La longueur des ponts HT correspond au gabarit du Dahox, il me faudra donc modifier les petits pignons d'entrainement des couronnes dentées, pour les monter sur nouvel arbre sans différentiel, mais en conservant les entrainements par clavettes de 2, c'est dire de faire des pièces en laiton brasées sur les pignons, servant d'entraineurs sur clavettes.

Bien sur les ponts seront fixés sur chacune des demi caisses, avec adaptateurs alu fraisés pour profiter des anciens trous des planétaires.

Les ponts étant en place ainsi que les roues entrainées, la boite d'inversion sera placée en avant du pont avant (en faits en arrière du pont avant, transmission par cardan télescopique.

(Cardans télescopiques parce que plus faciles à installer que des cardans classiques) .

Puis de la boite au pont arrière peut etre une récupération du long cardans télescopique maison fait à partir de cardans de volets roulants et de son hexagone de 6 attenant.

En faits la fixation de ces ponts sont identiques sur chacune des caisses, mais droite et gauche.

J'ai commandé le bi cylindres que j'aie monté sur le Paris Dakar, ils fonctionnent bien je l'aie payé 282 € alors que le 1 er m'avait couté 322 € chez Ali soit 40 € de moins chez BG. La boite est prise chez Ali à 83 € je l'eue touchée moins chère à 62 €.

Il se peut que les deux vitesses de perceuse soit récupéré, puisque ne faisant pas partie du moteur.

Ce bi cylindres est en faits donné pour 16000 tours en pointe., pour son entrée sous boite d'inversion, il faudrait le réduire par 6, soit roue hostaforme de 60 dents au module 1, puis de suite si c'est possible, le montage de la boite à 2 vitesses de perceuse, bien sur tous les axes de la boite d'inversion seront re travaillés, et il se peut que la liaison au pont avant soit écourtée par un simple cardan, pour gagner de la place en longueur.

Le fait d'avoir une roue de 60 en entrée de boite, permet d'avoir un grand déport pour la pompe hydro, 

Concrètement de 16000 tours au 1/6 je passe à 2666 tours, l'entrainement de la pompe se fera alors par l'engrènement d'une seconde roue de 50 dents, ou de 60 dts pour conserver ce régime de pompe. On oscille entre 58 dts et 60 dts.

J'aie commandées les 4 roues dentées intérieures que je devrais recevoir dans la semaine, ce qui me permettra de voir pour leur mises en place, car démonter les roues , ce n'est pas un problème.

D'autres parts j'ai les ponts fixes destinées à la remorque du gros camion militaire à grue, qui vont me servir de modèles pour étudier les fixations des petits engrenages acier, et en même temps la fixation des ponts dans le modèle.

Et puis je me suis trompé, je n'aie pas de joint oscillant de direction, c'est l'essieu avant qui est oscillant.

En faits si j'avais eues des rotules je les aurais mises sur les vérins de direction pour faire une articulation oscillante.

Donc le pont avant devra etre relié à l'arbre oscillant avant, ce pont sera il en arrière de l'axe ou en avant ?

Je vais opter pour l'avant, car en arrière il y aura la boite 2 vitesses et la boite d'inversion de marche.

Cette transmission finale devra etre installée avant la motorisation thermique, mais en tenant compte des deux boites de vitesses.

Je vois la transmission ainsi : la boite d'inversion, devant la boite 2 vitesses de perceuse, puis la couronne de réduction hostaforme réduite en épaisseur, l'embrayage à cloche à pignon denté, le Toyan bi cylindres.

Pour lui je travaille sur son échappement, un pot de STIRLING modifié, avec deux prises. Mais projet foiré, l'un des trous tombe dans le silencieux, alors commande d'un pot comme le Paris Dakar.

Et puis il me faudra aussi 1 vario de démarrage pour 2 bougies, j'ai également ça en stock .

Un essais en bonne et due forme de ceux en ma possession fait apparaitre que le chauffe bougie incorporé fonctionne bien.

Donc pour le camion essais sur 2 bougies, et si ça marche alors équipement de démarrage par radio.

Forcément si j'adopte une propulsion hybrid, la radio sera la Lite, dans ce cas un inter sera dévolu au commutateur, j'ai SB, S1, SC de libre, SE me servant au démarreur par radio dans les deux cas.

De vraiment libres: SB et S1.

Il me faut aussi revoir mes fonctions sur émetteur:

En version tracteur, j'aie la direction manche de droite, les gaz, manche de gauche le sens de marche, SA, le commutateur de marche hybride, SD , le démarreur SE, la marche hybride, le manche de droite d'avant en arrière.

Au manche de gauche de droite à gauche, rien, ce peut etre alors le relevage de lame, et le serrage des pinces en SB. 

Je puis avoir en SC le commutateur de fonctions.

En version grue de débardage, le relevage de grue sur manche de droite d'avant en arrière, puis de droite à gauche le serrage de la pince.

Au manche de gauche, de droite à gauche rotation de la grue,  et serrage de la pince de grue, SA me fait le télescopage, SB m'abaisse le bouclier, SD me serre la pince de transport. S1  est libre, puisque la pompe marche sur le thermique. et que la propulsion est débrayée par la boite d'inversion.

Ce qui me laisse tous loisirs de la monter en puissance.

Houla la, ça va etre un enfer ce nouvel engin ?

La direction hydraulique deviendra alors électrique. 

Sur le dumper Volvo vendu au Caldoche, j'avais monté un RB 35 entrainant une vis chinoise, le procédé fonctionnait très bien avec de la puissance, donc je penses ré éditer ce procédé pour cet engin, mais avec un sérieux système de fins de courses dans les deux sens. Un RB 35 au ratio de 1/100 me parait bien ? peut etre un de 1/200 plus de lenteur vus la vitesse de progression de sa vis écrou. En faits il me faut étudier la force demandé à cet électro vérin, peut etre qu'un moto réducteur plus petit serait il suffisant. Le tout est de ne pas prendre trop de place.

Un seul électro vérin devrait suffire, l'autre restera en place de façons fictives débarrassé de ses tubes Hydro.

J'ai reçu le toyan bi cylindres et les 4 couronnes dentées intérieures qui vont aller pile poil dans l'intérieur des jantes, juste une lichette à enlever.

Dorénavant les moteurs sont livrés complets montés, tant du coté des pales du ventilo que du démarreur.

Le volant est toujours pré percé pour y placer les deux pivots des masselottes d'embrayage.

Pour elles je procède différemment : je reperce à 3,2 et ne taraude à 4 que la moitié des trous, ainsi au montage des clavettes cylindriques filetées à 4 (qui servent normalement pour claveter les cardans de certaines marques)

Les tiges acier font 2,5 sur 10 de long, puis se terminent en M 4x70, cotes idéales pour les masselottes d'embrayage.

De faits un moteur avec son embrayage en pignon de 1 et de 13 dts.

Pour bien faire, faudrait que je commence avec le disponible, mais ..................................................Mais déjà ranger le bordel qui règne dans mes ateliers, une chatte n'y retrouverais pas ses petits.

Ce matin j'ai bossé sur le Toyan, démontage du volant en vue de la mise en place des picots des masselottes, montages vissées de celle ci au frein filet, puis remise en place du volant claveté, avec la vis porte roulements de la cloche, mise en place des masselottes et de la cloche.

J'ai terminé sur la mise en place du socle fraisé de rodage sur banc, et des deux bougies, sans oublier l'équerre de mon allumage de secours des bougies , me reste à fabriquer sa fausse bougie de contacts.

Ce soir, continuation sur la mise en place du moteur sur mon banc de rodage, confection d'une pipe double d'alimentation en carburant et des fausses bougies de secours.

Les premiers rodages se feront en échappement libre, j'attend un pot spécial bi cylindres.

J'aie tournées deux fausses bougies, car j'ai en rab 3 supports de fausses bougies, aller je vais en faire une 3 em pour faire le compte.

Oui quand je fait des séries, j'en fait 3 ou 4 de plus, sachant qu'elles me resserviront tôt ou tard.

Explication de ces fausses bougies : Toyan à force de vendre ses superbes moteurs de type automobile, à l'origine, n'avait pas prévus les varios de démarreurs et les chauffes bougies, tout du moins chez BG.

Progressivement ce matériel est arrivé ces deux dernières années, tout d'abord les varios, puis les varios directs à contacts par poussoirs, puis les vario de démarrages avec poussoirs et voie de réchauffage des bougies, mais bien sur unitaire.

Pour 2 cylindres il en faut 2 et pour  cylindres 4, ce qui est une hérésie complète car un seul chauffe bougies peur en chauffer 2, voire 4, en effets on à pas besoin d'un fort voltage, mais d'un ampérage un peu poussé.

Une bougie demande 1,2 v, mais 4 ampères facilement, 6 pour 2, 8 pour 4.

Mais il peut arriver comme sur le Paris Dakar ou le chauffe bougie ne réponde plus, (ou ne commande plus ) alors une fausse bougie intercalée dans le circuit des bougies sauve la mise avec un soquet extérieur de 1,2 v 4 amp.

Et il s'avère que 4 amp réchauffe 2 bougies, à fortiori 5 amp en réchauffera 4.

Ceci au moins au démarrage à froid ou l'intensité demandée est la plus importante.

Une fois le moteur chaud, (je rappelle que les moteurs glow sont des moteurs à auto allumage), ce qui veux dire que très chaud 1 ampère d'intensité suffit au rallumage d'un moteur.

Auto allumage veux dire explosions causées par la chaleur et la compression. Le réchauffage des bougies leur permet plus de tenir la chaleur et de ne pas etre refroidis par l'arrivé du carburant frais.

C'est donc un complément de chaleur apporté moteurs chaud.

Mais si le réchauffeur disjoncte, mon soquet intercalé dans le circuit des bougies permet le démarrage des moteurs ou leur re démarrages. Et ce de façons manuelle.

Je pose une forte cornière de 20x20 de 14 de long dans un trou en M 3 déjà préparé dans le bloc cylindres des bi cylindres (destinés à quoi ? mystères ), sur cette équerre travaillée je pose mon bloc support de fausse bougie.

Je tourne alors dans de l'hexagone laiton de 8 les fausses bougies, centrages et perçages à 3,5, cylindrage a 6 sur 6 de long, filetage à 6x75, puis tronçonnage à la scie à métaux sur le tour, en laissant 5 mm de H laiton. Reprise par le filetage pour dresser la face tronçonnée, et lui faire un cylindrage décoratif.

Dans le trou foré à 3,5 j'enfile un bout de gaine sullivan de commandes d'avions, à cannelures forées a 1,6, et y enfonce à force une aiguille de laiton qui dépasse telle une vraie bougie.

Le fil de contact rouge plus provenant du réchauffeur pénètre dans le bas du support et l'aiguille y pénètre quand on y visse la fausse bougie faisant alors le contact pour le soquet de réchauffage.

En sortie de support, je soude alors isolé thermos deux contacts de bougies a cabochons caoutchouc terminant le travail.

Dans ma vie j'ai inventé des tas de trucs qui servent de nos jours, mais déposer un brevet d'invention coute la peau des miches, alors j'ai laissé gaulé.

Le chauffe bougies ne marche plus ??????? le soquet de secours réchauffe quand même les bougies.

Une fois les contacts mis, je pourrais réchauffer les bougies, et attendrait que le soleil, lui , réchauffe l'atmosphère pour sortir sur le balcon faire tourner ce nouveau moteur.

Le Toyan FS-L 200 a tourné, au départ bougies chinoises, cramées (étonnant car celles montées sur leurs moteur marchent bien.

Alors , montage de vieilles bougies à barrettes vieilles de plus de 40 ans, et qui fonctionnent encore, étonnant ? Non ?

Je vais quand même en re commander 8 au prix payé c'est pas cher.

Avec les bougies à barrettes je vais commencer le rodage en phases alternées, marches et refroidissements complets, et passer au moins 5 réservoirs, ça me fait penser qu'il faut que je commande du coco en grosses quantité. 5 litres.

OK il se rode doucement , alternant chauffes et refroidissements. N'en doutons pas, c'est chiant. Une après midi de foutue.

Alors, comme d' habitudes, le chauffe bougies incorporé aux vario ne chauffent rien du tout, heureusement que je monte mes supports de fausses bougies, avec mon soquet sur accu, si non mes moteurs ne marcheraient jamais.

La il a tourné un peux plus longtemps, 2 minutes mais serre rapidement, il tourne très gras et fume beaucoup.

J'aie deux pots de mono cylindres, je vais les monter chacun sur une sortie si j'ai de la durit assez grosse.

Avec les deux pots, moins de bruits et moins de fumées, mais toujours sur des périodes de 1 à 2 minutes.

Ce toyan se libère doucement, des remises en route quand le temps me laisse du temps libre, donc échauffements et refroidissements, les cycles idéaux pour de bons rodages.

Comparativement plus faciles à mettre en route que les mono cylindres plus capricieux.

Après le moteur, les deux ponts complets.

Voyage en grèce annulé pour des tas de raisons indépendantes de notre volonté, retour au bercail, pour nettoyer l'engin et le rendre au concessionnaire à Lyon.

Après les ponts j'ai reçue la boite d'inversion mécanique.

Ce midi, reçu le pot d'échappements 2 sorties pour le FS 200.

Cet aprem achat d'une tige d'acier de 5 pour confection des deux nouveaux axes des ponts sans différentiels.

ces ponts sont la pour recevoir le mouvement moteur, en bouts d'arbres de chaque cotés des petits pignons d'entrainements des couronnes dentées intérieures qui eux sont percés à 3 mais qui supporteront un alésage à 4, et donc les arbres seront filetés en bouts à 4 pour y placer un écrou de blocage.

En faits chacun des pignons ne seront percés à 4 que sur la moitié de leur longueur, les extrémités peuvent l'etre à M 3 pour recevoir un écrou de blocage.

L'écrou empêche juste les pignons de foutre le camps, car chacun des pignons reçoit un hexagone de 12 et un fraisage pour clavette de 2 transversales d'entrainements.

Je ne modifie les ponts, que pour  modifier leurs axes sans différentiels et greffer dessus mais de façons démontables les H d'entrainements sur clavettes brasés sur les pignons, l'écrou final empêche ces pignons de s'échapper.

Du coté Toyan FS 200, il a re démarré de suite, après un arrêt d'une semaine.

Cette fois carburant nitro à 16 % neuf et propre, il fume moins.

Comme j'aie aussi reçu sont pot d'échappement à 2 sorties, il me faut l'adapter dessus.

Les buses sont vissées et freinées au frein filet sur le corps du pot en 6x100.

Les 2 buses sortant du moteur font 7 de diamètre avec des brides à 2 trous diagonal, mon idée aurait été de refaire tout cela d'une pièce, mais moi je n'aie pas de machine numérique, alors je vais fader, donc tricher.

Les tubes alu se raccordant au pot seront plus longs, et filetés en bouts à 6x100 des deux cotés, puis sur les cotés moteur fabriquer deux brides se vissant dessus, mais j'aie la solution de récupérer les deux brides d'origine, de les couper au ras de leur face avant, de les tarauder à 6x10 et de les visser au frein filet sur les tubes.

Le pot sera en position inversée, sortie coté ventilateur, pour se diriger vers son pot maquette monté sur le carénage. 

Actuellement ce pot est fictif, soit le modifier par perçages pour y inclure une durit silicone, soit le refaire entièrement pour l'adapter aux contraintes de la sortie réelle du pot d'échappement.

Pour cet engin, je commence par les menues pièces, le changement d'un axe de pont, et la modif du pot d'échappement du Toyan.

Mais je commence réellement par modifier le pont différentiel par un pont sans différentiel, pour cela, la tringle de 5, j'en ai coupé un tronçon de 200 cylindrés aux deux extrémités à 4, et filetées à 4, puis je vais percer les trous transversaux à 2 pour les clavettes d'entrainement.

J'ai ouvert ce pont pour extraire son différentiel, je récupère la couronne et la cloche, je vire les 2 demi arbres et les deux satellites.

L'acier de la couronne est très dur, je dirait trempé, donc non perçable pour y placer sur son moyeu une vis de 2,5 sans tète en vue de son entrainement.

Je triche en perçant celui de la cloche en plastique dur, pour la même vis, mais pas destinée à l'entrainement, mais à la fixation de l'arbre en vue de son traçage sur la couronne pour le  braser argent dessus, seule solution pour avoir une vraie prise d'entrainement.

Il est évident que je re démonterais la cloche plastique lors de la brasure.

Ce pont est à 2 sorties moteurs, l'une va servir, et pas l'autre que j'enlève et récupère son roulement extérieur pour l'autre qui en est démunie.

Une fois ce deuxième pont terminé, je passerais sur le pot d'échappement, ce qui me permettra de terminer le rodage moteur pour l'habituer au freinage du pot.

La boite d'inversion tourne rond même son satellite de marche arrière, je ne la modifierais pas, tout au plus couper ses axes pour mon service.

Puis il me faudra prendre mon engin à bras le corps pour son démontage presque total, pour ses modifications. Et adaptations.

Voila, c'est fait, les deux ponts remontés.

Mais peut etre que je fais une connerie, je m'explique :

La motorisation à été faite à partir d'un gros brushless de promodel, qui passe sur un planétaire de perceuse Hitachi à deux étages, puis le mouvement descends sur une boite de transfert à 2 sorties avant et arrière.

Mais l'engin a une attitude de route très lente en 1 ère vitesse, qui s'améliore en seconde vitesse.

Le montage d'un moteur thermique lui donnera peut etre d'avantages de pèche ?

Les roues et donc l'engin sont sur des arbres en acier de 10 mm, mais les roues sont entrainées en réduction par pignons et roues dentées au module 1,5.

Ces mouvements proviennent de planétaires a deux étages, un par roue.

Au départ de la boite de transfert, pour l'avant un arbre d'entrainement court se dirige sur une boite à renvois d'angle à 45 °. entrainant les planétaires de roues.

Pour l'arrière l'arbre de transmission est télescopique pour dépasser le joint tournant de direction et se termine lui aussi sur la boite à renvois d'angle.

Tout ce système marche très bien, même si encombrant car les renvois d'angles sont au module 1,5, ça serait dommages de tout foutre en l'air d'autant que les réductions des roues sont sous carters alu fraisés étanches.

Il reviendrait à dire que ces modifications seraient minimes par montage du moteur, de son embrayage à cloche sur la boite d'inversion du sens de marche montée sur la boite à 2 vitesses de perceuse.

Mais tous ce système prends de la place sous le capot ? Peut etre le sur élever de quelques mm ?

Concrètement l'embrayage à cloche est à engrenage au module 1 de 14 dents, ce qui laisse la place pour une installation en périphérie de la roue dentées qu'elle entraine, soit dessus soit dessous.

Quand à la boite d'inversion, une seule sortie moteur servira, vue qu'elle entrainera la boite à 2 vitesses.

Et suivant sa position le moteur sera placé plus ou moins haut par rapport à elle.

Donc premiers job's : faire de la place dans l'atelier par de meilleurs rangements, de façons à obtenir une place pour cet engin lourd de 30 kg.

Bhouuuuuuuuuuuuuuuu, je ne me rappelais plus comment il était fait, je dirais impossibilité de monter le toyan, bien trop de modifications à faire qui bousillerais complètement ce très bel engin.

Par contre il est possible d'en construire un autre tout neuf et plus simple. à base des ponts modifiés, et de tout ce que j'ai acheté.

Deux solutions s'offrent à moi : Direction oscillante centrale, ou direction classique, utilisation des ponts au 1/12.

La direction par oscillation centrale est plus compliquée à faire, mais à la sortie plus simple car incluant les mouvements moteur par arbres inclus dans les roulements d'oscillation, et bien sur le portage intégrale des 4 roues.

La base de départ étant le toyan, son embrayage sur boite de transfert à un étage, puis boite d'inversion à deux sorties.

Si direction oscillante arbre intermédiaire fixe et deux cardans télescopiques, bien sur les ponts directionnels sont plus simples pour la transmission.

Dans mon montage moteur je diminue la vitesse moteur sur un premier étage planétaire, et à sa sortie la boite d'inversion donne deux vitesses différente pour la marche arrière plus lente.

La réduction finale peut alors se retrouver au niveau des roues par les couronnes dentées intérieures.

L'installation du  pont arrière sera fixe et celle du pont avant oscillant, il doit faire corps avec l'arbre des roues dans un châssis commun oscillant.

En faits une construction neuve est plus facile que des modifications de l'existant.

Ce tracteur sera alors simple sans fioritures son exploitation sera du type tous terrains. avec toutefois un crochet de remorquage.

La complication serait de lui monter une lame d'étrave à pinces qui plus hydraulique. Parce que j'aie encore une pompe Magom à monter.

Bon, c'est clair, engin non modifiable.

Je m'achemine vers un Monster crawler.