Etudes et réalisation d'une pelle carrière 9100 au 1/14 rétro en base d'une CAT 323 L au 1/10.

Aujourd'hui, commande chez Michaud chailly de deux roues dentées au pas de 9;525 à 21 dts, avec le port de Lyon j'en ai pour 20,50 €, normallement je doit les avoir ce prochain mardi.

Première chose à faire casser les dents au tour en prise sur le moyeu.

Bien sur démontage de ceux sur les moto réducteurs de façons à ne supprimer que la matière nécessaire sur chaque moyeu.

En effets les faux moteurs ne sont que rapportés extérieurement sur les roues.

Mouflage des axes avec des fourreaux de 8x12 pour m'ajuster aux arbres de réducteurs, perçage des vis radiales de blocages en M 5x80, ne restera plus qu'à les peindre en noir, et remonter les chaines et passer aux essais de roulage.

J'ai mes deux pièces au brut, c'est bien ça, ça roule impeccable dans les chaines, ça corresponds bien au pas et aux maillons.

Faut juste virer ceux existants et ajuster les nouveaux aux modèles de ceux étant enlevés.

Après ma nouvelle pompe d'éssais, je suis passé sur ces deux pièces, tronçonnage à la meule de 125 des deux moyeux, puis finitions des deux flasques sur le tour, et tant qu'à faire alésages.

En faits c'est relativement bien  foutus, les faux moteurs extérieurs en alu comportent un moyeu de 16 à vis de blocage, les barbotins sont retenus par 3 vis de 3 mm.

J'ai donc rasé les deux flasques et alésé à 16, puis reports des trois trous sur modèles anciens barbotins sans dents.

Une fois remontés, j'ai remis en place les chaines et tendues légèrement celles ci.

Cette fois ma pelle à les crocs.

Puis je me suis occupé à remonter au propre mon électronique.

De ce coté la partie électro hydrau technique est quasiment terminée.

La semaine prochaine début des travaux de carrosserie, puis mi juin voyage aux canari pour 15 jours. Ca va faire vachement du bien.

Fin Juin je me remettrait la dessus pour finir un bel engin.

Les temps de convalescence se terminent, Prostate et Cataracte, normalement je devrais me remettre sur cet engin sous peu.

Déjà le dépoussiérer, il est tout blanc du ponçage de Maryline ma pilote de para moteur en résines polyester lourd.

Rangements nettoyages atelier, pour commencer la carrosserie.

Pour cette carrosserie, je veux conserver l'arrondis du tablier, aussi les tôles verticales s’arrêteront juste au dessus de ces arrondis.

Je veux que mes éléments de capotage soient amovibles rapidement, je vais profiter des cornières profils à froid posées par Pierre, et munir mes capotages intérieurs de pinces en tôle pliées. Mais mes carrosseries seront schématisées.

Sur la droite deux grilles d'aération qui font la hauteur du carénage, et en avant le classique carénage en forme d’escalier.

Sur la gauche , la cabine est en désafleur sur la gauche, et en arrière 3 ouïes de ventilation hautes en Crevées .

Le contre poids allégé est celui de Pierre à l'arrière arrondis, qui s'encastre parfaitement sur ses deux pylônes de maintient et de centrage.

En faits il me faudrait faire la cabine tout d’abord, pour bien situer tout le reste.

La passerelle devrait faire partie du carénage, le tout ôté d'un seul tenant. Le contre poids restant en place.

En milieu de cette après midi, études sur plans pour construire cette carrosserie, puis descente à l'atelier.

En faits j'ai commencé par le coté droit, vu que l'engin est posé de ce coté dans mon minuscule atelier.

Une première pièce constitué d'une grille à mailles carrées de 5x5 a été montée sur un lardon cintré dans sa longueur de 210 et de 20 mm de hauteur, c'est le bas de caisse en continuation des formes du contre poids plomb ces deux pièces brasées argent.

La seconde en avant de la pelle est destinée à recouvrir la pompe dont j'ai changés les sorties aux distris et retours par le limiteur, de façons à gagner de la hauteur, pour une fois cette partie sera aussi haute que la cabine, mais ses faces sont en continuité du galbe de la grille précédente, ces deux pièces ont été brasées ensemble.

La suite verra le recouvrement avant du bloc pompe tout en galbe et pans coupés..

A ce stade je serais obligé de passer au coté gauche, de ce coté le lardon galbé du bas de caisse fait 180 mm de long, sur ce cote se trouve normalement deux portes d’accès aux machineries, la tôle constituant ce pan sera découpé et façonné aux mêmes formes supérieures que le coté droit, mais le bas ne sera pas galbé, vue la pose des passerelles d’Accès.

Pour des raisons de transport et de facilité de déplacements ces passerelles seront amovibles montées sur les coté par boutonnières, les cotés de la carrosserie reposeront sur les axes de ces boutonnières.

La carrosserie est comprise entre le coté droit et gauche, la cabine la flèche et le contre poids.

Ces deux cotés seront reliés par des entretoises soit en tôles pliées soit tubulaires acier, d façons à alléger ce type de construction, et ménager des ouvertures aux capots supérieurs à claire voies.

Si bien conçu ce carénage devrais s'enlever d'une seule pièce.

Des photos suivront l'avancée des travaux.

Ce matin reprise sur la pelle, déjà placer à son avantage le réservoir d'huile, et surtout le diminuer de hauteur de 10 mm, pour cela découpe du fond, et échancrures en marches d’escaliers pour éviter les cornières des bandes de rives, puis re brasure du nouveau fond et des pattes de maintient.

Puis continuation sur le carénage droit recouvrant le groupe hydro, des photos suivent.

En faits ce carénage sera relativement simple, puisque l'engin n'est pas con forme à la 9100.

En arrière du groupe hydro des tôles d'abergements pour masquer le limiteur de pression/débit déplacé.

Le carénage gauche sera plus simple que le droit, mais sera relié à celui ci par deux fermettes en tôles pliées.

Un grand capot de carénage mobile recouvrira la machinerie, mais je laisserais de la place sur la fermette arrière, pour les pots échappement les filtres à air

un monstre cette engin la!!!!

Non , pas plus gros que la 964, mais plus rapide, alimentation de partout en 4x6, pelle à gros débit.

Ce matin, avec les petits travaux pour JM sur ses vérins, j'ai continué mon carénage, le coté gauche est fait, et les deux cotés sont reliés par deux pontets en tôles pliées brasées.

Les cotés reposent dorénavant sur des pincettes qui enfourchent les cornières bandes de rives posées par Pierre, le carénage de droite repose sur l'intérieur du réservoir ce qui le coince de ce coté. Et sur son arrière une pincette.

Au dessus des deux pontets, je me tâte pour une grille comme pour les 322, faisant la largeur du carénage et sa longueur, sur charnières arrières, juste pour le fun.

Devant le carénage englobera le départ vers les distributeurs, une succession de petits bouts de tôles pliées et échancrées.

En faits une fois terminé, c'est tout le carénage qui vient d'un bloc pour l'entretient.

Mème la cabine de pilotage fera partie du carénage.

La passerelle gauche en fera aussi partie, contrairement à ce que je disait précédemment, ainsi tout se soulève d'un bloc pour les entretiens courants, et je dirais même pour les transports, car une fois les passerelles en place ça sera relativement fragile.

Et puis si passerelles attenantes aux carénages, plus grandes facilités de fixations définitives.

Baptisée 9100, en faits elle n'aura presque rien de la 9100, et puis j'ai aussi copiées quelques photos de cette 9100, elles sont toutes différentes d'aspects, en faits ça sera une 9100 mais modifiées pour des besoins précis, dans tous les cas une pelle à gros débits.

Cet après midi, continuation sur mon carénage, parce que d'une part cet engin trône sur place depuis un an, et que le déplacer pour le mettre ailleurs, il me faut libérer de la place au garage, alor déplacer pour déplacer un engin de 40 kg, autant ne le faire qu'une fois, et de terminer carénage et cabine.

Continuation donc sur les détails pour masquer l'appareillage, fabrication de la grille pyramidale tronquée haute de 20 mm longue de 225, et large de 90, qui sera articulée sur le pontet arrière.

Cette grille fait office d'aération.

Puis non sans mal j'ai retourné l'engin pour travailler sur sa gauche, et ai commencé le débit de sa cabine, face arrière et toiture.

Dans cette position il m'a fallut caler la flèche plein relevée une pige alu la tient en place sur le vérin de gauche, et la porte de la cave se referme au mm près.

Demain continuation sur cette cabine, la passerelle sera faite un autre jour après les travaux à Jean Marc.

Ce matin fabrication cabine de conduite.







La cabine n'est pas terminée, il y a encore deux joues en arrière de la porte, et des lardons supportant le toit comme sur l'avant.

Mais j'ai plus de brasure, faut que j'en achète au brico.

J'hésite à faire la passerelle, en faits c'est certainement ce qui fera son charme, car ce n'est pas courant une pelle avec une passerelle latérale.

Par contre l'échelle d'accès se repliera sur la passerelle, ou je la fait coulissante vers le haut.

La cabine de conduite est terminée au brut mais poncée, elle est pointée sur le carénage général, de sortes qu'à l'ouverture elle vienne avec.

Mais pas de bol plus d’oxygène, recharge pour demain de façons à la fixer définitivement au carénage .

Au  brico du coin outre de la brasure argent et brox, j'ai pris un coupon de tôle acier d'un mm, de la gril;e métal déployé un U de 20x10, pour monter la passerelle que j'aie commencée ce soir.

Elle fait la longueur cabine plus carénage, mais sans le contre poids.

Un longeron principal extérieur, deux intermédiaires fixés à la cabine et au carénage plus 6 intercalaires d'écartement et supports du grillage.

Ce châssis sera assemblé par goussets d'angle en cornières alu rivées, de façons à former un cadre rigide et cohérent.

Sur ses cotés la rembarde y sera montée, chaque montant de 3 mm avec une platine laiton brasée argent vissée sur le châssis, entre montants des surbau en tôles de 15 de haut, une sous lisse en rond de 2, la main courante de 3 mm chapeautera les montants.

Il y a un léger décroché arrière entre cabine et carénage , 1 cm, mais pas en façade, il y aura juste un passage sur l'arrière pour accéder à la pelle, avec échelle coulissante relevable formant portillon au passage.

L'ensemble sera bien sur brasé argent pour une grande solidité générale.

Pour une fois je fabriquerais un poste de pilotage, mais celui ci sera partie prenante du plancher de cabine et fera corps avec le tablier.

Toutes les ouvertures seront garnies d'un joint caoutchouc noir en U, collé cyano une fois la cabine peinte en blanc EIFFAGE, les vitrages seront collés dessus par l'intérieur, à la colle à chaud.

Ca y est , je ne manque plus d'air, les travaux peuvent reprendre.

Et comme je n'en avais pas besoin lol j'ai fabriquée ma plateforme de passerelle en U alu de 20x10 assemblages par goussets cornières de 10x10 rivées et vissée.

Des photos suivent avec la cabine terminée.



La plateforme de la passerelle.

Ce matin fabrication des rambardes sur passerelle, le tout brasé argent et soudures étain, reste à poser les sous lisses.

Tous les montants de 3 traversent de parts en part le platelage, ce sont les surbaux qui retiennent l'ensemble, mais dépassent en dessous d'un mm, pour mise en place d'une rondelle de trois soudée étain.

Puis mise en place vissées sur cabine et carénage.

Je doit faire des courses je reprendrais un rond laiton de 3 pour l'échelle coulissante.

Ce matin en première heure continuation sur ces capotages, et fabrication de l'échelle coulissante à 7 barreaux.

Relevée elle ne devrait pas gêner sur la rotation de tourelle.

Finitions des brasures entre cabine de conduite et carénage.

Il faut que je me trouve du rhodoid de 5 dixième pour les vitrages cabine, je dispose de deux sortes de joints caoutchouc noirs.

Le premier en H, mais pas facile à mettre en place comme les pare brises automobiles.

Le second plus facile, se place autours du vitrage épaisseurs déduite de celle du joint de vitrage, puis c'est ce joint qui est collé sur les montants après peintures de ces carénages.

Ce soir, je puis dire que cet engin est quasiment terminé coté constructions.

Passerelle en place avec garde corps, échelle d’accès coulissante se coinçant seule des deux cotés, si je voulais chipoter: lumières sur flèche, feux de travaux sur cabine, et bien sur poste de pilotage.

Les suites verront les peintures, couches d’apprêts, puis couches finales en blanc façons EIFFAGE.

Le capotage s'enlève d'un bloc cabine de conduite comprise et passerelle.

Coté pelle, il me faut passer en peinture, blanc, je pensais utiliser de la bombe, mais en faits pour ma séparation séjour, j'avais acheté un gros pot d' acrylique blanc satiné, il fera très bien l'affaire pour cet engin, plutôt que de tout le temps acheter.

Pour bien bosser, un peu de ménage dans l'atelier micro, ça fait pas de mal surtout avec la poussière de résine de Maryline.

J'ai montée la grosse pelle sur mon balcon en vu de son démontage et peintures, du coup j'ai descendue ma bruder pour modèle des vérin de JM.

J'ai passée une couche de blanc intérieur et extérieur sur le carénage, demain quelques courses au brico pour un mini rouleau, la peinture sera nettement mieux.

Primaire Peinture :

encore un beau gros bébé

Oui Eric, et merci, surtout un engin improbable d'une série limité du constructeur Liebherr, un engin quasi unique, rien que le contre poids d'origine faisait 12 kg, évidé il n'est fait plus que 7.

Rien dans les formes et proportions ne rappelle un engin connu.

Si à vide la vitesse de ses vérins dépasse ce qui est connu, en charge on devrait se retrouver à peu près à la vitesse de son modèle, une pelle à très gros débit, le godet est déjà plus gros que celui de la pelle Liebherr 964 B.

C'était pas un challenge facile à tenir, avec ce dont je disposait.

Ce matin je pars une semaine en voyage, au retour continuation sur un démontage complet et nettoyages pour peintures.

Au bout de 15 jours de séchage, vu que c'est une peinture vinylique, j'ai fait un essais avec une bombe de peinture Blanche de chez Promodèl, pensant qu'elle la détruirais pas fusion  de son solvant.

Il n'en est rien du tout, la peinture en bombe reste stable et bien tendue sur la carrosserie.

Donc en après midi, démontage de la flèche et nettoyage à l'acétone, en vue d'une peinture en bombe achetée demain chez Promodel.

Une couche d’apprêt gris mat, puis suivant deux couches de blanc.

Le châssis est en noir, mais peint depuis longtemps, peut etre résistera il au solvants de la nouvelle peinture ?

De faits demain achat de gris mat, blanc brillant, noir brillant et rouge brillant pour la ceinture de caisse façons éiffage.

Normalement la passerelle devrait rester blanche, mais en noir, mains courantes montants et sous lisses.

A vérifier sur photos couleurs.

En fin de cet après midi, démontage complet de l'engin, en vue des peintures finales.

Dégraissage à l' acétone, dérouillage à la lime, et papier de verre, pour les parties corrodées par le décapant des soudures étain.

Demain achat des peintures en bombes, en espérant que le beau temps se maintienne pour les passer sur le balcon.