Etudes et réalisation d'une pelle carrière 9100 au 1/14 rétro en base d'une CAT 323 L au 1/10.

Le nouvel aménagement de notre séjour, de faits hier soir avec la panne d'internet, mini concert de musique classique.

Une fraiseuse ? A la bonne heure.

je n'imagine même pas ce que barste va nous faire avec une fraiseuse déjà que tous ses projets sont des œuvres d'art alors après je ne sais pas mais je vais suivre

En faits avec le chauffage l'atelier est supportable.

Pour la suite de l'engin, ce matin, continuation sur les galets de portage en alu, usinages fins des galets d’extrémités, présence des cardans tendeurs, et jeu insuffisants de ceux d’extrémité, Pierre à du se tromper dans ses calculs, donc ceux d’extrémité n'auront pas de guides latéraux, c'est pas grave vu les présences des barbotins et des roues folles, pour guider les chaines.

Les galets vont bon train, presque terminés sauf les deux contre les barbotins, pour cela il me faudra fraiser l'intérieur du châssis, Pierre y avait soudée une cornière standard de 50x30 de 5 mm d'épaisseur, il me faut raboter de biais pour permettre la rotation des galets.

Pour cela , démontage des deux moteurs de façons à serrer le châssis dans l’étau machine, en vue de sa rectification à la fraise.

Ce qui fut dit, fut fait, de faits tous les galets de portage sont ainsi en place 16 au total de 30 extérieur par 26 de portage.

Tout est remonté, du coup j'ai isolé les contacts de la couronne par un isolant pour éviter que ceux ci frottent sur le châssis chenilles.

Maintenant il me faut modifier mes deux vérins de flèche, pour les mettre conforme à la pelle 9100.

Quand ces vérins seront modifiés , ça me permettra de faire des essais de roulages sur chenilles, tourelle remontée (lol je suis comme tout le monde, histoire de voir si ça roule et à quelle vitesse ?)

Puis il me faut continuer mon groupe hydro immergé.

En fin de soirée en déplaçant mon chauffage, suite à manip malencontreuse plus de chauffage, ça n'a pas attendu 10 minutes que je me les gèle.

Ha les caves comme frigo ça se pose un peu la ?

L'empattement du châssis est de 475 en longueur, 270 de large hors tout chaines, et 90 de haut sur galets de retours.

La tourelle actuellement fait 250 de large. Tous les galets de portage portent la charge, aux extrémités lls sont doublés, à se toucher cote à cote.

Je ferais des photos demain.

Cette après midi, photos à l'atelier, parce que je me suis monté un rayonnage servant de table pour les engins, juste à l'ouverture de la porte, avec un pan coupé sur le rayon pour passer mon ventre.



Le rayonnage et la pelle, une jambe de force mobile en dessous évite le flambage du rayon, il est fixé par deux vis à l’établis.



Le chassis et ses trains de chenilles, la tige dépassante est le système de tension des chaines.



L'intérieur avec distributeurs et servos montés, et touret de rotation de tourelle.

Le travail de ce soir a été le démontage des deux vérins de flèche, en vue de leur mise en conformité Liebherr 9100, donc démontage des tètes et des tiges, pour dessouder les buses des culs des vérins.

Il faut que les tubes partant des culs des vérins remontent vers le haut et soient pliés de 180 ° vers le bas, et ceux du haut, se raccorder sur le domino, je récupère bien sur les dominos existants et les modifient.

J'ai viré aussi les deux tubes laiton aux raccordements approchant, en faits il y aura deux Y de raccordement en ligne sous la flèche, ses deux entrées reliés au distri de flèche.

J'ai aussi essayés mes moteurs de chaines au travers du joint tournant de tourelle, ce qui m'a permis de voir qu'il me faut sur élever la tourelle de 6 mm pour donner du jeux aux chenilles sous coque. La vitesse est acceptable pour un engin aussi lourd.

J'aie ma rondelle alu, coup de chance chez mon fournisseur elle m'attendait sur une étagère, diamètre 110x 9 d'épaisseur.

Cet après midi, surfaçage au tour, et rectification au bon diamètre.



En faits elle sera usinée au diamètre intérieur de la couronne dentée, plus une légère portée, car en faits cette pièce rapportée va sur élever tout l'ensemble : le roulement annulaire, la couronne dentée, la galette résine porte contacts, ainsi je ne dérange pas le bon ordre prévu par Pierre pour assurer les contacts de la galette, en sur élevant la couronne dentée, et avec la jaquette extérieure de prévue je met en l'air la couronne , la protégeant des grains de sable pouvant s'incruster dans la denture.

Les contacts de la galette vont se retrouver dans des puits, mais fraisés pour le passage des fils de contacts aux deux moteurs de chaîne.

Cette nouvelle épaisseur sera fixée sur le fond de tourelle fixée par 4 vis sur le châssis des chaines.

Ce soir, ces travaux de rehausses sont terminés et en place, de faits je puis passer un doigt entre le tablier et les chenilles, des photos suivent de ces modifications.

Pour la suite il me faut faire la jaquette de protection des engrenages fixée sur l'embase fixée sous le tablier.

Puis je reprendrais les travaux sur le groupe pompe immergée et son réservoir acier.

Ca avance bien, un détail m’interpelle cependant ? Le pied de flèche de devrait-il pas être au dessus de l'axe de rotation de la tourelle ? Elle m'a l'air très en avant au presque aucun porte-a-faux ?

Ne pas oublier que le contre poids plomb va équilibrer tout ça avec ses 7,500 kg.

De faits je n'aie rien changé à la construction de Pierre.

Et puis c'est un engin hybride.

Ce soir, rectifications de cette embase de tourelle : Désépaissir l'embase porte jaquette qui touchait sur les vis de maintient de la couronne dentée.

puis contrairement à ce que j'ai dit, je suis passé sur la continuation de la modification des deux vérins de flèche, leur re positionnement en partie basse, et le groupage des tubulures avec renvois d'angles, du coup j'ai rectifié le devant des supports de ces vérins sur le tablier, pour que rien ne touche au remontage.

Du moment qu'ils sont démontés, réfection des deux tiges à bonnes longueurs, j'avais été obligé de les rallonger artificiellement, mais ce n'est pas beau et pas solide du tout.

Cette pelle traînasse un peu beaucoup, le froid, plus divers travaux aéro, plus de repos aussi, j'ai tendance à faire du cocooning.

Cette après midi, continuation sur les deux vérins de flèche, j'ai achetée la tige acier étiré de 8 pour la réfection des tiges, usinages coté piston, usinages à M 4 coté noix de pistons (elles étaient à M 3 avant ).

Simultanément cintrages et mise en place des tubes inférieurs, je récupère les dominos portes embouts.

Puis remontages et remises en place sur l'engin.

Si tout va bien je passerais au groupe moto pompe/réservoir.

Avec ma mise de fonds mensuels achat d'une botte de tubes polyamides noir de 4x6, pour mes raccordements souples.

Puis je commencerais mes carrossages.

Voila, les vérins ont reçus leurs nouvelles tiges plus longues, plus les tubulures fixes des aller et retours, ils sont remontés et mis en place, des photos demain.

La course est inchangée, elle correspond à la longueur des cylindres.

Du coup au remontage j'ai tout brasé argent, bien plus solide, je ferais pareils pour les deux autres.

Savez vous que l'étain se marie fort bien avec l'argent ? Pour moi c'est une certitude depuis des dizaine d'années.

De ce faits le prémontage peut se faire à l'étain, puis une fois sur de son fait re braser à l'argent.

Ainsi fait l'ensemble vérins flèche allégée à une meilleure gueule, puisque deux tubes rigides ont été enlevés sur les supports.

Hier , j'ai bossé sur le trike de ma nouvelle aile de Parapente, cet après midi je vais me remettre sur le groupe hydro, faut que ça avance un peu.

Cet après midi, travaux sur l'accouplement du réducteur avec la pompe, ce soir le plateau des engrenages tourne nickel avec la pompe.

En seconde instance, l'usinage du couvercle support moteur, qui se monte rentrant dans le corps du réducteur pour éviter que les planétaires fiche le camps, une platine alu carrée de 50x50x15 cylindrée au tour sur 4 mors, d'une part pour obtenir le diamètre de l'alésage couronne interne, et d'autres parts un alésage avant, pénétrant entre les dents de la couronne.

Le moteur est fixé par ses vis de maintient en croix par en dessous.

Lundi il me faut aller chez mon ferrailleur lui prendre de la tôle alu de 3 ou 4 mm pour faire le couvercle du réservoir, qui fera finis 75x110 et 100 de haut, en faits la hauteur du corps de pompe plus réducteur.

Ce couvercle sera alésé au diamètre extérieur du réducteur, l'ensemble reposera ainsi sur le couvercle.

Vu le volume que prendra ce bloc immergé, il était nécessaire d'augmenter le volume du réservoir.

Des photos quand ça sera plus probant, actuellement ce ne sont que tournages.

J'ai ma plaque alu de dessus en 3 mm, cet après midi, continuation sur le groupe pompe.

J'ai acheté un silencieux d'échappement en 1/8 de pouce, en guise de filtre d'aspiration de pompe, 3 € pas ruineux.

Par ailleurs j'ai aussi mes ronds acier pour mon arceau de para moteur, roulage et mise en formes.

Le couvercle du réducteur est finis, moteur posé dessus, mais sans l'axe avec l'engrenage moteur.

J'ai un peu vasouillé cet après midi, donc pertes de temps, sur la buselure de sortie de pompe, en faits un banjo maison en laiton, la remontée se fera sur du rond de 10 se terminant sur un raccord rapide et sur le limiteur de pression/débit.

Je ne met pas de manomètre le réglage se faisant sur le limiteur, puis je suis passé sur l'arceau du nouveau para moteur, cintré au marteau sur étaux, ma rouleuse n'est pas assez puissante pour rouler du 6.

Puis j'ai coupés et cintrés les 6 rayons, à ajuster sur la platine moteur, il y aura un demi cerceau supérieur en rond de 4, qui devrait aller sur la rouleuse.

Comme on ne peut être au four et au moulin, le groupe hydro, n'à pas beaucoup avancé, car il y avait du job sur la nacelle du para moteur pour qu'au printemps il puisse voler.

Sur le groupe, il me faut fabriquer l'axe d'entrainement moteur sur réducteur avec son pignon brasé.

Couper le couvercle du réservoir et son cadre de vissage, mais je puis aussi poser des lardons brasés sous les retours de pliage, pour augmenter l'épaisseur de vissage.

Sur ce couvercle alu, découper un rond pour le passage du corps de pompe, et sa fixation par 4 goujons de M 4, en faits vis tètes rondes vissées par en dessous, la sortie du Banjo de prise de pression, et son raccordement supérieur : un picage au dessus pour le limiteur, un sur le coté pour l'aller aux distributeurs par kicks rapides.

En faits des dispositions suivant encombrements, car la hauteur sous carrosserie n'est pas infinie.

Je voulais en faits d’abord fabriquer le groupe pompe, et l'adapter au futur réservoir.

Tout en respectant les cotes d'encombrements de la machine.

Cet après midi, reprise sur le groupe hydro, l'axe pignon moteur est fait, le tout monté fait tourner la pompe.

Puis je suis passé au couvercle, alèsage à 48,5 pour le passage du corps de réducteur.

Enfin je me suis mis sur le débit du réservoir, découpes et pliages.

En fin de taf la cloche à sonnée, mais deux pans sont montés sur mon gabarit de mise à l'équerre pour pointages au brox.

La suite lundi, car demain journée choucroute du curé de la paroisse lol.

Raphi m'a fournis en tube polyamide de 4x6 transparent, en faits seuls deux paires de tubes sont au jour, je les peindrait en noir, ceux du vérin de balancier, et ceux du godet, tout le reste est caché dans la carrosserie.

Donc branchements et essais ne sont pas loin.

Cet après midi, fabrication du réservoir et mise en place sur le tablier.

La pompe est aussi montée sur sa plaque de base, couvercle du réservoir.

En fin de soirée perçages pour la prise de pression, un bout d’hexagone de 14 traversera la plaque alu pour se visser sur le banjo de sortie de pompe. Tout à coté du moteur un picage sur cet hexagone pour le limiteur de débit, et le départ aux distributeurs.

Un retour distributeurs sera monté tout à coté sur la plaque de base au dessus du réservoir.

Et derrière le moteur un autre picage pour la sortie limiteur.

La plaque est fixée sur le réservoir par 4 vis de M 3.

Les essais de pression ne devraient pas tarder.

Une fois l'ensemble monté, je vais pouvoir étudier la carrosserie et la cabine, la carrosserie devrait englober l'ensemble, et pour sa tenue des sortes de pincettes montées dessus se reprenant sur les cornières pointées sur les coté, mais pour cela il me faudra monter le contre poids plomb, la carrosserie s'appuie sur lui dans des feuillures ménagées.

Sur les camions , un type s'est construit sa pelle de bric et de broc, mais super bien finie, problèmes de pression, moi il me semble que ce sont des problèmes de limiteurs de pression ?

Le limiteur de pression/débit est l'organe de réglages par éxellence, à la première mise en route il est ouvert à fond, son ressort de comprime rien du tout, de ce fait l'huile envoyée par la pompe repart au réservoir par le limiteur, vu que les distributeurs sont fermés.

Pour mettre en route, une fois l'installation pleine et purgée, on ouvre successivement tous les distributeurs, en faisant tourner la pompe en régime moyen, et en vissant progressivement le réglage du limiteur.

Forcément au bout d'un moment l'huile va passer vers les distributeurs et faire fonctionner les vérins, puisque son débit se trouve ralentis au limiteur.

Une fois débits et vitesses acquises, on règle finement sur le limiteur.

Il est évident que pour les deux vérins de flèche le débit sera divisé par deux donc ralentis, empêchant le fonctionnement des vérins du balancier et du godet.

Ceux ci ne fonctionnant vraiment quand ceux de flèche ne sont pas sollicités.

Il est tout aussi évident que s'il n'y a pas de débit à la pompe, les vérins ne peuvent fonctionner en simultanéité.

Une bonne installation c'est un groupe pompe qui donne du débit à faible pression, un limiteur de débit /pression fonctionnel bien réglé à son juste milieu, et des distributeurs gavés par la pompe à gros débit.

Forcément si débit important les vérins pourront fonctionner en simultanéité.

mais sans débit il ne faudra pas trop y compter.

Du point de vue tuyauteries, gros diamètres vers l'aspiration et les retours, plus faibles après les distributeurs, mais si les passages internes sont tous au même diamètre, il n'y aura ni rétreints, ni pertes de charge.

Voila, ce soir, l'engin est terminé sans sa carrosserie.

Le groupe pompe dans son réservoir, les vérins branchés aux distributeurs.

Les distributeurs reliés au groupe moto pompe.

Pour celui ci, tout est groupé sur le couvercle, de cette façons il est très facile de dévisser trois vis, d'oter le groupe pompe, pour inspecter le réservoir.

Sur le couvercle il y a donc la pompe immergée ainsi que son réducteur planétaire, et au dessus à l'air libre le moteur, facilement interchangeable.

Aspiration sur silencieux faisant office de filtre à particules, le retour pression se faisant sur banjo, la colonne remonte de long de l'ensemble, la , se trouve le limiteur de pression/débit facilement réglable, raccordé à un picage de retour sur le réservoir par coude . Et d'autre parts le départ pression vers le distributeur également par coude.

Le retour distributeur se faisant en parallèle de l'aller, par un autre picage coudé sur le dessus réservoir.

Pas de prise de manomètre.

En faits pour celui ci, ce sont des indications de départ, savoir au moins quelle est la pression relative de l'ensemble, par la suite une fois le limiteur réglé on s'en passe très facilement.

Tout ce qui concerne la pompe, les passages internes sont en diamètre 6 mm, puis tous les picages et tubulures en 4 mm distributeurs compris, de sortes qu'il ne se trouve aucun rétrains sur le parcourt du fluide HP ni sur son retour au réservoir.

Le retour limiteur est également en 4 intérieur.

Ce soir je vérifie que le réservoir soit étanche, ne restera plus qu'à monter une radio commande valable, pour essais ça sera une robbe futaba F 14 en 41 mèga, mais l'acheteur éventuel aura tout intérêts à monter une Taranis, pour tous ses avantages.

Elle aussi sera à double alimentation : 12 v interne sur accu lipo, 12 v externe sur alimentation stabilisée, un inter inverseur permet de shunter les deux puissances.

Après ces essais hydro, construction des carénages.

Des photos demain car ce soir je n'avais pas pris l'appareil photos.

Réservoir acier brasé étanche ouf, ça c'est un bon point, pas foutre de l'huile de partout.

Contenance au brut 700 cc moins le volume de la pompe immergée au pif 250 cc, soit un volume brut de 450 cc.

plus près en faits de 350 cc ce qui une fois l'installation pleine et purgée est largement suffisant.

La pompe posée sur le réservoir , celui ci n'est pas étanche à l'air, ce qui est un bon point, par contre interdiction de retourner l'engin.

Ce qui, vu les facilités de démontages rapides n'est pas un vrais problème en soit : Trois vis à enlever, groupe pompe à ôter, puis deux vis de maintient du réservoir à enlever pour le déposer plein.

Bien sur par d'orifice de remplissage, c'est le couvercle qui fait cet office, mais il y a de la place pour un éventuel bouchon en 1/4 de pouce.

Pas de niveau non plus, tellement il est facile de le contrôler en enlevant le groupe pompe. Eviter au maximum les ouvertures le long du réservoir pouvant être synonymes de fuites.

Simple question, niveau contenance, j avais cru comprendre qu il fallait arriver a mettre de l huile mi reservoir avec les verins a mi courses?

Qu est ce qu il permet de dire si il y assez d huile dans le systeme ou pas?

Y a t il un reservoir mini a avoir?

Les réservoirs sont en somme des ballons, des réservoirs tampons, une fois l'installation pleine, pourvus que la pompe aspire du jus et non de l'air, c'est le principal.

Le réservoir tampon fait l’intermédiaire entre l'ensemble de distribution, quand les vérins poussent ils sont remplis au maximum, quand ils reviennent les volumes cumulés des tiges de pistons revient au réservoir et le remplis.

En somme une fois pleins à pousser, il faut qu'au retours l'huile ne déborde pas du réservoir par ce fait.

Par sécurité on ménage un vide d'air au dessus du liquide, disons 1 ou 2 cm.

En faits il n'y a pas de normes établies, c'est une question de bon sens.

On peut assimiler le réservoir tampon à une batterie automobile, la génératrice la remplie, l'auto la vide, il s'établis lors des circulations un équilibre entre charges et décharges, la batterie permet de conserver la tension nominale de l'installation, et fait le tampons entre les consommateurs et les producteurs.

Cet après midi, travaux sur la radio commande, en faits une F 14 Futaba en 40 méga passée au 2,4 giga grâce à un module d'adaptation Corona appelé DYE en Anglais qui veux dire bricolage.

J'avais ce module depuis un certain temps, justement destiné à changer la fréquence de ces radios du 40 au 2,4 giga.

Les résultats sont positifs la radio fonctionne, me reste plus qu'à Binder l'ensemble récepteur et émetteur.

Pose également d'un potentiomètre de réglage de pompe manuel.

En faits les radios Taranis sont de loin les meilleures pour nos modèles du fait de leurs immenses possibilités de mixages, ce qui permet selon les uns et les autres de mettre en route la pompe suivant les services demandés à la pelle.

Moi je suis un vieux de la vieille, et suis perdu sur ces mixages que je comprends d'ailleurs parfaitement.

Pour ces essais une radio conventionnelle convient très bien.

Je rappelle à tous que si j'ai entrepris la finition de cet engin, c'est pas pour jouer avec, mais pour la rendre opérationnelle en vue d'une revente éventuelle.

Concrètement je n'aie plus d'huile hydro, donc demain course chez mon hydraulicien pour lui en prendre 5 litres.

Coté radio, 3 voies hydro attribuées à la flèche, le balancier et le godet, sur manches et rotation de tourelle.

2 voies pour les chenilles par inters inverseurs, et une voie pour la pompe.

1 voie supplémentaire pourrait être attribuée aux feux de cabine et de flèche.

Coté carrosserie , ça va être au plus simple, ma plieuse me permet des largeurs de 200 mm, parce que je possède un Vé de pliage arrondis me permettant de faire de jolis arrondis.

Cette carrosserie sera donc composée de deux ou trois ponceaux de toles pliées, puis raccordées par éclissages et soudures.

Le ponceau arrière vient s'appuyer sur les feuillures du contre poids ménagés à cet effet.

Sur l'avant droit, pas de marches d’escalier, le réservoir prenant du volume, en faits d’accès présumés, vue la présence d'une passerelle à gauche, il est plus facile de ménager des barreaux de monté en guise de marches .

En faits sur ces versions, l'ouverture d'un panneau en guise de porte permet d'accéder à l'intérieur des carénages, ceux ci étant très hauts, 170 environ ce qui en grandeur fait 2,380 mètre.

Bien sur un panneau d'accès supérieur ajouré en grillage permet une bonne ventilation.

Je ménagerais également dans les parois des ponceaux des ouïes de ventilation, j'ai acheté de la grille à ouvertures carrées fines de 5 mm de coté en acier.

La cabine sera à la taille d'un personnage bruder, donc plus petite que le reste du carénage, disons que mon pilote est de petite taille, pas besoin d'une salle à manger en guise de cabine.

La passerelle déborde largement à gauche de l'engin et en porte à faux au dessus du vide.

Je penses la rendre solidaire du carénage et non du tablier questions facilités d’entretiens et manipulations.

Coté peintures l'ensemble est blanc avec il me semble des traits rouges, le logo de marque en noir.