Tracteur 5 axes de transports en lourds , maintes fois modifié.

Boitier en partie percé pour recevoir les manches, puis travaux sur les sockets d'antenne, des fixations solides et sure en laiton .

Hier, j'ai travaillé sur le pupitre de la radio 3 émetteurs, j'ai commencé à ajuster mes manches sur la platine, puis tout re démonté pour passer ça en peinture époxydes Jaune CAT, j'ai fait ça au pinceau, certes c'est moins jolis, mais vue la chaleur régnante, si je l'avais fait au pistolet, la couleur se serait polymérisée dans le pistolet le rendant impropre à toutes futures utilisations.

Il m'en fallait que très peu de peinture, et 6 goutes de durcisseur, une fois étalée la couleur à polymérisée en 1 h.

Ce matin tout devrait être sec et dur, je vais pouvoir procéder au remontages.

J'ai même peint l'intérieur de la boite.

Il me reste ainsi trois boitiers king vides, 2 en 4 voies 1 en 6 voies.

Avec les radios Camox ça sera 10 boitiers vides sur les bras,  je dirait l'idéal pour reformer des radios anciennes.

Le boitier des radios n'étant pas complètement polymérisé, j'ai du le suspendre à l'étendage au soleil.
 
Et je suis passé sur autre choses.

Hier après midi, vue la chaleur régnante, il me fallait faire un petit boulot tranquilloux, j'ai opté pour la finition de mon pupitre trois radios.

En fin d'après midi tout fonctionnait impeccablement, le temps de coder les trois récepteurs, et de remiser l'émetteur, pour revoir les voies à commander sur le modèle.

En fait , depuis la dernière fois ou j'ai manipulé l'engin, bien des nouveautés ont vues le jour, changement du moteur par un gros bourrin, changement du vario de moteur par un truc de valeur sans bec, changement des accus lipo pompe et moteur en 2 voltages différends.

Il me fallait impérativement monter ce nouveau pupitre multi radios, pour incrémenter mes voies et continuer à travailler.

Ce faisant, j'ai supprimée une voie hydro sur distri Magom, celle du balancier de grumier.

Sur cette radio 14 voies , il me reste donc une voie de rab.

J'ai donc revue à l'amélioration et les deux dolly, nooteboom et grumier seront doté d'une direction à partir du pupitre.

Double avantages, car dans les marches arrières, c'est le dolly qui commande la direction de l'ensemble.

Ce matin, intermède sur cet engin, puisque les émetteurs sont opérationnels, autant monter les récepteurs sur le modèle ,

Que déjà se profile à l'horizon les premières modifications, en effet du fait de la venue du gros vario du moteur, il n'est plus possible de placer les accus à plats au dessus de l'équipement, je leur ai trouvée une meilleure place, dans un berceau entre la grue et l’équipement.

J'ai donc confectionné un berceau en u prenant les deux accu à plats transversaux, mais verticaux, une fois le tout caréné avec la cabine on ne verra plus rien.

La place est comptée dans cet habitacle surchargé, en fait c'est ça quand on est trop gourmand, de faire d'une pierre deux coups:

un tracteur de transport en lourd, et un grumier mélangé, deux camions totalement différends.

Le hic, c'est qu'il me faut modifier l'arrière de la cabine de conduite, et supprimer le support du harnais de sellette du grumier.

Je penses alors le replacer sur le dessus du dolly de grumier lors des transports à vide.

De même, le vario de pompe et son bec ne sera pas suffisant pour alimenter les trois récepteurs et les innombrables servos, aussi je recourt aux accu réception séparés, 4,8 v 1250 mah ni cad de récupération des 7 perceuses accu achetées pour les camox.

Comme je l'ai décrit à MCDWA je supprimerais le fil rouge plus du connecteur allant sur le récepteur.

Et pourquoi cela ? Car en fait , il faut se poser la question du pourquoi et du comment ?

Vous l'avez tous vus, les servos , comme tous les périphériques de fonctionnement sur nos modèles, ont trois fils sur le connecteur noir allant au récepteur ?

C'est quoi ces trois fils et à quoi ils servent ?

Le blanc est le fil du signal, il est de polarité plus, c'est par ce fil que passe le signal de commande du manche émetteur par le récepteur.

Le fil noir est le moins général de l'installation.

Et bien sur le fil rouge est le plus général d'alimentation.

Donc chaque périphérique va apporter par sa ligne une alimentation au récepteur, s'il est équipé d'un BEC.

Dans le cas d'une alimentation séparé de la partie réception on supprime le fil rouge provenant de l'alimentation du BEC du périphérique, en effet on risque de gros dommages au récepteur, si l'accu alimentant la réception est de plus fort ampérage que celui fournis par le BEC.

Ne pas confondre avec tous les périphériques équipés des même valeurs BEC alimentant un récepteur , Ils sont tous aux mêmes valeurs, ces valeurs ne s'additionnent pas et restent aux mêmes potentiels: 5 v 1 amp, parce que tous les connecteurs sont montés en parallèles.

C'est cette technique que l'on utilisait avant la venue des varios inverseurs ou non, avec BEC, deux alimentations séparées, en effet un accus rechargeable à une capacité interne bien supérieure aux BEC utilisés de nos jours.

Un BEC actuel de 5 v 1 amp suffit à deux servos , pas plus, au delà il faut rechercher des varios avec des pouvoirs BEC supérieurs, 5 v de 3 à 5 amp, au delà la solution des accus séparées est préférable.

En après midi, continuation sur l'engin, et dé terminaison des nouvelles voies hydrauliques.

Ces essais ont été avortés par le fait de la batterie montée sur la radio, quasiment HS, c'est une vieille batterie qui a appartenu à mes anciens émetteurs.

En remplacement, demain je monterais un pack d'accu provenant du stock des batteries de perceuses des camox.

Les trois récepteurs sont alimentés par une batterie autonome 4,8 v 2500 mah, mis en marche par un interrupteur commun.

En faits par rapports à certains usages, peut être monterais je 3 inters , un pour chaque récepteur ou groupes de services, car il est des fonctions qui ne seront pas forcément toutes utilisées à la fois.

Ah un truc que j'ai oublié de dire, j'ai branché mon nouveau vario inverseur, puis fais des essais de roulages, dans l'atelier bien à plat c'est une merveille, dehors avec le sol inégal, il y a patinage, les roues se soulèvent ou tout du moins restent bien alignées et ne suivent pas les défectuosités du sol, de fait plus de propulsion. cela est du à une suspension trop raide, deux solutions s'offrent à moi:

Rendre sa liberté de mouvements à mon essieu arrière moteur et directeur, car ses ressorts sont assez raides, et empêchent les bons débattements des ressorts à lame des deux autres essieux moteurs.

ou, Comme j'aie une voie de rab, je penses, tant qu'à faire à monter des blocages des trois ponts moteurs, et passer ainsi au mode crawler.

puis je suis repassé sur les camox.

Avec l'utilisation des modules de commutation 4 voies CTI, ça m'ouvre de nouveaux horizons pour la commande de mon camion:

Puisque la pub du commutateur le dit, il faut bien séparer les commandes du camion, des commandes de la grue, et il ,e me sert à rien d'avoir à disposition une multitude de manches.

Dans mon nouveau diagramme, il me faut piloter mon camion, puis piloter ma grue.

Mais dans le pilotage du camion, cela inclus le pilotage du porte engin à col de cygne hydro, puisqu'il a un col de cygne détachable, et une direction des trois essieux arrière du dolly porteur.

Ce faisant, la remorque du dolly grumier à une direction par servo, va de paire avec les commandes camion.

Puis, arrivé en stationnaire, commutation de 4 voies de pilotage camion, au profit du pilotage grue hydro.

Pour cela, les radios se simplifient, une radio Graupner à 7 voies est utilisée en master, et une radio hobbyking est utilisée en esclave.

Pour la 7 voies, avec commutation, ça lui fait en faits 11 commandes, et sur l'esclave 2 voies sur manches, et donc deux voies de rab.

Voici comment sont disposées les commandes: 1 er Radio 7 voies :

Manche de gauche au sens de marche, plus la direction dolly, porteurs ou grumier.

Manche de droite direction camion et relevage col de cygne hydro du porteur.

Une voie sur potentiomètre pour la pompe Jung, une voie pour la commutation, une voie pour les stabilisateurs de grue.

                                                      on passe en commutation de voies:

Manche de gauche direction tourelle de grue et télescopage de flèche.

Manche de droite relevage de flèche, et commande de pince.

puis sur la radio esclave:

Manche de gauche tournage de pince .

Manche de droite relevage sellette de col de cygne.

Une simplification notable des radio commandes, qui n'ont plus a être démontées pour les installer en pupitre.

Ma formule l'une au dessus de l'autre me convient parfaitement, mais la disposition cote à cote me convient aussi très bien.

Chaque radio émetteur conserve sa propre alimentation, seuls les récepteurs ont une alimentation commune.

Ca résous aussi les problèmes d'interférences internes, car démonter des radios pour les ré implanter ailleurs peut causer quelques soucis.

Du coup sur cet ensemble je récupère une radio King en 6 voies et une en 4 voies.

Déjà un bon point d'acquit, la radio double de l'ensemble est montée: une King 6 voies accouplée à plat avec une 4 voies, et c'est la 6 voies qui commande le module CTI. Ce qui me donne 14 voies de commandes pour pas cher. et les fonctions sont toutes repérées sur les radios.

Et il me fallait absolument que ces radios soient montées pour faire ma nouvelle implantation.

Un bon point, je récupère un distri Magom à 3 voies, que je vais remplacer par le deux voies commandé pour mon tracteur Atlès, et sur mon tracto pelle j'ai également un 3 voies donc deux voies seulement sont utilisées.

Et ces distri vont me servir dans un premier temps pour ma flèche de démolition

Et donc sur le tractopelle je monterais un deux voies récupéré sur le Bull D 10 Bruder, sur les fonctions riper.

Tu parles de magouille ?

Dans un second temps, démonter mes trois ponts différentiels pour les pourvoir en blocages de différentiels par radio puisqu'il me reste 2 voies libres., par exemple sur une voie sans neutre en tout ou rien.

Mon gros handicap avec ce camion c'était justement les effets différentiels qui me supprime toute traction.

Le goudronnage devant mon atelier est parfait pour ces essais du type crawler il est tout bosselé, rien à voir avec le sol unis d'un gymnase.

Si les engins sont configurés pour ces dures conditions, à fortiori, ils fonctionneront parfaitement sur sols unis .

Et l'engin immanquablement rencontrait dans sa progression un trou sous une roue annulant toute propulsion.

Cet après midi j'ai bossé pour moi lol, du coup j'ai nettoyé un peu l'atelier pour travailler sur ce camion.

Démontage des récepteurs en trop et installation du corona 8 voies en partenariat avec un 6 voies King.

Ca m'a permis le montage du module CTI de commutation des voies et du petit PS4, et étonnamment ca MARCHE, la commutation se fait parfaitement.

J'ai donc viré le distri Magom 3 voies dont 2 voies servaient réellement, pour le remplacer par celui du tracteur, puis je me suis amusé à reconnaitre toutes les voies.

Coté alimentations, le récepteur Corona est alimenté par un accu lipo 7,4, 8 amp sur BEC, tandis que le petit King l'est sur petite batterie ni mih d'appoint, au moins pour commencer, car si je trouve un U Bec qui me convient je le remplacerait rapidement.

Le moteur quand à lui, un gros 700 est alimenté en 14,8 v, 8 amp avec un gros vario de puissance non munis de Bec, cela a été rendu nécessaire pour le transport de la remorque Nooteboom pour la pelle liebherr, un ensemble d'environ 40 kg.

Mais dans un second temps, il me faut démonter mes trois axes moteurs arrières pour leur monter des blocages de différentiels mécaniques, qui seront actionnés par l'une des voies en rab de la King.

Mes suspensions sont relativement raides , cela est du à la suspension du dernier essieu, ce qui empêche aux roues d'épouser les défectuosités de la route, avec ces blocages de diff, la propulsion sera du type Crawler.

Je penses que ma remorque une fois opérationnelle me permettra le transport de mon Dahox ?

Ce matin merdouillages à fond la caisse: en faits il me faut adapter différends types de servos sur différends types de distributeurs.

Et comme si ça ne suffisait pas, ma radio principale me donne de l'exponentiel sur ma voie de propulsion double, si encore celle ci était programmable ? Mais non, du coup une demi course sur une voie propulsion ou hydro.

Du coups je la vire pour reprendre une radio identique, toujours Graupner 7 voies en 2,4 giga. Ce qui me fait suer c'est de devoir refaire le lettrage.



Mort de rire j'aie la radio au dessus, ben non elle n'est pas programmable.

EUREKA de chez super poil, tout fonctionne à merveilles.

Déjà, le changement de radio s'est fait tout seul puisque mèmes émetteurs Graupner, les fonds jummellés deux radios ont rjoint la nouvelle.

Une fois le récepteur à nouveau codé, re branchement de toutes les voies, via le commutateur.

C'est la que ça s'est compliqué, bien heureusement j'avais fait un shéma papier des incrémantetions, malgrés cela j'ai cherché longtemps ou allait pierre paul et jacques.

En commutation camion j'ai donc la direction générale, et la propulsion, puis le relevage du col de cygne hydro détachable de la Nooteboom, et à gauche la direction du dolly arrière.

Sur radio annexe king, le relevage sellette col de cygne détachable, la rotation de bosse de pinces à grumes, le débrayage sellette camion. Et bien sur le débrayage des ponts et leurs blocages de différentiels.

Puis je passe en commutation et j'obtient le relevage de flèche, le télescopage, le serrage de la pince à grumes, la rotation de la flèche, sur voie annexe permanente les stabilisateurs, la pompe et le commutateur des voies.

En fait j'ai bien mes 15 fonctions sur 11 voies au total.

Grace au petit PS4 je pourrais allumer ou éteindre des feux, déjà ceux de route, les gyrophares, et certainement des feux de travail sur grue, au total 18 fonctions.

Des photos suivent notamment les dernières avec cabine en place.

Ce qui va être fabuleux, c'est la double direction, camion dolly, mais en faits les deux dolly, celui de la Nooteboom et celui du transport de grumes. Avec le double avantages de pouvoir diriger tout ça en marche arrière, et que les dolly deviennent maitres et non esclaves.

Leur direction est couplée à la propulsion du tracteur en mono manche.

En faits tout à été pensé minutieusement, pour rendre les fonctionnements agréables.

Voici à quoi ressemblera mon ensemble, pure imagination, en faits la base était prévue pour deux autoportées LTM 1075, à une époque ou j'affectionnait particulièrement ces grues portées, d'ailleurs l'autre châssis quasi identique serait prêt à recevoir sa grue.

Mais en 8 roues uniquement.





C'est vrais, ça ne ressemble à rien de connu, la cabine est de base Liebherr 1075, le reste n'est que pure invention.

C'est pas une maquette mais l'engin me plait tel quel, et malgré sa laideur il ne comportes pas moins de 8 fonctions hydrauliques, il est surtout multidisciplinaire et polyvalent, et ça personne peut en  dire autant ?









La particularité de la grue c'est qu'elle tourne de 360 ° sur elle même, 180 ° de parts et d'autres du neutre arrière, ce qui permettra en mode courant de poser la flèche sur le dessus de cabine, par sa griffe de manipulation.





La force de relevage des vérins de remorque est de 80 kg environ, mais ceux ci ne doivent réellement relever qu(une trentaine de kilos, pelle et remorque sur l'avant.





Le nouvel ensembles deux radios.

En début d'après midi, course chez mon brico du coin pour acheter de la cornière alu de 25x40 nez de marche, et des vis pour fabriquer un élargisseur de voie de portage pour ma remorque Nooteboom transport de pelle, c'est Raphi qui m'a fabriquées les charnières en plastique sur son imprimante 3D.

La voie de portage passe ainsi de 185 à 265, rien qu'en dépliant les volets.

en fait ma remorque est la maquette exacte dans ces moindres détails d'un tas de ferrailles destiné à transporter les grosses pelles actuelles, de fait son modèle est un assemblage disparates de ferrailles et d'alu, pour le portage de ma liebherr 964 B qui elle fait 295 mm de voie extérieure de chenilles.

des photos suivent.

De même avant de quitter j'ai re positionné le gros régulateur de marche du moteur 700, et répartis la filasse ou plat de nouilles dans l'habitacle.

Les batteries prendront alors place au dessus du plat de spaghettis à plat l'une à coté de l'autre sur un support aménagé.

Aux essais de ce matin tout fonctionnait à merveilles.

Me reste donc à démonter mes trois ponts pour leur fabriquer des blocages.





L'engin est en peinture dans l'étau, volets repliés voie de 185, dans cette position ils forment un bac à bords relevés.









Et ici, les volets sont dépliés formant un large plateau de 265 de large.



Dans ces conditions, j'ai positionnée ma rallonge télescopique pour obtenir un plateau fixe de 700 de long, et avec le dolly arrière de 300 de long ça forme une remorque de 900 mm, la flèche dépassera sur l'arrière de 15 à 20 cm maximum.

Il faut que je fasse des essais de chargement avec la pelle, et si ça se trouve monter sur les abouts des cornières des pentes d'abrègement, pour faciliter la grimpée de l'engin. Mais normalement vu leurs crampons ça ne devrait pas poser de trop gros problèmes, mes chaines sont en acier.





Le plat des spaghettis, ça ressemble à un bordel , oui mais à Mon bordel organisé lol.





Six distris hydro en cabine et deux dans le col de cygne, d'origine avec l'autre grue dépliable 9 distributeurs hydro.

Avec une telle complexité c'est normal que ce soit bordélique.

Aujourd'hui, démontage de mes trois ponts moteurs, pour leur fabriquer des blocages de différentiels comme sur l'excellent post édité sur Camions .fr, en son temps, et je dit bravo à celui qui l'a écrit.

Mes trois ponts sont du Tamiya, dont le dernier directionnel, repiqué d'un TLT, donc trois ensembles standards, les photos suivront, car celles que j'ai copiées sont incomplètes sur notre forum.

Je penses faire les commandes avec un fin câble de vélo dans sa gaine souple.

J'ai deux solutions pour la commande: soit les différentiels sont libérés, soit ils sont bloqués en position normale, le crabot étant repoussé par un ressort à boudin, solution qui m'arrangerait bien.

En faits au vus des premiers essais, je me suis aperçu que les diff ne servaient à rien, le poids sur la sellette avec la remorque Nooteboom étant assez conséquent, la double direction devrait garder son efficacité, car sur l'avant de l'engin se trouve tout l'équipement donnant du poids adhérant, et ça n'empêches pas le camion de tourner, augmenté par la direction du troisième essieux moteur.

Et s'il y a lieu sur terrain unis comme un gymnase d'annuler provisoirement les blocages des différentiels.

Décidément pas de bol avec ma cabine, du fait de nouvelles dispositions de l'équipement, les batteries prennent place dans un bac posé à plat au dessus de l'équipement, de ce fait ma cabine est encore trop basse, et il me faut la surélever d'un cm.

Raphi fait moi une cabine en plastique en 3 D lol ? (boutade bien sur).

Il me faut réviser mon jugement et voir si je ne puis abaisser un peu la position de ma batterie lipo 4 éléments ? Celle de la pompe deux éléments passe à l'aise, c'est la grosse (c'est toujours les grosses qui posent des problèmes lol) qui est trop haute.

J'ai donc diminué en hauteur les colonnettes supports du bac à batteries, plus un petit renfort d'assemblage de mes deux cabines, plus quelques rognages de ci de la, pour que la cabine rentre sur ses supports.

puis j'ai attaqué le démontage des trois ponts, bien heureux ce démontage parce qu'à l'intérieur des coques plastiques des vis de cloche s'étaient barrées, un risque de massacre dans les engrenages d'entrée, mea culpa, quand je montais mes pièces tamiya je ne mettait pas de frein filets, du coup j'ai achetée une topette et j'en aurais pour trente ans.

Il me faut donc fabriquer 3 rondelles d'acier rainurées, pour permettre aux leviers de manœuvre à picots de faire mouvoir, la triple griffe rentrant dans la cloche et grippant sur l'un des planétaires.

Les trois tiges d'arrêts seront en acier corde à piano de 2 mm, vissées dans les rondelles crabots, et brasées argent, le tout bien sur centré et percé sur diviseur.

J'ai choisis aussi le blocage au repos, et le débrayage en tirant, car les vraies positions seront ponts bloqués, ça ne pose aucuns problèmes le ressort d'appuie prends son appuis sur un des paliers intérieurs, quitte à mes trouver 3 butées à billes miniatures chez conrad facile pas chères.

Demain j'attaque ces hostilités. lol.

Ce matin j'ai commencés mes usinages, en fait le crabot ne peut prendre place que sur le palier conique coté couronne.

Il est conique car dans son intérieur se trouve un alésage pour le logement du moyeu du planétaire, je l'ai donc re cylindré au tour à 11.

C'est la dessus que va translater le crabot à trois griffes.

Celui ci est pris dans un rond acier de 20, repercé à 11, et sur son extérieur une gorge de 2 mm à été pratiquée sur 1,5 de profondeur, c'est cette gorge qui sera entrainée par la fourchette de manœuvre.

par contre pas de ressorts de poussée, ça sera donc au servo, et aux réglages micrométriques des gaines à câbles, réglant chaque longueur, à assurer le parfait positionnement des crabots: soit débrayés, soit embrayés.

Il me faut donc réaliser coté servos et ponts un système souple à 3 câbles de vélo réglables, rien que de la mécanique de précision.

Ci joint quelques photos en préambule.



La partie conique du palier a été ramenée à 11 mm. C'est la dessus que va coulisser le crabot à trois griffes.





Le diamètre intérieur dents du couple est de 20,5, le crabot lui fait 20 mm, il sera donc au dessus de l'engrenage d'entrainement venant du moteur, il s'agira après de la jouer fine lors de la fabrication des fourchettes de manœuvre, pas tellement pour le dernier pont directeur, mais plutôt pour les intermédiaires, qui eux ont entré sorties d'entrainement.





Les trois couronnes oint donc été usinées prudemment car moulées dans un alu de fonderie extrêmement dur, s'agirait pas qu'une cloche ripe, elle serait fichue. donc dixièmes après dixièmes.





Les trois crabots sont usinés en même temps sur le même rond étiré, les amorces des découpes faites à la scie à métaux, tour en marche, on voit bien les rainures des fourchettes faites à l'outil à tronçonner.

Puis sans démontage , le mandrin sera placé sur diviseur indexables sur le plateau de la fraiseuse, pour pointer les trois trous des emplacements des picots d'embrayage, le réglage du mandrin sur le diviseur permettre de pointer les cloches et le planétaire à accrocher.

C'est plus long à décrire et faire les réglages que les pointages, mais c'est la seule façon de garder l'orthogonalité.

Si Bastien ,le fiston de Franck, un môme de 10 ans, de mon voisin  le plombier ne m'avait tenu le crachoir deux heures durant, les trois blocages seraient terminés.

Nez en moins lol j'en ai fait un presque complet, des photos suivent.





L'état des pièces vers 18 h,

 

L'ensemble des pièces des trois diffs sont percées.









Les trois ergots de 2 mm acier trempés ont été enfoncés à la presse hydraulique, donc pas de brasures, épaisseurs des crabots 5 mm, la course se joue sur 4 mm maximum.





Comme tous les soirs mon serveur d'images déconne d'où du n'importe quoi.





Dans cette configuration le différentiel est bloqué, l'un des planétaires fait partie de la cloche d'entrainement.

Ce matin, pas pu faire grands choses, si ce n'est la continuation sur les blocages de diffs, mais ce soir il y aura pas mal de choses de faites, entre coupé de la course pour aller chercher les mousses des roues des dahox.



Voici les nouvelles photos avec les nouvelles mousses plus dures.




Coté blocages, il me faut des anneaux truarc de 4, en effet, en démontant mes diffs, je me suis aperçu qu'il m'en manquait, ils servent à retenir les demi arbres de roues dans les différentiels.

Ce qui est paradoxal, c'est que je n'en ai jamais montés, et pourtant tous mes diffs tamiya tiennent le choc, aucuns demi arbre ne s'est barré en prenant la tangente lol.

Les trois systèmes sont montés et ajustés appariés, il me faut donc les anneaux truarc de 4 pour les remontages mécaniques.

La suite verra la fabrication des fourchettes de commande des crabots, qui se situeront à mi emboitement des deux coquilles plastiques, il me faudra certainement inclure un système à rotule pour le pied de fourchette, anti jeux et usures ?

J'ai pensé à des chapes à rotules modifiées.

J'ai mes anneaux truarc, pris chez A2pro avec le Ubec d'alimentation du récepteur King, avec la batterie pour le tracteur Atlès.

Cet aprèm remontage des diffs avec ces clips, puis continuation sur les fourchettes.



En faits , je ne pourrais pas faire comme je veux, car le différentiel directeur arrière n'a pas le même carter que les standards, le crabot est bloqué en position craboté du différentiel sans possibilité de débrayer, par manque de refuite arrière, ou destruction du carter plastique.

Seuls les diff intermédiaires jouirons de ce système. Dans le principe.

Dans MA réalité, c'est justement les différentiels qui me gênent dans ma marche, et donc s'ils sont bloqués, ca ne sera pas si mal,

MAIS mon travail n'aura pas été inutile, car à part ces crabots les différentiels ne sont modifiés en aucune façons, il suffit de démonter les crabots, pour qu'ils redeviennent comme avant.

J'avais pensé les bloquer avec du sintofer, mais c'aurait été définitif, alors que la , ceux ci conservent leurs dispositions.

Coté fonctionnement, j'avais trois batteries, une de 4,8 v pour le récepteur annexe, une lipo de 7,4 v pour la pompe et le bec du récepteur Corona 8 voies, et enfin une lipo de 14,8 v pour le moteur de propulsion sans Bec.

J'ai donc acheté un Ubec pour desservir le récepteur annexe, il sera branché sur l'alimentation 7,4 v, ce qui me permettra de monter un gros inter de coupure à deux étages, allumant du même coup tous mes périphériques.

Les temps ne sont pas loin ou je pourrais enfin transporter ma pelle liebherr 964 B et nos Dahox 1275.

Ce matin, remontage des mes trois différentiels, mais crabots bloqués par points de colle cyano, de façons à n'avoir aucuns problèmes de traction.

j'en ai profité pour assouplir la suspension arrière de l'essieu directeur, puis remontages complets.

Cet aprèm d'autres devoirs m'appellent, reprise demain.

Après des bricoles de pure mécanique, en fin de soirée reprise sur l'engin.

j'avais des doutes sur le fonctionnement de mon vario inverseur moteur lol et mdr, fiche récepteur à l'envers, ça risquait pas de marcher  ?

Il me faut monter un inter général, à deux pouvoirs de coupure, respectivement pour les deux batteries, ce qui va alléger la filasse.

Idem pour la raccorderies servos de col de cygne, et pour le raccordement remorque col de cygne, avec des connecteurs sub D à 15 broches.

Un premier montage sur le coffrage avant du col de cygne, fils venant des commandes du récepteur et alimentant les deux servos hydro du relevage, plus une dérivation vers un autre connecteur SUB D, pour les raccordements servos de dolly et par la suite feux de route, le tout dans un deeper multibrins.

Il me faut un montage propre et solide, car ça risque de prendre des coups.

Normalement demain après midi je devrais procéder aux premiers essais roulants en solo, puis en remorque, et par la suite sous charge de la pelle liebherr 964 B et du dahox à ma pomme. Pelle et Dahox devraient avoir les mêmes poids finis.

Le remorque Nooteboom est capable de porter environ 50 kg.

Bon, pas encore d'essais, j'ai voulu faire mes câblages propres entre la réception et mes remorques, et ça prends du temps ces connectiques fines.

Mort de rire, en faits je me suis planté, je voulais utiliser un deeper multibrins à 20 conducteurs multi couleurs, mais ça n'a pas été la bonne solution.

Et je me suis remémoré ce que Cater 38 sur engin avec dit à Sassacécé: pour un servo il y a un plus, un moins et le signal, donc en groupant les plus et les moins, ça économise 2 contacts ? Il est con le JPG quand il veut ? lol.

Du coup j'ai perdue une après midi à peautafinner dans la mélasse.

La vraie solution est de refaire mes câblages, avec de la filasse trois fils de servo dont j'ai quelques longueurs:

Au départ de mes récepteurs j'ai trois connecteurs, un pour chacun des servos de sellette à col de cygne détachable, plus un pour la direction du dolly arrière.

Qui peut le plus peut le moins ? Je m'étais entiché de monter mes câbles pour des feux de route: pour cela il faut : la masse commune, les feux de route, les feux de recul, et chacun des clignotants autrement dit 5 fils 5 contacts.

Et pour mes 3 servos , pareils, 5 fils: les 3 plus communs, les 3 moins communs et chacun des signaux.

Donc 10 fils au total de plus forte section que le deeper.

Faire et défaire c'est toujours travailler, cet après midi je vais décabler et recabler, et entourer tout ça avec de la gaine spiralée.

J'ai donc un connecteur Sub D provenant des récepteurs et des fils lumières, un connecteur est monté sur le plastron avant du col de cygne, puis les fils cheminent dans celui ci pour se terminer sur un deuxième connecteur monté sure l'un des bras de relevage, pour la connexion de le remorque à pelle.

Mais pour le dolly grumier, il me faut à peu près la même chose, un connecteur femelle volant, mais sous gaine spiralée se dirigeant vers le dolly directionnel, avec pour lui le câble du servo de direction et les lumières.

Le dénouement est proche, bientôt les essais en dynamique, surtout la forte rampe devant mon atelier sera le point final aux essais en ligne.

Et voila, c'est fait, la boucle est bouclée, une vidéo de 5 minutes environ suit.

Les différentiels bloqués sont une véritable bénédiction, le camion est presque pass partout, bien sur ce n'est pas unTT.

Essais d'abord en solo, puis avec Nooteboom à vide, et enfin avec Camox en charge, lol ça ne le fait pas suer il est capable maintenant d'emmener n'importe quelle charge, la direction du dolly arrière est aussi une bénédiction, et dans les deux sens de marche.

prochain essais avec ma pelle ce pourquoi le remorque à été construite.



 https://youtu.be/CdPPmq4Fkdc



Puis j'ai refait complètement mon câblage, coté camion, je part sur 3 connecteurs males pour récepteurs, plus 5 fils pour les lumières, le tout enrobé sous gaines spiralée, et je me raccorde au col de cygne par socle SUB D à 15 contacts, bien sur , fiche démontable.

Dans le col de cygne départs vers les deux servos des distributeurs du col de cygne hydro, le troisième fil part avec les 5 fils lumières sur le connecteur fixé sur l'un des bras de relevage remorque, ultérieurement d'un coté ou de l'autre, seront les départs vers les feux de position éventuels du col de cygne.

une autre fiche SUB D se monte sur ce soquet, mais cette fois en deeper à 8 fils sous gaine armée, et se dirige sur l'arrière du dolly par le puits central, les trois fils servos de direction et les 5 fils lumières.

Le col de cygne est bien sur amovible de la sellette, il me faudra alors faire l'autre montage quasi identique sous deeper 8 fils pour la direction du dolly grumier, et ses lumières.

L'interposition entre prises males et femelles permet ces mutations.

Les lumières viendront plus tard, ça n'est pas ma priorité.

Une fois mon câblage bien au point, essais hydro en situation du col de cygne se détachant de la remorque, pour y faire grimper la pelle Liebherr en autonomie, ou il me faut prévoir des points d'attaches pour arrimages chaines acier sur ridoirs et crochets, car mon petit parking est bosselé, et les engins fichent le camp, mais c'est le terrain idéal pour des essais en force, on voit que sur la vidéo le terrain est en pente, l'ensemble roulant faisant 45 kg environ : 15 pour le Dahox, 15 pour la remorque , 15 pour le camion.

A termes l'ensemble pèsera bien 10 kg de plus.

La pelle elle pèse 25 kg donc convois roulant de 55 kg.

En ce début d'après midi j'ai du rouler bien 3/4 d'heure surtout en pente, le vario est froid et le moteur 700 tiède. 

dans l'ensemble, satisfait de mon travail de blocages des différentiels, ce qui permet au camion d'avoir prises au sol quelques soit les déflexions de la route, l'assouplissement de l'essieu arrière y contribue grandement tant à la direction qu'à la propulsion, il écope les surplus de poids des chargements. Voila un ensemble que j'amènerais avec grands plaisirs à Chabris et Fougerolles.

Il y aura vidéo pour le chargement de la pelle, puis vidéo sur le chargement grumes et transports.

La commutation des servos est un peu lente à passer d'un système à l'autre, mais ça marche, et c'est bien plus léger de n'avoir que deux radios. J'ai monté dessus mes équerres de portage en bandoulière, et c'est super pratique.

La direction dolly n'est pas énorme, certainement des réglages des tringleries, mais efficace quand même dans les deux sens.

En après midi, continuation sur mes essais, cette fois transport de ma pelle liebherr 964 b de 25 kg en rampe, un convois d'un poids total de 55 kg environ qui ont eus raisons des ponts Tamiya. apparemment ?

J'ai démonté le premier, apparemment rien d'anormal sous sa gangue de graisse mécanique ?
Module 0,7, c'est un peu léger, au rapport 1/2,6 chez Michaud Chailly ils ont des couples coniques au rapport 1/2, et 1/2,5,

Je vais me pencher sur des engrenages acier au module de 1., mais je serait obligé de refaire mes trois ponts pour les supporter.

Une grande vidéo suivra dans la soirée.

https://youtu.be/Qgs4FcqXwww

J'ai suivis avec une vidéo de transport du PR 764 Liebherr mais c'est alors que la transmission à lâchée.
https://youtu.be/3p51D2XGQjE

Je penses avoir trouvée ma panne : plus d'entrainement sur pignon moteur ?

Je pense que cela est du à un jeu trop important entre le pignon moteur et la couronne, de ce fait le pignon en reculant échappe les dents de la couronne, ou les lèche sur le sommet des dents ce qui occasionne les usures. Et ça se joue à quelque centièmes près.

Le remède consiste donc à diminuer ces jeux en posant une rondelle de clinquant sous le pignon moteur, ce faisant il va coller aux dents de la couronne, et si le mécanisme est bien graissé, il ne peut y avoir usures.

Y a qu'à Faut qu'on au turbin mon JPG.



C'était tout à fait ça, une rondelle de 5 dixièmes sous le pignon moteur et le camion fonctionne à nouveau.

C'est un peu plus dur mais ça va se faire avec du rodage.

 Aux essais de cet après midi, c'était pas ça du tout, puisque ça continuais à tourner dans le vide.

Au démontage du pont, c'était plus insidieux que ça : Le pignon est moulé en usine autours de l'axe, et celui ci s'était désolidarisé et tournait sur l'axe.

remède purement mécanique , la clavette entre cuir et chaire, pointage entre l'axe et le pignon, forage d'un trou borgne de 2 sur 8 mm de profondeur, goute de colle cyano, puis enfonçage à force d'un rond CAP de 2, puis arasage à la meule.

Cet après midi le camion fonctionnais à nouveau les doigts dans le nez. (pour ne pas dire autrement lol )

Dans les deux cas pas facile de piloter avec une main Mdr.