Bull pousseur PR 764 de Liebherr

J'ai enlevé le riper car on ne s'en sert pas du tout, à la place, c'est plus intéressant de monter un crochet pour la remorque d'un scraper ramasseur, ou de tout ce que l'on veux. 

Le cat DN6 je vais voir et j'importe une photo ou deux.



Bien sur un bul en chaines en D, idéales pour ne pas gaver les barbotins.

En électrique, donc deux moto réducteurs d'angles a vis sans fin en moteurs 540, costauds balaises, le relevage de lame, si brancard et lame alu légers, des N 20 de coté feront l'affaire.

En faits, ce n'est pas tant des moto réducteurs qui font la puissance, c'est tout simplement les vis sans fin, mais préparées a ma façon, pourquoi ?

Ces réducteurs ont leurs axes de sortie emboités dans la roue finale, (ça m'est arrivé de dessertir cet axe du réducteur par arrachement de celui ci, parce que ces réducteurs ne sont pas faits pour supporter des charges en tirant sur l'axe, mais en forces radiales.

Pour contrer ces effets néfastes c'est d'utiliser des N 20 de coté, ceux montés sur mon PR, qui ont l'avantage de déporter le moteur, et de permettre par leurs trous en diagonales de fixer un système mécanique supportant nos vis sans fin sans arracher l'axe. De ce fait c'est le bâtis carter qui supporte la charge.

Bien sur l'idéal serait de trouver ces mèmes moto de coté un tantinet plus gros ? Faudrait rechercher du coté de nos fournisseurs Chinois , Je suis tellement content de ces N 20 de coté que j'en ai re commandés 8.

A chaque fois ou je veux passer une vidéo, en l'occurrence la vitesse de montée et descente de lame, pas assez de jus à la caméra qui coupe.

Alors vidéos demain désolé.

Il faisait beau au chaud aujourd'hui, alors démontages en régles du bull pour peintures en bombe, la seule couleur vallable fut le Vert gris pris par erreur pour la Jeep de faits un gris vert mat satiné a séchages ultra rapide, pour tout les soubassements, le massif des vérins restant jaune, et la superstructure ou il y a trop de détails pour tout refaire.

Ce soir l'engin est en cours de remontages.

J'ai recu mon réservoir inox d' ALI de 100 CC à niveau visible, il est juché sur le réservoir de décantation , réceptacle des huiles de consommation du carter, avec une durit d'arrivée remplissage, un petit évent sur le dessus de 1 mm, et une sortie d'extraction a l'aide d'une seringue hypodermique.

La sur élévation du réservoir de carburant est de 30 mm, il tient grace a deux passants en U brasés qui permettent le passage des rilsans d'attaches, de faits le réservoir est scotché doubles faces sur les passants plus deux rilsan qui solidarise le tout. L'ensemble des deux réservoirs est tres compacts d'azns l'alignement l'un de l'autre, ainsi pas de places perdues.

Je penses dévoyer le bouton de démarrage sur le tableau arrière, mais serait obligé d'ôter le carénage pour démarrer à causes du bouchage de l'aspiration, à moins de faire un clapet caoutchouc basculant depuis l'extérieur.

En faits avec mon système double de chauffage des bougies, il faut enlever les carénages quand on a pas accés à la bougie, c'est le cas pour le bull, mais pas pour la jeep car son capot moteur se soulève.

Ce serait possible sur le bull à conditions de refaire partiellement le carénage coté capot moteur. Relever celui ci contre la cabine, de la, accés direct a la double bougie.

Aller c'est ce que je ferais dès demain, pour plus de facilités de démarrages.

Malgré cela j'ai faits de courts essais de fonctionnements moteur, planétaire et boite d'inversion, sa sortie certes est lente, on la voit tourner, et il y aura la réduction du diff, en faits je compte surtout sur le grand diamètre de l'ensemble chaines barbotins de 90 mm, pour avoir une bonne vitesse par tour, 282,6 mm d'avancement par tour.

Ce soir, je me suis décidé a modifier mon carénage, le capot moteur était fixé avec des rivets TF de 2 mm, de faits repercés dans l'axe, j'ai désolidarisé ce capot du carénage.

Pour le mettre en place, j'ai recoupé proprement à la disqueuse son avant rentrant sous l'abergement rajouté, de 5 mm, ainsi je puis remettre mon carénage en place complètement, démarrer mon moteur à ma façon habituelle, et remettre le capot moteur non sans avoir oublié de placer le silicone servant de tuyau d'échappement dans le pot fixé au dessus du capot.

Ce capot tient par lui même sur son ancienne empreinte sur la carénage, et coincé entre cabine et abergement avant.

Une fois posé on ne voit aucunes différences.

C'est l'avantages des assemblages rivés, pouvoir les démonter sans rien abimer.

Je dit CHAT , et c'est paroles d'évangiles.

Dans cette réponse, j'en reviens aux chaines d'engins :

Par économies mal placées, quel n'est pas le modéliste qui n'aie voulu construire ses chaines d'engins ?

J'y suis passé moi même, déjà avec une série toutes en alu fraisées et assemblées par vis, ainsi furent traités les deux Bull PR 764, celui de Castro et le miens plus mon Tracxs 632, plus ma grue dragline.

Des maillons constitués de plats alu de 20x5 fraisés de chaque cotés sur la longueur des coupons d'environ 30 cm, puis recoupés sur ma tronçonneuses a scies fraise.

Les tuiles furent constituées de cornières alu de 15x15 recoupées sur une aile à la hauteur des crampons puis assemblés par vissages sur les maillons.

De prime abord cela parait facile à faire, en faits ces fabrications se traitent de la façon la plus sérieuse qui soit de préférence en série sur divers gabarits de découpes, perçages, assemblages, et des travaux dangereux sur touret a meuler les bouts des doigts très prés de la meule, pour arrondir les maillons.

Je le dis tout net, c'est un travail dangereux et hyper chiant, un bull tel le PR c'est grosso modo un bon mois de travail a raisons de 30 h par semaine, a la sortie même si l'on est fiers de son travail, ça frise le n'importes quoi .

Certes on sera fier de son travail, mais dans son fort intérieur, on ne sera jamais pleinement satisfait.

Chaines alu, axes nécessairement en inox qualité 18/8 amagnétique. La il s'agit de débiter autant d'axes de 3 mm inox qu'il y a de maillons, aux longueurs exactes.

Par après il faut connaitre le moyens d'assemblages, pour moi comme pour TOMGOUL écrous en bouts d'axes, ce n'est qu'un pis aller et c'est pas beau, la solution ce sont les anneaux grifax, des sortes de clips en acier trempés en forme de parapluie qui se grippent sur les axes en se plaquant sur les maillons.

Si la largeur de la chaine des maillons fait 15 mm, on rajoute 2 mm de chaque coté pour les anneaux grifax.

On se fabrique au tour un outillage spécialisé, d'une part pour pré assembler les axes avec un anneau d'un coté, puis une fois en place, pour mettre l'anneau de l'autre coté.

Certains pensent a tort que ces montages sont définitifs, ce qui est complètement faux, il suffit, avec un chasse goupilles de choquer sur l'axe pour éclater l'un des anneaux dont les griffes se retournerons laissant échapper l'axe.

Au vu du débit des axes coupés rigoureusement de façons identiques à la tronçonneuse à disque corindon/émery de préférence, il faut les ébavurer soigneusement de chaque coté, d'une part pour les rentrer dans les maillons, et d'autres parts enfiler les anneaux grifax.

Sur ma première série alu j'avais placées des vis de 3, ce fut la connerie du siècle, en effets les filets des vis ont littéralement mangés le peu de matière des mailons qui se sont déchirés rendant obsolète une paire de chaines sommes toutes ressemblant a de vrais chaines, donc impérativement des trous lisses de 3 correspondants aux axes de 3.

Chat échaudé en vaux deux, ce genres de chose ne m'est plus jamais arrivé.

J'ai produit plus de 15 mètres linéaires de ces chaines alu, pour pelles, bulls ou grue du genre Manitowoc, avec des maillons différends.

Puis vint ma série en acier, à la demande de Volvo 25 du forum a guillaume.

Pierre avait réalisés 3 maillons de très belle facture, de prime abord ça parait facile ? Pas mort de rire, pas du tout.

J'ai donc fait traité en fraisage numériques par usineur spécialisé sur machine CNC des barreaux de maillons en plats acier de 20x5 étirés et de plats acier de 20x4 pour les tuiles au profil des pelles donc sans crampons comme les bulls, cette fois j'ai traité pour 10 mètres de chaine linéaires. Et ça m'a couté la peau des fesses, au point que mes chaines coutaient plus chers que celles achetées dans le commerce en alu moulés.

A chaque fois j'y ai passé un temps fou, et les doigts près des outils aux risques énormes de me les faire prendre dedans, et pour ces chaines acier plus de 3 mois en continu. Pour des résultats approchants, mais pas vraiment satisfaisants.

Je le dis tout net, ça ne vaut plus le coup de se faire chier de nos jours a se faire ses chaines d'engins vu qu'on trouve en chine des maillons en alpax moulés de très belle facture pour pas très cher.

Ce bull PR remanié a pour l'instant ses pantoufles d'acier et laiton pour les maillons, elles sont très solides, mais ?????

Mais, malgrés le fait qu'elles sont hors rouilles, axes inox, maillons laiton , tuiles acier de qualité, les pulvérulents en poudre ont souvent raisons des articulations et de ce faits deviennent raides et ne se plient plus, alors nettoyages sous l'eau chaude (le white spirit serait meilleurs), puis brossages et graissages des articulations a l'huile fine.

Bien sur je dit Chat, j'ai rien dit du tout, chacun fait comme il veux, ne fusse des conneries, en foulant du pieds les ceusses qui en ont fait l'expérience malgrés eux, on ne refera pas le monde, nul n'est prophète en son pays.

Des photos actuelles :



Les soubassements peints avec les barbotins



L'ouverture du capot moteur amovible.



L'arrière pour montrer que le carénage repose fermé sur le châssis.

L'intérieur du capot moteur l'ouverture du pot d'échappement réel. les grilles de ventilation.



Ma paire de chaines acier laiton pèse 2720 gr.



L'intérieur du châssis caisse peint.

Les patins des chenilles peints.

Enfin, le groupe moto propulseur


A gauche le tube silicone venant du carter moteur et se dirigeant vers son bac de décantation.
 
A droite du moteur les deux réservoirs, celui du dessous fixé au bâtis alu par 3 vis, puis celui de dessus posé sur les deux passants en U brasés au réservoir huile et collé avec deux bandes de double faces mousses auto collantes et deux rilsan.



Le tube vert silicone servant à l'extraction des huiles brulées du moteur. Et la boite d'inversion du sens de marche.

Il y a des jours avec et des jours sans, aujourd'hui j'ai effleurée terre lol, pas vraiment pus attaquer quelques choses de stable.

C'est la vie.

Retouche peintures du châssis avec barbotins, et puis reçus deux cardans télescopiques  commandés chez Ali, certainement pour la jeep thermique. En faits j'avais des tas de cardans plastiques mais aucun métalliques, ils feront le pendant.

Courses pour les copains chez mon faire ailleurs lol.

Et puis y a ma mine Handicapée.

Mais je ne vais pas me plaindre, oh que non, la vie est belle.

Coté bull j'aie graissées les chaines, en faits une goute d'huile fluide sur chaque mailons intérieurs qui par capillarité va faire son chemin et englober l'ensemble des chaines.

Pour bien faire c'est de remonter le crochet de remorquage, la platine moteur, le support servos freins, le double cardan, le vario du démarreur qui prendra place accolé au réservoir mais intérieur, refaire son câblage, quoi que avec l'ouverture du capot moteur, ça me permette de l'installer au droit de l'ouverture pour les démarrages ?

Comme quoi, rien n'est figé définitivement, il y a toujours des améliorations de confort à y apporter.

Un point sur lequel je devais me pencher une fois les peintures faites, c'est la platine radio.

Les deux varios des 4 vérins de lame seront placés à gauche du radiateur de refroidissement, placés la ils ne risquent pas de chauffer en plein dans l'aération de la grille de calandre.

La platine récepteur à fabriquer peut prendre place au dessus de la boite d'inversion ou en mixte derrière elle vers le différentiel de direction, en suspension sur pieds vissés sur la platine alu du diff.

Dessus il y aura le récepteur X, l'accu réception et l'accu démarrage.

Je ne suis pas pris par le poids, l'engin pesait avant transformation 12 kg, moins d'alu plus d'acier, il sera plus lourd, peut etre 13 kg ? D'avoir un accu réception ni mih et une lipo 3 S de 2700 mm, ne le surchargera pas. Je ne devrait pas dépasser les 15 kg PTR, et puis le poids adhérant est bénéfique pour ce bull.

Ce soir je peints les 4 électro vérins a la bombe sans les débrancher, et bien sur j'isole sous gaine thermos les réducteurs.

Pas fait grands choses sur le bull, ce matin chirurgie dentaire sous anesthésie, pour la pose de deux dents sur pivots couronnés concomitantes, j'aie la gueule de bois.

Demain après midi, pose des pivots, et vendredi prochain pose des couronnes.

Avec 3 couronnes je détrône la reine d' Angleterre.

Mais quels sortes de rois ? A vous de deviner ?

Ce matin, remontages des vérins de lame que déjà des mini pannes et autres réglages apparaissent, mais dans l'ensemble ça fonctionne, toujours sans fins de courses.

En faits je trainasse, car j'aimerais bien recevoir les pignons moteur en métal durs que j'ai commandés a BG, mieux que d'abimer le pignon alu des diffs Robbe, qui de nos jours ne courent plus les routes, parce que j'ai déshabillé Pierre pour habiller Paul.

La suite logique c'est de réalimenter les deux phares avant à coté des vérins de relevage de lame, couplés avec ceux de cabine.

En faits j'avais fait un montage électrique a l'aide de micro switchs, un mini servo montés avec deux micro switchs pour allumer alternativement les feux d'avant ou d'arrière suivant le sens de marche, ce servo étant couplé avec celui d'inversion du sens de marche.

En marche avant, fonctionnent les phares d'avant et ceux de cabine.

En marche arrière seuls fonctionnent ceux d'arrière de cabine.

Il y a donc un schémas électrique a faire.

Parce qu'il faut admettre des fiches de raccordements, bec rouge deux pôles pour l'avant, et fiche JR 3 pôles pour ceux de cabine, plus celui du gyrophare de chez BG qui lui sera monté sur un inter deux positions, celui momentané, pour faire varier les 6 allumages du gyro.

Mais comme tout le monde, j'ai hâte de voir si ma chaine mécanique va faire tourner mes barbotins et faire avancer mon bull. ?????????????????? la est l'inconnu.

j'aime beaucoup l'idée des feux qui s'allument suivant le sens de marche,je pense que je vais te piquer l'idée
sinon a part des petites choses et ce fameux pignon nous allons bientôt avoir le verdict final concernant la démultiplication
bravo pour cette reconversion c'est du beau travail.

Merci mon ami Gregory, ça me fait très plaisir, surtout après mes coups de grognes contre tes chaines.

Mais fidèle tu est fidèle tu reste, malgrés ces rebuffades, tu est le gars qui a de la gnaque, les autres s'en vont ?????????????????

Oui, alors ce pignon moteur me dira si mon truc marche ou est foireux.

En faits la chaine motrice commence par la moteur est son embrayage centrifuge au module 1.

Sur planétaire je suis en module 0,7, de même que dans l'inverseur, puis je reviens au module 1 sur le différentiel.

Est ce que ce pignon va résister à l'énorme couple demandé par le poids du bull lui même ?

En alu je craint qu'il bouffe ses dents, en métal dur je penses qu'il devrait y arriver .

Tel quel on pousse le bull a la main sans efforts, j'ai travaillé en ce sens.

Quel effort sera demandé par la chaine motrice pour mouvoir ses presque 15 kg ? Qui plus est à la pousse de terre ?

merci mon jp.
tu as bien compris comment je suis.de la gnaque j'en ai a revendre quand j'ai quelque chose en tete je fais tout pour y arriver et meme si il faut que je m'y reprenne en plusieurs fois ce n'est pas grave.certe c'est chiant parfois mais quel plaisir au final.
on a tous une petite phrase qui nous défini,pour moi ce serait "ce que ma tete veut ,mes mains le font"
pour les chaines,n'ayant pas de vraie fraiseuse encore,je ne pouvais pas me lancer dans la fabrication dans les règles donc j'ai cherché un autre chemin et au fond de moi je suis sur que j'arriverais a faire quelque chose de très bien.
les chaines du commerce sont belles,prete a poser etc mais coutent une fortune.
ça j'avais pu le vérifier quand j'ai passé la commande de ma chargeuse a chenilles.
pour le pignon alu,je pense que tu as bien fait de le recommander en acier car le couple doit etre assez consequant et comme tu le dis la pousse va mettre la mécanique a rude épreuve.
les satéllites du planétaire sont en quelle matiere au fait?

Alors les premiers étage en plastique dur chargés nylon, de ces perceuses j'en ai achetées plus d'une douzaine, aucun de ces pignons plastiques ne se sont jamais cassés ni usés.

Puis au deuxième étage 3 roues en métal aciéré moulés trempés cémentés.

Le pignon monté sur le moteur est en acier trempé, jamais constaté d'usures.

Ces moteurs 540 sont donnés pour 8 a 10000 tours, donc voisins du toyan.

Mais au départ, pour raisons d'accouplement et aussi parce que je n'aie pas trouvées de cloche d'embrayage avec un axe faisant suite à la cloche d'usinage, s'il avait fait 5, ou encore 3 je montait directement le pignon moteur.

Dans mon cas i; y a déjà réduction de 1/1,4, de 11000 tours je rentre avec 7857 tours donc bien moins que la vitesse nominale du 540.

Puis la réduction vient à diminuer tout au long de la chaine des transmissions.

Ce matin, réparation des vérins de lame qui ne relevaient pas a fond, et puis le droit va plus vite que le gauche, il faudrait que je l'isole en les commandants a deux voies mixées avec possibilité de désynchroniser les commandes. Ceci juste pour faire des réglages de parallélisme, le brancard de lame n'étant pas monté sur rotules pour gauchir la lame.

Puis je me suis mis sur deux colonnettes supportant les phares d'avant, en hydro ils étaient juchés sur les dessus des vérins.

Et sur deux colonnette de support du poussoir de démarrage et de l'inter du réchauffeur de bougie montés sur une platine vissée sur ces colonnettes, ces supports servant aussi a lier le vario de démarrage et celui du réchauffeur.

L'idéal bien sur étant d'avoir un bloc compact et autonome, pouvant etre démarré séparé du bull.

Aussi, bien réfléchir aux positions respectives et comment bien les fixer.

A terme le poussoir du démarreur sera juste devant le réservoir, et l'inter du chauffe bougie juste devant lui vers le milieu, a savoir au dessus se trouve le capot amovible.

Voila, groupe moteur amélioré, dans cette forme il est autonome, juste à monter la lipo.

J'aie pas de bol quand même, je vais pour faire un essais sur le balcon de montage d'hier, un coup de démarreur que le moteur du démarreur tombe en panne.

Il m'avais déjà fait le coup plusieurs fois depuis son achat en Juillet Aout lors du rodage .

Il m'a refait le coup l'autre jour.

En faits avec ces aléas, la meilleure façon d'agir c'est de le changer, mais avant de connaitre Stirling, pas moyens de se procurer des pièces détachées.

Alors je m'était esbigné a trouver des brushless correspondants a peut près, mais sans réels effets.

De ras le bol j'en ai commandés deux, en attendant vu que j'avais démontés les deux moteurs des deux refroidissements air, celui monté dans le bateau, un Promodel marche bien, je l'y laisse (Et puis l'hiver arrive et pour refaire des essais de navigation doublé des confinements, ça ne sera pas bien  possible)

Aussi ce démarreur brushless va me servir sur ce moteur du bull.

Et j'en aurais deux de rechange.

Alors, avec les explications Chinoises et les traduction en ligne, il ne m'a pas été facile de bien savoir quel était le voltage préconisé ? Il a été souvent questions de 2 et 3 S lipo, en faits que du 2 S, 7,4 V et si ca se trouve mes moteurs ont reçus trop de courant.

Ce qui est fort dommages car en 3 S ces moteurs ont une sacrée pèche au lancement des moteurs.

En 2 S il faut que les moteurs soient bien rodés, pour qu'ils consentent à démarrer en tous temps.

Alors mon idée, vu que les moteurs sont livrés nus, c'est a dire démarreurs démontés, l'idée, ayant un gros moteur de démarrage avions, de monter sur le volant, ou en remplacement des volants, démarreurs déposés, d'un cône de centrage pour mon lanceur électrique, avec hélice avion ou sans.

Avec hélice avion on reviens sur la dangerosité du procédé, sans hélice avion le procédé sera bien meilleurs que d'user prématurément le brushles de lancement, et bien meilleurs ces démarreurs pouvant tourner longtemps. Avec plus de couple.

Les avantages d'une hélice avion c'est de faire volant moteur.

Donc peut etre le remplacer par un cône d'hélice en alu de grand diamètre ?

Donc à voir ? Pour le Bi Cylindres.

En faits le fil de masse de dessoudé, j'ai quand même changé le moteur, ré essayé en 2 S mais c'est mou.

Pour constater que ça ne venait pas du démarreur mais du vario, alors, démontage du vario, pour vraiment souder ce fil réticent.

Une fois remonté le moteur a bien marché, aussi bien en 2 S mais mieux en 3 S  avec plus de pèche.

Et pour les essais c'est foutus pour aujourd'hui.

Bloc moteur remonté a bord, et cardans branchés, à la main en tournant l'arbre ca fait bouger les chenilles, (normal) reste a voir si le moteur sera assez puissant pour entrainer tout ça ?

Le truc a craindre c'est que l'embrayage patine de trop, ça serait la cata.

Peut etre alors changer les embrayages pour des 3 masselottes ?

Et puis je me suis occupés des feux le gyro est en place et fonctionnel, reste les phares d'avant et d'arrière. montés sur servo switch.

Il faisait beau, alors éssais de roulages sur le balcon.

PFUITTTTTTTTTTTT de roulages pas avancé d'un cm, parce que les pignon du diff ne se touchent pas.

En faits le pignon moteur d'origine fait 11 dts donc de plus grand diamètre que celui de 10 dts.

Alors, je vais attendre sagement mes deux pignons,(un seul suffit), (l'autre c'est du rab pour réparation) pour faire avancer mon bull, et continuer sur les périphériques.

Mais quand même un bon point, le moteur a démarré et à tourné un bon moment, car ces toyan, pas que capricieux, mais une fois la carburation réglée il ne faut plus y toucher.

Par contre revoir le carénage ou apparemment certaines parties touchent.

Souvent je me dis de le refaire ce carénage, mais il y a du job, c'est toujours facile a dire, c'est plus difficile a refaire, mais à sa défense, j'ai un modèle sous les yeux.

Le refaire en acier ? Non, l'engin est déjà assez lourd comme cela. mais les avantages des aciers minces, 0,7 dixième , c'est plus léger et soudable.

En faits ces bulls avec leurs jupettes arrières sont complexes, car en alu il faut faire une ossature sur laquelle visser les pièces.

En acier, ce carénage se présente sous la forme d'une ceinture basse reposant sur le bas de caisse.

Une partie de ce carénage est la ceinture de celui ci, et sur l'avant des retours forment le dessus inférieur du capot moteur, et en même temps les marche pieds d'accés à la cabine.

On peut dire que celle ci est à l'aplomb de la ceinture sur les cotés, mais s'arrête a 4 cm de l'arrière, ces 4 cm servent à former la jupe arrière peut etre d'équipement, il y a les réservoirs, gas oïl et huiles hydro, les équipements de marches telles les batteries et autres électronique.

Greg en connait quelques choses en formants ces carénages en médium pour faire un master de moulages en alu. mais en récupérant une cabine de Bruder.

Sommes toutes ma cabine n'est pas si vilaine que cela, juste a ajuster certaines pièces du bloc moteur pour la remettre en place.

J'aie reçus les pignons de différentiel, ils se montent sur un axe acier de 5 avec deux méplats d'entrainement, une vis axiale de 2,5 TF le maintient en place.

Ce soir le pignon est monté, d'une part sur un autre axe, et d'autres parts sur le bull, et cette fois m'entrainement est franc.

Demain s'il fait beau, essais de marche sur le balcon.

Mais avant faire les tringleries des deux freins en raccord sur le servo en place au dessus.

Et puis, je suis obligé de déplacer le poussoir du démarreur vu qu'il se retrouve sous le carénage. Décâbler ce que j'ai précédemment fait.

Le poussoir sera juché sur une console alu un bout de carré d'alu de 15 de coté par 25 de long, surfacés aux deux bouts sur le tour grâce au mandrin 4 mors concentrique qui me sert de fraiseuse.

J'ai perce cette colonnette d'un trou de 11 et taraudé à M 12x100 qui corresponds au diamètre et pas du poussoir.

Cette colonnette sera fixée pas bien loin, mais plus sur l'intérieur accolée au carburateur, sur la platine de base ou il était au paravent, et cette fois manipulable en ôtant le capot amovible.