Etudes et réalisation d'une pelle carrière 9100 au 1/14 rétro en base d'une CAT 323 L au 1/10.

Hier, rien, mais j'ai déja un bout de tole de 500x500. Ce matin j'aimerais assez continuer sur mon barreau.

Ayant la gnaque, je suis descendu à l'atelier, j'ai donc terminé les fraisages de l’extrémité du barreau de façons à pouvoir en tirer 6 éléments.

Du coup j'en ai tronçonnés 6 sur ma micro tronçonneuse et en butée.

Puis je me suis remis sur mon calage parralléle sur fraiseuse, et la aussi en butée, pour continuer mes détourages à la fraise de 6 trois dents de finitions, j'ai donc enlevé les surplus de matières de chaque coté des maillons.

L’élément fait 50 de large, chaque coté fait 17.

J'ai ainsi tiré 6 éléments fraisés au brut, comprenant la tuile et le boc des deux maillons.

La suite vérra toujours en butée sur fraiseuse le fraisage du jeu entre maillons qui est de 7 mm, qui se fera très doucement avec une fraise de 6, parce que je n'aie pas de fraise de 5, fraisage longitudinal et dans l'axe entre les maillons.

Je ferais donc mes 6 pièces ébauchées.

Toujours sur fraiseuse en butée reprises de finitions pour arriver à 7 intérieur, l'avantage de travailler en butée permet les retournements des pièces pour des travaux concomitants.

A ce niveau l'élément sera déjà bien entamé.

Il y aura alors reprise en fraiseuse sur étau sinus (étaux d'angles réglable) de façons à détourer le talon des maillons, et le dessus de la lèvre avant : La lèvre avant pénètre sous le talon de la tuile.

Cette lèvre avant se verra aussi fraisée au dessus des demi maillons.

L'arrière de l’élément sera lui aussi fraisé, mais cette fois avec un disque à tronçonner, pour enlever 1,5 mm, je penses faire ça à plat dans étau machine droit, et en butée, c'est un détourage nécessaire pour les bonnes articulations des éléments entre eux.

La suite verra le perçage des deux trous, d'ou encore les avantages de travailler en butée de position.

Certains me diront que vu le prix des maillons de chez RCBR min, ça ne vaut pas le jus de s'emmerder de la sortes ?

En faits c'est du travail tout à fait classique en fraiseuse conventionnelle, celui qui ne sait pas faire passe à coté du bonheur.

Je sais de nos jours en achète tout, pour moi, ce n'est pas ça le modélisme quel qu'il soit. Et puis i; en faut pour tous les goûts, ceux qui font du montage de mécano, et ceux qui aimes s'emmerder à travailler leurs pièces sur machines.

Sur ce , Joyeux Noel à tous. Quelques photos suivront après le réveillon.

Ce soir , ces six maillons ont bien avancés, déjà ils s'imbriquent les uns dans les autres et avec ceux d'origine.

A ce propos ce sont aussi des maillons moulés et fraisés.

Il me faut dévêtir les talons et les lèvres avant, faire les pans coupés des demi maillons, faire les trous latéraux, et les trous d'axes.

A notre niveau d'amateurs, ça ne vaut pas le jus de se faire suer de la sortes, impossible de concurrencer des machines numériques, avec des machines conventionnelles à manivelles, je le dit bien c'est un bel exercice de style.

des photos suivent.

le challenge est bientôt relevé, ça prend forme. tu avais des axes en plus?

Oui, 4 axes en rab et deux vis de 3.







Par contre j'ai des photos de détails, les vérins de flèche pour une fois ne sont pas inversés comme je les ai mis, mais comme vos deux pelles, de faits je vais être obligé de les inverser, et refaire les adductions comme les vôtres, et bien sur supprimer les deux lignes hautes sur flèche, ce qui allégera l'ensemble du coté esthétique.

La cabine de conduite est largement débordante à gauche du tablier, de ce fait un décroché dans la passerelle sur la gauche, ce qui donnera un cachet encore différends pour un si gros engin.

Demain je vais chercher ma pompe Jung, j'aie eue une petite entrée monétaire.

Pour les maillons à fabriquer encore 1 jour ou deux, et ils prendront place sur les patins, ce qui me permettra des essais à blanc, sans galets.

Ooh, les beaux fraisages!!!!!

J suis en plein dedans aussi!!!!!

Enfin j avance!!!!!!  

On veux des photos bordel ???????????????????????

Des que ca devient un minimum interessant car des prismes et des barres de chassis.....
J mettrai a jour mon post

Pour Fred, au départ l'aspect général de ton chantier de fraisages donne un appercu de l'énormité du travail, même si ça parait embrouillé, ça donne une idée générale, puis de temps en temps des photos de l'avancée du projet, jusqu'à a sa finalité.

Tu remarquera que j'ai fait pareils pour ce gros engin ? Photos générales, des textes explicatifs, puis des photos de détails.

Le tort que vous avez vous débutants, c'est de nous balancer des ouvrages finis, mais ça ne nous donne pas l'ampleur du travail à réaliser.

Mes textes peuvent paraître embrouillés, ils sont la , pour moi, comme aides mémoire.

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Ca y est , j'aie ma pompe Jung, une HR7 mais d'un type ancien toujours en carré acier de 35, mais plus référencée chez Jungfluid, elle est donnée pour 0,1 litre.

Premier job pour elle,refaire la sortie planétaire du réducteur, c'est à dire braser un moyeu acier sur le plateau 3 pignons, moyeu percé en son axe à 5,7, pour se monter sur l'axe de la pompe. L'axe fait 5,7, le moyeu devrait faire 10, voir 8, ce qui me permettrait le montage d'un roulement de 8x22x7 dans le corps carré alu, et pour bien faire fixer le corps de pompe sur ce carré alu de 50, centrée par sa rosace de 25 ext, et fixée par deux vis de M5 diamétralement opposées, et en opposition des deux vis de maintient du couvercle de pompe.

Le mieux est que je fasse un dessin de coté grandeur.

Placer l'engrenage rond dans un fourreau alu carré de 50x50 qui servira aussi de support au moteur brushless .

Ce gros bloc carré alu sera usiné pour se fixer sous le couvercle du réservoir, de sortes que l'ensemble réducteur pompe, passe au travers du couvercle, seul le moteur émergeant sur le dessus du couvercle.

En principe l'ensemble pompe et réducteur devraient se fixer sous le couvercle du réservoir

Bon ben j en ferai

J suis votre post aussi, je me rends compte vraiment que j ai bien fait de vous la laisser.

Car oui c est vrai, y a de l ampleur mais franchement, faire du copeau qu est ce que ca me manquait!!!!!!!!

On est fait du même bois toi et moi, faire des copeaux.

Pour la pelle, je l'ai dit à miss cyndy, elle qui est conducteurs d'engins TP, il y a un début à tout, faut commencer petit et se perfectionner.

Certains qui, par le passé on voulu bouffer du lion s'y sont cassés les dents, projets vite abandonnés.

C'est bien deux maillons par coté qu'il me fallait, un coté de monté complètement l'autre me fait suer un maximum, ça coince quelque parts, c'est super chiant, pourtant tout est fait en butée donc identiques, comprends pas, ras le bol pour ce soir.

Cette fois ça y est , la deuxième chaîne est montée, en faits il fallait raboter le talon d'un de mes maillons, pour éviter de coincer.

La, je rectifie en diamètre les deux roues folles, qui passent à 51 sur plat des maillons et à 55 en fond de maillons et j'ai conçu et mis en place un système de tension de chaines à base de cardans.

Pierre avait prévues des vis de tension internes aux patins, donc pas pratiques une fois les chaines en place de faire la tension, j'ai rapporté des cardans usinés sur le cul des vis, et de l'autre un H de 6 acier placé de biais dans les flancs des patins, de ce fait complètement détendues les chaines peuvent se monter d'une pièce et raccordées.

Puis une fois en place procéder à la tension de chacune d'elle, une fois tendues la tige de l’Hexagone de 6 ne devrait pas dépasser du flanc des chaines.

Mon fournisseur métaux est fermé pour causes de vacances, les galets resteront tels quels juste pour la portance, idem pour les galets de retours, histoire de voir le comportement montées.

Ce soir une chaîne de montée complètement, je rappelle que les galets de portage sont provisoires, diamètre 20 mm c'est le fond des galets la chaîne s'appuie dessus, deux solutions : baguer les extrémités avec du tube de 20x25, ou 20x30 soit tous les refaire dans du rond de 30.



La tige acier hexagonale de 6 qui dépasse de biais aux patins , sont le système de tension des chaines, j'aie la possibilité de les raccourcir.

Demain je termine l'autre coté, ce qui me permettra de remonter la tourelle,et de faire mes branchements électriques, des deux chenilles et de la tourelle.

Pas mal les tuiles, on y vois presque rien !

C'est pas rentable économiquement, mais vu les délais de livraison c'était la bonne solution.

Merci Steve, oui c'était ça le problème, délais impossible.

Ensemble des chenilles montées sur galets provisoires.







Vues sur les 6 faces.







Puis un peu de couleurs dans ce monde de brut





Noir parce que les chaines sont noires, et en faits tout l'engin est en blanc, disons un apprêt noir lol.

Les deux moteurs des chenilles sont branchés chacun sur leur circuit, en faits sur les galettes, j'ai déterminé un coté noir et l'autre rouge, ainsi moteurs noirs et rouges, puisque les fils de contacts sont uniformément moins et plus.

Les moteurs semble différents des moteur monté sur les komatsu pc270... Il ont l'air de meilleure facture... Avez-vous déjà pu les tester ?

Non pas encore, juste un essais pour voir la vitesse de rotation.

Pour les essais dynamiques il me faut remonter la tourelle de façons à brancher mes deux varios inverseurs, et celui de tourelle, pour cela il me faut monter l'engin en appartement pour faire ces branchements, la cave ne me permet pas de faire des essais dynamiques, pas assez de place pour me tourner moi même.

L'engin est très gros, et pour lui je n'aie pas d'établis de montage, le seul banc est ce tabouret haut, mais une fois montée plus moyens de circuler dans cet espace exiguë, à tel point que l'engin posé sur le tabouret, sa flèche posée sur le banc du tour ne me permet plus de m'en servir.

C'est pour moi un vrais casse tète chinois pour faire l'entretient de mes gros engins.

Il me faudrait faire un petit plateau au dessus de l'aspirateur et de la poubelle, rapporté sur le bout de l'établis, et supporté par des équerres consoles fixées au mur sous les multi tiroirs, la je pourrais placer mes engins à entretenir. Mais ce plateau devra être pyramidal, avec un angle dégageant la porte de la cave.

Et tel que je me connait , ce bout de plateau sera toujours complètement encombré.

Dans un si petit espace, je suis obligé très souvent de tout ranger et nettoyer, l'aspirateur bidon ne chôme pas.

Mais je ne me plaint pas, j'ai quand même un micro atelier, et tout ce qu'il faut pour bosser.

Pour la petite histoire, il me faudrait un casque en cuir souple car je me cogne la tète la ou sont les placards suspendus, juste au dessus de la fraiseuse lorsque je veux vérifier mes cotes et passer au dessus du banc, je le sait bien qu'il y a des trucs ou me cogner, pas de bol j'ai pas des yeux derrière la tète.

J'ai détournée ta question Steve, pour te dire qu'il me faut tout calculer chacune de mes actions, pour ne pas remonter ou redescendre l'engin à tout bouts de champs.

Ces temps ci, ce sont avant tout les constructions qui me tiennent à cœur, le châssis est presque terminé, me reste le groupe pompe immergée, et la carrosserie, la cabine plus la passerelle d'accès et son échelle mobile.

Aussi je vérifie que tout fonctionne électriquement avant montages définitifs.

J'ai enlevé du poids au contre poids 4,5 kg, mais Pierre a du sous estimer le poids de son engin finis, il disait environ 35 kg, je penses qu'il sera plus proche des 40 kg. Déjà le châssis chenilles n'est pas léger. Et pour les manips un chariot 4 roues est nécessaire entre la cave et la maison. 2 étages.

Aujourd'hui relache, vols d'avions légers en salle indoor, petit café croissants d'acceuil le matin, à midi fondue savoyarde, avec les pousses désserts, galettes des rois etc.

Pas mal de casses sur mon YAK 55 EPP vite réparées, les 3 outils indispensables : Colle EPP cyano et accélérateur, pince et tournevis.

Très agréable de voler en salle bien au chaud, les séances reprennent ce prochain jeudi à la salle habituelle de 17 à 19 h.

J'ai commandé un Chtit cat racer, aujourd'hui 4 collègues en avait et s'amusaient comme des fous.

Ca casse mais quand même moins que les avions.

Reprise aujourd’hui' hui, achat du bloc alu du réducteur de pompe et paiement de la tôlerie et de l'ensemble.

Il me faut finir la jaquette alu entourant les engrenages du fut de tourelle, seulement alors je pourrais remonter l'ensemble.

Je vais passer au brico du coin pour un bout de planche de montage pour ces engins, vue la faible place dans ce micro atelier.

La suite au prochain numéro.

Avez vous vu la très intéressante étude d'un réducteur épicycloïdale dans le forum des camions au chapitre pelles, le gars un Anglais montre ses vidéos de fabrications des maillons et des tuiles de chaines sur fraiseuse CNC, c'est de toute beauté.

Une autre vidéo montre la réalisation du réducteur.

En faits un réducteur animé par moteur électrique, alors que ce type de réducteur est conçu comme moto réducteur hydraulique pour entrainement lents, Chenilles et autres joints tournants d'outillages de bras.

Cet après midi, fabrication des axes des galets de portage, centrages pointages des 18 galets découpés ce matin, puis centrage perçage du bloc support réducteur planétaire de la pompe.

Dans ce bloc de carré de 50 alu, deux ^portées de centrage l'une pour la pompe, l'autre pour le moteur brushless de 1800 kv 3536 d'hobbyking, en suivant , alésage de l'engrenage intérieur, puis d'un roulement à billes de 12x32x10.

En bout d'arbre moteur un palier munis de l'engrenage moteur, et en bout du plateau 3 engrenages la portée sur roulement du palier se reprenant sur l'axe de la pompe.

L'ensemble sera immergé dans l'huile hydro.

Je réalise d'abord le groupe et suivant encombrement le réservoir.

Quelle est le taux de réduction du réducteur ? Le moteur 1800kv me parait rapide...

Honettement, je ne sait plus, je l'estime à 1/30, il me faudrait revoir les données concernant les calculs de ce type de réducteurs ?

Te rappelle tu ces calculs ami Steve ?

J'ai le choix entre deux moteurs, celui ci est un Dualsky de 1220 kv de même grosseur. de 450 watts.

En faits cette réduction est pifomètrique, je l'avais en stock de récupération, déja modifiée pour un autre modèle et avortée, tous engrenages métalliques.

Il faudrait que je recherche les données de Raphi les concernant : Nombre de dents de la couronne, nombre de dents d'un satellite, nombre de dents du pignon moteur, et les calculs les concernant.

L'entrainement en direct de la pompe ne me dit rien qui vailles, si c'est pour gaspiller l’énergie par le limiteur de pression /débit , ça ne vaut pas le jus.

Avec 1800 kv sous 12 v la pompe tourne à 720 tours, tandis qu'avec 1220 kv elle tournera à 488 tours, c'est pas bésef, mais si cette pompe à un gros débit, autant qu'elle tourne lentement, plutot que de tout passer par le limiteur.

Pour ne rien cacher , ma première idée avait été le réducteur à courroies crantée,au 1/4 j'ai tout ce qu'il faut pour cela, mais la transmission par planétaires immergée me plaisait bien.

Comme tout ce que je fait est empirique, changer de l'un a l'autre m'est indiférends suivant les résultats.

Au 1/4 sous 1800 kv la vitesse de pompe sera de 5400 tours, et sous 1220 kv elle sera de 3660 tours, une sacrée différence de vitesses entre les deux principes.

Le limiteur modifié est lui aussi de gros passages, pris dans un limiteur de débit en 4x6.

Dans les deux cas la pompe reste immergée dans le fluide, ou tout du moins en partie puisque placée plus haute sous le couvercle amovible, dans ce cas une crépine plongeante affleure le fond du réservoir avec filtre fritté.

Dans les deux cas tout l'appareillage est monté sur le couvercle, pour en cas d'entretient pouvoir Etre levé d'une pièce.

Je sait que c'est du travail de singe, mais fabriquer les deux versions n'est pas impossible, au cas ou l'un au l'autre des systèmes foirent, les changements seront ainsi plus rapides.

La pompe n'a de marqué sur une étiquette du sachet plastique 0,1 L, aucune autre référence, de plus, pas référencée chez Jung.

Pour bien faire , serait d'ouvrir le couvercle pour vérifier de l’épaisseur de l’engrenage orbital ? Ce sont leurs épaisseurs qui conditionnent chez JUNG la capacité du pompage de ces pompes HR 7.

Mais pourquoi bricoler une pompe qui marche ? De faits ignorance totale de sa capacité réelle.

Je rappelle néanmoins comment sont faites les pompes JUNG HR 7 :

Un bloc d'acier carré de 35 de coté, usiné pour recevoir coté couvercle le système orbital, de l'autre la portée de centrage et la sortie d'arbre sur joint spi, pas de roulements à billes, la portée se fait acier sur acier trempé cémenté sous joints d'huile.

Le couvercle acier est monté sous torique en gorge, une bille en son axe appuie sur le bout de l'arbre, l’engrenage de différentes épaisseur suivant débit est monté sur cet axe par une bille tangentielle faisant office de clavette.

Que ce soir l'engrenage ou la cavité de cet engrenage, son épaisseur conditionne la capacité de la pompe.

Celles ci ne tournent que d'ans un seul sens, généralement en sens horaire quand on regarde le corps de pompe vertical, sortie d'axe vers le haut, avec les marques frappées sur le corps : S à gauche P à droite, S étant l'aspiration, P étant la sortie sous pression aux distributeurs.

Si l'on fait tourner la pompe à l'envers sous pression cela éjecte le joint spi sertis en usine. Et l'on aura du mal à le remettre en place.

Les pompe JUNG sont donc des pompes volumétriques, les freiner par des aspirations trop petites ou des sorties sous dimensionnées ruinent ses capacité, qui retournent à la bâche via le limiteur de débit pression.

En faits dans notre réalité les trois quarts des débits passent directement par les limiteurs sans faire bénéficier les distributeurs, on obtient de la vitesse du jet, au détriment de son débit volumique.

Pour pouvoir bénéficier des performances de ces pompes, il faudrait pouvoir disposer de larges passages internes tout le long de la chaîne de distributions, vérins compris, ce qui n'est pas le cas actuellement sur l'ensemble des fournitures du commerce limité à 2 mm maximum sur distributeurs.