Bull pousseur PR 764 de Liebherr

Pour mes freinages de direction, c'est pas ça du tout, ça ne freine rien, soit je modifie avec les vis Chinoises, soit j'achète en hydraulique miniature.

Une première solution économique serait les freins a tambours et à bandes, un serrage par épaulière à tirer.

Refaire des poulies a gorges plates se greffant sur les disques par vis, et dans les gorges du fin feuillard d'acier en fait le tour avec collé intérieur une bande de cuir, le freinage serait à mon avis plus efficace ?

Pour le bouton de démarrage ça se précise. L'important en faits c'est ce bouton de démarrage la direction c'est secondaire, au moins pour les essais de marche au moteur.

Petite suggestion de candide, et coller de la toile émeri sur tes plaquettes? (avec un grain pas gros)

Bonjour Mike, en faits c'est le système qui dans le cas de ce bull, n'est pas bon.

Ca serait un modèle léger ça marcherais, mais la, le modèle pèse 12 kg, le moteur va imprimer du couple, que les freins ne pourront contrer.

Sur le pousseur mon premier système a crabots marchait très bien, parce que disque de grand diamètre, véritables ferrodo, et appuie net et précis de ceux ci contre les contre plaques, mais la, j'avais de la place pour développer le mécanisme.

Sur ce bull la place est plus que comptée.

Il faut vraiment un véritable serrage des plaquettes du genre pince ou étau pour les bloquer.

Le disque fait 1 mm l'entre plaques ou fers fait 1,5 maximum, donc 0,5 de jeux au total, je n'aie pas la place de coller de la toile émeri même fine.

Ici je n'aie qu'un levier par frein, mais peut etre que si j'avais monté une sortes de pince a manches longs, les serrages auraient été meilleurs ? c'est ce que font les vraies mâchoires de freins a disques, qu'ils soient mécaniques ou hydrauliques.

C'est bête car il y a 10 jours sur ALI express j'avais trouvées des mâchoires de freins hydro pour modèles de voiture, l'ensemble 40 € j'aurais du acheter plutôt que de continuer sur mon système foireux.

Les disques par eux même sont bons vraiment clavetés par des mi plats de chaque coté et semi flottants, mais c'est les serrages qui ne sont pas bons.

Les remèdes sont donc du coté serrages des disques.

Il me faut trouver des toutes petites mâchoires, pour disques de 3 cm de diamètre, en alu fraisés, avec faible entre fers, pas forcément hydro, tels l'action par vis chinoise comme mes vérins, qui appuient a l fois des deux cotés, ce qui implique des mâchoires de freins flottantes.

Les actions sont simples, ce sont les principes qui sont compliqués à mettre en œuvre. Merci quand même pour ta suggestion.

En attendant de trouver des mâchoires, je vais m'en faire une paire en alu fraisées, pour ce faire j'ai démonté mon bloc de transmission, fixés définitivement le petit massif porte pignon moteurs par deux vis de 3 le traversant, et viré tout ce que j'avais fait en freinage.

A la cave j'araserais tout ce qui géne pour la mise en place des deux machoires.

Alors le principe adopté sur le pousseur est bon, deux bloc d'alu fraisés avec un jeu minimum, (minimum en fonction de ce que j'aie comme fraise mini.

Ayant crée un entre fer, mise en place d'un noyau de vis chinoise à large goujure, pour profiter des filets.

Percage d'un trou vertical pour rendre ces deux blocs oscillants dans le sens vertical, de façons qu'au serrage la machoire se centre sur le disque, et s'appuie sur celui ci des deux cotés.

Sur l'écrou laiton un bout de tige filetée avec un levier long (récupération des anciens leviers en laiton), certainement sur empreinte carrée en bout de tige filetée pour réglages.

De ce fait un entre fer de ce que j'aurais fraisé, la tige en longueur au prorata du disque d'une part, et de la largeur entre fers freins sérrés.

A ce moment la, traçage en report sur le bloc des trous taraudés en M 5 d'oscillation.

De faits montages des deux blocs en place sur les disques et positionnement des deux leviers en regard du servo en place, reliés par tringles à glissements.

Sur le disque du servo, deux dominos oscillants percés radialement d'un trou de 1 traversant, des leviers en position de biais des tringles fines passants dans les dominos, et retenus par mini colliers de serrage et réglage.

Les serrages seront bien plus importants qu'un simple levier d'appuie, ces tiges filetées ont un grand pas, sur 1 tour, avance de 8 mm, c'est dire qu'une faible oscillation bloque les disque avec très peu d'efforts.

J'y avait bien pensé a ces systèmes, mais c'est la fainéantise de descendre a la cave qui m'en a empêchée, en bas je me les gèles et il me faut m'habiller.

Je suis acculé au pied du mur, faut que je m'exécute.

Faciles a comprendre une fois en place, mais plus difficiles a comprendre avant fabrications.

Y A QU'A FAUT QU'ON ?

En fin d'après midi descente a la cave pour rectification du bloc propulsion que j'ai fraisé de biais sur toute sa longueur, ceci pour implanter les deux mâchoires oscillantes que j'aie ébauchées.

Deux bouts de plats alu de 10x15x35 de longs mis en fourchette d'un bout à 3 mm d'écartement, le fameux entre fers.

Puis d'un coté, disons a gauche dans le sens de la marche, un trou de 9 taraudé a 10x100 en vue d'y visser une douille filetée au pas chinois, chaque bout de douilles faisant 4 mm de long ou tout du moins le maximum, dépassant extérieur pour guider la tige filetée.

Une fois en place vissées collées cyano, traçage de chacun de leurs emplacement, bloc vissé  à sa place.

Le biais sur la longueur permet aux mâchoires de se centrer sur l'axe des barbotins.

35 de long pour avoir une oscillation minimum, en faits un léger déplacement latéral lors du serrage, en vue d'avoir appuis sur une demi mâchoire et sur la vis directement.

Je rappelle que la vitesse de rotation de l'arbre barbotins est très faible, le blocage devra etre lui très rapide.

En faits tout dépendra du réglage d'entre fers, légers frottement du disque contre le plat de mâchoire d'un coté et sur le bout de vis de l'autre coté. 

Et puis il y a eue tellement de visites et de tintouin a la maison que l'essai de marche n'a pus se faire, ce n'est que partie remise.

Reprise ce matin sur les mâchoires oscillantes.

Mise en place provisoire du bloc pignon, puis travaux sur les deux machoires, il s'agit de visser en place deux écrous chinois.

Je posséde depuis des années de tarauds et filières en métrique fin, et pour les écrous chinois j'en ai tourné un a 10, pour lui faire des filets a 10x100.

Mais coté tarauds leur pénétrations dans les mâchoires ne se font qu'en ébauche du taraud vue que leur refuite n'est que de 3 mm. 

Qu'importes, il s'agit de visser en place ces deux douilles au maximum dans les 3 mm d'épaisseur d'une demi mâchoire.

Pour ce faire ébaucher dans l'autre mors d'un cul de poule, pour permettre au taraud de descendre plus bas d'un mm, et en forçant sur le diamètre de la filière grace a l'écrou de compression, passer en dessous du diamètre nominal sur les deux douilles.

Mise en place de ces douilles au maximum serrées, collée cyano fluide pour l'une d'elles.

Bref après moults manipulation sur tour et perceuse, les douilles sont en place.

Maintenant percer le trou d'oscillation a 5, 5 parce que la tige de laiton de 5 sera plus rigide que du 4, sachant que chaque mâchoire subira les efforts de blocage en marche avant (en appuie sur le bloc) et en marche arrière (uniquement en appuie sur la tige de 5 en arrachement).

Puis grace aux méplats prolongés sur les douilles serrés sur les demi arbres, pouvoir déplacer les disques vers l'intérieur engin, afin de gagner de la place a gauche pour la vis et son levier de manoeuvre d'une part, et d'autres parts rapprocher ces leviers du centre pour etre actionnés par le disque a dominos du servo.

Une histoire d'ajustages précis de chacune des mâchoires et des vis a leviers qui commandent le serrage.

Ce sont ces vis chinoises qui composent mes vérins électro mécaniques.

Elles comportent 6 filet autours du diamètre, pour un tour de vis, le déplacement d'acrou est de 8 mm, donc 4 mm au demi tour, et 2 mm au 1/quart de tour.

Le jeu de mâchoire est de 3 mm, chaque disque fait 1 mm, reste alors 2 mm de jeux à serrer. Soit un quart de tour au levier, il faut donc impérativement mettre les mâchoires en place sur les disque en serrages légers, pour voir comment positionner les leviers en angles prêts a serrer les freins.

S'il le faut je remplacerais le disque servo par un palonnier a longues branches, pour avoir plus de courses de serrages.

A ce niveau ça se jouera au 1/10 de mm. De faits mes essais de roulages pourront se faire aussi en directions avant arrière.

En faits la position du servo ne va plus comme prévus, pour bien faire il en faudrait deux, de l'autre coté, à droite et à gauche de la boite d'inversion, couplés en patte Y, à chacun un levier de frein.

Le frein de gauche est en place, le serrage est repéré, reste a braser le levier sur la vis.

Je commence a faire pareils pour le droit.

Les axes oscillants sont en faits des tiges filetées de 5, serrage sur écrou nylstop, parce qu'en faits, une fois positionnés, les mâchoires n'ont plus a osciller, centrant leur disque de frein, alors serrage de l'écrou qui sera conforté par une vis de 3 plus près des disques. Les bloquants définitivement en place.

Voila, je m'y suis beaucoup embêté, mais j'y suis arrivé, peut etre des essais demain, au moins de marches et de directions.

Pas d'essais, parce qu'en faits il fallait monter un berceau pour la lipo, un autre pour le récepteur et varios, enfin un troisième pour l'accu radio 4,8 v ni mih, et l'inter radio au cul du modèle.
De faits une installation propre et compacte.

Mais j'ai encore du boulot avant de faire des photos

Alors, mon bull, est une usine électrique : deux inters, l'un pour la radio, en 4,8 v 2500 milli, l'autre pour les feux et les varios de lame sur la lipo 7,4 v en dérivation sur le balancer en repiquant les fils pour 7,4 v.

Les feux sont sous commandes d'un servo à switchs, pour marche avant et arrière.

En marche avant les deux feux de cabine et les deux phares d'avant s'allument.

En marche arrière il s'éteignent au profit des 4 arrière sur le haut de cabine.

Il y avait bien un buzzer de recul, mais maintenant avec le bruit du moteur ?????????????????????????

A la mise en route branchement puissance du démarreur et du chauffe bougie,

Je veux faire du remorquage ? Je ne branche pas ma lame et mes feux (qui sont découplables par fiches JR.

Je veux faire du poussage je met en route la radio et les périphériques.

Les commandes sont sous contrôles de la radio lite.

Les gaz a gauche seul sur manche, la direction à droite, avec le relevage de lame.

Le réglage de lame se fait sur inter 3 positions.

De même que le sens de marche et point mort sur inter 3 positions.

Pareils pour les feux, sur inter 3 positions.

Le gyrophare sera sur l'inter momentané.

Du coup je place un récepteur X8R.

Je doit revoir mon ami Stéphane pour finir les réglages du tractopelle, j'amènerais aussi le bull pour peaufiner les commandes.

A ce stade d'avancements, il faut que je range tout l'équipement la ou je l'ai prévus, en liants les fils avec des gaines spirales.

De façons a pouvoir remettre le carénage, et voir si rien ne gène, d'une part pour sa remise en place, pour le démarrage du moteur de façons aisée, et remettre le capot moteur après avoir enfilée la durit d'échappement, dans le pot fixé sur le capot, en espérant qu'elle ne retombe pas dans l'engin, car rien n'est prévus pour son maintient.(j'apprend).

En faits pour elle, vu qu'il me faut remettre le petit capot moteur, forcément la durit sera plus longue, il faut un peu de mou, quitte a ce qu'elle dépasse au sommet du pot.

Pour les essais sur le balcon, j'attendrait qu'il fasse un redoux, car ça caille dehors. 

En attendant je reprendrait sur la Jeep acier et ses lumières.

Et puis ranger l'établis, car ces mécaniques ça fout un bordel pas possible.

Aller, 1 er éssais de roulage sur courte distance dans l'atelier, sur l'établis parmis le bordel :

Ca roule, ça avance, preuve que mon travail n'à pas été vain.

Et encore j'ai fait mon essais a mi gaz, il avance, le taux de réduction ENORME donne un couple non moins ENORME.

Pour faire de vrais essais il faut qu'il fasse beau et à l'air libre, que je ne prennent pas les gaz d'échappement dans le nez.

Donc démarrage sur point mort, sans toucher au réglage carbu, avec soquet extérieur sur ma bidouille, le moteur part sur aspiration du venturi.

Embrayage par radio sur marche avant, hop ca roule et ça pousse les outils, et ça pue les huiles et méthanol brulé, arrêt rapide avant de tomber en syncope.

Pour faire de vrais essais cette fois sur Taranis, il me faut monter mon servo lumières sur un berceau au dessus de l'accouplement, mais le refaire avec des ultra micros switchs, pour ne pas prendre de places inutiles.

Bon , super content que ça marche.

enfin une bonne nouvelle,ça fait plaisir.
content pour toi mon jp,tout ce travail aura fini par payer.
j'ai hate de le voir en situation

Merci Greg, pour l'heure, ce sont les froidures, avec du verglas chez toi.

D'ailleurs j'avais un doute que jamais ça roule tellement c'est lourd, tu penses 12 kg de ferrailles, m'enfin comme disait Gaston, on verra bien la suite, moi aussi j'ai hâte de faire des essais en situation.

c'est clair que avec ce froid c'est difficile de mettre le nez dehors.
moi je suis de 5h du matin a 18h dehors ou en pleins courants d'air et c'est vrai que le soir en rentrant en ce moment c'est pantoufles devant la cheminée au lieu de retourner dans le froid de l'atelier.
c'est decidé,ma prochaine aquisition comportera un atelier chauffé

tiens juste par curiosité Jean-Paul,quelles sont les dimensions de ton bull histoire de comparer ?

Longueur 530 largeur 270, hauteur 330, c'est hors tout.

Tu n'à pas de chauffage dans ton atelier ? Un radian au pétrole c'est super.

De se geler les glinches c'est pas des économies a faire, on travaille mal.

Toi qui bosse dans le bois, isole ton atelier avec un doublage intérieur en frisettes laine de verre, une fois isolé, au moins le coin machines, un tout petit estanco, tu met un chauffage sans oublier l'extincteur.

Tous mes ateliers avant mon divorce étaient dans l'appartement.

Après divorce, en dehors mais toujours chauffés.

Impossible de maintenir 21 °, mais au moins 10:12 ° et sans courants d'air.

Un atelier chauffé c'est 70 % d'économies santé, et tu avance dans ton travail.

ha oui quand meme,je ne me rendais pas bien compte mais c'est un sacré bestiaux.faut dire aussi que c'est un engin de prés de 50T en réel.

pour ce qui est du chauffage et de l'isolation,c'est sur que pour travailler dans de bonnes conditions c'est un incontournable.
pour ma part,je sais que je ne vais plus rester longtemps ici,donc je ne me lance plus dans de gros travaux.nous commençons a regarder pour acheter plus grand car la maison est au maximum de ses capacités et avec l'arrivée du bébé en début d'année on s'aperçoit que l'on est a l'étroit.
j'aimerais une maison avec dépendances style corps de ferme a retaper ou alors une maison avec sous-sol.enfin avec un coin dédié a mes bricolages car a l'heure actuelle j'occupe la totalité du garage et j'ai du faire un carport pour les voitures.
pour ce qui est du chauffage,le pétrole me donne des maux de tete terrible et le gaz produit de la condensation.
ça me rappelle quand j'ai acheté la maison en 2013 l'hiver ou il avait fait très froid et beaucoup neigé.je vivais dans une petite pièce sans chauffage ni eau dans la maison,je chauffais de l'eau en bouteilles pour me laver et j'essayais tant bien que mal de chauffer avec un "roll gaz".
la nuit par -3° (il ne restait presque plus que les 4 murs de la maison) emmitoufflé dans deux sacs de couchages j'étais réveillé par les gouttes de condensation qui tombaient du plafond recouvert de dalles polystirene
sinon j'aimerais assez me trouver un bon petit poele a bois qui me servirait a me chauffer mais aussi a éliminer les chutes de bois.
un moyen économique pour moi qui n'achèterais pas de bois

Le danger de tous les chauffages d'appoint c'est le dioxyde de carbone qui te donnaient ces maux de tète, il faut donc aérer.
Mais un vrais atelier devrait faire partie du logis, pour pouvoir etre bien chauffé à la même température que lui, c'est ce qu'à décidé Bamo pour sa maison.

Un garage c'est jamais chauffé (dommages) et mal isolé.

Notre garage est aéré, pas chauffé mais sous l'immeuble donc isolé des grands froids, et les modèles et la bagnole ne souffrent pas.

Ta mansarde me rappelle la piaule de mon ex quand je l'aie connue elle se chauffait au pétrole, l'eau coulait contre les murs et son lit était mouillé, elle payait ça une fortune, un taudis presque.

Je l'aie mariée et 30 ans après elle me laissait tomber comme un vieux slip.

Oui le PR 764 est un gros bull, c'est le pendant du DN 10, des pousseurs pour terre et scrapers.

Autant en électrique les barbotins posaient au sol, que la, ils sont en l'air (une BONNE erreur de ma part), ils s'engorgeront moins de terre. En faits c'est du terreau mélangé a de la sépiolite la litière a chats blanche, tout aussi merdique que de la terre grasse.

C'est pas de bol quand mème, il faisait beau, donc éssais sur le balcon en marche avant et arrière, et du coup je tente une vidéo, mais comme toujours, pas possible d'etre a la caméra et à l'engin, donc vidéo loupée, la caméra ne s'est même pas mise en marche.

Du coté des marches, avant ça roule ou rampe, et comme prévus en arrière ça va un tantinet plus vite.

Mais les vitesses ne passent pas du tout, les 2 crabots restent coincés sur le sens acquit.

Le sol du balcon est béton lisse, donc je ne me suis pas emmerdé, je l'ai tourné au pied, j'ai ainsi fait 5 à 6 tours sur lui même.

En faits , je penses qu'il me faut un servo plus costaud.

Bien sur graisser la boite, graisse ou huile ? C'est Caïman la même choses ?

En faits il faut un moteur bien réglé qui ne cale pas au ralentis, donc peaufiner les réglages fins, du pointeau plein gaz et du ralentis, et l'ouverture du boisseau mini, pour avoir des reprises franches.

L'embrayage joue bien son rôle, donc pas de soucis de ce coté la, le planétaire joue son role, la boite d'inversion et le pignon de différentiel.

j'ai essayé la direction, mais bien entendu à régler finement.

Donc disais je, moteur au ralentis, les vitesses devraient passer a conditions d'y mettre de la poigne avec des tringles costauds qui ne plient pas, et servo plus puissant.

Déjà le fait de pouvoir faire des marches avant et arrière seraient un bon point, mais ralentir à chaque fois.

A noter que sur la Jeep au débuts ça coinçait, puis c'est venu avec les changements.

Les bonnes conditions sont : Qu'il fasse bon dehors, que l'engin aient ses patounes en l'air, sur deux cales épaisses, et son tube d'échappement silicone en place pour ne pas en prendre plein le nez.

Maintenant , c'est aussi de régler les freins de direction, mais toujours dehors bien sur, même si aux débuts les marche de sens ne passent pas bien, que je puisse le faire virer sur place.

Sur un essais bref a gauche, il a eue une amorce de virage, donc c'est prometteur .

Dans l'ensemble le tracteur a fonctionné au sol 15 minutes environ, c'est encourageant.

Le soleil est tombé très rapidement m'obligeant à écourter mes essais, suite à un prochain réchauffement.

Si servo de boite trop faiblard alors j'en met un plus gros, un MG 995 standard pignons métal.

Ou le mettre ? Coup de bol juste la place entre le réservoir et le planétaire, alors de suite fabrication de son support en alu.

La course de sa commande étant très faible, le point de pivot sera très prés de son axe de rotation donc un couple maximum.

Et il y a des chances de pouvoir remonter le servo des gaz ou il était précédemment. Si non le remettre entre le planétaire et la caisse, il y a juste la place, et la, je fait d'une pierre deux coups : Abaissement de l'équipement propice a la remise en place sans modifs du carénage.

Avec ce nouveau montage, je gagne de la place.

reste alors le servo des lumières ? Je parlais précédemment de le reconstruire ? En effets vu que j'ai des ultra micro switchs, refaire un montage plus propre sur l'ex servo de boite, et pouvoir le loger juste derrière celui des gaz entre planétaire et caisse.

Vu que je navigue dans le triangle des Bermudes, il y a des pointages inconnus, il faut parfois des premières enseignures, pour refaire le point et changer de cap. Le truc est en faits de gagner de la place en logeant mieux l'équipement du modèle.

Pour la vidéo d'essais, s'il fait beau demain, je la referais avec mon autre caméra qui me permet de si belles photos Macro, avec écran de visée au dos.

En faits, je suis obligé de replacer le support du servo des gaz a sa place, j'ai coupé le palonnier du gros servo a son minimum syndical, car la course de la boite est de 4 mm dans chaque sens a partir du neutre, donc très faible course.
Cette fois commandes plus directe et rigide en M3 et chapes a rotules métalliques, de sortes qu'à partir du neutre la commande soit franche.

J'aie aussi embousée de graisse la boite d'inversion.

En faits ça ne passait pas, à cause de l'énorme porte a faux entre servo et commande, en abaissant le servo et son palonnier, la tringle a chape est quasi horizontale, et se raccorde au dessus de la boite au ras de la tringle coulissante de la fourchette du crabot, plus le fort couple donné par le servo et ses faibles courses multipliant le couple.

De faits je vais retailler le support de servo des gaz pour donner du jeux à la tringle et au palonnier.

Donc modifications très rapides qui me permettront de refaire des essais rapidement.

Il pleut chez moi, fort heureusement pas sur le balcon, mdr.

Sans oublier le réglage des freins de direction.

Leurs principes : vu leur faibles courses, moins d'un mm, pour serrer le disque entre mâchoires, j'ai opté pour la vis chinoise a grand pas, doublé d'un bras de levier important, de sortes que les réglages soient limite de blocages.

Ce type de freins a disques est calqué sur les freinages des vélos a freins a disques, la vis remplaçant le vérin hydraulique à très faible courses.

D'où des réglages micrométriques.

Aujourd'hui, cocooning, puis dentiste en soirée avec anesthésies multiples, bull resté en l'état d'hier.

La pluie du matin s'est transformée en neige épaisse, ça roule, mais s'il gèle cette nuit, demain casse gueule.

Les temps de l'hibernation sont proches.