élévateur Manitou TMM 25 4W-JPG édition BAMO

Je ne sais pas mais tu le sais surement mieux que moi en tant que metallier Même si je pense que l'anodisation n'étais pas vraiment dans le cadre de ta profession.

Je n'aime pas trop percer en dessous de 1,5mm, à part les plaques epoxy électroniques bien sur. J'ai toujours peur que le chemin soit pas bien droit et que le forêt casse. bonne idée la corde de 1mm, çà doit être largement assez rigfide vu les longueurs sur lesquelles on travaille

En faits j'ai utilisé un foret chinois que j'ai réaffûte, et qui coupe du tonnerre.

L'anodisation ne fait pas partis de notre métier mais on fait souvent traiter des pièces. Par des industrie spécialisées.

Pour ce matin ré ajustages du support haut ce qui m'a permis d’être parallèle cette fois.

Puis je suis passé sur fraisage de la traverse haute de flèche, mais hélas gourance, et trompette je n'avais tracée que sommairement ma pièce, et du coup j'ai outre passées les cotes je l'aie donc refaite dans un barreau de 20x12.

Sur ce coup ça se joue au mm près, ma fraise en Té fait 14, les cornes de levage vérins font 7 la cote extérieure cornes extérieur bossages de fixation est de 20, ma fraise en Té passe mais sur entaille d'un mm sur les cornes de fixation, un vrais coup de bol. ne cherchez pas c'est de la technique pour moi.

Autrement j'aurais du faire ça à la scie et à la lime, mais c'est moins jouissif.

Ce soir normalement l’échelle est montée, et je devrais passer sur les deux faux vérins latéraux.

Pour ces faux vérins je dispose de tubes de 7 et 5 extérieurs d'antennes télescopiques, épaisseurs très minces, ce qui va me permettre de faire des embouts taraudés à 3 pour les tubes tiges d'un coté et à M 4 de l'autre, et pour les tubes cylindres des embouts intérieurs à 5,1 pour le passage des tubes tiges de vérins.

Sur, que l'échelle montée va me permettre de voir la suite et sa motorisation. Car pour bien apprécier les courses, i; faut que les deux échelles soient l'une dans l'autre de façons à bien voir les entre axes de vérins, et d’apprécier les véritables courses, sachant que les moteurs à tiges filetées seront à modifier pour les fins de courses à ressorts, et les longueurs réelles des tiges filetées.

Il faut que je me retrouve dans la configuration du Linde H 50 fourches baissées à fond, pour faire l’étude de la suite: ciseaux, système de marche ciseaux, châssis de fourche et glissières des ciseaux.

Sachant que sur le châssis de fourches est monté un N 20 à déport sur le coté. pour action sur crémaillères d'écartement des fourches.

Pour ces fourches il me faudrait du méplat alu dans lesquels tailler ces deux fourches glissantes sur roulements..

Je prends donc dans la masse ces deux fourches en taillant dans le gras des plats les deux ébauches, à la scie tronçonneuse, et me restera deux chutes épaisse pour autre choses..

En après midi finitions sur ces échelles, ce soir c'est fonctionnel, petite vidéo de 2,45 à visionner.

https://youtu.be/zLf02Yy_jFY

Wahou, topissime, il est superbe ce mat, et il a l'air tellement fluide, il fausse pas, se repli sous sont propre poids. Une véritable pièce d'horlogerie

Il est fluide, un tantinet de jeux, redescends sous son propre poids, c'est une véritable oeuvre d'horlogerie, lol n"'ayons pas peur des mots.

Pour la suite, et je ne l'avais pas descendu le support du bas qui est à re travailler et couper en deux pour resservir.

Ce support est celui du mat.

Une fois en place sur la caisse, en plaçant des cales de hauteur dessous, je serait à même de........ ne rien voir du tout lol.

Si bien sur la concordance avec le vérin d'orientation avant arrière, par exemple, et voir comment fabriquer le châssis fourche pour inclure tout son fourbis les deux glissières annexe de cisaillement et les ciseaux.

Certes tout comme toi je bout d'impatience, mais à quoi bon me précipiter, j'ai ce qu'il faut pour tout faire, lol je remue le couteau dans la plaie, mes bécanes m'attendent pour de nouveaux travaux.

Et l'autre badabeux sur les camions qui m'a bannis sous prétextes qu'on peut faire du modélisme sans machines ? PÔvre fou.

Tu parles d'une burette.

Je vais donc refaire le sabot du bas à prendre dans une plaque AGS de 5 mm, découper une barrette de 15x61, rectifiée sur fraiseuse, et évidée pour laisser subsister deux pattes de 2,5 d'épaisseur avec un fon de maintient de 3 mm.

Les trous sur pattes de 3 mm très près des extrémités en trous lisses vu que les tourillons d'oscillation sont vissée dans le bas des montants de mat. Les vis fixant le sabot au carénage de 2,5x6 avec écrous intérieurs car impossibilité de faire autrement.

Remontage bien sur du N 20 d'orientation, pour étudier la partie tige lisse avec écrou intérieur, à relier aux mats.

Les deux montants du mat dépasse en dessous du carénage de 9 mm, pour une descente au ras du sol des fourches.

Un remontage fictif hors peintures des trois roues sont les bien venues, pour ce faire une idée de la position de l'engin au sol.

Position essentielle pour calculer les pièces suivantes (suivant plans): châssis fourches et glissières de ciseaux, et tout le fourbis d’écartement.

Suis pas sortis de l'auberge.

Recus ce mati  deux colis de BG : des butées à billes de 4, et 4 N20 à tiges filetées de 100.

Alors ce matin coup de bol j'ai de l'alu de 6 plat , du coup j'ai fait le bossage d'oscillation du bas, et réajustées les entailles pour le laisser passer, le bossage est en place mais il me faudra ouvrir deux trous dans le lien du bas pour pouvoir placer les vis de fixation, vu qu'il me faut monter à la fois le bossage et le mat, car plus moyens de passer un  tournevis latéral à cause des jambes.

Mais autre solution : forer des trous de parts en parts dans les jambes pour le passage d'un tournevis plat.

La course d'oscillation au niveau N 20 est relativement faible de l'ordre de 25 mm hors tout.

 Pour la course de levée de flèche je me tâte de laisser les tiges telles qu'elles pour une course de 100, ou de reprendre des moteurs libres avec axes pour refaire des tiges plus longues à fins de courses.

Ouais, encore pas mal d'ajustements, c'est vrai que l'intégration du système d'écartement risque d'être un défi car il ne doit ps toucher le sol. C'est pour cela que je compte avoir le tablier en position basse 1cm plus haut que l'axe de rotation pour que le moteur ne dépasse presque pas, les fourches auront une hauteur d'accroche plus élevée mais c'est comme çà aussi sur l'original; Si tu regarde les plans, quand tout est rétracté, rien ne dépassse en dessous et la garde au sol est de 23 à 27cm sur tout l'empattement.

Dailleurs, je me demande si pour la glissière de fourche le système de roulements en triangle ne devrait pas être fait avec des roulements à épaulement. le rail ferait 2mm d'épaisseur pour la zone de roulage du roulement et l'épaulement empèche la fourche de se déboiter. il y a des roulements en 2*5*2.5 avec épaulement. ce sont des mF52

Ce qui est étonnant , c'est que sur mes plans dessins il y a quelque choses qui dépasse en dessous ?

Honnettement je ne penses pas que les mats dépassants sous le carénage soient une gène quelconque.

Il y aurait gênes et accrochages si la triangulation des roues étaient plus  grande (engin à une échelle supérieure), mais dans le cas d'empattements courts, quand une roue franchis un obstacle genre monticule, c'est l'engin qui se soulève, et le cariste à des chances de foutre son chargement en l'air, imagine que ce soit la caisse de ton tour ? Niqué le tour, retour à l'envoyeur.

Ces engins sont faits pour rouler sur sols plans, ce ne sont pas des tous terrains, leurs pneus sont adaptés aux roulages en terre meuble genre chantier mais pas ce que l'on appelle du tout terrain.

Je penses que tu fait une déformation de ton autre hobby ? Tu penses TT systématiquement et de chercher des combines qui n'ont pas le lieu d’être.

Je continue dans ma lancée, et je suis certain que ce déport en dessous ne sera pas gênant.

Cette position basse est donnée en faits par le lien haut monté sur les vérins, en fin de course basse, le système est sur ses fins de courses, l'échelle flèche ne peut descendre plus bas.

Je vais donc me servir de cet état pour établir le châssis fourches qui lui aussi n'iras pas plus bas (il est retenu par la barre transversale de 1 mm).

Mais je ne me leurre pas mon engin ne ressemblera plus du tout aux dessins établis, car trop d'impondérables ont surgis lors de sa construction, déja à lui seul le système de fourche prends la place entre jambes, pour éviter que ça soit moche il me faut faire des fourches moins longues, de toutes façons elle dépasseront le gabarit de longueur.

Ce qui m'amuse, c'est qu'au fur et à mesure de ma construction tu élabore des modes opérationnels pour le tient ?

Je te fiche mon billet (de train périmé) que tu va dépasser toutes tes normes établies, dessins et idées, et ce pour plusieurs raisons : méconnaissances des choses des usinages, manque d'outillages, manque de fournitures, manque de bol 

Il y en a bien un qui doit galérer dans son coin, mais qui donne que ses bons résultats mais pas ses échecs, c'est le Steve, quand tu ne le voit que répondre aux autres et pas sur ses topics, c'est qu'il en bave le bougre.

En faits tous les gus par fiertés mal placées te bourre le mou d'images de réussites mais jamais d'échecs ? Étonnant non ?

Pour ma part rien que sur ces échelles 10 couilles ont émaillées sa construction que j'aie rattrapées in extremis.

Le gus qui est ajusteur, c'est le pinailleur par excellence, le gus va te faire plusieurs modèles loupés, et ne te faire voir que celui qu'il a réussis.

Je travaille à la fois sur le proto et sur le modèle finis, j'aie pas droit à l'erreur.

Ah bah si tu as déjà des trucs ratés, dans le fil sur mon projet, le premier chassis, la version vissée avec les têtes qui dépassent et des trous trop grand qui m'avaient obligé à remplacer les filetages par des écrous qui dépassaient, le tablier trop petit, et la je me retrouve avec des super couples coniques que je n'utiliserai pas (pas perdus, j'ai une idée pour m'en servir pour l'essieu relevable plus tard). J'en ai fait pas mal des merdes, et j'en ai de la chute de plaquettes alu

Et imagines que j'ai mis en construction toutes les versions de mes schéma, imagines la cata, je l'aurait refait déja 8 fois le bousin :p je me pose beaucoup de questions, çà turbine la dedans, et c'est pas forcément synonyme de réalisation. Même si on a pas mal avancé sur ce qu'on veut obtenir, y a toujours des points de doute, surtout liés aux contraintes de réalisation dont je commence à prendre la mesure (surtout après avoir refait 6 ou 7 fois ma multiplication de mouvement de volant du scania).

Je sais que le chariot est plutôt pour sol plat, donc la garde au sol n'est pas un facteur important. c'est l'aspect semi maquette, et proportions. Mais dans notre cas, on est plus sur le défi des fonctionnalités mécaniques que faire un engin du commerce.

c'est vrai qu'on voit souvent la photo de la pièce super bien ajustée avec les trous qui tombent pile en face, mais pas le tas de 5 ébauches qui ont foirées pendant la réalisation par un trou mal frappé qui a fait glisser le forêt, ou un coup de scie qui a dévié. Tu dois déjà vachement limiter le phénomène avec le tour. quand tu dresse ton diamètre à 6mm, il ne te dresse pas un diamètre de 5,5 qui fait flotter l'axe dans son roulement :p

En faits les travaux au tour, c'est ce qu'i; y a de plus facile, si tu a un bon pied à coulisse juste et que tu sait te servir de tes verniers du tour, c'est facile à réaliser la plupart de tes usinages.

Sur fraiseuse c'est plus difficile car tu ne voit pas toujours ce que fait ta fraise.

La logique dès que l'on veux de la précision c'est de travailler sur machines et sur verniers, de toujours rattraper tes jeux normaux inhérents aux vis, même neuves il y a des jeux de vis, il faut donc s'approcher au plus prés des outils à l’arrêt, puis en route pour effleurer les tranchants pour régler ce zéro dans un sens, celui de l'avancement.

A partir de la tu est à zéro une graduation c'est un effleurement de l'outil qui va compter au centième près dans la justesse de la cote.

Puis plus tu t'approche de la finesse de la pièce, de lécher celle ci, pour usiner centième après centième, et obtenir cette super précision exigée.

Bien sur c'est très long à faire comme la fixation ce matin qui m'a demandée 2 heures soutenus, mais à la sortie les pièces s'assemblent le plus justement possible. C'est ça la vraie récompense, par contre tu te loupe d'un centième , tout est foutus, la, tu a les glinches sévères.

Mais pour chaque usinages il te faut aussi trouver des combines pour ne pas froisser tes pièces qui sont de véritables dentelles, dans combines j'entends attachements divers, il faut suffisaient de rigidité dans les fixations pour faire du bon travail.

Regarde les usineurs qui passent une plombe  au comparateur pour régler au micron près une pièce sur le tour ? Les résultats et la concentricité est à ce prix, soit c'est fonctionnel soit c'est patatoïde.

Faire une caisse en tôles brasées c'est de la métallerie, faire un mat télescopique c'est du job d'ajusteur et de super pinailleur, et faire des loupés c'est un travail de cons lol.

Je ne sais pas si le multirex a une avance automatique. j'ai vu un mec qui en avait un, j'ai l'impression qu'il faisait que de l'avance manuelle à la manivelle. Peut être qu'il ne le maitrise pas son tour.

J'ai vu une vidéo sur le tournage pour les débutants ou justement ils expliquaient l'importance de la vitesse d'avance avec une avance trop lente qui fait un fil continu de copeau qui ne se casse pas et fini par se bloquer entre l'outil et la pièce et des états de surface en mode filetage quand çà va trop vite avec une grosse chauffe de l'outil. Mais c'est un gros tour industriel conventionnel qu'il a le mec.

on va essayer de changer de catégorie, de travail de con à ajusteur :p

Bien sur qu'il a une avance automatique plus le retour dans le pas de vis.

Les avances c'est une chose les états de surfaces une autre.

C'est pas qu'il ne le maîtrise pas son tour, mais plutôt que de se louper en oubliant de débrayer l'avance, car dans ce cas tu casse ton tour, et les travaux en manuels ou tu maîtrise ton avance le choix le miens est vite fait , avance manuelle surtout si tu doit charioter sur 2 mm t'a pas intérêts à mettre l'avance.

Les travaux au tour pour un amateur c'est 90 % de travaux manuels et 10% en avance automatique.

Les blocages de copeaux c'est du au parallélisme entre l'outil et la pièce, c'est pour ca que mon outil principal est un barreau d'acier HSS que j’affûte à la demande en pointus fermé, ainsi quand je règle la position de mon outil j'ai du dévers derrière chaque faces et mes états de surfaces s'en trouvent améliorés.

Concrètement ce soir le mat est monté sur l'engin, avec son vérin d'avance d'orientation, mais non branché électriquement.

Mais vu que ce mat n'est pas terminé et qu'il y a encore des choses à faire dessus, plutôt que de le remonter pour la photo, vous attendrez qu'il y ai d'avantages d'avancées. J'ai des ajustages à faire à la lime aiguille de 2 mm, mieux vaut les faire à l’étau que de risquer de casser ma lime en l'air.

Puis j'ai du recouper de 2 mm les deux micro vis de pivots bas, car les moteurs de relevage butaient dessus.

J'ai ouverts dans le support bas deux trous pour passages des vis de fixation au carénage et tournevis, car une fois tout en place, plus moyens de monter quoi que ce soit, il faut que les moteurs de relevage soient en place avec leurs cylindres et tiges de piston avec leurs écrous et que les systèmes des fins de courses fonctionnent, de faits remontage d'un bloc du mat et de son sabot bas sur la caisse. 

Pour eux je vais les laisser tels quels avec leur tige filetée d'origine, déjà qu'ils passent juste entre les jambes.

Pour demain fabrication autours d'eux des faux vérins en éléments d'antenne radio, et finitions diverses autours de ces gréements.

Pour bien faire il faudrait que ce mat soit monté avec ses vérins de relevage et d'orientation fonctionnels pour attaquer la suite avec le châssis de fourches avec écartements et le gréement des ciseaux.

Pas mal, ca avance bien. on va bientot avoir une video de la levée de fourche alors. Tu as déja réglé la question des suspentes ? elles n'étais pas encore en place sur ta première viodéo.

J'ai encore rien réglé coté suspentes, je croit même que je les ai complètement oubliées et pas prévues les roulettes de retour hautes et basses, et c'est pas faute d'avoir le linde sous les yeux.

En faits vu que je me suis trompé sur mon premier jet plus épais , je n'avais pas assez de camelote et j'ai fait le truc plus mince, oubliant complètement les supports inférieurs des roulettes.

Mais c'est pas rédhibitoire je puis toujours les rajouter, j'ai le mat sous les yeux, mon sommier supérieur est assez épais pour placer les deux supports de roulette par en dessous.

Mais il faut que je continue sur ma lancée et voir comment faire le châssis des fourches, car c'est lui qui va déterminer l'emplacement des roulettes de retours hautes.

Mais tu fait bien de me rappeler ces détails.

Vis à vis de cet oublie, je m’aperçoit que ce sommier n'est pas du tout finit, tel qu'il est , il est brut de formes je doit amincir certaines parties notamment les portées des roulettes de retours une fois amincis j'aurais la place pour poser les roulettes.

Ce qui me chagrine c'est comment faire pour les retours des suspentes, car en faits ce retour doit etre sur l’échelle et non sur le mat ?

Je ne visualise pas bien ce système dommages j'avais le Kalamar de bruder mais je ne sait pas ce que j'en ai fait, ou figure justement ce système vu qu'il est fait pour s'accrocher au cul d'un camion Bruder.

Je me souvient vaguement que sur le bruder il y a juste un mat , pas d’échelle télescopique et sur le mat le châssis de fourches, le système à cordes était sur l’extérieur des montants du mat, des bossages de retours à glissement  de cordes,  le chariot de fourche était lié à ces cordes, et le relevage que j'avais fait à vis sans fin relevait que le chassis de fourche, ce faisant il remontait l'engin ou le descendait, un peu comme des chenilles de char dont un point est fixé sur les fourches.

Le problème dans notre cas, c'est ou placer ces cordes de renvois ? Il n'y a pas de place pour cela. ?

Peut tu me faire un schémas du système s'il te plait Marc ?

Les roulettes s'accrochent en haut et en bas de l’échelle mobile, de ce fait la longueur de suspente ne change pas. Puis tu accroches la suspente en haut du mat fixe par le câble avant et le bas du tablier par le câble arrière (ou l'inverse en fonction de tes traverses). Ainsi lorsque ton échelle monte, le câble qui est fixe par rapport au mat va rouler dans les poulies entraînant la remontée a vitesse double du câble arrière faisant monter le tablier de 2 fois la vitesse de l’échelle mobile. Je te fais un schéma au boulot

Je croit avoir trouvée LA solution : Les vérins de télescopage relèvent l'échelle, puis en dérivation les suspentes relèvent la fourche en vitesse démultipliée.

La fourche est reliés en retour par le haut sur poulies faisant parties du sommier de relevage d’échelle.

Dans notre cas par la présence des ciseaux, ce n'est pas la fourche qui est reliées aux câbles de télescopage, mais le sommier bas des galets de ciseaux.
Dans les rainures des montants d’échelles à l'intérieur , en haut et en bas des roulettes de retour, (qui prennent de la place sur la course des ciseaux).

C'est alors le sommier bas des ciseaux qui est attaché sur ces cordes de retour, mais ne manœuvrant pas dans la rainure de coulissement des ciseaux mais sur l'extérieurs des montants, dans une saignée ou fraisage extérieure carrée aux montants.

Sur l'intérieur j'ai de la place le chapeau du Té de montant fait 3 mm d’épaisseur, une saignée de 1 mm au carré suffit à passer la suspente, sur l’extérieur pas de saignée vu qu'il y a une place relative avant le châssis de fourche.

les fonds de gorges des roulettes devront avoir le diamètre de la largeur des montants soit 12 mm, mais axes décalés sur l'extérieur de 1 mm peut etre plus le haut et le bas des rainures intérieures devront etre fraisés pour laisser passer ces roulettes.

Le premier travail consistera à finir le sommier de relevage et l'affiner pour implanter les roulettes d’élévation de fourches (en faits le sommier bas des ciseaux).

Puisque l’échelle est démontée, fraisages des emplacements des roulettes de la saignée carrée extérieure, fabrication de ces 4 roulettes à réas, pointages et perçages sur les montants des axes de ces roulettes.

Ce n'est seulement, qu'après leur mise en place que je pourrais construire les ciseaux de fourches.

Ces roulettes sont donc incrustées dans les rainures intérieures des montants d’échelle et ne gêneront en aucune façons le débattement du système des ciseaux, mais il y a lieu avant tout de les mettre en place, car si oublie il faudra recommencer les ciseaux.

Ce faisant ça diminuera la course de ceux ci forcément d'au moins 25 mm, sachant que cet élévateur est prévus pour décharger son camion dont le plateau est à 1600 du sol environ, s'il devait gerber plus haut, ce n'est pas ses fonctions, pour cela il y a des élévateurs spécialisés à grandes échelles.

En sommes par rapport à ta réponse, il n'y à pas de câbles de retours ou chaines de télescopage comme sur un élévateur standard ?

Et ce sont les deux poulies de retours attachées sur un point fixe du tablier et sur la fourche qui relève celle ci à deux fois la vitesse d’échelle ?.

Fait moi un schémas de face et de coté s'il te plait et si tu peux une vue en coupe du système ? Merci.

voila un schéma qui explique comment çà fonctionne. La suspente est fixée comme une courroie crantée ou une chaine de vélo et fait tout le tour. Tu pourrais même envisager une courroie lisse trapézoïdale



les croix orange sont les points d'attache; Tu as une poulie en haut qui tire le tablier à la montée et une en bas qui tire le tablier à la descente provoquant la montée du chariot lors de l'accroche à la remorque

il faut mettre une suspente  de chaque coté derrière l'échelle mobile pour assurer une montée symétrique des 2 cotés et ne pas fausser l'échelle. au totale 4 roulettes, 2 chemins de cables parallèles

Il n'y a aucun effort de glissement sur les poulies, c'est juste que la longueur de suspente entre tes 2 points d'attache est toujours fixe, et on la fait varier en tournant autour de la poulie, si tu décale la poulie par rapport au point d'attache de la suspente tu vas doubler le déplacement de la pièce mobile par rapport à ce rapport longueur attache fixe-poulie + attache mobile - poulie qui doit rester constant.

Tout à faits merci pour les dessins, c'est ce que j'ai finis par comprendre, mais ces renvois je les place dans les deux montants de l'échelle, ils seront quasiment invisibles, parce que dans ton dessin , c'est une réalisation impossible j'aie pas la place pour cela en arrière.

En arrière sur la traverse haute du mat je fixe mes cordes, c'est mon point fixe.

Le chariot de fourche sera fixé en bas sur son sommier des ciseaux, c'est mon point mobile.

Il n'y aurait pas eues les ciseaux , c’était plus simple.

Mais nos ciseaux sont incontournables de cet engin, sans eux il lui est impossible de charger et encore moins de décharger.

Autres points importants,  comment à tu résolut les alimentations électriques du N 20 d’écartement des fourches vu que le chariot de fourches est mobile ?

Pour mon élévateur télescopique TH 414, j'ai résolu le truc par une poulie chargée du fil électrique tendue par un long ressort de traction pour le télescopage, dans ce cas le câble aura 4 conducteurs. Les chaines plastiques chinoises sont bien trop grosses pour cet usage.

moi je ne m'embète pas, le fil passera par le haut du mat fixe et fera une boucle plus ou moins grande suivant la hauteur des fourches. Ce sera pareil avec les tuyau de vérins d'ailleurs.

Sinon , il faut utiliser du cordon de type audio spiralé qu'on voit sur certains casques hifi qui s'étire quand tu le tends. Par contre il est plutot épais comme cable.

Oui je vois, ou alors draguer sur le net ce genres de cordons minces à 4 ou 6 conducteurs.

Je vais chercher sur BG.

Cable spiralé à 5 conducteurs pour fiches USB 2,10 €

J'en ai trouvé un non spiralé 4 conducteurs de téléphone portable de 2 mm de diamètre qui fera mon affaire, je verrais si je puis le spiraler à chaud sur décapeur thermique des fois que ???????????????????

je pense que dans les spiralé c'est la gaine de masse qui est formée à chaud avant assemblage en spirale. J'ai peur qu'à part faire fondre les isolants, tu n'obtiennes pas de mémoire de forme potable. Sinon, cordon de combiné de téléphone filaire:). Y a 4 fils la dedans

parce que pour du non spiralé, à peu près nimporte que cable de charge usb convient; Y a 4 fils et il est pas épais car y a pas besoin de blinder la partie signal data