BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps

Le Toyan se décline aussi en 4 cylindres pour une cylindrée de 14 cc.

 pour la modeste somme de 1395,99 dollars US au pif 1200 €

https://youtu.be/YilpC0gswSg



https://youtu.be/jdoksITir94



Et le Mème en éssence

https://youtu.be/8lOllFWv30Y



A 302,88 dollars US, mais sans l’équipement électronique

En faits le 4 Temps essence coûte plus cher que le méthanol.

En méthanol c'est le carburant qui est cher, en essence ça doit etre du 2 temps utilisé pour du 4 temps ?

Avec toutes ces vidéos, maintenant il me faudrait bricoler un autre pot d'échappement silencieux.

tu dois vite rentabiliser çà. Oui si il n'y a pas de pompe a huile c'est normalement du 2 temps. Mélange d'essence et d'huile entre 2 et 3%

BG en vends aussi des Toyan, mais 370 € au méthanol, et ils ont barrés un prix en dessous, 470 €, même BG s'emmerdes plus, j'ai bien fait d'acheter mes deux bourrins pas chers. le premier à 198 € le second à 220 €, 28 € de plus  pas lol, mais offres de marchés.

Pour son embrayage, j'attends les masselottes 2 points et le ressort annulaire en gorge, et chez mon fournisseur, prendre soit du stub de 2,5, soit chez Youmodel à argonay de la >CAP de 2,5.

En faits dans le volant moteur 4 trous en croix, 2 de 2,5, et 2 de 3 opposés, mais pas de trous taraudés, de faits j'y enfoncerais les deux axes à force, avec un peu de cyano mi fluide, ces axes font 16 de longs, 6 mm enfichés et 10 qui dépasse.

De faits remonter le volant, (il et vissée sur l'arbre), puis l'écrou axe serré dessus, sur lequel tourillonne la cloche montée sur roulements. et maintenue par un circlips.

Pour le second moteur, dans l'immédiat rien vu que ça reste un groupe électrogène.

Pour le silencieux d'échappement, j'ai du tube laiton de 6x7, il me faut faire un adaptateur en 6 laiton vissé en 6x75 sur la sortie d’échappement, assez long pour y placer un raccord union conique de type vapeur qui dépasse la prise de surpression d’échappement (comme sur la vidéo ) Et faire un pot plus gros garnis de paille d'alu (copeaux), genre tube de cuivre avec deux embouts laiton tournés coniques, rentrés sertis dans le tube et soudés soit étain soit argent et repris sur le tube coudé de 6x7, d'ailleurs il me faudra tourner des noix de cintrage.

Tu a vus sur la vidéo comment le type était équipé ? Tour numérique à pinces, tour classique et pinces de cintrages diverses.

Encore un qui ne bosse pas avec bite et couteau.

Clair il avait l'air bien outillé le mossieu. en même temps, faire de la mcanique de base avec bite et couteau c'est quasiment impossible, alors pour toucher aux moteurs qui demandent tellement de précision, faut même pas y penser

Pour mon embrayage j'ai trouvé chez mon vendeur d’embrayage des goupilles de 2,5, avec bouts filetés en m 4 il me semble de 14 de long, qui vont aller pile poil dans le volant vissées depuis l'intérieur, filetages non débouchant de sortes que les deux goupilles vont se bloquer dans les trous, et ne dépasser que de 9 mm, idéal pour etre coiffées sans frottements à ces bouts d'axes, parce que tous mes fournisseurs sont soit en ruptures de stock, soit n'ont pas de dispos soit le port est plus cher comme weymuller de 15 € pour une CAP de 2,5 d'un mètre de long à 1 €. Mème avec le port c'est moins che que chez Weymuller et il y en à 4, pour mes deux moteurs.

Tient j'y penses, deux moteurs toyan couplés sur le différentiel d'inversion ? 7 cc  de cylindrée totale. Ça pourrait le faire ?

Sur le TUG. mais alors fait en contre plaqué de 5 mm ? Presque plus solide à faire qu'en PVC mousse.

Et puis des bateaux en bois, je sait très bien faire.

J'aie recue ce matin les deux masselottes et le ressort dans rainure, ces masselottes sont pile poil le diamètre intérieur de ma cloche, j'attends pour demain les axes en 2,5.

Si ca marche nickel pour un moteur, il faudra que je reprenne les même pour l'autre moteur, et certainement fabriquer l’écrou axe.

La cloche est souvent sur roulement aiguilles. c'est plus facile à intégrer que 2 roulements classiques car il n'y pas besoin de faire d'empreinte.

Toutes celles que j'ai vues sont montées sur 2 roulements de 5x10x4.

Alors c'est ballot, j'ai une cloche de 18 dts et la nouvelle avec l'embrayage 3 points de 13 dts, et il existe des cloches de 17 dts.

Je lui ai posée la question s'il en avait de 18 dts, si non je reprendrais une de 13 dts.

Quel bordel avec ces cloches, on est pourtant pas encore à Pâques, mais aux tisons.

Ce matin je me suis un peu remis sur cette construction, et fait un schémas préliminaire d'usinages, entre la préparation des engrenages, comme le réducteur 80 Dts/36 dts, tous les alésages et mises aux largeurs, puis à voir pour les paliers divers.

Pour commencer, il me faut créer le premier paliers, celui du front des deux moteurs, Peut importe le nombre de dents d'attaque de la roue de 80 dts, en faits ces deux engrenages sont sur un axe commun reliés par un axe de 10 sur roulements, il faut donc deux paliers identiques, le premier en attaque des moteurs sur la couronne  en extérieur du palier alu, suivis par son arbre de 10, le différentiel pénètre alors dans ce palier, pour etre entraîné par le pignon de 20 dts sur sa couronne de 36 dts faisant tourner le différentiel, en sortie le frein à disque du blocage du diff en rotation, puis reprise sur ce palier sur roulement de l'arbre intermédiaire de crabotage.

Bien sur tout cet ensemble mécanique doit reposer sur un massif commun, moteurs compris, amovible par rapport à la ligne d'arbre. et relié à lui par cardans à boules héxasphériques.

Mais la, je n'y couperais pas, dessins grandeur sur ma planche à dessins.

Les deux moteurs reposent chacun sur des dés faits pour eux et identiques (je les avait faits en série en prévision de l'arrivée du second moteur), et se positionneront de parts et d'autre de la couronne dentée plastique.

Base alu qui sera d'ailleurs pratique pour la fixation de toutes ces mécaniques et tunnels de refroidissement.

A la question posée s'ils ont des cloches en 18 dts, c'est non, alors comme j'aie une cloche de 13 dts pour l'embrayage 3 points, j'en ai re commandée une avec un autre jeu de masselottes 2 points à ressort.

Ils n'ont pas non plus l’écrou acier de serrage porte roulements de cloches (étonnant) (comment ils font les gus qui ont des embrayages deux points et qui perdent ou cassent leurs écrous ?

C'est du H acier de 9 ou 10 fileté à M 6x100, j'ai une jauge à filetages , je vérifierais, mais je me le ferait moi mème.

Ainsi sur cloches de 13 dts, réduction de 1/6,1538, grosso modo 1/6 em, puis de 20 à 36 dts , 1/1,8.

Je part sur une vitesse moyenne du moteur à mi régime 6250 tours aux moteurs :6,1538 = 1015 tours :1,8=564,240 tours minute à l'arbre d'hélice diamètre 80 à 4 pales, en régime moyen.

Au ralentis ça donne 2000:6,1538=825:1,8=180,556 tours et au maxi :10500:6,1538=1706:1,8=947,923 tours, m'est avis que ça doit sacrément brasser, surtout dans une tuyère kort orientable.

Hier donc fabrication d'un premier boulon de serrage en m 6x100 sur hexagone bronze de 10 sur plats, mais trop court il m'a fallu les refaire pour deux pièces plus longs, et la ça va.

La première cloche reçue est en acier trempée cémentée donc impossible d'y faire quoi que ce soit, les modifs concernent alors les écrous de serrages qui sont aussi les supports axiaux des cloches sur roulements.

Les deux volants moteurs ont reçus leurs axes de masselottes qui sont en faits des goupilles de cardans, et qui bien adaptées font merveilles.

Vu que je n'aie qu'une cloche et un jeu de masselottes et ressort ce jeu est monté sur le premier moteur, j('attends la seconde cloche pour demain lundi avec masselottes et ressort de tension.

Ce qui est malheureux chez la maison RC diffusion, c'est le refus des conseils sous prétextes qu'ils ne connaissent que ce qu'ils vendent, ils refusent donc que des gents puisent transformer et modifier leurs produits pour d'autres utilisations.

Il m'a donc fallu travailler par tâtonnements pour arriver à mes fins.

A termes ces deux moteurs auront le même embrayage à pignon de 13 dts au module 1. En couplage sur le système de réduction prévus pour différentiel d'inversion.

Les réglages une fois l'ensemble réalisés concerneront la simultanéité des mouvements de freinage de cloche de différentiel, avec le dé crabotage de l'arbre de synchronisation. par un gros servo coupleux de récupération. Et la , ça ne sera pas de la tarte aux myrtilles.

Si tu veux, tu en sais plus que les 9/10 des vendeurs de ces magasins. Ce sont des vendeurs, pas des modélistes. Je me souviens à l'époque de Atem un magasin à Rambouillet spécialisé dans l'aero modélisme. Le gars s'y connaissait, c'était clairement sa passion, d'ailleurs il était au bureau du club d'aero modélisme de Rambouillet.

le magasin a fermé et je n'ai jamais retrouvé de conseil pareil dans un autre. A mon avis les forums comme ici sont la meilleure source pour en discuter, les vendeurs sont la pour faire du chiffre, plus pour conseiller. Comme dans les magasins d'informatique de la rue Montgallet, le quartier chinois de Paris, tu dois savoir ce que tu viens acheter, ils ne sont d'aucun conseil.

Il est loin le temps  ou nos vendeurs Lyonnais étaient des modélistes pratiquant toutes les disciplines, de nos jours leurs repreneurs se sont tous cassés la figure par incompétence, alors on profite largement des sites Chinois.

Je suis allé chercher mon solde des accessoires d'embrayage pour mes deux Toyan, me reste à les monter sur les moteurs.

Le deuxième moteur à recu son embrayage à cloche, donc les deux moteurs sont maintenant identiques, sauf à roder le second, et lui placer son glow driver définitivement.

Ce qui va me permettre d'étudier soigneusement mon montage de différentiel d'inversion.

Voila, depuis hier, j'étudie le montage des deux moteurs sur la couronne de réduction et sur le différentiel d'inversion.

J'ai donc fait un dessin à plat doublé d'une élévation, pour noter soigneusement les entre axes de mes engrenages.

La platine de base au niveau des moteur fera 155 mm de large, peut etre moins, car le jeu entre moteurs est très faible de l'ordre de 5 mm, mais ces 5 mm me permettront de les rapprocher pour remonter l'axe du plateau de réduction , en vue de remonter celui du différentiel d'inversion.

Pour faire simple, les deux moteurs parralléles s'engrennent sur la couronne dentée de 80 dts par leurs pignons à 13 dts montés sur cloches d’embrayage, de la , un axe de 10 monté sur roulements solidarise le plateau denté au pignon de sortie de 20 dts, qui s'engrenne en réduction sur la première roue dentée du différentiel de 36 dts.

Sous ce pignon d'entrée sortie se place la roue de 36 dts du diff, on reste donc en ligne directe du plateau de réduction.

Le différentiel sera donc monté sur colonnette par roulements sur la platine de base qui sera diminuée de largeur, 

En sortie de différentiel une noix sphéro hexagonal sert d'entrainement de l'arbre d'hélice, par l'intermédiaire d'un croisillon qui fera cardan. 

Sur la platine en parallèle du diff, le système de crabotage permettant l'entrainement direct du diff sans passer par le dispositif de différentiel, et par crabotage donc libération de l'entrainement direct, de passer par le différentiel pour la marche arrière.

Tout ce système est monté sur des plaques d'entretoises vissées sur la platine de base, et tous les axes sur roulements.

Et bien sur le servo massif permettant de permuter le crabotage ou l'effet différentiel, donc servo à double action, en utilisant le frein à disque d'origine du différentiel.

Il me faut donc faire un dessin vue de dessus, doublé d'un dessin en élévation grandeur nature, pour relever précisément mes cotes des supports et entres axes divers.

Mes dessins ont été affinés cet après midi, puis en fin de ce même après midi, descente aux enfers pour me geler un peu les pieds, pour préparer quelques menues bricoles.

Faire deux clamps laiton pour bloquer l’étau acier sur le coulisseau alu pour le BD, pour cette équerre de fraisage.

.Puis pour éprouver les clamps rapides sur fraiseuse, détourage de la plaque de base de l'ensemble mécanique. qui fait 222 de long sur 155 de large.

J'ai fait suite aux diminutions d’Épaisseur de tous les engrenages au standard de 6,5, et perçage des trous radiaux de blocages sur les différends arbres, me reste juste à les tarauder.

Dans la foulée je n'aie pas rectifié le coffre de lipo de la remorque Joskin, fallait que je remonte pour la soupe, avec les pieds congelés malgrés le petit chauffage d'appoint.

Il ressort que je devrait sur élever les deux moteurs de 13 mm. pour cela , je ne vais pas refaire les supports moteurs mais leur adjoindre des semelles de 13 d’épaisseur.

Avec ces semelles les axes moteurs remontés, ça me permet de positionner mon différentiel assez haut pour que le disque de frein tourne librement au ras de la plaque de base.

J'ai aussi étudié sur le papier les trois supports toiles du différentiel et du réducteur qui le précède, une toile sera positionnée derrière le plateau plastique diminué lui aussi en épaisseur, puis une autre commune au différentiel plus en avant, puis la troisième après le différentiel, toutes les plaques incluent l'axe de l'arbre parallèle du crabotage.

Les deux crabots seront diminué d’épaisseur de 2 mm, pour s’intercaler ouvert entre la dernière toile et le flasque central qui serrait la couronne dentée d'origine.

Dans mon idée, c'est de positionner les deux moteurs sur la platine, suivant les dessins, centrés en largeur sur les 155 disponible.

Puis recentrer l'ensemble sur l'axe médian du réducteur et du diff d'inversion. Peut etre diminuerais je la plaque au niveau diff, peut etre pas, car à ce niveau dans le compartiment machines du bateau, rien ne vient entraver cette plaque.

Mon hélice 4 pales copiée sur les modèles Raboech

 L'hélice fera 100 de diamètre, le moyeu laiton en M 5 fera 20 de diamètre, sur ce moyeu seront fraisée les 4 entailles des pales en tôle laiton de 2 mm cambrées.

Par rapport aux photos la partie conique finale est rapportée sur l'hélice et sert de contre écrou.

Le moyeu par lui méme fait aussi 20 de long finis, mais pour fraiser les 4 entailles, ça se fera sur diviseur universel à manivelle en position vertical, et positionne suivant le pas de l'hélice, coté fraises je n'en ai pas de 2 mm, 3 mm oui, mais je ne ferais pas ça avec une fraise, mais avec deux disques à tronçonner l'un sur l'autre, machine montée sur un support.

Et c'est la ou l'idée de Greg de faire un diviseur sur le tour, se justifie.

J'ai dit rond laiton de 20, mais si je prends du carré laiton de 25, je pourrais fraiser mes entailles plus facilement et droites, avec une profondeur d'entailles importantes en vue de cylindrer le moyeu une fois les entailles faites.

Coté pales je vais découper 4 pièces identiques, les façonner aux formes, puis les cambrer, et les vriller.

Les cambrer peut se faire de façon unitaire, sur un gabarit de forme simplifié, dans l’étau, la presse à levier serait bien utile pour ce travail ?.

Le vrillage interviendra quand les 4 pales seront brasées argent sur le moyeu, serré dans l’étau, et avec une sorte de pince ou griffe maison, en m'alignant sur un gabarit d'angle disposé sur les mors de l’étau.

Pour les brasures des pales, moyeu et pales seront bridées sur gabarit à plat.

Je réalise mon hélice car quand je vois les prix d'une unité, ça me fait frémir, 94 €, certes il y a du job, mais pour une boite spécialiste en fabrication c'est du tout emboutis et fait en séries.

Et puis la joie de dire : c'est moi qui l'ai faite.

je te rejoins sur le fait que c'est gratifiant de se dire c'est moi qui l'ai fait.peut importe si c'est une pièce basique ou complexe,chere ou non a l'achat.moi j'ai comme devise de faire un maximum moi meme et si vraiment c'est un echec alors il faut parfois retourner a la raison et acheter.
ca me fait penser quand je construisais mes premiers bateaux en bois je me faisais déjà mes premieres hélices en cuivre.d'une plaque je formais un cercle puis je perçais le centre et je faisais les entailles.une fois la rondelle détaillée et serrée en bout d'arbre je donnais de l'angle aux pales grace a un tube refendu sur la longueur des pales par torsion.
ces hélices étaient destinées a des bateaux lents,souvent des 4 pales de 35,40mm de diametre donc le manque de precision malgrés un geste appliqué ne se ressentait pas lors de la navigation.
par la suite j'ai moulé des coques en fibre de bateaux de vitesse et la il m'a fallu acheter de vraies hélices en 2 pales d'abbord en plastique puis par la suite en laiton et c'est vrai que c'était un budget.
a l'époque on se fournissait en France et bien souvent en magasin,il n'y avait pas tout ce que l'on peux trouver maintenant.
très beau projet jean paul je te suis

C'est ça faire du modélisme Greg vu qu'on a des ateliers de mécaniques et des machines même si ça fait du travail, c'est toujours des satisfactions d'avoir fait soit même des trucs compliqués sortant de l'ordinaire.

Je regardes à la fois le coté financier et mes possibilités mécaniques de réalisation.

Cette hélice, j'avais déjà calculée sa vitesse maximum, il y a pas mal de réduction par rapport à la vitesse maxi des moteurs dite de 10500 tours, oui il y aura des défauts, mais vue sa faible vitesse ?

Vu que j'élabore le groupe moto réducteur, je me suis laissé allé à l'idée de l'hélice du type Schortel Navigator ? 

C'est un système basé sur un moteur hors bord, un fut vertical à doubles renvois d'angles, hélice sous tuyère entièrement pivotante sur 360° entraînée par ce groupe moteur, de sortes que pas besoin de différentiel d'inversion pour repartir en arrière par retournement de l'hélice.

Mais je suis tout aussi bien tenté de continuer sur ma lancée, pour voir ce que ça donne ?

Les deux systèmes montés n’empêchent pas l'un et l'autre de fonctionner ensemble.

Une sortes de challenge à réussir.

Mais d'un autre coté, ça complique les réalisation car un tel système baigne dans l'eau, il faut qu'il soit étanche avec des joints spi.

Puis se dire : A quoi destinais je mon engin ?

Je serait fou de tenter des navigations sur le lac D’Annecy poussé par mon bateau dans une barque de location ou un dinghy gonflable, pour rester autonome.

Partant de cette dernière condition, des marches avant et arrières bien sur et de la manœuvrabilité que mon premier système va me donner.

En faits les schortel navigator ont surtout été montés sur des anciens remorqueurs, qui font du cabotage sur fleuve en poussant à contre des barges de sablières, faites pour etre poussées derrière, sur le rhone à Lyon un ancien remorqueur avait été monté de la sortes.

Par la suite, la compagnie de navigation s’était offert l' Aramis, véritable pousseur de rivière en bout, que j'avais fabriqué au 1:6 em en tout électrique.

Dans son cas deux grosses hélices dans des tuyères Kort profilées et gouvernails couplés, le bateau n'avait pas besoin du schortel étant bien assez manœuvrant avec ses deux hélices indépendantes réversibles instantanément.

En faits je dispose toujours de cette coque de pousseur Aramis, mais bien fatiguée depuis 30 ans et qui prends l'eau de toutes parts.

Aussi refaire une coque de même nature ne me fait pas peur un peu plus longue tout en conservant une largeur raisonnable. et une superstructure simplifié du genre bateau de dessin animés à Mickey, de grande longueur et largeur pour accéder complètement à la machinerie.

Ce matin, je vais voir ce dont je dispose comme tôlerie alu, pour faire mes 3 supports de machinerie de diff ?

Les roulements de 10x19x5 font 5 mm de large, en toutes logique des toile de 5 mm sont suffisantes, mais il faut des flasques de retenues sur ces roulements, qui tiendraient alors par deux vis diamétralement opposées.

Quand aux toiles minces tenues en base par carré alu de 10x10 sur la largeur.

Par rapport à mes dessins, ces flasques se justifient sur l'axe du crabotage en extérieur, et en intérieurs aussi mais d'alésages supérieurs aux moyeux des pignons de 20 dts, pour ne pas prendre de sur épaisseurs.

Et se justifient également pour tous les roulements de ce type sur tous les axes, toiles en alu de 2 mm.

A savoir donc 2 flasque par roulements, soit 12 flasques identiques. les roulements font 19 extérieurs, donc 17 d'alésage me semble bon, sous réserve du diamètre des moyeux engrenages.

J'ai commencé à travailler sur la plaque de base fraisée hier, tracés des emplacements des deux moteurs, l'un est fixé, l'autre va suivre.

En faits pour ce montage il me faut leur placer des semelles plus hautes de 15 mm,( j'avais calculé 13 mais je ne suis pas à 2 mm près), donc ré hausser les deux moteurs, pour pouvoir placer la couronne de réduction plus haut et en dessous le différentiel et son disque de frein sans que rien ne touche la plaque de base.

Les plaques supports devraient faire 6 mm d’épaisseur, pour pouvoir laisser une lèvre d'un mm pour le roulement, ceci au prorata de mes possibilités mécaniques d’aléser mes trois plaques sur le tour. Ce qui  n'est pas si sur que cela.

Si non en groupant les 3 plaques identiques, de les fraiser ensembles, puis sur fraiseuse percer et aléser à la bête à corne, tous les alésages de 19.

Bien sur que si quelques trous passent au dessus du banc du tour j'ai intérêts à les faire ensemble donc épaisseur 5 mm, et rapporter des bagues extérieures de maintient des roulements.

Ces 3 plaques seront fixées sur la base par des carrés alu de 10x10.