Montage d'une grue à tour 250 EC-B sur le chantier du centre ville. Réelle.

Les gars n'ont qu'une heure pour manger, à mon arrivée d'après midi les éléments terminaux avaient été montés et la grue d'installation se démontait elle mème.

On ne va quand mème pas s'emmerder ?



Détélescopages et Rangements en vue du départ.

J'ai pris ce cliché car chez DEMAG l'accrochage des masses de contre poids est différentes de chez LIEBHERR.

Chez Liebherr, ce sont deux longs vérins  qui viennent crocher la masse de base porteuse des tous les autres éléments qui viennent s"y poser.

Chez Demag ces vérins sont courts, et c'est sur la masse de base qui est munie de 2 futs de centrages à verrouillages, et c'est sur cette base que tous les éléments sont enfilés. Sur les 2 systèmes des pions de centrages permettent tout aligner automatiquement Ainsi une fois les masses en places posées entre cabines de conduites, la grue se retourne, et aidé de l'ordinateur de bord se positionne au dessus des masses, les vérins descendent crochent dans les genouillères des deux futs et remontent les masses qui se plaquent sous le support, des verrous existent qui solidarise l'ensemble de telles sortes que les vérins de relevages peuvent etre relâchés.

De faits chez Liebherr et chez Demag la masse de base support restent en place centrées sur des pions de centrage, et ne sont pas solidarisées au camion.



Départ du LTM vers sa base de Frangy plus au nord à 20 km.



Je n'aie plus faits des photos sur la grue à tour tellement capitivé par le breslages des cables du chariot.

Je n'aie pas vu comment ils ont passé le cables d'aller retour sur celui ci ? Pour moi ils ont du attacher le bout du cable venant du treuil avec une corde solide, la passer sur la poulie de retour coté cabine, la faufiler dans des passants à serrages sur le chariot, puis le faire passer avec la corde autours de la poulie de retour en bout de fleche, et la raccorder sur la portion du tambour spiralé, et mettre en marche celui ci, de faits la corde s'enroule autour du tambour en tractionnant le cable qui passe autours de la poulie de retour et revient vers le tambour. La le cable est capelé sur son attache  pour moitié de la largeur du tambour, la corde est alors détachée.

Pour le cable de levage c'est un peu différends, il est passé dans les poulies du sommital et descends sous la fleche, le palan étant goupillé en dessous il est facile aux monteurs de le faire passer sur les poulies supports et dans celle du palan, puis de l'accrocher sur un support prévu sur le chariot en laissant dépasser un bout libre.

Le chariot étant moteur le monteur prends place dans la nacelle attenante au chariot avec sa télécommande et se trimballe en bout de fleche, arrivé la il accroche le cable de charge sur les supports qui lui sont attribués.

Et le gars revient vers la tour. Il dégoupille alors le moufle du palan et descends la cable de charge, le crochet de levage étant lui aussi goupillé et maintenu en dehors du moufle et c'est un gars au sol qui le dégoupille. Tous ce petit outillage reste en place de façons neutre jusqu'au prochain démontage.

Les gars ont procédés aux essais de charge avec une des masses de base de 5 tonnes jusqu'au maximum de fleche, jusque à ce que la sécurité sonne, aux alentours de 55 mètres.

D'autres photos se feront de la grues cette fois en fonctionnement professionnels.

Superbe reportage. Comme toi je suis fasciné par ces chantiers. Tu sais qu'à un moment, j'avais pensé à une reconversion. Je voulais abandonner l'informatique pour me spécialiser dans la conduite d'engins de chantiers. Je n'exclue pas d'utiliser mon CPF pour un permis poids lourd d'ailleurs.

Là c'est dommage le chantier de la porte maillot a bougé, la Mecalac 9MWR est de l'autre coté du boulevard. Je m'arrêtais tous les jours ou je venais sur site pendant 10 minutes entre mon RER et mon métro pour la regarder évoluer.

Mais en fin du compte ce que tu sat en info t'est profitable dans la pratique du modélisme, chauffeur d'engins le temps ne t'en laisserais pas ................................................le temps.

Le monteur me l'a dit, quand je lui ai expliqué les montages de ma grue à tour, que j'avais ratée ma vocation de monteur en grue ?

Oh que non lui ais je dit, j'adore mon métier de métallier qui m'à permis exceller en modélisme, ferroviaire et TP.

J'aurais aussi voulu être musicien, mais un violoniste de l'opéra de Lyon me l'à dit un jour que si c'etait à refaire il n'aurait pas choisis ce métier mais le miens.

On veux toujours faire le job des autres, et en faits on excelle le plus dans le métier qu'on a choisis.

Je ne regrette rien.

Tu as bien raison. Et puis Il faut aussi reconnaitre que mon métier est pas mal payé, en plus on est en manque d'ingénieurs en cybersécurité, c'est un secteur très porteur.

Va faire du télétravail quand tu conduis un engin, ou alors il faudrait qu'elle soit commandée par Internet comme les drones militaires ou la ligne 1 du métro qui n'a pas de chauffeur

Ou comme en Ukraine un agriculteur à radio commandé un tracteur agricole en engin démineurs RC, il le dirige avec une radio classique genre hobby King en direction et propulsion, il pousse un montage en ferrailles renforcées avec deux rouleaux, qui s'il rencontrent une mine devrait la broyer avant explosion.

Le gars a du en avoir ras le bol que les Ruscofs sèment leurs engins de mort au travers de son immense champ, qui est devenu un champ de mines totalement improductif.

Suivant la devise qu'on ne peut pas manger et pisser.

Ou comme RCsparkstudio, un youtuber canadien qui fait des vidéos et a une série d'extraction d'or avec des engins RC. Il a un chargeur bobcat radio commandé, car ses problèmes de dos l'empèchent de rester dans la cabine avec les secousses.

Ce matin j'ai eue le nez creux en allant sur le chantier, en effets ils ont transbordés par doubles grues a tour les éléments démontés de la centrale à béton, photos à l'appuis.

Démontée ce matin et stocké derrière le bâtiment neuf, puis repris cet après midi pour la grue 2 pour y etre installés au nouvel emplacement, et pas du tout celui que je pensait, mais au niveau zéro juste devant mon poste d'observation de ma murette.

Très impressionnant ces gros volumes trimballés par des grues, j'ai fait le yoyo entre l'ancien emplacement et le nouveau, bien heureusement sur le parking goudronné de l'immeuble, bien plus rapidement que si j'en avait fait le tour.




En arrivant aux abAux abords du chantier qu'elle n'est pas ma surprise de voir des chevrons s'alligner sur les poutres maitresses ? Les charpentiers ont bien bossés.


Les échafaudages sont installés en vue des préparations des facades.

Vu que c'esrt un grand cigare, impossible de le poser en pleine terre, Jooris à dégagé un emplacement sur la dalle du batiment 2 en vue de le recevoir provisoirement.





La, d'ou je prends ce cliché, je suis sur la propriété du bâtiment neuf déjà habité depuis 15/20 ans environ, un seul bâtiment entourées des maisons de villages anciennes certaines centenaires, tout à été rasé pour construire ces bâtiments neuf de rénovation du centre ville.

A droite les fouilles fondations de la tranche 3 qui ont nécessité du montage de la grue 2

Sur la droite est un muret ancien en vieux béton qui me sert d'observatoire, un interstice entre barrières légères me permet de pénétrer sur le chantier, avec l'assentiment de tout le personnel des constructions chef Loïc en tète le Macon au casque rouge.





La continuité à été le départ de la bétonnière.








Et sa dépose provisoire en pleine terre derrière le bâtiment

Bon, maintenant la zone des granulat à été préparée ce matin par Joris et Loic, et déborde largement sur la ruelle, les camions semi l'approvisionnant seront obligés de décharger en marche arrière.

On a même déraciné le bouquet des plantes à fleurs encadrant l'éscalier de descente à la salle 2000 en contrebas. 




La ré installation se precise, des montants bois ont été posées sur des dés bétons et contre les grilles en vue de placer ces toles de bardages protégeant des éclaboussures de béton les bagnoles stationnées sur le parking de l'immeuble adjacent.





La noria à chaine à repris sa place histoire de voir le nouvel emplacement à granulats.





Entre temps ça bosse en dessous en fouilles le coulage des bétons en continu est assuré par une équipe et une ribambelle de touries auto portées et d'une pompe à béton, le temps que la centrale retrouve son autonomie.

C'est donc aujourd hui 19 Mai qu'à lieu le démontage de la grue 1 sur le chantier du centre ville.

Le LTM 1100 s'est mis en place, et en premier les deux monteurs habituels on procédés au démontage du cable de levage et dans la foulée à celui de la translation du chariot qui a été ramené au treuil contre le mat.

Ha erreur le cable de translation est toujours en place. vont ils le désaccoupler du chariot et le laisser tomber en bout de fleche pour le réenrouler sur le cabestan ?

Le LTM à ses élingues chaines prêtes à capeler le chariot affin de le désaccoupler de la fleche. Je présume qu'ils vont lever un tantinet le chariot afin de démonter deux roulements d'un coté afin d'enlever ce chariot par en dessous, vue la position centrale du LTM et la longueur de flèche de 70 mètres.

Ils ont désacouplé le cable de translation du charitot pour l'enrouler sur le cabestan et le fixer certainement au tambour, ce qui va permettre de tomber l'autre bout de tirage sur fleche et de le ré enrouler à son tour, je le vois qui pendouille devant.

Ils l'ont donc ré enroulé partiellement, et s'ils le laisse tomber il ne faut pas qu'il blesse ou casse quelque choses en tombant ?

Bon c'est clair ils enroulent le cable et le chariot est tracté en bout de fleche, moins il y aura de longueur pendante moins il y aura dangers.

C'est plus simple, ils tirent le chariot au milieu de fleche tandis que le cable s'enroule, mais ils ont attachée une élingue au parapet de la nacelle attenante au chariot pour le ramener contre le mat tel un toutou.

En faits le cheminement de ce cable est plus complexe que ce que j'avais fait sur ma grue


Bon l'ensemble du cable est sur le tambour, le chariot est attaché à mi longueur ils vont certainement enlever quelques masse de contre fleche pour alleger l'ensemble ? aller hop 2 à la fois 4 tonnes en moins il y avait 9 de ces masses en contre fleche soit 18 tonnes plus les 12 de la contre fleche 30 tonnes.
Aller encore 2, 14 mois que cette grue était montée. Et encore 2, Et encore 2 autres . N'en reste en principe qu'une car malgrés mes jumelles je ne vos pas tout depuis chez moi. Ben non il en reste 2 donc c'était 20 tonnes de charges.

En toutes logiques ils devraient démonter maintenant l' éléments de fleche en bout, ils tournent la fleche pour se rapprocher de celle du LTM


L'élément rouge est descendu, au tour du suivant blanc.

Le blanc est descendu, et maintenant c'est l'élément rouge suivant qui sera descendu. Parce que le chariot est suspendu sous un petit élément rouge.
 Ils ont descendu le chariot seul.

Maintenant c'est le petit élément rouge qui sera descendu.

Je penses qu'ils descendront tout par éléments.

Le blanc suivant va etre descendu. Et en suivant 2 éléments rouges, et enfin le dernier blanc avec le treuil du chariot.

Ils vont certainement tourner la fleche pour descendre les 2 deniers contre poids ?

Ben non ils tombent le dernier élément blanc. Et la charge de la batterie Photos, donc plus de photos.

Le blanc est descendu, puis ça sera les 2 masses restantes et la contre fleche de 12 tonnes le porte fleche et sa cabine, puis les éléments du mat en  sections.

Tous les contres poids de base, puis le chassis de base, et ça en sera finis de la grue 1 qui sera remontée sur un autre chantier Barachin..

Et la c'est la fin des haricots.

Je présume toujours qu'une fois le chariot déposé

En après midi en allant chercher du pain j'ai assistés aux chargements de certains éléments sur semi.

Puis à la pharmacie chercher des médocs, en revenant ils avaient tombé le sommital, actuellement ils ont tombé un élément du mat

M'est avis qu'ils veulent tomber les 4 derniers éléments visibles de ma chambre d'un seul tenant ?

Mais souvent mes suppositions sont tombées à l'eau.

Une fois tous les éléments du mats tombés je ne verrais plus rien et il y en a encore 2 ou 3, plus les contre poids et la base en barres croisées, ils vont certainement continuer jusqu'à la nuit.

Ce sont les mats qui sont les plus longs a démonter 8 chevilles de diamètre 60 acier boulonnées, à desserrer sur grosse clé hydraulique. 15 bonnes minutes pour 8 chevilles.

Je disais ce matin que 14 mois avaient été necessaires a Barachin pour construire les 2 premiers bâtiments, la 3 em tranche est plus petite, et les fondations Deja faites dés la fin de l'hiver, pour moi la grue 2 sera démontée fin Décembre de l'année.

La 1 va etre remontée sur un chantier d' Annecy le vieux, de Barachin.

J'aie posée la question au monteur en rouge de quelle boite il était, il se dit prostitué, n'apparte.nant à aucune . Un Rigolot.

Pour mol les grues appartiennent à Barachin.

Ce matin vers midi , s'est achevé le démontage de la grue 1.

Le grutier dans sa grue 2 l'a vue disparaitre de son champ de vision, 13 mois qu'il l'à grimpées est descendu 2 fois par jour

13 mois ça fait au pif congés féries compris 12 mois, c'est aussi 52 semaines, de 30,4 jours par mois, 682 ascensions et descentes. de 40 m=une ascension de 27,280 km de quoi mourir asphyxié.

tu impose des cadences infernales toi. c'est 217 jours de travail par an en moyenne, ils bossent pas samedi et dimanche les mecs.

donc on est sur 500 ascension si ils ont fait quelques samedi en plus en 13 mois, çà fait quand même 20km d'échelle

Comme d'habitudes, je me suis encore gourré.

20 km d'échelles ca commence à faire.

Mais d'après le monteur, la grue 2 fait 40 m sous flèche, tandis que la grue 1 en faisait 15 de plus soit 55 m, mais je me suis basé sur ma première éstimation des 40 m.

Alors toi qui calcule bien refait ces calculs sur 55 m.

Et Greg 59 qui demandait s'il y avait un ascenseur ?

Oui il y a les rails et les crémaillères pour, mais jamais installés, lui parlais de bureau Véritas ??????????????? mort de rire jamais vu aucun clampins monter tout en haut vérifier si tout était fait dans les normes

Tu penses bien qu'une boite comme Barachin l'équivalant Savoyard De Bouygues ne va pas se laisser emmerder par des empêcheurs de construire.

Et puis 55 m d'échelles à crinolines n'ont jamais empêché à un grutier Savoyard de haut vol d'y grimper pour faire son boulot.

27.5km d'échelle à 55m de haut

Coup de bol au pif je suis tombé dessus 

Merci Marc.

Je suis tous les jours sur ce chantier, et cet après midi je suis devenu aide du centralier, c'est à dire directement aux commandes de la centrale à bétons, à verser dans le seau de 1500 l de bon béton made in JPG, pour préparer des fondations.

Durant ce laps de temps le centralier dégage ses pondéreux que la drague bourre en bout de course.

En faits s"'il avait un bob cat à disposition, il déposerais les pondéreux dans la zone d'activité de la drague à godet, et du même coup regagnerais de la place au stockage des coffrages à béton SOCOTEC.

Joris dit JOJO n'est pas bouddha avec 3 paires de bras, il fait ce qu'il peut toujours avec bonhommie, je l'ai vue une fois en colère quand ils ont remontées la centrale à la mi mai.

Lundi ils ont eue 15 litres de citronnade, demain ils en auront 20 litres, ET PUIS C'EST TOUT.

Bof ils sont braves ils m'acceptent sur leur chantier, le seul touriste portant un casque jaune de chantier autorisé à les aider dans des menues taches près de la bétonnière.

Et moi ça me fait plaisir, et me dégage un peu de mes modèles réduits.

Ce matin, continuation du coulage des bétons de prè chappe sur l'emplacement de l'annexe du bâtiment sans garage , au niveau -1, celui de la grue.

Sympas le grutier Jean Philippe, m'à dit hier au revoir, a demain, il compte sur moi pour l'aide apportée, mes guidages l'aide beaucoup et accord avec son ordinateur de bord qui ne peut tout faire.

Surtout je leur amène 20 litres de citronnade.

Pour les prochaines je lui porterais une tonne de 1000 litre de citronnade, mort de rire ils sont insatiables sur la citronnade.