Bull pousseur PR 764 de Liebherr

Continuant mes révisions pour ST Rambert, charge des accus plombs, révision sur la pompe et sur la distri hydro de relevage de lame que je trouve trop lente.

Ce week end , Julien s'est pas mal servis du bull, qui donne toujours des signes de faiblesses sur sa chenilles gauche, en fait problème récurent du aux système d'entrainement des chenilles, j'explique:

D'origine comme pour Castro c'était des réducteurs RB 35, et comme lui j’eus casses sur casses de réducteurs.

Je décidait donc il y a un an et demi de changer radicalement de mode de réductions, j’optai pour des réducteurs planétaires de perceuses 12 v de Carrefour, l'ennui c'est deux réducteurs prenant une place folle sur l'arrière
, et se chevauchant, celui de droite est à entrainement direct, celui de gauche à un déport par chaines à rouleaux sur le bas.

Sa maintenance est des plus compliquée, m'obligeant à des contorsions pour les démontages et remontages, d’où une fragilisation de toute sa chaine motrice.

J'ai bien joué avec mes bricolages merdiques, maintenant il me faut faire du sérieux.

Il me faut donc trouver un bloc d'alu à fraiser, de façons à monter les deux réducteurs et leur transmissions , non dans du plastique mais dans du métal.

Mais il me faut étudier un système qui soit monobloc, et qui en fait reprenne tout l'arrière du bull, goussets d'articulation du ripper compris, et qui se raccorde facilement au reste du caisson bas de l'engin.

Une sorte de carter moteurs réducteurs porteur.

Déjà, mieux étudiés, et montés dans du rigide étanche, mes moto réducteurs seront plus fiables.

Les planétaires métalliques avec pignons métalliques moulés sont montés dans une coquille plastique, tout ça prends une place énorme, m’empêchant de bien faire mes réductions

pourquoi pas une réduction sur bushless ?sa prendrai moin de place non ?

Il est marrant lui, c'est déjà une motorisation sur brushless lol et mort de rire .

Ce n'est pas une question de moteurs ou de réducteurs, mais plutôt une grosse difficulté de maintenance , pas pratique du tout pour les réparations, et ça fait pas mécanique du tout, mais plutôt petit bordélique.

ah d'accord

En fait c'est vrai que je m'en suis pas mal servis et c'est un modèle qui m'as pas mal plus, le gros problème étant effectivement les chenilles.

Pour moi j'ai trouvé deux problèmes.

Le premier mécanique sur le moteur déporté : le pignon de chaine tourne autour de l'axe du réducteur donc pas d'entrainement. Ensuite la fixation des moteur étant faiblement résistante, deux vis de cassé sur 4 donc ça bouge un peut dans tous les sens, ensuite le corps du réducteur à tendance à ce dévisser car les vis ne sont que dans du plastique.

Second problème que je pense être électronique, j'avais l'impression que les variateurs coupé à cause de la température ... De même je trouve étrange que le variateur de la chenille de gauche se mette à bipé lorsque l'on enfonce le manche à fond (que ce soit vers l'avant comme vers l'arrière).

Sinon j'ai vraiment adoré ce bull et me suis vraiment bien amusé avec...

JPG, ou est ce que tu as trouvé les deux manches servant au commande des chenilles ? car c'est vraiment le mieux pour les chenilles, on arrive à les commander facilement est de façon précise !

c'est chez robbe ou graupner je croit c'est une option de telecommande va voir chez pat il en a

C'est Robbe Futaba qui fait ça pour ses radio navy, et ça coute cher le stick double, un peut plus de 110 €.

En fait, çela a été le dileme avec Castro qui ne comprenait pas la raison d'un tel manche, il pensait pouvoir mixer les commandes des chenilles sur un seul manche, bien sur que c'est possible avec des radios programmables et certains mixers, mais je ne voulais ni compliquer la radio, ni grever son prix original, j'ai trouvé commode ce système de commandes.

Mais on va régulariser tout ça, l'hiver est la pour cela, en chauffant un tantinet l'atelier, ça devrait passer lol.

Pour Greg 16, les chaines bruder sont au pas de 5,5, donc non compatibles avec les chaines Véroma.

La pluparts sont au pas de 8 mm, certaines comme les jaunes sont au pas de 7 mm.

En fait bruder ça fait 11 entre maillons, pour véroma, 14, et 16 qui est le standard des chaines de la pluparts des modèles au 1/14.

En fait tu pose des questions précises et on te réponds la bas de façons évasives, je ne veux pas faire le troublion, mais excuse moi du peut, ils sont bien moins informés que moi coté créations de chaines.

Vous remarquerez que la bas on ne vous réponds jamais de façons précises , car en fait ils se foutent complètement de vos problèmes, ce forum est un forum entre copains, presque un blog famillial.

Castro qui devait faire monts et merveilles avec les chaines de Mathieu (papy) s'est rabattut comme je le lui avait conseillé sur du véroma.

Pour Pierre et sa pelle il avait insisté pour que je les fasse en acier, en fait ça été une lourde érreur de ma part d'accepter car le maillon coute 4,50 €, alors que Véroma, 1,94 avec l'axe et les circlips, de plus chaque maillon est parfaitement régulier, ce qui n'est pas le cas de mes chaines fabriquées manuellement.



Chat échaudé en vaut deux, on ne m'y reprendra plus.

admin-jpg a écrit:le maillon coute 4,50 €, alors que Véroma, 1,94 avec l'axe et les circlips, de plus chaque maillon est parfaitement régulier, ce qui n'est pas le cas de mes chaines fabriquées manuellement..

Effectivement, le calcul est vite fait ! Comme tu l'as constaté, même Christopher qui cherche la "pseudo-perfection" (il s'en sort bien d'ailleurs) a opté pour les Véroma alors qu'au début de la "refonte" il annonçait que ce serait les chaines à Papy...

C'est une satisfaction de se faire son engin mais, un travail aussi long, répétitif et ennuyeux que çà... Pour un résultat... Et, pour un prix de revient... Moi qui pensais que se faire "ses" chaines était une consécration... Je reviens sur ma position !!!

Je ne ferais jamais de chaines...

La vraie satisfaction , je l'aie eue quand j'ai fabriquées mes chaines en alu, ça me convenait parfaitement, la seule connerie à ne pas faire c’était relier les maillons par vis, mais par axes lisses.

C'est Pierre avec ses caprices qui m'a couillonné, je le lui avait dit qu'il y avait véroma, je t'en fout je veux du métallique nez de bœuf ?

En fait nous sommes des précurseurs qui payons les pots cassés, les suivants économisent des sous.

Pour tout ce qui est de série, ces travaux sont hypers chiants et fastidieux.

Samedi à la Balme j'ai eue la visite du jeune qui a pris le relais de William pour me fraiser mes barres de tuiles.

Le plus fort c'est que j'ai payée la ferraille, elle est à son usine ou travaille Manu, mais que je devrait encore payer pour l'usinage ds tuiles.

Comme je lui ai dit ; Dans l'immédiat pas besoin, mais dans l'avenir , je voulait me faire un gros track Cat, un des plus gros modèles de chargeurs à chenilles, la oui je me referait mes chaines acier, j'ai de quoi faire des maillons et des tuiles en stock chez moi, mais je prendrait mon temps, et braserait argent chaque pièces.

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pour un bull a l'échelle 1/11 ( comme l'échelle de ma pelle a pneus. ) bien lourd et qui pousse dur , moi j'opterais pour des chenilles fabrication maison en acier plus résistantes et plus réaliste que des chenilles plastique .... ce n'est que mon opinion

Ca c'est sur, tu a parfaitement raisons, le hic dans ma fabrication, c'est que les pièces ne sont pas rigoureusement identiques comme dans un moulage, de ce fait au montage final, la tuile est parfois de travers.

En fait, il faudrait réaliser en fraisage un maillon complet parfait tuile comprise, parfaitement orthogonale, et s'en servir de forme pour fabriquer les gabarits de soudage.

J'en ai parlé ce dimanche au gars qui me fait les fraisages CNC qu'il faudrait fabriquer dix gabarits de soudages identiques, pour exécuter des montages par brasages argents succéssifs, le temps qu'on soude la dèrnière, la première serait froide à manipuler.

Mes maillons ne sont pas parfaits, car le gabarit à été fait en l'air, sans avoir un maillon de ce type parfait.

En serrurerie, quand j'avais des montages à répétitions, exécutait un contre gabarit parfait, pour pouvoir fabriquer le moule autours.

De fait les pièces sortaient toutes identiques, ce qui n'est pas le cas ici.

De plus, entre fabrications des maillons le fraiseur n'a pas fait les trous de façons rigoureuse au centième près, surtout près des bords, il devait rester pile 0,5 mm de matière, tantôt c’était 1 mm tantôt 0,3, et c'est justement ces erreurs qui font que mes chaines sont de trabioles.

Je penses qu'il n'y a guerre que les moulages qui permettent de sortir des pièces rigoureusement identiques.

Pour faire suite aux diverses réparations sur mes engins, pour celui ci, l'un de ses points faible est la motorisation de la chaine gauche.

Pour la droite moteur et réducteurs sont en ligne en position inférieurs, la sortie se faisant sur pignon au module 1 attaquant une couronne de 40 dts sur le barbotin.

Pour la chaine gauche, il en va tout autrement, moteur est réducteurs se trouvent au niveau supérieur au dessus de l'autre groupe, mais la sortie devrait se retrouver au niveau de l'autre ?

Et c'est bien a ce niveau que la transmission se fait, grâce à un renvois par chaine à rouleaux de 6, d’où une ENORME complication de montage.

Au sortir de St Rambert, je pensait faire un bloc complet avec mes deux moteurs, en fait la encore une super complication pour inclure les deux groupes dans un bloc d'alu fraisé.

La meilleure solution est bien encore de refaire uniquement le bloc de gauche, mais en incluant ce déport de transmission dans le bloc lui même.

L'ultime complication provient de ce que ce bloc gauche doit rentrer dans le carénage non démontable du bull.

La simplification consisterait en rentrant le bloc moteur par la gauche et non par le dessus.

On voit bien comment est constitué cet engin sur mes premières photos, le bas de caisse étant une boite rectangulaire, incluant les anciens moto réducteurs, tout le reste patins de chaines comprises est rapporté dessus, c'est dire que les cotés de l'engin, sont libre d'accessoires.

En somme rentrer le bloc par le coté gauche, mais en incluant dans ses structures tout le coté gauche de la caisse porteuse, c'est à dire tout le renflement derrière les deux goussets triangulaires de support de l'axe oscillant des patins de chaines.

Autre point faible, mon groupe hydro, que je trouve faiblard pour la manœuvre de la lame, qui devrait être 5 fois plus rapide.

Un bull travaille justement sur sa lame, il doit pouvoir la baisser ou la remonter instantanément pour tous les réglages.

Mort de rire, on fabrique tous des rippers sur nos modèles ? Pourquoi faire ? Dans la plupart de nos expos on a de la terre fine et sèche, jamais des massifs rocheux, l'on va donc se servir du bull comme un pousseur de terre pour établir des routes, mais le ripper est parfaitement inutile.

Il aurait une raison d’être associé à un enfouissement de câbles, le ripper étant alors un soc de charrue à enfouir un câble en translation, voila une adjonction qui pourrait être intéressante sur nos mini chantier.

Je verrais bien alors un bobineau monté sur le ripper socle, avec des guides jusqu'au soc lui même, bobino monté sur moteur ré enrouleur du câble, ce pourrait être un fin fil gainé embobiné sur une vingtaine de mètres, que le bull poserait derrière lui, sur deux jours, en fin de manif il ré enroule son cable en tirant dessus. Ce pourrait être aussi de la suspente de parapente noire telles que je les utilisent ? C'est souple droit, ne s'entortille pas faite de fils de kevlar gainés d'une chaussette.

En fait du coté hydro, un dérivateur de flux, partant du distributeur et servant aussi bien pour la lame que pour le soc.

Lol pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

Voici le Bull à Christopher, re mastérisé, oui effectivement il y a de notables différences, il a refait la lame et les montants de lame, les sabots mobiles sous les patins, les barbotins refaits pour les chenilles Véroma, les deux supports moteurs, mais il a conservé le coffre de base, toute la carrosserie, car pour en refaire une complète, il y a autant de travail que pour tout le reste, les patins de base la pluparts des axes et visseries diverses, les roues folles ré usiné au module des chaines, certainement le ripper qui est lui de belle facture.

Pas mal de travail refait avec une fraiseuse numérique, en fait on se pose tous la question: On a de l'argent, on veut se faire plaisir, on veut faire du bon travail, peut importe le temps passé dessus, certainement plusieurs mois de travail, qu'importe l'argent dépensé, seuls comptent les résultats.

La question que je me pose: Engin refait, lame en laiton donc plus lourde, poids total de l'engin remonté d'un voire même de 3 ou 4 kilos ? Les points faibles de l'engin vont être les réducteurs des moteurs RB d'origine, lors de sa construction, j'en ai cassés deux paires.

Mon engin pèse environ 15 kg, tant il est vrais que j'ai rajouté du poids au niveau chenilles faites maison en acier, en contre partie j'ai de solides réducteurs planétaires à pignons métalliques, associés à des moteurs brushless lents et coupleux, doublés d'une double réduction finale.

Quand notre ami à recommencé sa re construction, je pensait qu'il allait tout refaire, carrosserie comprise ?

En fait la critique est toujours facile, l'art est bien plus difficile, car refaire une telle carrosserie complexe, il n'y a guerre que le moyen des moulages à la méthode Tamiya, c'est à dire à partir de ce master de base, calculer des sous ensembles, moyens d'assemblages compris, ainsi que démoulages, de façons à obtenir des parties de carrosserie en résine polyester ré assemblables, puis de laborieux ponçages, taillages des ouvertures masticages, quelques centaines voire mème quelques milliers d'heures de travail pour un rendu impeccable.

Certes cet engin tel qu'il se présentait au début, était critiquable, car j'ai travaillé avec mes moyens techniques, mon propre feeling, mes connaissances du moment, malgré tout l'amour que j'ai pu dépenser à faire de tels engins, forcément il y a des failles, parce qu'enfin ? Que je saches ? Nous faisons tous du modélisme d'amateur ?

Je ne saurait trop engager les futurs modélistes, à s’investir et à investir dans du matériel comme l'a fait après coup notre ami, pour assouvir leurs passions ?

En fait de telles critiques n'ont pas lieu d’être, car si l'on se sent capable ? Pourquoi demander ce travail à un copain ?

Autant le faire soit même, et si critique il a lieu de faire, c'est contre soit, de l'auto critique.

Ce que je souhaites à notre ami maintenant, c'est de pouvoir comme moi utiliser son engin longtemps sans casses aucunes, car en fait les éléments moteurs qui soufrent le plus sur les bulldozers, ce sont les moteurs et les chaines, et bien sur les réducteurs.

On aura beau faire, ce seront toujours les maillons faibles de l'engin.

Sur un engin grandeur ce sont des moteurs hydrauliques à réducteurs planétaires montés en moyeux de barbotins, les régimes moteurs sont de faibles amplitude de l'ordre de 300/500 tours minutes, associés à des réducteurs planétaires, qui en cas de blocage des barbotins, s’arrêtent instantanément, sans préjudices pour la chaine moteurs.

Ce qui n'est pas du tout notre cas à nous utilisant des moteurs électriques rapides avec de conséquentes réductions, en cas de blocages instantané, il y aura casse de quelques choses, à moins d'interposer des limiteurs de couples.

En fait, notre ami s'est attaché à refaire son engin façon maquette, ce qui est tout à son honneur, sans revoir entièrement la partie propulsion, qui sur son engin est le maillon faible.

Je lui souhaites néanmoins une réussite dans son entreprise.

Hier, après avoir déterminé, ce que j'allais mettre sur le DN 10 de bruder, je suis passé sur cet engin, déjà grand nettoyage des chenilles complètement embousées depuis St Rambert d'albon, puis je me suis penché sur son accus plomb, naze de chez naze, du coup je l'ai passé lipo avec un accu de 4 amp.

J'ai décidé aussi de remonter les vérins de réglage de lame, pour ce faire brasure des busettes carrées pour visser les raccords SMC, puis essais sous pression, Tout étant OK remontage sur l'engin.

Le bloc distri à deux voies était personnel, l'un des rares ayants fonctionnés. Il retrouvera sa place.

Le fait de monter une lipo à allégé l'engin qui reste malgrés tout lourd avec un bon poids adhérant.

J'ai aussi ressoudée une tuile qui avait fichue le camp.

Puis j'ai préparé des modèles pour mes vacances bretonnes: Ma pelle bruder, le mini Quad volant, le wilga 5 axes électrique et mon moto planeur planeur Qui va faire des merveilles sur les plages à marrée basse.
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Hou ? Ça fait du bien de retrouver son atelier ?

Ce matin , continuité sur une petite modif de l'engin, en fait je remonte les deux vérins de réglage de lame, bien pratique quoi qu'on en dise ?

En effet en poussant, souvent il faut conserver un peu de terre, en reculant la haut de lame on obtient cet effet.

Dans l'autre sens , c'est la vidange totale.

de plus les réglages d’assiettes sont appréciables dans les montées et descentes.

J'ai donc remonté mon distri perso à deux voies l'un des 4 ayants bien fonctionnés.

Je dispose donc d'un distri leimbach unitaire.

Du coté de cet engin, j'ai du refaire mon réservoir d'huile, l'autre n'est pas pratique, avec sa petite aspiration.

Le nouveau en tôles d'acier de 1 mm brasé brox, comportera une aspiration large en 4x6, ça tombe bien j'ai un raccord SMC en 4x6, par contre le refoulement ne change pas, à moins d'adapter mes dominos spéciaux JPG ?

Je me suis emmerdé un bon moment à comprendre que le réservoir plastique bridait la pompe, car celle ci a une sacrée force d'aspiration, mais le réservoir ne débite rien du tout.

Avec le nouveau, ça va changer la donne.

La suite à lundi.

Y à pas photo, le changement de réservoir, et l'augmentation du diamètre de l'aspiration, est bénéfique au rendement de la lame et de son réglage.

Mais ici, pas besoin de limiteur de débit, puisque la pompe est commandée à partir des manches hydrauliques uniquement.

La sortie pompe sur distri est inchangée, le tube de liaison étant assez court de 8 cm.

les vitesses d'action ont pratiquement triplées, j’obtiens enfin des mouvements rapides de lame, alors qu'avant ces mouvements d'une extrême lenteur étaient d'une imprécision totale sur les mouvements de la machine.

Malgré cela encore une légère fuite sur l'axe de pompe, certainement due au torique usé, car cette pompe sur ce bull tourne depuis déjà deux ans.

Ces pompes sont issues d'appareils de dialyse médicale, engrenages hélicoïdaux en résine chargée fibre de verre, corps en inox massifs, pompe volumétriques prévues pour de gros débits.

la modification donne alors puissance pression vitesse du fluide.

C'est simple, ce matin j'avais aussi une fuite sur un cul de vérin de réglage, à la mise en route j'ai pris une giclette d'huile passant sous la manche de ma blouse, j'en ai pris plein le bras le temps d’arrêter la pompe, c'est dire si le jet d'huile peut aller très loin en distance.

Ces pompes, je me les réserves pour mes modèles, car ce ne sont pas des pompes simples mais très techniques, et pas facile à bien maitriser leur fonctionnement.

Oui jean jacques je privilégie les pompes leimbach pour les pelles bruder, car ce sont des pompes sans histoires et éprouvées depuis de nombreuses années.

Il faut que le possesseur des ces pelles aient le minimum d'emmerdements, donc groupe hydraulique parfait et échangeable.

bien sur, la qualité se paie, certains autres constructeurs ont voulu jouer les apprentis sorcier et se sont plantés. Les résultats se sont faits sentir immédiatement.

Hier aux Gets, c'est fou les demandes pour des pelles hydrauliques, les démonstrations d'engins divers par le groupe Xénon avec ma modeste participation, ont fait rebondir l’internet pour nos modèles hydrauliques, mais alors il faut absolument fournir de la qualité aux demandeurs.

Nous étions bien entendu dans un milieu d'engins hydrauliques, même les professionnels ne s'y sont pas trompés, on arrive tous à des qualités de réalisations hors normes, je penses qu'à l'avenir on pourras obtenir d'avantages d'aides pour nos petites machines.

Cet aprem, j'ai changé le torique de pompe, puis fait des essais en situation, no problèmes le truc pousse à fond dans le tas .

Mais il faudra que je refasse mes deux vérins de réglages, l'un fuie constamment, je vais les refaire plus longs pour d'avantages de réglages d'angle, mème angle sur l'arrière mais angle prononcé sur l'avant, pour les grimpettes à flanc de coteaux.

Ré installation correcte et fixation des éléments flottants jusque la.

Dorénavant l'accus sera un lipo, je vais en commander un de 8 amp 11,1 v, le logement impartis pour lui est parfait dans le châssis sous le réservoir d'huile. récepteur attaché contre lui à gauche, varios mieux disposés à droite.

Ma lame et son brancard vont très bien comme ils sont, j'ai bien le temps de les refaire en mieux en massif comme Christopher.

Mes chaines sont ce qu'elles sont, avec l'avantage de donner du poids adhérant, même si elles ne sont pas parfaites.

Vous allez être contents, j'ai fait cet après midi deux vidéos assez longues avec le PR 764 occupé à décrasser la gravette devant mon atelier, tout fonctionne à merveilles, les actions rapides sur la lame et ses réglages d’assiette, la rapidité d'action de l'engin lui même, et sa force de poussée sachant que le sol est dur comme du chien.

Le cadrage n'est pas parfait ayant été fait sur trépieds, donc pas de suivis de l'engin en action par des panoramiques, il échappe très souvent hors du champ du cadrage, mais on le sent bien présent sur les coté occupé à manœuvrer et se préparer au poussages, car l'engin est très sonore .lol.

Il est 23 h 15, ma vidéo sera opérationnelle dans 40 minutes à peu près, je place donc son lien inactif pour l'instant, il le sera dans ce laps de temps .

https://youtu.be/7w3Leis3cJg


une seconde suivra plus tard dans la matiné.

C'est marrant il a toujours ce contrôleur qui bipe dès qu'il force ...

Non Julien, en fait c'est un bipper de recul, monté sur un mini servo, j'avais prévus qu'il ne fonctionne que sur l'arrière, mais au fil du temps il s'est déréglé et fonctionne dans les deux sens mais en marches à fond.

Sur petites vitesses il est quasiment inactif.

J'avoue que c'est casse couilles, mais ça reflète la réalité, mais on finit par s'y faire, c'est ça qui lui donne vie .

Peu de nos modèles possèdent un tel dispositif, et c'est bien dommage.

Merci pour la vidéo directe.