Bull pousseur PR 764 de Liebherr
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Bull pousseur PR 764 de Liebherr
Fin 2009, aux alentours d'octobre, je m'entiche de construire un bull de ce type, Liebherr, parce que j'aime bien la marque, ce type, parce qu'avant de critiquer il faut bien essayer.
Dans mes constructions, j'étudie tout d’abord les pièces PDF, j'établis un cahier des charges, puis une liste des fournitures et quelques croquis cotés des pièces à exécuter.
Ma base de départ est le fond de coque, je construit une boite en structures légères faite de tôles alu de 1 mm assemblées par cornières alu, achetées au brico du coin, au départ j'assemble mes pièces avec des vis de 2 mm, puis une fois sur de mon fait, je rive l'ensemble avec des rivets alus, à tètes variées, fraisées ou Tète rondes suivant les cas, j’obtiens ainsi une boite relativement rigide.
Le fond d'une des coques, ses deux moteurs et ses barbotins d'entrainement chenilles.
Je ne la traite surtout pas maquette, car le matériel à loger, n'est pas du tout à l'échelle en proportion du modèle à construire.
Je construisit ainsi le fond de caisse, la fixation des moto réducteurs RB35/200, les barbotins.
L'intérieur de la même coque.
Ce qui me permis d'envisager la construction des patins simplifiés, support d'engins et de chaines.
Ces patins sont composés avec des cornières alu de 60x30, dont les ailes ont été retaillées pour s'adapter entres elles, les boggies de galet viennent s'articuler dans les trous ménagés sur le patin, devant est la roue folle avec à l’intérieur du patin, le système de tension de chaine.
Ces patins sont articulés sur un axe en avant des barbotins, car l'engin est équipé d'un pont CANTILEVER, qui permet un débattement angulaire limité du devant du patin vers le haut et le bas, ceci pour garder l’adhérence dans des champs de roches.
Il me faut bien expliquer, que de construire un engin à chaines, ne s'est pas fait du premier coup, il m'a fallut au préalable étudier la façon de construire des chaines TP le plus ressemblantes et fonctionnelles.
Ces études m'ont demandées deux ans avec de nombreux essais ratés à la clé.
Mes chaines sont construites à partir de plats métalliques de 20x6, débités en barrettes de 25 cm de long, et fraisées sur plat en forme de Z.
Ces fraisages portent sur la moitié de l'épaisseur du plat, soit 2,5 mm et sur une profondeur de 5,1.
Le pas choisis à été de 8 mm, car en fait c'est la dimension à l'échelle du 1:14 des engins grandeur.
Une fois la barrette fraisée sur sa longueur, je la débite sur micro tronçonneuse à 7 mm de long, ce qui me permet d'obtenir des maillons, je sépare les maillons à droites de ceux de gauches.
L'un de mes maillons de chaines en alu, le verso.
Le recto.
Dans ce cas précis, ces chaines sont destinées à ma dragline géante, pour deux longueurs linéaires de deux fois 1600 mm.
Les tuiles sont de simples fers plats alu de 15x2.
Une petite longueur produite autrement dit, un échantillon, ici deux vis suffisentb à tenir les tuiles, l'engin avançant comme un éscargot, les chaines servent à assurer plus de stabilité au sol.
Puis reprises de nombreuses fois chaque maillon pour divers perçages et écornages.
En final ces maillons sont montés dans un gabarit de montage, pour y être assemblé avec les tuiles faites à partir de tronçons de cornières alu de 15,5 de coté, dont une aile à été recoupée à bonne hauteur de crampon.
J'obtiens ainsi des maillons complets, qu'il me suffit d'assembler en chaines.
Pour un engin tel le PR il faut 51 maillons par coté, un travail sur une bonne semaine, assez fastidieux, mais payant à la sortie, tous ces petits travaux répétitifs se faisant sur gabarits.
Pour mes premières séries j'ai traité tout alu, avec le gros tort, de placer des vis de 3 en tant qu'axes, ce qui à mangé par les filets l'alu des maillons, il s'en est suivis casses sur casses.
En décembre de la même année, l'admin de notre ancien forum me demande de lui en construire un pour lui, l'on convient d'un prix d'amis fixes.
Je construit donc ce second modèle sur le premier, et essaie de rattraper le temps perdu en tergiversations diverses, y arrive vers le 1 er Janvier 2009, les deux engins dont le fond de caisse est motorisé, et dont la superstructure est bien commencée pour les deux.
C'est alors que notre bon ami, s'appercoit que je n'aie pas traitée la cabine façon maquette, alors que je l'avais bien prévenus, que je traiterait semi maquette.
La parole est d'or, les écrits sont en platine, mon tort c'est de ne pas avoir fait signer un contrat, forces discussions s'en suivent, pour en final recouper sa cabine et la traiter maquette exacte.
Quand on construit pour d'autres, et que l'on prévient le "client", d'une part il faut un contrat signé, qui prouve ce qui a été convenus, de façon que les protagonistes ne viennent pas après coup réfuter ces écrits. Avec un AMI, on ne prends pas ces précautions, il s'avère que par la suite, l'ami en question devient un faux frère.
Entre un prix convenus pour une semi maquette, et un prix convenu pour une maquette exacte il y a un gouffre. Mais cela notre bon ami n'en avait cure, d’où des ressentiments naissants.
Dans de telles conditions construire un engin pour un tiers devient vite une corvée.
D'autant que le tiers exigeait lors de l'achèvement du modèle des essais longs et couteux, tout en gardant le prix bas fixé à l'origine, quand on sait que durant les essais, il y aura certainement des pièces défectueuses à changer, d’où encore une incompréhension totale du dit ami .
J'explique ces raisons plus ou moins obscures, pour répondre à Jacquouilles sur l'ancien forum.
En fait, tout le monde il n'est pas beau et forcément gentil, devant l'argent les langues se délient et les amitiés fondent.
Une suite sera écrite plus tard.
Dans mes constructions, j'étudie tout d’abord les pièces PDF, j'établis un cahier des charges, puis une liste des fournitures et quelques croquis cotés des pièces à exécuter.
Ma base de départ est le fond de coque, je construit une boite en structures légères faite de tôles alu de 1 mm assemblées par cornières alu, achetées au brico du coin, au départ j'assemble mes pièces avec des vis de 2 mm, puis une fois sur de mon fait, je rive l'ensemble avec des rivets alus, à tètes variées, fraisées ou Tète rondes suivant les cas, j’obtiens ainsi une boite relativement rigide.
Le fond d'une des coques, ses deux moteurs et ses barbotins d'entrainement chenilles.
Je ne la traite surtout pas maquette, car le matériel à loger, n'est pas du tout à l'échelle en proportion du modèle à construire.
Je construisit ainsi le fond de caisse, la fixation des moto réducteurs RB35/200, les barbotins.
L'intérieur de la même coque.
Ce qui me permis d'envisager la construction des patins simplifiés, support d'engins et de chaines.
Ces patins sont composés avec des cornières alu de 60x30, dont les ailes ont été retaillées pour s'adapter entres elles, les boggies de galet viennent s'articuler dans les trous ménagés sur le patin, devant est la roue folle avec à l’intérieur du patin, le système de tension de chaine.
Ces patins sont articulés sur un axe en avant des barbotins, car l'engin est équipé d'un pont CANTILEVER, qui permet un débattement angulaire limité du devant du patin vers le haut et le bas, ceci pour garder l’adhérence dans des champs de roches.
Il me faut bien expliquer, que de construire un engin à chaines, ne s'est pas fait du premier coup, il m'a fallut au préalable étudier la façon de construire des chaines TP le plus ressemblantes et fonctionnelles.
Ces études m'ont demandées deux ans avec de nombreux essais ratés à la clé.
Mes chaines sont construites à partir de plats métalliques de 20x6, débités en barrettes de 25 cm de long, et fraisées sur plat en forme de Z.
Ces fraisages portent sur la moitié de l'épaisseur du plat, soit 2,5 mm et sur une profondeur de 5,1.
Le pas choisis à été de 8 mm, car en fait c'est la dimension à l'échelle du 1:14 des engins grandeur.
Une fois la barrette fraisée sur sa longueur, je la débite sur micro tronçonneuse à 7 mm de long, ce qui me permet d'obtenir des maillons, je sépare les maillons à droites de ceux de gauches.
L'un de mes maillons de chaines en alu, le verso.
Le recto.
Dans ce cas précis, ces chaines sont destinées à ma dragline géante, pour deux longueurs linéaires de deux fois 1600 mm.
Les tuiles sont de simples fers plats alu de 15x2.
Une petite longueur produite autrement dit, un échantillon, ici deux vis suffisentb à tenir les tuiles, l'engin avançant comme un éscargot, les chaines servent à assurer plus de stabilité au sol.
Puis reprises de nombreuses fois chaque maillon pour divers perçages et écornages.
En final ces maillons sont montés dans un gabarit de montage, pour y être assemblé avec les tuiles faites à partir de tronçons de cornières alu de 15,5 de coté, dont une aile à été recoupée à bonne hauteur de crampon.
J'obtiens ainsi des maillons complets, qu'il me suffit d'assembler en chaines.
Pour un engin tel le PR il faut 51 maillons par coté, un travail sur une bonne semaine, assez fastidieux, mais payant à la sortie, tous ces petits travaux répétitifs se faisant sur gabarits.
Pour mes premières séries j'ai traité tout alu, avec le gros tort, de placer des vis de 3 en tant qu'axes, ce qui à mangé par les filets l'alu des maillons, il s'en est suivis casses sur casses.
En décembre de la même année, l'admin de notre ancien forum me demande de lui en construire un pour lui, l'on convient d'un prix d'amis fixes.
Je construit donc ce second modèle sur le premier, et essaie de rattraper le temps perdu en tergiversations diverses, y arrive vers le 1 er Janvier 2009, les deux engins dont le fond de caisse est motorisé, et dont la superstructure est bien commencée pour les deux.
C'est alors que notre bon ami, s'appercoit que je n'aie pas traitée la cabine façon maquette, alors que je l'avais bien prévenus, que je traiterait semi maquette.
La parole est d'or, les écrits sont en platine, mon tort c'est de ne pas avoir fait signer un contrat, forces discussions s'en suivent, pour en final recouper sa cabine et la traiter maquette exacte.
Quand on construit pour d'autres, et que l'on prévient le "client", d'une part il faut un contrat signé, qui prouve ce qui a été convenus, de façon que les protagonistes ne viennent pas après coup réfuter ces écrits. Avec un AMI, on ne prends pas ces précautions, il s'avère que par la suite, l'ami en question devient un faux frère.
Entre un prix convenus pour une semi maquette, et un prix convenu pour une maquette exacte il y a un gouffre. Mais cela notre bon ami n'en avait cure, d’où des ressentiments naissants.
Dans de telles conditions construire un engin pour un tiers devient vite une corvée.
D'autant que le tiers exigeait lors de l'achèvement du modèle des essais longs et couteux, tout en gardant le prix bas fixé à l'origine, quand on sait que durant les essais, il y aura certainement des pièces défectueuses à changer, d’où encore une incompréhension totale du dit ami .
J'explique ces raisons plus ou moins obscures, pour répondre à Jacquouilles sur l'ancien forum.
En fait, tout le monde il n'est pas beau et forcément gentil, devant l'argent les langues se délient et les amitiés fondent.
Une suite sera écrite plus tard.
Dernière édition par Admin le Dim 30 Oct - 19:58, édité 1 fois
suite de sa construction
J'en était resté aux chaines, le fait d’avoir mis des vis au lieu d'axes lisses, à été préjudiciable aux maillons, cet ami cher a eue la présence d'esprit de remplacer les vis par des axes faits de clous retravaillés munis de circlips, quand à mes propres chaines actuellement elles sont quasiment foutues, sauf en ce qui concerne les tuiles, aussi dans l'été j'avais décidé de les refaire, en laiton pour les maillons tout en récupérant les tuiles alu, mais le montage nécessitait les 4 vis de maintient des tuiles, d’où encore du travail.
C'est alors que Pierre est intervenus, il avait fait quelques essais avec des plats acier de 20x4, pour fraiser des tuiles à l'unité, lui qui en voulait une paire pour sa future pelle CAT 365.
L'idée première étant dans le couloir du décolletage, de faire fabriquer les tuiles par fraisages sur CNC, à nous de débiter maillons et tuiles à nos dimensions.
D'après les données à Pierre les tuiles seraient brasées sur les maillons d’où des pièces rigides.
A l'heure actuelle j’attends les barres de tuiles recoupées à 1500, et les barrettes de maillons, l'idée du fraiseur toujours sur CNC, est de percer tous les trous d'axes des maillons, à ma maille finale, à moi de recouper ces maillons en fabricant un gabarit de maintient sur ma tronçonneuse, de recouper les tuiles à bonne longueur, de les fraiser et bomber, puis de les braser sur gabarit.
Ce travail pour des raisons de cout est fait en dilettante chez le patron du fraiseur, en dehors des heures de service, d’où des délais assez longs, mais avec le gros avantage d'avoir les masters sur CNC à disposition pour duplicater.
La construction des deux engins s'est poursuivie jusqu'au début Juin 2009, date à laquelle j'ai livré à Dijon son engin à ce très cher ami, en ordre de marche radio commande comprise, mais brut de peintures, que déjà des problèmes se posaient.
J'en ai déjà débattu, je n'y reviendrait pas.
Le bull en construction n°2, il se différencie du miens avec sa calandre jaune.
Bel engin n'est ce pas ? Mème brut de peinture.
Les deux frères cote à cote, la radio du n ° 2 possède un appendice, c’est les commandes du ripper, descente et réglages d’assiette.
Les cabines sont différentes, moi je pensait faire simple, lui voulait du compliqué et fonctionnel pour pas cher, vous avez le temps que j'y ai mis sur sa cabine avec portes ouvrantes ? 15 jours de plus, je l'ai trouvée saumâtre, autant d’égoïsme et de désinvolture.
Enfin vues d’arrières, de ce coté la les rippers sont identiques, pour les deux engins 4 voies hydro sont nécessaires deux sur la lame, deux sur le ripper, pour les deux outils, abaissement relevage, et réglage d’assiette.
Le gars à conservée les 4 voies, pour le miens dans un premier temps et dans un soucis d'économies je n'aie gardées que deux voies hydrau, uniquement les relevages, mais je m'appercoit que les réglages d’assiette sont tout aussi importants.
Sur la lame le fait de pencher en avant vide la lame, ou le contraire de retenir la terre, et sur le ripper d’affouiller le sol ou d’alléger sa rentrée.
Quoi qu'il en soit je suis très fier de mes deux réalisations conjointes, quoi qu'en dise le gugusse d'en face, j'ai réalisés ces engins avec tout mon coeur, je lui fiche mon billet d'en faire autant.
Quand on construit un modèle pour un tiers, celui ci doit déjà être modéliste, il doit et c'est impératif s'investir dans sa machine, celui qui fabrique le fait sur ses temps de loisirs, ce n'est donc pas un travail de pro, mais un service rendu à un autre amateur moins outillé.
Que les modèles sont dans ces conditions vendus à l’état d'occasions, puisque essayés relativement longtemps avant.
Vous aimeriez que l'on essaie votre bagnole durant un mois, alors que vous avez payé son achat ?
Un tel deal doit être basé sur la confiance absolue de l'acheteur sur son fabricant, et surtout ne pas lui reprocher des bouts de chandelles.
Biens sur j'ai procédé à des essais des deux modèles que des problèmes se présentaient, casse des chenilles, casse de réducteurs, grillage de variateurs, problèmes hydrauliques, problèmes mécaniques.
Je vendais un modèle munis d'un de mes distributeurs gratuit, d'une pompe perso gratuite, le gars ne payant que le moteur brushless et son vario.
En effet je ne pouvais garantir mes fabrications hydro, je préférais en faire cadeau, mais ça n'a pas suffit, le client en voulait toujours plus.
Je repris donc mes constructions sur mon engin, avec force changements des moyens de propulsion.
Du système original, RB 35/200 entrainant les barbotins, je suis passé à deux systèmes de réductions , tout d’abord sur les moteurs d'origine des RB 35, puis sur moteurs brushless, aucun des deux système n’a résisté, j'ai du changer mes réducteurs par des réducteurs de perceuses sur accus du genre épicycloïdaux, moteurs brushless positionnés cotes à cotes avec renvois d'angle, mais ça n'a pas résisté au couple important, j'ai du changer encore une fois mon fusil d'épaule, ils sont actuellement l'un au dessus de l'autre, mais ça à nécessité une transmission par chaines à rouleaux sur celui de gauche.
J'ai tout essaye pour limiter le couple ENORME, avec des limiteurs à friction sur les transmissions finales aux barbotins, hélas ça ne fonctionnait que trop bien, les frictions se désengageant lors de couples trop élevés.
A l'heure actuelle l'engin est sur cales attendant ses nouvelles pantoufles.
En fait nous avons, malgré ces impondérables des engins extrêmement puissants, capables aussi bien de bouter que de scarifier.
Le miens est doté en plus d'un scraper à tirer et à pousser, en remplaçant le croc par une manille d’accrochage.
Le client à trouvé une excuse pour dire que le distributeur ne marchait pas, bizarre alors que le miens personnel fonctionne très bien en deux voies, sur pompe personnelle montant aux 20 bars.
Quand on veut trouver des défauts par mauvaise foi, on en trouve toujours.
Ce qui est lamentable, c’est que le râleur soit incapable lui même de reconstruire intégralement le modèle, alors qu'il l'a sous les yeux.
Je dirais que c'est normal quand on est aidé par un copain super outillé, qui fabrique des pièces à votre place.
Personnellement pour mes mécaniques, je ne me fait aider par personne.
Il faut bien le reconnaitre nous avons la tous deux, deux magnifiques engins perfectibles, deux modèles uniques de par le monde européens, un copain me vendrait un tel modèle pas cher, j'aurais à cœur de le perfectionner et hyper détailler, et surtout vanter les mérites de mon copain d'avoir passé du temps sur mon modèle, l'argent ne justifiant rien du tout.
La fermeture du forum d'à coté résulte de ces différends, maintenant vous avez tous compris le fin mot de l'histoire.
Perso je trouve l'histoire assez lamentable.
C'est alors que Pierre est intervenus, il avait fait quelques essais avec des plats acier de 20x4, pour fraiser des tuiles à l'unité, lui qui en voulait une paire pour sa future pelle CAT 365.
L'idée première étant dans le couloir du décolletage, de faire fabriquer les tuiles par fraisages sur CNC, à nous de débiter maillons et tuiles à nos dimensions.
D'après les données à Pierre les tuiles seraient brasées sur les maillons d’où des pièces rigides.
A l'heure actuelle j’attends les barres de tuiles recoupées à 1500, et les barrettes de maillons, l'idée du fraiseur toujours sur CNC, est de percer tous les trous d'axes des maillons, à ma maille finale, à moi de recouper ces maillons en fabricant un gabarit de maintient sur ma tronçonneuse, de recouper les tuiles à bonne longueur, de les fraiser et bomber, puis de les braser sur gabarit.
Ce travail pour des raisons de cout est fait en dilettante chez le patron du fraiseur, en dehors des heures de service, d’où des délais assez longs, mais avec le gros avantage d'avoir les masters sur CNC à disposition pour duplicater.
La construction des deux engins s'est poursuivie jusqu'au début Juin 2009, date à laquelle j'ai livré à Dijon son engin à ce très cher ami, en ordre de marche radio commande comprise, mais brut de peintures, que déjà des problèmes se posaient.
J'en ai déjà débattu, je n'y reviendrait pas.
Le bull en construction n°2, il se différencie du miens avec sa calandre jaune.
Bel engin n'est ce pas ? Mème brut de peinture.
Les deux frères cote à cote, la radio du n ° 2 possède un appendice, c’est les commandes du ripper, descente et réglages d’assiette.
Les cabines sont différentes, moi je pensait faire simple, lui voulait du compliqué et fonctionnel pour pas cher, vous avez le temps que j'y ai mis sur sa cabine avec portes ouvrantes ? 15 jours de plus, je l'ai trouvée saumâtre, autant d’égoïsme et de désinvolture.
Enfin vues d’arrières, de ce coté la les rippers sont identiques, pour les deux engins 4 voies hydro sont nécessaires deux sur la lame, deux sur le ripper, pour les deux outils, abaissement relevage, et réglage d’assiette.
Le gars à conservée les 4 voies, pour le miens dans un premier temps et dans un soucis d'économies je n'aie gardées que deux voies hydrau, uniquement les relevages, mais je m'appercoit que les réglages d’assiette sont tout aussi importants.
Sur la lame le fait de pencher en avant vide la lame, ou le contraire de retenir la terre, et sur le ripper d’affouiller le sol ou d’alléger sa rentrée.
Quoi qu'il en soit je suis très fier de mes deux réalisations conjointes, quoi qu'en dise le gugusse d'en face, j'ai réalisés ces engins avec tout mon coeur, je lui fiche mon billet d'en faire autant.
Quand on construit un modèle pour un tiers, celui ci doit déjà être modéliste, il doit et c'est impératif s'investir dans sa machine, celui qui fabrique le fait sur ses temps de loisirs, ce n'est donc pas un travail de pro, mais un service rendu à un autre amateur moins outillé.
Que les modèles sont dans ces conditions vendus à l’état d'occasions, puisque essayés relativement longtemps avant.
Vous aimeriez que l'on essaie votre bagnole durant un mois, alors que vous avez payé son achat ?
Un tel deal doit être basé sur la confiance absolue de l'acheteur sur son fabricant, et surtout ne pas lui reprocher des bouts de chandelles.
Biens sur j'ai procédé à des essais des deux modèles que des problèmes se présentaient, casse des chenilles, casse de réducteurs, grillage de variateurs, problèmes hydrauliques, problèmes mécaniques.
Je vendais un modèle munis d'un de mes distributeurs gratuit, d'une pompe perso gratuite, le gars ne payant que le moteur brushless et son vario.
En effet je ne pouvais garantir mes fabrications hydro, je préférais en faire cadeau, mais ça n'a pas suffit, le client en voulait toujours plus.
Je repris donc mes constructions sur mon engin, avec force changements des moyens de propulsion.
Du système original, RB 35/200 entrainant les barbotins, je suis passé à deux systèmes de réductions , tout d’abord sur les moteurs d'origine des RB 35, puis sur moteurs brushless, aucun des deux système n’a résisté, j'ai du changer mes réducteurs par des réducteurs de perceuses sur accus du genre épicycloïdaux, moteurs brushless positionnés cotes à cotes avec renvois d'angle, mais ça n'a pas résisté au couple important, j'ai du changer encore une fois mon fusil d'épaule, ils sont actuellement l'un au dessus de l'autre, mais ça à nécessité une transmission par chaines à rouleaux sur celui de gauche.
J'ai tout essaye pour limiter le couple ENORME, avec des limiteurs à friction sur les transmissions finales aux barbotins, hélas ça ne fonctionnait que trop bien, les frictions se désengageant lors de couples trop élevés.
A l'heure actuelle l'engin est sur cales attendant ses nouvelles pantoufles.
En fait nous avons, malgré ces impondérables des engins extrêmement puissants, capables aussi bien de bouter que de scarifier.
Le miens est doté en plus d'un scraper à tirer et à pousser, en remplaçant le croc par une manille d’accrochage.
Le client à trouvé une excuse pour dire que le distributeur ne marchait pas, bizarre alors que le miens personnel fonctionne très bien en deux voies, sur pompe personnelle montant aux 20 bars.
Quand on veut trouver des défauts par mauvaise foi, on en trouve toujours.
Ce qui est lamentable, c’est que le râleur soit incapable lui même de reconstruire intégralement le modèle, alors qu'il l'a sous les yeux.
Je dirais que c'est normal quand on est aidé par un copain super outillé, qui fabrique des pièces à votre place.
Personnellement pour mes mécaniques, je ne me fait aider par personne.
Il faut bien le reconnaitre nous avons la tous deux, deux magnifiques engins perfectibles, deux modèles uniques de par le monde européens, un copain me vendrait un tel modèle pas cher, j'aurais à cœur de le perfectionner et hyper détailler, et surtout vanter les mérites de mon copain d'avoir passé du temps sur mon modèle, l'argent ne justifiant rien du tout.
La fermeture du forum d'à coté résulte de ces différends, maintenant vous avez tous compris le fin mot de l'histoire.
Perso je trouve l'histoire assez lamentable.
Re: Bull pousseur PR 764 de Liebherr
Bonsoir à tous,
Effectivement, je comprends bien la raison du non accès à ce feu-forum...
J'ai été un peu déçu, je ne le cache pas, de ne pas pouvoir retrouver votre sujet fort intéressant au demeurant
Serait-il possible de remettre le déroulement de ces constructions ? Perso, j'en suis resté à la page 4 sur les 52...
Je suis comme qui dirait frustré...
A bientôt.
Christophe.
Effectivement, je comprends bien la raison du non accès à ce feu-forum...
J'ai été un peu déçu, je ne le cache pas, de ne pas pouvoir retrouver votre sujet fort intéressant au demeurant
Serait-il possible de remettre le déroulement de ces constructions ? Perso, j'en suis resté à la page 4 sur les 52...
Je suis comme qui dirait frustré...
A bientôt.
Christophe.
Christophe- Messages : 6
Date d'inscription : 31/10/2011
Age : 55
Localisation : Val de Marne
Bull pousseur PR 764 de Liebherr
Non , désolé Christophe, je reconstitue ma documentation de mémoire, mais si c'est pour en construire un, toi même, je suis prêt à t'épauler.
Certes notre admin, à agit à la légère en ce qui concerne le forum défunt, il l'a fermé parce qu'il en avait ras le bol de le gérer, le différends qui existe entre nous à été un prétexte pour sa fermeture définitive.
Stephd avait proposé une reprise en devenant l'administrateur, l'autre n'en avait cure, son principal soucis c'était de m'emmerder directement, de toutes façons c'est un égoïste, fallait le voir lors des expositions, ce qui l’intéressait c'est que l’organisateur mette à sa disposition 2 tonnes de sable, pour faire mumuse avec. Un mépris total des organisateurs et du public, allant même jusqu'à partir en milieu d'après midi sous prétexte des km à faire.
Alantig les avait catalogués à monistrol, c'est dommage d'agir ainsi.
Certes notre admin, à agit à la légère en ce qui concerne le forum défunt, il l'a fermé parce qu'il en avait ras le bol de le gérer, le différends qui existe entre nous à été un prétexte pour sa fermeture définitive.
Stephd avait proposé une reprise en devenant l'administrateur, l'autre n'en avait cure, son principal soucis c'était de m'emmerder directement, de toutes façons c'est un égoïste, fallait le voir lors des expositions, ce qui l’intéressait c'est que l’organisateur mette à sa disposition 2 tonnes de sable, pour faire mumuse avec. Un mépris total des organisateurs et du public, allant même jusqu'à partir en milieu d'après midi sous prétexte des km à faire.
Alantig les avait catalogués à monistrol, c'est dommage d'agir ainsi.
Re: Bull pousseur PR 764 de Liebherr
Bonjour à tous,
Dommage...Dommage...
Je te remercie pour ta proposition d'aide .
Pour l'instant, je me suis orienté vers un tractopelle 428E et/ou (à voir dans le temps...) une chargeuse à chenilles 953D de chez Caterpillar ou bien la LR 634 de chez Liebherr...
Maintenant, comme je l'ai précisé dans la présentation, j'ai des canots en attente... mais cela ne m'empêche pas de travailler sur les plans, histoire de changer de domaine momentanément
A bientôt.
Christophe
Dommage...Dommage...
Je te remercie pour ta proposition d'aide .
Pour l'instant, je me suis orienté vers un tractopelle 428E et/ou (à voir dans le temps...) une chargeuse à chenilles 953D de chez Caterpillar ou bien la LR 634 de chez Liebherr...
Maintenant, comme je l'ai précisé dans la présentation, j'ai des canots en attente... mais cela ne m'empêche pas de travailler sur les plans, histoire de changer de domaine momentanément
A bientôt.
Christophe
Christophe- Messages : 6
Date d'inscription : 31/10/2011
Age : 55
Localisation : Val de Marne
Bull pousseur PR 764 de Liebherr
J'ai demandé à Pierre, s'il était encore connecté au forum ancien, s'il pouvait me faire des copiés collés de mes documents.
En effet l'admin à ce qu'il parait aurait laissé le forum ouvert pour le petit comité de modération. Comme mine de renseignements sous le coude, sympas comme décision ?
En effet l'admin à ce qu'il parait aurait laissé le forum ouvert pour le petit comité de modération. Comme mine de renseignements sous le coude, sympas comme décision ?
Re: Bull pousseur PR 764 de Liebherr
Re,
Tout dépend de quel coté, on se place... cela fait un peu arriviste quand même ...
Merci à Pierre si il peut le faire...
A+ Christophe.
Tout dépend de quel coté, on se place... cela fait un peu arriviste quand même ...
Merci à Pierre si il peut le faire...
A+ Christophe.
Christophe- Messages : 6
Date d'inscription : 31/10/2011
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Bull pousseur PR 764 de Liebherr
Avant tout, il faudrait savoir de quel coté penche ton cœur ? Que veux tu construire écartement ? De quel engin parles tu ?
Une réflexion que je me faisait l'autre jour; Pourquoi ne pas construire un engin tp en bois, de la même façon que l'on construit un bateau ?
C'est vrais enfin ? Un bateau que je saches pour les esquifs modernes sont tout en acier, et nous on les construits en bois collés ?
Tu est modéliste bateau, tu maitrise donc les bordés sur membrures ? Un engin tp peut aussi être construit de cette façon, d'une part ça apporte une rigidité de l'ensemble, et une facilité de montages grâces aux cyanoacrylates et autres colles rapides.
Moi j'ai choisis l'alu, tout bêtement parce que les grands constructeurs allemands les construisent en alu, parce que je suis métallier, parce que je possède en miniature tout un équipement d'atelier, et parce que je travaillais en appartement.
Je maitrise le travail ne n'importe quel matériaux, et je trouve très facile le travail de l'alu en feuilles minces de 1 mm.
Il faut bien le dire aussi que les constructeurs Allemands ont choisis l'alu, parce que, à force d'en rajouter nos modèles finissent pat être lourds proportionnellement pour une bonne adhérence.
L'admin de notre ancien forum construit une CAT 345 toute en laiton, pour la facilité de construction par soudures à l'étain, mais ce faisant, l'étain est mélangé au plomb, son engin va accuser un poids prohibitif en ordre de marche.
Nos allemands donc font dans l'alu, pour pouvoir utiliser des groupes hydro de petites pression, Leimbach et Damitz, dont les distributeurs ne supportent pas plus de 15 bars, parce que l'alu étant léger, ils privilégient la fonction au détriment du poids.
L'admin, je vais le nommer Truck est donc obligé de trouver des distributeurs supportant au moins 100 bars, parce qu'il utilise une pompe Jung qui développe plus de 80 bars, quand aux vérins s'il n'utilise pas les joints adéquats, il risque de surexposée à quelques désagréments de fuites surtout en tète de vérins. De plus l'utilisation de Jung implique de placer des limiteurs de pression.
En fait on produit pas mal d'énergie, pour ne se servir que d'une infime quantité de celle ci.
Pour mes deux liebherr 964 B, j'utiliserais des Jung, mais en réduction crantées de 1/5, j'espère me passer de limiteur, en utilisant des vérins plus gros que ceux à l'échelle de l'engin réel, et en utilisant des distributeurs leimbach.
Je ne suis pas pour les grandes pressions, je préfère à charges égales avoir des surfaces pistons supérieure à basses pression.
Les calculs sont simples, entre un piston de 10 d'alésage à 10 bars, et un piston de 20 également à 10 bars, lequel va lever la plus forte charge ?
Il faut faire nos calculs: Piston de 10, soit 5x5x3,14= 78,5 mm2, ou 0,785 mm2, à 10 bars par cm2= 7,85 kg.
Piston de 20, soit 10x10x3.14=314 mm2, ou 3,14 cm2 à 10 bars = 31,4 kg, à mon avis il n'y a pas photo ?
Dés lors deux cylindres de ce type en flèche lèveront 62,8 kg, surtout sur une flèche en alu mode de construction Leimbach, qui même si de dimensions conséquentes, les miennes développées feront plus d'un mètre de long, avec un godet énorme de près de 2 litres, donc un porte à faux appréciable, sera capable d lever bien plus que la petite charge du godet, et cela à faible pression, la Jung me fournissant plus de débit.
Bien sur il me reste à le prouver, surtout avec des distris Leimbach à petits passages.
Une réflexion que je me faisait l'autre jour; Pourquoi ne pas construire un engin tp en bois, de la même façon que l'on construit un bateau ?
C'est vrais enfin ? Un bateau que je saches pour les esquifs modernes sont tout en acier, et nous on les construits en bois collés ?
Tu est modéliste bateau, tu maitrise donc les bordés sur membrures ? Un engin tp peut aussi être construit de cette façon, d'une part ça apporte une rigidité de l'ensemble, et une facilité de montages grâces aux cyanoacrylates et autres colles rapides.
Moi j'ai choisis l'alu, tout bêtement parce que les grands constructeurs allemands les construisent en alu, parce que je suis métallier, parce que je possède en miniature tout un équipement d'atelier, et parce que je travaillais en appartement.
Je maitrise le travail ne n'importe quel matériaux, et je trouve très facile le travail de l'alu en feuilles minces de 1 mm.
Il faut bien le dire aussi que les constructeurs Allemands ont choisis l'alu, parce que, à force d'en rajouter nos modèles finissent pat être lourds proportionnellement pour une bonne adhérence.
L'admin de notre ancien forum construit une CAT 345 toute en laiton, pour la facilité de construction par soudures à l'étain, mais ce faisant, l'étain est mélangé au plomb, son engin va accuser un poids prohibitif en ordre de marche.
Nos allemands donc font dans l'alu, pour pouvoir utiliser des groupes hydro de petites pression, Leimbach et Damitz, dont les distributeurs ne supportent pas plus de 15 bars, parce que l'alu étant léger, ils privilégient la fonction au détriment du poids.
L'admin, je vais le nommer Truck est donc obligé de trouver des distributeurs supportant au moins 100 bars, parce qu'il utilise une pompe Jung qui développe plus de 80 bars, quand aux vérins s'il n'utilise pas les joints adéquats, il risque de surexposée à quelques désagréments de fuites surtout en tète de vérins. De plus l'utilisation de Jung implique de placer des limiteurs de pression.
En fait on produit pas mal d'énergie, pour ne se servir que d'une infime quantité de celle ci.
Pour mes deux liebherr 964 B, j'utiliserais des Jung, mais en réduction crantées de 1/5, j'espère me passer de limiteur, en utilisant des vérins plus gros que ceux à l'échelle de l'engin réel, et en utilisant des distributeurs leimbach.
Je ne suis pas pour les grandes pressions, je préfère à charges égales avoir des surfaces pistons supérieure à basses pression.
Les calculs sont simples, entre un piston de 10 d'alésage à 10 bars, et un piston de 20 également à 10 bars, lequel va lever la plus forte charge ?
Il faut faire nos calculs: Piston de 10, soit 5x5x3,14= 78,5 mm2, ou 0,785 mm2, à 10 bars par cm2= 7,85 kg.
Piston de 20, soit 10x10x3.14=314 mm2, ou 3,14 cm2 à 10 bars = 31,4 kg, à mon avis il n'y a pas photo ?
Dés lors deux cylindres de ce type en flèche lèveront 62,8 kg, surtout sur une flèche en alu mode de construction Leimbach, qui même si de dimensions conséquentes, les miennes développées feront plus d'un mètre de long, avec un godet énorme de près de 2 litres, donc un porte à faux appréciable, sera capable d lever bien plus que la petite charge du godet, et cela à faible pression, la Jung me fournissant plus de débit.
Bien sur il me reste à le prouver, surtout avec des distris Leimbach à petits passages.
Re: Bull pousseur PR 764 de Liebherr
Bonjour à tous,
C'est bonne question que celle-ci
Après avoir réflechis, je pense m'orienter vers un chénillé. Il me semble, sans vouloir dénigrer, que le tractopelle est d'un niveau un peu supérieur sur le plan compacité des organes surtout hydrauliques et de ce fait de leur réalisation.
Maintenant, le choix du modéle s'effectuera en fonction de "design" de l'engin...
Effectivement, je travaille mes coques en bordés sur membrures qu'elles soient à bouchains ou non.
Delà à faire des modéles TP en bois... Pour les formes tortueuses de la partie cabine et autres capots pourquoi pas et éventuellement pour servir de support à un moulage en fibre (gain de place à l'intérieur...). Mais la partie basse avec le couple que tu as évoqué plus haut...
A très bientôt...
Christophe.
Ps: je suis un peu gêné de polluer ton sujet... n'y aurait-il pas un autre lieu pour la discussion ? A moins que tu n'y vois pas d'inconvénient?
C'est bonne question que celle-ci
Après avoir réflechis, je pense m'orienter vers un chénillé. Il me semble, sans vouloir dénigrer, que le tractopelle est d'un niveau un peu supérieur sur le plan compacité des organes surtout hydrauliques et de ce fait de leur réalisation.
Maintenant, le choix du modéle s'effectuera en fonction de "design" de l'engin...
Effectivement, je travaille mes coques en bordés sur membrures qu'elles soient à bouchains ou non.
Delà à faire des modéles TP en bois... Pour les formes tortueuses de la partie cabine et autres capots pourquoi pas et éventuellement pour servir de support à un moulage en fibre (gain de place à l'intérieur...). Mais la partie basse avec le couple que tu as évoqué plus haut...
A très bientôt...
Christophe.
Ps: je suis un peu gêné de polluer ton sujet... n'y aurait-il pas un autre lieu pour la discussion ? A moins que tu n'y vois pas d'inconvénient?
Christophe- Messages : 6
Date d'inscription : 31/10/2011
Age : 55
Localisation : Val de Marne
pollution
En fait, pourquoi n'ouvrirais tu pas un post sur l'engin de ton choix ?
Un forum et tous ses posts sont la pour en discuter, sur tous mes forums la discussion est libre, la pollution, hummmm, à part nocturne, je ne connais pas.
Attention à un chenillé: Les chenilles ? Pas cocasses à faire.
Un tractopelle ne doit s'envisager qu'en modèle libre, ainsi tu y met ce que tu veux, je passerais les photos que j'ai a dispo.
J'ai longtemps hésité à faire des engins chenillés à cause des chaines, je m’étais rabattus sur des chaines de chars, mais pas du tout habilité à ce type de travail
Une pelle sur pneus, est déjà plus compliquée qu'un tractopelle à cause de la giration de tourelle, ou un joint électrique doit s'y trouver et des joints hydrauliques.
Pour moi un tractopelle hormis la complexité de l'engin, est ce qu'il y a de mieux à réaliser, pas de tourelle, puisque la pelle se meut sur 180 °, pas de complexité de passages biscornus de flexibles, pas de joints tournants de quelques sortes qu'ils soient, si en plus comme le miens tu a deux directions opposées le truc vire quasiment sur place, 4 roues motrices et directionnelles.
Pour ce qui est de ses formes générales, il ne faut pas chercher dans le compliqué, un châssis rectangulaire avec des bajoues entre les roues, pour logeabilité d’équipement, 4 roues motrices directionnelles égales, pour ne pas avoir encore en plus le problème des rapports de réductions différends.
La conception se fait autours de la benne et flèche tout d’abord, puis de la pelle rétro, la carrosserie ne sera la que pour cacher l’équipement.
Si tu part de prime abord sur l’aspect carrosserie tu a tout faux, car nos équipements ne sont pas modélisé à l'échelle.
Il faut bien se dire qu'un engin tp est un assemblage disparates d'éléments, en matière de modélisme tu à le modèle réduit, la semi maquette et la maquette, moi je construit dans la semi maquette des modèles ne ressemblants pas à des avions ou des bateaux, mais se rapprochant de modèles existants, mettant l'accent sur la fonctionnalité.
En fait je fais ça parce que j'en construit une dizaine par an.
Regardes Manu 74 ? Un scraper au 1/10 sur un an ? Deux ans ? trois ans ? 10 ans ? Dans ces conditions, effectivement traite maquette.
Quand j’étais plus jeune mes bateaux je les traitaient maquette, aujourd'hui j'ai moins de temps devant moi, je pare au plus pressé, quitte à y revenir pour peaufiner.
Cela a été le cas pour mon élévateur télescopique conçus au tout électrique, remanié depuis en électro hydraulique.
Dans un sens c'est rageant de devoir recommencer un forum, tous mes modèles étaient dans l'ancien forum, mais mon tort c'est de ne pas en être devenu le patron, dans celui ci, je compte bien le rester le plus longtemps possible, je le reconstruirait, mais pas en un jour.
J'avoue que j'ai construits de très beaux modèles, pas habituels en modélisme, pièces uniques bien sur.
Tient un bon modèle de base: Le track Liebherr 634, un bon chargeur sur chenilles, aux formes taillées à coups de serpettes comparé au 636.
Mon engin actuellement est filoguidé après avoir été radiocommandé, mais levage fourche électrique, un système jamais vu, capable de relever ses 5 kg
Un forum et tous ses posts sont la pour en discuter, sur tous mes forums la discussion est libre, la pollution, hummmm, à part nocturne, je ne connais pas.
Attention à un chenillé: Les chenilles ? Pas cocasses à faire.
Un tractopelle ne doit s'envisager qu'en modèle libre, ainsi tu y met ce que tu veux, je passerais les photos que j'ai a dispo.
J'ai longtemps hésité à faire des engins chenillés à cause des chaines, je m’étais rabattus sur des chaines de chars, mais pas du tout habilité à ce type de travail
Une pelle sur pneus, est déjà plus compliquée qu'un tractopelle à cause de la giration de tourelle, ou un joint électrique doit s'y trouver et des joints hydrauliques.
Pour moi un tractopelle hormis la complexité de l'engin, est ce qu'il y a de mieux à réaliser, pas de tourelle, puisque la pelle se meut sur 180 °, pas de complexité de passages biscornus de flexibles, pas de joints tournants de quelques sortes qu'ils soient, si en plus comme le miens tu a deux directions opposées le truc vire quasiment sur place, 4 roues motrices et directionnelles.
Pour ce qui est de ses formes générales, il ne faut pas chercher dans le compliqué, un châssis rectangulaire avec des bajoues entre les roues, pour logeabilité d’équipement, 4 roues motrices directionnelles égales, pour ne pas avoir encore en plus le problème des rapports de réductions différends.
La conception se fait autours de la benne et flèche tout d’abord, puis de la pelle rétro, la carrosserie ne sera la que pour cacher l’équipement.
Si tu part de prime abord sur l’aspect carrosserie tu a tout faux, car nos équipements ne sont pas modélisé à l'échelle.
Il faut bien se dire qu'un engin tp est un assemblage disparates d'éléments, en matière de modélisme tu à le modèle réduit, la semi maquette et la maquette, moi je construit dans la semi maquette des modèles ne ressemblants pas à des avions ou des bateaux, mais se rapprochant de modèles existants, mettant l'accent sur la fonctionnalité.
En fait je fais ça parce que j'en construit une dizaine par an.
Regardes Manu 74 ? Un scraper au 1/10 sur un an ? Deux ans ? trois ans ? 10 ans ? Dans ces conditions, effectivement traite maquette.
Quand j’étais plus jeune mes bateaux je les traitaient maquette, aujourd'hui j'ai moins de temps devant moi, je pare au plus pressé, quitte à y revenir pour peaufiner.
Cela a été le cas pour mon élévateur télescopique conçus au tout électrique, remanié depuis en électro hydraulique.
Dans un sens c'est rageant de devoir recommencer un forum, tous mes modèles étaient dans l'ancien forum, mais mon tort c'est de ne pas en être devenu le patron, dans celui ci, je compte bien le rester le plus longtemps possible, je le reconstruirait, mais pas en un jour.
J'avoue que j'ai construits de très beaux modèles, pas habituels en modélisme, pièces uniques bien sur.
Tient un bon modèle de base: Le track Liebherr 634, un bon chargeur sur chenilles, aux formes taillées à coups de serpettes comparé au 636.
Mon engin actuellement est filoguidé après avoir été radiocommandé, mais levage fourche électrique, un système jamais vu, capable de relever ses 5 kg
Re: Bull pousseur PR 764 de Liebherr
Ce matin , j'ai finis de monter la deuxième chenille de l'engin, et j'ai changés mes vérins de lame, qui ne remontaient pas assez celle ci, surtout dans les à piquages de l'engin lors des descentes de buttes, la lame se plantais au sol, ainsi que dans les passages de marches, la lame butait l'obstacle.
A présent tout est modifié, puis je l'ai essayé dehors dans la caillasse, tu dieu quelle puissance ? j'ai pris des photos mais mon appareil est foutus, il flache les clichés en surexposition.
J'ai raclé tout le devant du parking, et accumulé la caillasse contre les bastaings.
De fait ces chenilles rajoutent 1500 gr au poids total, permettant une meilleure adhérence, les bavettes évitent des rentrées intempestives de caillasse entre maillons, les ajourages centraux éviteront le bourrage de terres par les dents des barbotins.
Enfin, l'engin ressemble à quelque chose de sérieux.
Bien sur ces chaines sont plutôt du type pelles, mais au prix des maillons fraisés on ne va pas faire les difficiles.
Cette paire est celle de pierre, je les gardes jusqu'après mon expo du week end prochain, puis je les lui expédient.
Il est comme un gosse qui attends son jouet de Noël, il va faire des jaloux parmi les gus des engins rc team, lol et mort de rire. Une telle paire irait bien sur le PR 764 de Castro, surtout que j'avais traité son engin maquette.
S'il en veut une paire il cracheras au bassinet.
A présent tout est modifié, puis je l'ai essayé dehors dans la caillasse, tu dieu quelle puissance ? j'ai pris des photos mais mon appareil est foutus, il flache les clichés en surexposition.
J'ai raclé tout le devant du parking, et accumulé la caillasse contre les bastaings.
De fait ces chenilles rajoutent 1500 gr au poids total, permettant une meilleure adhérence, les bavettes évitent des rentrées intempestives de caillasse entre maillons, les ajourages centraux éviteront le bourrage de terres par les dents des barbotins.
Enfin, l'engin ressemble à quelque chose de sérieux.
Bien sur ces chaines sont plutôt du type pelles, mais au prix des maillons fraisés on ne va pas faire les difficiles.
Cette paire est celle de pierre, je les gardes jusqu'après mon expo du week end prochain, puis je les lui expédient.
Il est comme un gosse qui attends son jouet de Noël, il va faire des jaloux parmi les gus des engins rc team, lol et mort de rire. Une telle paire irait bien sur le PR 764 de Castro, surtout que j'avais traité son engin maquette.
S'il en veut une paire il cracheras au bassinet.
Re: Bull pousseur PR 764 de Liebherr
J'ai commandé chez hobbyking, une chouette batterie lipo de 8400 mah pour cet engin, avec un encombrement deux fois moindre que la batterie plomb montée dessus, car j'envisage une petite refonte, gain de place, poids moindre, pour placer deux autres distris leimbach, et remettre mes vérins de réglage lame et de ripper.
Cette batterie fait 147 mm de long, 50 de large et 54 de haut. poids 770 gr
la batterie plomb fait 150 de long, 100 de haut, 50 de large.poids 1250 gr, soit un gain de poids de 480 gr.
Déjà une meilleure disposition de la batterie, ménageant un long couloir latéral, pour mieux agencer mes appareillages, entres autres mes deux varios inverseurs brushless, libérant la place pour le distri 4 voies.
Et une autonomie supérieure, 1400 mah n'est pas négligeable sur une journée.
En construisant les deux PR, je les avait faits identiques, pour le miens, un seul distributeur perso deux voies marchait bien, avec une légère fuite interne, préjudiciable pour le ripper assez lourd, 2,5 kg, non gênant pour la lame 250 gr, mais j'avais supprimés les réglages, alors que ma radio est prévue pour ces accessoires.
Le mieux est que je commande un distri 4 voies neuf, tout en récupérant le miens, qui pourrait être employé pour mon pull scraper tiré, en transformant celui ci à l'usage vérins de relevage soc, et vidage de benne.
En tout, ça fait 10 voies de commandes, 7 voies pour le bull, deux voies pour le scraper, il me reste donc une voie libre, pourquoi ne pas m'en servir en tant que commutatrice de voies ?
Ma radio est une Navy d'origine, avec deux manches doubles à gauche commandant les chenilles, deux curseurs centraux hydrauliques, le manche de droite est dévolu à lame et au ripper.
La commutatrice est la voie 8, la 7 étant celle de la pompe.
Ma commutatrice, peut donc me commuter, soit mon manche de droite, soit mes deux curseurs centraux.
Ce qui revient à dire, que je commute deux servos du bloc hydro principal, lame et ripper, au profit du distri secondaire scraper.
Mes deux curseurs centraux, normalement sont destinés aux réglages lame et ripper, on ne touche donc pas à ces commandes, mais il est plus facile de commuter la lame avec le relevage benne, et le ripper au vidage benne scraper.
En effet, en scraping, on utilise pas la lame, ni le ripper.
Je puis également adopter une disposition différente sur l’émetteur:
Aux manches navy, chenilles inchangées.
Au manche de droite, lame et réglage de lame.
Aux curseurs centraux, ripper et réglage ripper.
Parce qu'en fait en scraping, il est plus facile de se servir du ripper transformé en croc de remorque abaissable, ainsi que son réglage utilisé en tant qu'avance ou recul du scraper, tandis que la lame et son réglage sont coupés au profit du scraper qui reprennent les voies du manche de droite.
La commutation à pour but essentiel, de conserver les manches de commandes deux voies, bien plus pratiques que des voies sur curseurs.
En version pousseur, les réglages de lame sont essentiels ainsi que son réglage d’assiette.
En démonstration on peut envisager une utilisation mixte, bull/scraper:
On pousse la terre, en faisant des monticules plats, que l'on récupère au scraper, cela interdit bien sur les marches arrières, bien que celles ci ne doivent pas poser de gros problèmes vue la lenteur de l’attelage, et puis un tel convois est rarissime en exposition.
Cette batterie fait 147 mm de long, 50 de large et 54 de haut. poids 770 gr
la batterie plomb fait 150 de long, 100 de haut, 50 de large.poids 1250 gr, soit un gain de poids de 480 gr.
Déjà une meilleure disposition de la batterie, ménageant un long couloir latéral, pour mieux agencer mes appareillages, entres autres mes deux varios inverseurs brushless, libérant la place pour le distri 4 voies.
Et une autonomie supérieure, 1400 mah n'est pas négligeable sur une journée.
En construisant les deux PR, je les avait faits identiques, pour le miens, un seul distributeur perso deux voies marchait bien, avec une légère fuite interne, préjudiciable pour le ripper assez lourd, 2,5 kg, non gênant pour la lame 250 gr, mais j'avais supprimés les réglages, alors que ma radio est prévue pour ces accessoires.
Le mieux est que je commande un distri 4 voies neuf, tout en récupérant le miens, qui pourrait être employé pour mon pull scraper tiré, en transformant celui ci à l'usage vérins de relevage soc, et vidage de benne.
En tout, ça fait 10 voies de commandes, 7 voies pour le bull, deux voies pour le scraper, il me reste donc une voie libre, pourquoi ne pas m'en servir en tant que commutatrice de voies ?
Ma radio est une Navy d'origine, avec deux manches doubles à gauche commandant les chenilles, deux curseurs centraux hydrauliques, le manche de droite est dévolu à lame et au ripper.
La commutatrice est la voie 8, la 7 étant celle de la pompe.
Ma commutatrice, peut donc me commuter, soit mon manche de droite, soit mes deux curseurs centraux.
Ce qui revient à dire, que je commute deux servos du bloc hydro principal, lame et ripper, au profit du distri secondaire scraper.
Mes deux curseurs centraux, normalement sont destinés aux réglages lame et ripper, on ne touche donc pas à ces commandes, mais il est plus facile de commuter la lame avec le relevage benne, et le ripper au vidage benne scraper.
En effet, en scraping, on utilise pas la lame, ni le ripper.
Je puis également adopter une disposition différente sur l’émetteur:
Aux manches navy, chenilles inchangées.
Au manche de droite, lame et réglage de lame.
Aux curseurs centraux, ripper et réglage ripper.
Parce qu'en fait en scraping, il est plus facile de se servir du ripper transformé en croc de remorque abaissable, ainsi que son réglage utilisé en tant qu'avance ou recul du scraper, tandis que la lame et son réglage sont coupés au profit du scraper qui reprennent les voies du manche de droite.
La commutation à pour but essentiel, de conserver les manches de commandes deux voies, bien plus pratiques que des voies sur curseurs.
En version pousseur, les réglages de lame sont essentiels ainsi que son réglage d’assiette.
En démonstration on peut envisager une utilisation mixte, bull/scraper:
On pousse la terre, en faisant des monticules plats, que l'on récupère au scraper, cela interdit bien sur les marches arrières, bien que celles ci ne doivent pas poser de gros problèmes vue la lenteur de l’attelage, et puis un tel convois est rarissime en exposition.
Re: Bull pousseur PR 764 de Liebherr
William m'a apporté des barres de tuiles fraisées de quoi terminer le PR 764, et de quoi commencer la série des chaines des pelles liebherr plus larges, 54 contre 50 pour celles ci.
Je lui ai passée une barre de plat de 20x6 acier étiré pour faire des maillons, de quoi en faire 220, pour équiper les deux pelles Liebherr en chaines tout acier.
Je lui ai passée une barre de plat de 20x6 acier étiré pour faire des maillons, de quoi en faire 220, pour équiper les deux pelles Liebherr en chaines tout acier.
Re: Bull pousseur PR 764 de Liebherr
Ma paire est complètement montée, puis passée en peinture.
J'ai donc repris l'engin ce matin, pour lui monter ses chaines, mais avant vérifications de certaines choses ?
Du coup démontage de tout le fourbis, d'une part pour changer l'accus plomb 7 amp au profit d'un lipo 8400, plus petit.
Bien m'en a pris, car les deux moteurs brushless foutaient le camp.
Ce soir l'engin est désossé, il va subir une refonte complète, meilleure fixation du moteur gauche, dont la fixation est peu pratique pour la maintenance, meilleure disposition de la pompe et des trois régulateurs, révision complète de tout le circuit hydro de seconde génération.
Faire de mon engin, un ensemble cohérent sans le fourbis qui y régnait à forces des modifications.
J'ai donc repris l'engin ce matin, pour lui monter ses chaines, mais avant vérifications de certaines choses ?
Du coup démontage de tout le fourbis, d'une part pour changer l'accus plomb 7 amp au profit d'un lipo 8400, plus petit.
Bien m'en a pris, car les deux moteurs brushless foutaient le camp.
Ce soir l'engin est désossé, il va subir une refonte complète, meilleure fixation du moteur gauche, dont la fixation est peu pratique pour la maintenance, meilleure disposition de la pompe et des trois régulateurs, révision complète de tout le circuit hydro de seconde génération.
Faire de mon engin, un ensemble cohérent sans le fourbis qui y régnait à forces des modifications.
Re: Bull pousseur PR 764 de Liebherr
Dans l'après midi j'ai donc continué et remis à quasi neuf mon engin, en fin de soirée essais généraux.
Sur qu'avec 2 volts de moins l'engin ira moins vite, en effet l'accus lipo fe accuse 9,6 v sa tension nominale.
Tout va très bien madame la marquise, quelques réglages et inversions de voies, à peaufiner.
Du coup le gain de place a été profitable aux trois varios brushless qui ont trouvés place à coté de l'accus, alors qu'avant ils étaient perchés sur le bloc moteur.
J'ai revus en mieux le montage des durits sur mon bloc hydro perso en lui montant des raccords rapides.
Par la suite je ferais de même à toute ma tuyauterie et mes Y de raccordements.
Plus que les chaines à remonter, avec peintures elles ont de la gueule.
Sur qu'avec 2 volts de moins l'engin ira moins vite, en effet l'accus lipo fe accuse 9,6 v sa tension nominale.
Tout va très bien madame la marquise, quelques réglages et inversions de voies, à peaufiner.
Du coup le gain de place a été profitable aux trois varios brushless qui ont trouvés place à coté de l'accus, alors qu'avant ils étaient perchés sur le bloc moteur.
J'ai revus en mieux le montage des durits sur mon bloc hydro perso en lui montant des raccords rapides.
Par la suite je ferais de même à toute ma tuyauterie et mes Y de raccordements.
Plus que les chaines à remonter, avec peintures elles ont de la gueule.
Re: Bull pousseur PR 764 de Liebherr
Ce soir le bull à retrouvées ses pantoufles, puis un petit essais à la lueur des phares au dehors.
Le buzzer de recul avait également cramé, il a été remplacé par un tout neuf, cette fois il fonctionne sous deux positions: petit ralentis silence, grande vitesse buzzer cela dans les deux sens, ce qui à mon avis est pratique, et évite de casser les oreilles car le son est puissant.
Le temps de charger l'accus, le capotage sera remonté, les bricoles d'inversion ont été revues également.
OUF un engin à nouveau opérationnel.
Le buzzer de recul avait également cramé, il a été remplacé par un tout neuf, cette fois il fonctionne sous deux positions: petit ralentis silence, grande vitesse buzzer cela dans les deux sens, ce qui à mon avis est pratique, et évite de casser les oreilles car le son est puissant.
Le temps de charger l'accus, le capotage sera remonté, les bricoles d'inversion ont été revues également.
OUF un engin à nouveau opérationnel.
Re: Bull pousseur PR 764 de Liebherr
Munis de ma radio, je suis passés aux essais dynamiques, mon soit disant défaut de réducteur était en fait une vis de desserrée sur le pignon final.
Tout va bien , engin de nouveau opérationnel, il pousse lourd et fort.
Tout va bien , engin de nouveau opérationnel, il pousse lourd et fort.
Re: Bull pousseur PR 764 de Liebherr
As-tu pour idée à combien peut-il pousser ton joli bull ?
Teamtoyota19- Messages : 854
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Re: Bull pousseur PR 764 de Liebherr
Ca commence à faire !!
Teamtoyota19- Messages : 854
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Re: Bull pousseur PR 764 de Liebherr
Oh c'est une force approximative, faite aux essais.
En fait c'est suivant la consistance du sol, n'oublie pas que mes chaines sont faites pour une pelle avec crampons plats.
Ce qui m'importe c'est que l'engin fonctionne bien, j'ai un buzzer de recul qui se déclanche dans les deux sens suivant la vitesse, des phares avant et arrières réversibles.
Avec le type de batterie que j'utilise, je n'ai que 10 v, ça se sent au point de vue vitesse de pointe, 9,9 v 8500 mah lipo hybride, mais j'ai au moins une longue autonomie.
Celui de Christopher dans les engins rc team, en blanc EIFFAGE, c'est moi qui le lui ai construit, mode de propulsion différends.
En fait c'est suivant la consistance du sol, n'oublie pas que mes chaines sont faites pour une pelle avec crampons plats.
Ce qui m'importe c'est que l'engin fonctionne bien, j'ai un buzzer de recul qui se déclanche dans les deux sens suivant la vitesse, des phares avant et arrières réversibles.
Avec le type de batterie que j'utilise, je n'ai que 10 v, ça se sent au point de vue vitesse de pointe, 9,9 v 8500 mah lipo hybride, mais j'ai au moins une longue autonomie.
Celui de Christopher dans les engins rc team, en blanc EIFFAGE, c'est moi qui le lui ai construit, mode de propulsion différends.
Re: Bull pousseur PR 764 de Liebherr
C'est un très bel engin tout de même !
J'ai un bull Cat qui dort au fond d'une pièce qui sait un jour !Je pense qu'il doit y avoir moins de choses à modifier que sur la pelle pour lu donner vie ?
J'ai un bull Cat qui dort au fond d'une pièce qui sait un jour !Je pense qu'il doit y avoir moins de choses à modifier que sur la pelle pour lu donner vie ?
Teamtoyota19- Messages : 854
Date d'inscription : 08/02/2012
Age : 35
Localisation : Corrèze
Re: Bull pousseur PR 764 de Liebherr
C'est le DN 11 de Cat Bruder ? à chenilles caoutchouc ?
Je l'avais modifié, il est basique, l'un des premiers de bruder, mono bloc creux par en dessous, l'idéal serait de lui changer ses chaines par celles d'une pelle bruder ?.
Si c'est le DN 5, lui aussi avait été modifié, avec les moyens du bord de l'époque, maintenant il y a bien mieux.
En fait de tous les modèles bruder, ils pèchent par leur manque de poids adhérants, quand on les modifient il faut faire son possible pour les alourdirs.
La niveleuse est chouette à modifier, double traction arrière à différentiel, chaque coté étant oscillant et moteurs.
Lame avant et brabant milieu abaissable, il y aurait bien moyens d'y monter de l'hydro, quoi que les pompes leimbach soient assez volumineuses, elles pourraient être remplacées par des pompes de chez Conrad mais avec distri leimbach, quitte à placer le réservoir d'huile dérrière la cabine en le construisant en boite de conserve étamée.
Trois voies serait possibles: lame avant et ripper arrière couplés hydro, l'un baisse l'autre relève, quoi que 4 voies pourraient rentrer dans le capot moteur.
Accus lipo bien entendu, léger et compact.
Abaissement brabant central et orientation, quoi que l'orientation est moins importante que le degré d'inclinaison.
Le ripper étant démontable comme d'ailleurs la lame avant, consacrer le groupe hydro aux fonctions du brabant central.
La plus belle fille du monde, ne peut donner que ce qu'elle à ?.
Maintenant il faut aussi te poser la question suivante : ?
Serait tu capable de faire comme moi, de l'autoconstruction ?
Nos modèles sont plus construits avec de la jugeote que d'une technicité véritable.
Moi je construit au filling.
On peut tout modifier, c'est sur, mais des fois on est pris par l’exiguïté des lieux, et par les modes de fonctionnement utilisés, regarde moi avec la pelle Schaeff ?
Je sais que refaire entièrement un modèle , c'est pas donné à tous le monde.
Première chose à faire, t’équiper d'un petit tour, c'est indispensable, note qu'on fait de la mécanique de précision , la fraiseuse viendras plus tard.
Déjà avec un tour, on se sort d'une sérieuse impasse.. Après, ce sont des heures de tournages qui apprennent le métier sur le tas.
Je l'avais modifié, il est basique, l'un des premiers de bruder, mono bloc creux par en dessous, l'idéal serait de lui changer ses chaines par celles d'une pelle bruder ?.
Si c'est le DN 5, lui aussi avait été modifié, avec les moyens du bord de l'époque, maintenant il y a bien mieux.
En fait de tous les modèles bruder, ils pèchent par leur manque de poids adhérants, quand on les modifient il faut faire son possible pour les alourdirs.
La niveleuse est chouette à modifier, double traction arrière à différentiel, chaque coté étant oscillant et moteurs.
Lame avant et brabant milieu abaissable, il y aurait bien moyens d'y monter de l'hydro, quoi que les pompes leimbach soient assez volumineuses, elles pourraient être remplacées par des pompes de chez Conrad mais avec distri leimbach, quitte à placer le réservoir d'huile dérrière la cabine en le construisant en boite de conserve étamée.
Trois voies serait possibles: lame avant et ripper arrière couplés hydro, l'un baisse l'autre relève, quoi que 4 voies pourraient rentrer dans le capot moteur.
Accus lipo bien entendu, léger et compact.
Abaissement brabant central et orientation, quoi que l'orientation est moins importante que le degré d'inclinaison.
Le ripper étant démontable comme d'ailleurs la lame avant, consacrer le groupe hydro aux fonctions du brabant central.
La plus belle fille du monde, ne peut donner que ce qu'elle à ?.
Maintenant il faut aussi te poser la question suivante : ?
Serait tu capable de faire comme moi, de l'autoconstruction ?
Nos modèles sont plus construits avec de la jugeote que d'une technicité véritable.
Moi je construit au filling.
On peut tout modifier, c'est sur, mais des fois on est pris par l’exiguïté des lieux, et par les modes de fonctionnement utilisés, regarde moi avec la pelle Schaeff ?
Je sais que refaire entièrement un modèle , c'est pas donné à tous le monde.
Première chose à faire, t’équiper d'un petit tour, c'est indispensable, note qu'on fait de la mécanique de précision , la fraiseuse viendras plus tard.
Déjà avec un tour, on se sort d'une sérieuse impasse.. Après, ce sont des heures de tournages qui apprennent le métier sur le tas.
Re: Bull pousseur PR 764 de Liebherr
Alors pour le Bull c'est le DN 11 mais comme tu dis ça reste du basique, depuis les modèles ont bien évolué.
Combien coûte un petit tour ? Est-ce complexe à utiliser ? Car moi qui fais parfois de l'invention pour le 4x4, ça pourrai m'être tout aussi utile vois-tu.
De l'auto-construction pourquoi pas d'ailleurs on en parlé avec Patrice de faire vraiment un gros joujou à grande échelle.
Combien coûte un petit tour ? Est-ce complexe à utiliser ? Car moi qui fais parfois de l'invention pour le 4x4, ça pourrai m'être tout aussi utile vois-tu.
De l'auto-construction pourquoi pas d'ailleurs on en parlé avec Patrice de faire vraiment un gros joujou à grande échelle.
Teamtoyota19- Messages : 854
Date d'inscription : 08/02/2012
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