BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
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Bamo
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Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Et Youpy, en me la jouant sérrée, presque rien à acheter, du coup mes chutes en 5 me suffisent pour 3 supports, ça sera en faits la tôle de base qui sera ouverte pour les grands diamètres, la grande roue, le roues de 36 dts, le disque de frein et la couronne centrale, juste des fentes parallèles.
Juste du carré alu de 10x10 pour fixer mes supports.
Puis j'ai ajusté les deux crabots, qui eux aussi rentrent entre toiles comme le différentiel.
Ah j'ai cassé un taraud de 4 in situs, que j'avais déjà niqué il y a quelques mois sur un bout d'acier trempé, la aussi ça ne pardonne pas çà bouffe les pointes des filets, et en final casse de la pointe qui m'a longuement prévenue avec ses HI HI HI.
J'ai pu extraire le bout cassé sans dommages pour les filets du pignon de 20 dts. J'en rachèterais un demain chez EFFI mon fournisseur .
Juste du carré alu de 10x10 pour fixer mes supports.
Puis j'ai ajusté les deux crabots, qui eux aussi rentrent entre toiles comme le différentiel.
Ah j'ai cassé un taraud de 4 in situs, que j'avais déjà niqué il y a quelques mois sur un bout d'acier trempé, la aussi ça ne pardonne pas çà bouffe les pointes des filets, et en final casse de la pointe qui m'a longuement prévenue avec ses HI HI HI.
J'ai pu extraire le bout cassé sans dommages pour les filets du pignon de 20 dts. J'en rachèterais un demain chez EFFI mon fournisseur .
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Pour mon dispositif, en premier, fabrication des 3 supports toile mis en sandwich, et découpés et travaillés ensemble sur fraiseuse et tour.
Pour les 3 alésages à 19, la raison me dicte de travailler à plat sur fraiseuse, pour pointer mes trois trous aux verniers.
Une fois bien marqués et centrés, ça me sera plus facile de les aléser, bien sur sur le 4 mors.
Les pièces ne sont pas grosses, 71 de long par 57 de large, mais en formes pyramidales tronquées.
Voici comment je procède sur le tour en 4 mors.
J'ouvre à fond les mors et je profite du plat avant du mandrin, j'y pose mon bloc de 3 pièces, me sert de ma pointe tournante pour piquer dans un des pointages, et serre progressivement les 4 mors, il se peut que l'un d'eux soit retourné.
Puis je fait tourner pour voir si je suis centré. Si oui, alors perçages et alésages aux forets jusqu'à 15,5 et je relaie à l'outil d'alésage, ici je suis perforant de parts en parts.
Je ferais ainsi mes trois trous, puis vu que je suis en bloc, tracés et perçages des trous d'assemblage avec les carré de 10x10.
Dans la foulée fabrication des 12 flasques des roulements, simples rondelles d'alu, à prendre soit dans du rond de 25 soit dans de la plaque de 2, en plaque il m'est plus facile de jouer sur le diamètre. Tracés pointages perçages à 10 pour les mettre en bloc en vue de toutes les cylindrer, et les percer de deux trous diamétralement opposés.
Puis finition des alésages à l'unité.
Une fois mes 3 plaques terminées , mise en place des roulements et de leurs flasques de retenue, puis déterminer les longueurs des axes de 10 qui y tourillonneront.
J'admet que le système est monté, tournant sans jeux, et j'ai réfléchis au système mécanique de passation de marche avant et marche arrière :
La fourche de crabotage sera articulée sur un axe vertical, avec un long bras de levier, actionné par le palonnier du servo.
C'est coté frein a disque que ça se complique, je doit pouvoir serrer des deux cotés de façons uniformes, pour cela, le disque ferrodo et les deux disques acier sont libres de mouvements latéraux sur leur carré de 17 sur le corps du différentiel.
Peut etre existe il des dispositifs miniatures ?
Va falloir que je me débrouilles tout seul sur ce principe, un étrier solidaire de son support, mais mobile transversalement, serre les deux plaques acier de chaque coté du férodo, j'ai justement la pièce en CAP pliée qui en fait office, elle doit etre montée sur l'atrier mobile, le servo en se déplaçant décrabotte, puis actionne le dispositif de freinage, le différentiel s’arrête de tourner en marche avant, et l'hélice repart en marche arrière.
Pour revenir en avant le servo relâche le frein et crabotte les pignons, ce qui impose un ressort de pression qui repousse le crabot.
A noter que la vitesse du différentiel est de 400 tours environ, le férodo plus le freinage de l'hélice en charge l’arrêtera rapidement.
Y a qu'à faut qu'on ?
Pour les 3 alésages à 19, la raison me dicte de travailler à plat sur fraiseuse, pour pointer mes trois trous aux verniers.
Une fois bien marqués et centrés, ça me sera plus facile de les aléser, bien sur sur le 4 mors.
Les pièces ne sont pas grosses, 71 de long par 57 de large, mais en formes pyramidales tronquées.
Voici comment je procède sur le tour en 4 mors.
J'ouvre à fond les mors et je profite du plat avant du mandrin, j'y pose mon bloc de 3 pièces, me sert de ma pointe tournante pour piquer dans un des pointages, et serre progressivement les 4 mors, il se peut que l'un d'eux soit retourné.
Puis je fait tourner pour voir si je suis centré. Si oui, alors perçages et alésages aux forets jusqu'à 15,5 et je relaie à l'outil d'alésage, ici je suis perforant de parts en parts.
Je ferais ainsi mes trois trous, puis vu que je suis en bloc, tracés et perçages des trous d'assemblage avec les carré de 10x10.
Dans la foulée fabrication des 12 flasques des roulements, simples rondelles d'alu, à prendre soit dans du rond de 25 soit dans de la plaque de 2, en plaque il m'est plus facile de jouer sur le diamètre. Tracés pointages perçages à 10 pour les mettre en bloc en vue de toutes les cylindrer, et les percer de deux trous diamétralement opposés.
Puis finition des alésages à l'unité.
Une fois mes 3 plaques terminées , mise en place des roulements et de leurs flasques de retenue, puis déterminer les longueurs des axes de 10 qui y tourillonneront.
J'admet que le système est monté, tournant sans jeux, et j'ai réfléchis au système mécanique de passation de marche avant et marche arrière :
La fourche de crabotage sera articulée sur un axe vertical, avec un long bras de levier, actionné par le palonnier du servo.
C'est coté frein a disque que ça se complique, je doit pouvoir serrer des deux cotés de façons uniformes, pour cela, le disque ferrodo et les deux disques acier sont libres de mouvements latéraux sur leur carré de 17 sur le corps du différentiel.
Peut etre existe il des dispositifs miniatures ?
Va falloir que je me débrouilles tout seul sur ce principe, un étrier solidaire de son support, mais mobile transversalement, serre les deux plaques acier de chaque coté du férodo, j'ai justement la pièce en CAP pliée qui en fait office, elle doit etre montée sur l'atrier mobile, le servo en se déplaçant décrabotte, puis actionne le dispositif de freinage, le différentiel s’arrête de tourner en marche avant, et l'hélice repart en marche arrière.
Pour revenir en avant le servo relâche le frein et crabotte les pignons, ce qui impose un ressort de pression qui repousse le crabot.
A noter que la vitesse du différentiel est de 400 tours environ, le férodo plus le freinage de l'hélice en charge l’arrêtera rapidement.
Y a qu'à faut qu'on ?
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
J'ai du carré de 10x10 que j'ai coupé à 71 de long, un gros cube de 40x40x80 pour éloigner la colonne de la perceuse, donc à retravailler en bas, un taraud de 4 pro à 20 €, 3 inters à bascules pour mes tronçonneuses, et du fil d’étain de 0,7.
Ce qui m'à occasionné ce matin d'aller aux 4 coins d' Annecy.
Pour cet après midi après la ballade à Josie, scrabble pour finir l'heure de ballade comme tous les jours, faire travailler la tête et les jambes de manières médicale, j'irais à la cave, couper mes trois supports, mais c'est pas sur que je puisse les aléser sur le petit tour.
Si tout se passe bien peut etre pourrais je faire un essais aux moteurs , en fin de semaine.
Ce qui m'à occasionné ce matin d'aller aux 4 coins d' Annecy.
Pour cet après midi après la ballade à Josie, scrabble pour finir l'heure de ballade comme tous les jours, faire travailler la tête et les jambes de manières médicale, j'irais à la cave, couper mes trois supports, mais c'est pas sur que je puisse les aléser sur le petit tour.
Si tout se passe bien peut etre pourrais je faire un essais aux moteurs , en fin de semaine.
Dernière édition par admin-jpg le Lun 20 Jan - 11:55, édité 1 fois
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
ah oui, tu as du faire une bonne balade. Et maintenant tu vas aller te cailler les miches à la cave, pour travailler ces pièces trop grosses pour leBD
Bamo- Messages : 6940
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Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Mort de rire, c'est pas les miches mais les ripatons que je me gèle.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
C'est ce que je disait, les pieds à la glace, pour le corps j'ai une parka militaire super chaude achetée il y a des années pour aller faire voler mes zincs l'hivers.
Bon l'alésage des 3 supports ne s'est pas fait au 3 mors, ni au 4 mors, mais sur plateau de bridage à rainures en Té, savamment bridé avec des cales d’ablocage et des vis dépassantes, le genre de montage à vous niquer les deux mains si vous n'y prêtez garde.
Mais je suis rompu à ce genre d’exercices depuis de nombreuses années, faut pas balader ses mains autours du devant du montage.
J'ai donc fait mes 3 supports alésés, mes deux rondelles de frein acier, et j'ai rectifié le bloc du repoussage en arrière de la colonne de perçage, sur le tour en 4 mors au tac tac tac, exercice ou je suis rompu aussi en porte à faux.
De 15 h à 19 h à me geler les pieds.
Le reste se fera au chaud, placer les carrés sur les supports, placer les roulements, couper l'axe supérieur du réducteur,
Bon l'alésage des 3 supports ne s'est pas fait au 3 mors, ni au 4 mors, mais sur plateau de bridage à rainures en Té, savamment bridé avec des cales d’ablocage et des vis dépassantes, le genre de montage à vous niquer les deux mains si vous n'y prêtez garde.
Mais je suis rompu à ce genre d’exercices depuis de nombreuses années, faut pas balader ses mains autours du devant du montage.
J'ai donc fait mes 3 supports alésés, mes deux rondelles de frein acier, et j'ai rectifié le bloc du repoussage en arrière de la colonne de perçage, sur le tour en 4 mors au tac tac tac, exercice ou je suis rompu aussi en porte à faux.
De 15 h à 19 h à me geler les pieds.
Le reste se fera au chaud, placer les carrés sur les supports, placer les roulements, couper l'axe supérieur du réducteur,
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
très bien, en esperant que tu n,'aura pas besoin de redescendre. Achetes toi des bottes fourrées, tu auras moins froid au pieds
Bamo- Messages : 6940
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Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Le froid aux pieds, c'est pas vraiment un problème. Si je pouvzis marcher, je n'aurais pas froid aux pieds, mais c'est tout petit, c'est la position stationnaire qui me géles les pinceaux, mais pour moi, c'est un moindre mal.
Pas y redescendre , Mais j'aurais toujours des trucs d'importance à y faire.
Pas y redescendre , Mais j'aurais toujours des trucs d'importance à y faire.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Pas mal du tout ces réalisations, très propre.
Bamo- Messages : 6940
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Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Assez oui, j'évite de me faire trop suer.
Oh ? mon bateau ho hé ho, le montage va bon bateau, les roulements sont en place deux sont sertis les autres collés cyano, ils sont retenus en faits par la barrette carré du bas et par les engrenages eux même.
Demain la colle sera dure, je pourrais voir pour mes longueurs de ronds de 10, en faits celui du réducteur plateau.
Les engrenages ne vont pas mal entre eux, juste du jeu mécanique.
J'ai pas trouvé de mâchoires de frein a disque comme je voulais, je me les fabriquerais, faut bien se faire un peu chier de temps en temps ?.
Pour demain montage des toiles sur la base en alignement avec tout le fourbis monté, pour voir ou seront les ouvertures basses laissant passer les éléments mécaniques.
Une fois bien déterminées, démontages pour fraisage aux enfers.
Une fois monté le mécanisme est bas sur sa base, montage assez compacte.
Des photos demain du système monté. mi opérationnel vu qu'il faut installer le servo double usages d'inversion du sens de marche et ses mécanismes à fabriquer.
Oh ? mon bateau ho hé ho, le montage va bon bateau, les roulements sont en place deux sont sertis les autres collés cyano, ils sont retenus en faits par la barrette carré du bas et par les engrenages eux même.
Demain la colle sera dure, je pourrais voir pour mes longueurs de ronds de 10, en faits celui du réducteur plateau.
Les engrenages ne vont pas mal entre eux, juste du jeu mécanique.
J'ai pas trouvé de mâchoires de frein a disque comme je voulais, je me les fabriquerais, faut bien se faire un peu chier de temps en temps ?.
Pour demain montage des toiles sur la base en alignement avec tout le fourbis monté, pour voir ou seront les ouvertures basses laissant passer les éléments mécaniques.
Une fois bien déterminées, démontages pour fraisage aux enfers.
Une fois monté le mécanisme est bas sur sa base, montage assez compacte.
Des photos demain du système monté. mi opérationnel vu qu'il faut installer le servo double usages d'inversion du sens de marche et ses mécanismes à fabriquer.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Certains supports sont en place, pour traçages, une fois les ouvertures tracées avec du jeu, démontage général moteurs compris et ré alésages de leurs trous de fixation, car certains forcent au vissages.
Me faire une petite toilette puis descente aux enfers pour ces ouvertures sur fraiseuse.
Une fois les ouvertures faites remontage général, pour finir d'ajuster le palier intermédiaire support des deux axes.
En faits c'est une successions de montages et démontages pour perçages et ajustages. D’où les gros avantages des montages vissés.
L'aspirateur d'appoint c'est pour les copeaux d'alu, on en fout de partout, il faut pouvoir aspirer de suite.
Si tout va bien peut etre essais dynamiques en après midi ?, certes il va faire beau mais gelante. L'eau est en glace dans les flaques. Je dis essais, mais je n'aie pas tout le fourbis pour le démarrage des moteurs.
Pour eux, ils ont chacun un glow driver qui peut etre radio commandés.
Je n'aie qu'un vario de brushless, pour les démarreurs électriques, et pour eux, j'avais remarqué que si l'on ne débranche pas leur alimentation, les moteurs électriques continuent à tourner, bouffer du jus et chauffer, il faut donc pouvoir par radio leur couper le jus ?
Je pensait aux relais bobinés ?
Voici comme je voyais l'installation de démarrage et marche :
On est sous contrôle de Taranis X9Dplus.
La batterie générale est plomb de 12 v 7 amp.
Un relais double pouvant couper 20 amp par circuit, est placé sous contrôle d'un servo switch de coupure, sur un inter deux ou trois positions.
Les glow drivers pourraient eux aussi etre sous contrôle d'un relais double sur servos micro switchs, sur un autre inter ?
Démarrage simultané des deux moteurs sur action du glow driver double, et sur action du servo switch d'alimentation vario.
Puis action sur un inter poussoir, pour actionner sur câblage en Y les deux vario de démarrage.
Les moteurs ont démarrés, on les laisse chauffer un peu, mais on coupe l'alimentation des varios démarrage qui deviennent neutres.
Seuls restent sous tension les deux glow driver.
A savoir que chacun des glow driver ont un biper et une led de couleurs qui signalent leur états, verte rouge et doublés par un inter poussoir de chauffage manuels.
L'idée de ce fourbis est de pouvoir redémarrer après arrêts des moteurs en navigation..
Au dela des démarreurs une action couplée sur les deux carbus, par servo sur pattes d'oie, action sur le gouvernail en tuyère Kort, une action sur la reverse du sens de marche par servo. Et pourquoi pas un clacson avertisseur ? et l'allumage des feux de navigation ?
Qu'en penses tu Marc de mon système de démarrages moteurs ?
Me faire une petite toilette puis descente aux enfers pour ces ouvertures sur fraiseuse.
Une fois les ouvertures faites remontage général, pour finir d'ajuster le palier intermédiaire support des deux axes.
En faits c'est une successions de montages et démontages pour perçages et ajustages. D’où les gros avantages des montages vissés.
L'aspirateur d'appoint c'est pour les copeaux d'alu, on en fout de partout, il faut pouvoir aspirer de suite.
Si tout va bien peut etre essais dynamiques en après midi ?, certes il va faire beau mais gelante. L'eau est en glace dans les flaques. Je dis essais, mais je n'aie pas tout le fourbis pour le démarrage des moteurs.
Pour eux, ils ont chacun un glow driver qui peut etre radio commandés.
Je n'aie qu'un vario de brushless, pour les démarreurs électriques, et pour eux, j'avais remarqué que si l'on ne débranche pas leur alimentation, les moteurs électriques continuent à tourner, bouffer du jus et chauffer, il faut donc pouvoir par radio leur couper le jus ?
Je pensait aux relais bobinés ?
Voici comme je voyais l'installation de démarrage et marche :
On est sous contrôle de Taranis X9Dplus.
La batterie générale est plomb de 12 v 7 amp.
Un relais double pouvant couper 20 amp par circuit, est placé sous contrôle d'un servo switch de coupure, sur un inter deux ou trois positions.
Les glow drivers pourraient eux aussi etre sous contrôle d'un relais double sur servos micro switchs, sur un autre inter ?
Démarrage simultané des deux moteurs sur action du glow driver double, et sur action du servo switch d'alimentation vario.
Puis action sur un inter poussoir, pour actionner sur câblage en Y les deux vario de démarrage.
Les moteurs ont démarrés, on les laisse chauffer un peu, mais on coupe l'alimentation des varios démarrage qui deviennent neutres.
Seuls restent sous tension les deux glow driver.
A savoir que chacun des glow driver ont un biper et une led de couleurs qui signalent leur états, verte rouge et doublés par un inter poussoir de chauffage manuels.
L'idée de ce fourbis est de pouvoir redémarrer après arrêts des moteurs en navigation..
Au dela des démarreurs une action couplée sur les deux carbus, par servo sur pattes d'oie, action sur le gouvernail en tuyère Kort, une action sur la reverse du sens de marche par servo. Et pourquoi pas un clacson avertisseur ? et l'allumage des feux de navigation ?
Qu'en penses tu Marc de mon système de démarrages moteurs ?
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Le temps de caler la base sur la fraiseuse, fraise en plongeant, puis en surfaçages, 30 minutes pour ouvrir les 5 lumières.
Remontage cet après midi.
Remontage cet après midi.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
C'est clair, c'est pas finis, pas mal d'ajustages, montages et démontages, pour que ça tourne rond et sans durs.
Les moteurs sont remontés et le dispositif principal, mais il me faudra caler d'un mm sous le palier intermédiaire, et bien assurer son parallélisme.
Puis il me faudra fabriquer le système de l'axe du crabotage en deux parties, et pourtant parfaitement aligné.
Mais dans l'ensemble assez satisfait des résultats.
Les pièces du crabotage sont juste posés.
Pour ceux qui n'ont pas compris comment ça fonctionne :
Les deux moteurs sont en réduction sur une couronne dentée supérieure, et s'engrenne dans une roue dentée inférieure encore en réduction d'un demi.
Cette roue fait tourner le différentiel, tout du moins son demi arbre.
Si la rotation du corps du différentiel n'est pas bloqué en rotation, ou si les deux sorties ne sont pas solidaires mécaniquement, ca tourne certes mais ça fait n'importe quoi, et sous la résistance de l'eau sur l'hélice, celle ci ne tourne pas, dans ce cas de figure le différentiel tourne ainsi que ses satellites et planétaires mais dans le vide.
Pour que les deux demi arbre tournent en même temps, il faut les solidariser, soit par un système interne traversant un des planétaires, (mais ici, ceux ci sont trempés et cémentés en surface, autrement dit , non modifiables.
Il a fallut que je triche en déportant en extérieur le blocage des deux demi arbres par un axe parralléle avec deux pignons s'engrenant sur chacune des roues dentées serrées sur chacun des demi arbres.
Le réducteur entraîne le corps du différentiel, ou tout du moins ses deux demi arbres, et pour les rendre solidaires l'axe intermédiaire les relient l'un à l'autre, c'est la marche avant. Tout du moins un sens de marche.
Pour faire l'inversion du mouvement d'hélice, il est impératif de bloquer le corps du différentiel en rotation, d'ou son frein à disque, et de désolidariser les deux pignons sur l'arbre intermédiaire, ceci simultanément.
Le réducteur entraîne le dispositif toujours dans le même sens, mais le différentiel interne toujours engrené, fait tourner l'arbre de sortie à l'envers.
Le seul choc mécanique , c'est le crabotage mais qui se fait moteurs au ralentis cloches débrayées.
Et si les deux crabots ne sont pas en face, il suffit de donner un coup de gaz, pour faire tourner le dispositif et engager les deux crabots. L'un est fixé sur l'arbre coté sortie hélice, l'autre est claveté sur son demi arbre. Et ce sont ses vis de blocages qui font office de clavettes.
Ou encore avec mon dispositif de clavetage, faire l'entaille dans le crabot, et une gorge dans le demi axe, l'ensemble coulisse alors l'un sur l'autre avec une grande sécurité de fonctionnement. La clavette étant retenue sur son crabot par une vis fraisée.
Ou la clavette peut aussi faire partie du demi axe. et fixée sur lui par vis.
Les moteurs sont remontés et le dispositif principal, mais il me faudra caler d'un mm sous le palier intermédiaire, et bien assurer son parallélisme.
Puis il me faudra fabriquer le système de l'axe du crabotage en deux parties, et pourtant parfaitement aligné.
Mais dans l'ensemble assez satisfait des résultats.
Les pièces du crabotage sont juste posés.
Pour ceux qui n'ont pas compris comment ça fonctionne :
Les deux moteurs sont en réduction sur une couronne dentée supérieure, et s'engrenne dans une roue dentée inférieure encore en réduction d'un demi.
Cette roue fait tourner le différentiel, tout du moins son demi arbre.
Si la rotation du corps du différentiel n'est pas bloqué en rotation, ou si les deux sorties ne sont pas solidaires mécaniquement, ca tourne certes mais ça fait n'importe quoi, et sous la résistance de l'eau sur l'hélice, celle ci ne tourne pas, dans ce cas de figure le différentiel tourne ainsi que ses satellites et planétaires mais dans le vide.
Pour que les deux demi arbre tournent en même temps, il faut les solidariser, soit par un système interne traversant un des planétaires, (mais ici, ceux ci sont trempés et cémentés en surface, autrement dit , non modifiables.
Il a fallut que je triche en déportant en extérieur le blocage des deux demi arbres par un axe parralléle avec deux pignons s'engrenant sur chacune des roues dentées serrées sur chacun des demi arbres.
Le réducteur entraîne le corps du différentiel, ou tout du moins ses deux demi arbres, et pour les rendre solidaires l'axe intermédiaire les relient l'un à l'autre, c'est la marche avant. Tout du moins un sens de marche.
Pour faire l'inversion du mouvement d'hélice, il est impératif de bloquer le corps du différentiel en rotation, d'ou son frein à disque, et de désolidariser les deux pignons sur l'arbre intermédiaire, ceci simultanément.
Le réducteur entraîne le dispositif toujours dans le même sens, mais le différentiel interne toujours engrené, fait tourner l'arbre de sortie à l'envers.
Le seul choc mécanique , c'est le crabotage mais qui se fait moteurs au ralentis cloches débrayées.
Et si les deux crabots ne sont pas en face, il suffit de donner un coup de gaz, pour faire tourner le dispositif et engager les deux crabots. L'un est fixé sur l'arbre coté sortie hélice, l'autre est claveté sur son demi arbre. Et ce sont ses vis de blocages qui font office de clavettes.
Ou encore avec mon dispositif de clavetage, faire l'entaille dans le crabot, et une gorge dans le demi axe, l'ensemble coulisse alors l'un sur l'autre avec une grande sécurité de fonctionnement. La clavette étant retenue sur son crabot par une vis fraisée.
Ou la clavette peut aussi faire partie du demi axe. et fixée sur lui par vis.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Pas mal du tout. Ca va pétarader sur le bateau de Jean Paul. En gros ta marche arrière c'est comme une boite de vitesse mécanique avec un frein à disque. Ingénieux
Bamo- Messages : 6940
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Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
C'est ça Marc.
Bon ça tourne rond, un très léger dur sur un passage de couronne plastique, ça peut se faire en faisant tourner les moteurs.
Du coup je me suis attaqué à l'axe du cabotons, en deux parties, une courte de 27 mm l'aval coté hélice, creuse de 20 mm de long sur 5, que je fourrerais d'un roulement à bille.
La partie la plus longue, coté moteurs comporte un tige cylindrée dans la masse de 20 mm de long, se terminant diminuée pour rentrer dans le roulement, et coté épaulement un autre roulement à venir.
Ces deux axes tourneront donc l'un dans l'autre sur roulements ne faisant qu'un seul axe de 90 mm de long.
Sur l'arbre court un pignon de 20 dts s'engrenant dans la roue aval de 36 dts, et le crabot fixe, tous deux vissés sur l'axe sur méplats.
La partie la plus longue idem à l'aval donc l'amont, pareils pignon de 20 dts s’engrenant dans la roue de 36 dts amont, et contre le crabot fixe, le crabot mobile coulissant, manœuvré par une fourchette articulée sur la base et actionné par le servo.
Ce coulisseau fait donc partie de l'axe long par clavetage coulissant.
Et c'est ce crabotage qui lie mécaniquement les deux demi arbres pour la marche avant, et libéré pour la marche arrière.
Ce système est assez couillus, il fonctionnera bien parce qu'à mouvements lents de l'ordre des 500 tours minute enduits de graisse, et certainement protégée par un carter tôle évitant les projections de graisse à travers le compartiment moteurs.
En fin, il faut toujours espérer.
Bon ça tourne rond, un très léger dur sur un passage de couronne plastique, ça peut se faire en faisant tourner les moteurs.
Du coup je me suis attaqué à l'axe du cabotons, en deux parties, une courte de 27 mm l'aval coté hélice, creuse de 20 mm de long sur 5, que je fourrerais d'un roulement à bille.
La partie la plus longue, coté moteurs comporte un tige cylindrée dans la masse de 20 mm de long, se terminant diminuée pour rentrer dans le roulement, et coté épaulement un autre roulement à venir.
Ces deux axes tourneront donc l'un dans l'autre sur roulements ne faisant qu'un seul axe de 90 mm de long.
Sur l'arbre court un pignon de 20 dts s'engrenant dans la roue aval de 36 dts, et le crabot fixe, tous deux vissés sur l'axe sur méplats.
La partie la plus longue idem à l'aval donc l'amont, pareils pignon de 20 dts s’engrenant dans la roue de 36 dts amont, et contre le crabot fixe, le crabot mobile coulissant, manœuvré par une fourchette articulée sur la base et actionné par le servo.
Ce coulisseau fait donc partie de l'axe long par clavetage coulissant.
Et c'est ce crabotage qui lie mécaniquement les deux demi arbres pour la marche avant, et libéré pour la marche arrière.
Ce système est assez couillus, il fonctionnera bien parce qu'à mouvements lents de l'ordre des 500 tours minute enduits de graisse, et certainement protégée par un carter tôle évitant les projections de graisse à travers le compartiment moteurs.
En fin, il faut toujours espérer.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Le plus difficile c'est d'ajuster si j'ai un alésoir de 7, le logement du roulement de 3x7x3, car il faut le rentrer gras dans son trou, celui de 8 en bout peut se reprendre à l'outil à aléser.
Bref j'aie diminuée la queue à 4 pour enfiler gras le roulement de 4x8x3, puis fait en bout le cylindrage pour celui de 3x7x3.
En faits faut que ça rentre du premier coup et que ça tourne rond et concentrique, je n'aie pas le droit à l'erreur.
Telles que se présentent mes pièces , elles sont ajustées en longueur avec les roulements en place sur la queue.
Maintenant c'est de placer les pignons de 20 dts et les crabots à leur place exactes, mais hors montages, de façon à pouvoir fraiser la rainure de clavette du crabot coulissant. il faut que ça fonctionne avant montage.
Pas que ça soit indémontable, mais toujours pénible.
Pour la mise en place , il faut démonter le support avant, et desserrer les deux autres pour soulever le différentiel et insérer l'axe de débord.
Puis je travaillerais aux systèmes de commandes ensemble monté.
Évident mais pas fastoche.
Bref j'aie diminuée la queue à 4 pour enfiler gras le roulement de 4x8x3, puis fait en bout le cylindrage pour celui de 3x7x3.
En faits faut que ça rentre du premier coup et que ça tourne rond et concentrique, je n'aie pas le droit à l'erreur.
Telles que se présentent mes pièces , elles sont ajustées en longueur avec les roulements en place sur la queue.
Maintenant c'est de placer les pignons de 20 dts et les crabots à leur place exactes, mais hors montages, de façon à pouvoir fraiser la rainure de clavette du crabot coulissant. il faut que ça fonctionne avant montage.
Pas que ça soit indémontable, mais toujours pénible.
Pour la mise en place , il faut démonter le support avant, et desserrer les deux autres pour soulever le différentiel et insérer l'axe de débord.
Puis je travaillerais aux systèmes de commandes ensemble monté.
Évident mais pas fastoche.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Je savais que j'avais les deux alésoirs, de 7 et de 8, donc une fois passés, mes deux roulements se sont enclenchés nickel, et ça tourne rond.
Je doit dire que ce petit tour et son mandrin 3 mors à serrage par quilles est ultra précis, il a des défauts mais pas au niveau précision.
L'axe monté avec pignons et crabots.
Me reste juste à fraiser la rainure de clavette, et la saignée dans le crabot mobile.
Crabot embrayé.
Crabot débrayé.
Je doit dire que ce petit tour et son mandrin 3 mors à serrage par quilles est ultra précis, il a des défauts mais pas au niveau précision.
L'axe monté avec pignons et crabots.
Me reste juste à fraiser la rainure de clavette, et la saignée dans le crabot mobile.
Crabot embrayé.
Crabot débrayé.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Voila, c'est fait sans démontages, avec l'aide de l'étau acier, pointage à 3,2, crabot fermé et ouvert pour une course de 4 mm, puis trous agrandis à 4,2, finition à la lime, profondeur de l'oblong 3 mm, de faits c'est l'une des vis sans tète de 4x5 bloquée dans son taraudage au frein filet qui fait office de clavette, ces vis sont de l'acier dur. Le jeu entre crabots ouverts et d'un ou deux dixièmes.
Je me tâte, pour un ressort de compression à l'ouverture assurant franchement cette ouverture, qu'un ressort à la fermeture, en effets le crabotage est la phase délicate, si l'entre fer n'est pas respecté par un servo faséyant, je vais bouffer les dents des crabots, rapidement.
En après midi, mise en place sur le montage.
J'ai fait une vidéo de quelques secondes pour montrer le crabotage en mouvements et la différence des deux demi arbres en mouvements relatifs.
Crabots embrayés.
Crabots débrayés.
https://youtu.be/zzCTGTUilRw
Je me tâte, pour un ressort de compression à l'ouverture assurant franchement cette ouverture, qu'un ressort à la fermeture, en effets le crabotage est la phase délicate, si l'entre fer n'est pas respecté par un servo faséyant, je vais bouffer les dents des crabots, rapidement.
En après midi, mise en place sur le montage.
J'ai fait une vidéo de quelques secondes pour montrer le crabotage en mouvements et la différence des deux demi arbres en mouvements relatifs.
Crabots embrayés.
Crabots débrayés.
https://youtu.be/zzCTGTUilRw
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
L'histoire est juste, après quelques tours sur perceuse secteur et l'un des croisillons, en marche forcée par la sortie, le système fonctionne, mieux en marche avant qu'en arrière, et c'est normal vu que ça engendre plus de frottements des engrenages à l'envers.
Mais après du rodage, il n'y paraîtra plus.
Lubrification à la graisse mécanique arrange bien des choses.
Après le scrabble et la sieste sacrée, je me mettrait sur le système d'inversion radio commandé.
Il me faudra faire un système de cales parallèles pour garder les deux rondelles acier contre le ferrodo, en plus de l'étrier de freinage.
Faudra que je re démonte j'ai pas mis le ressort d'ouverture entre fers.
Mais après du rodage, il n'y paraîtra plus.
Lubrification à la graisse mécanique arrange bien des choses.
Après le scrabble et la sieste sacrée, je me mettrait sur le système d'inversion radio commandé.
Il me faudra faire un système de cales parallèles pour garder les deux rondelles acier contre le ferrodo, en plus de l'étrier de freinage.
Faudra que je re démonte j'ai pas mis le ressort d'ouverture entre fers.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
pas mal du tout très bien ce système de crabotage. Il te faudrait faire un truc avec des étriers un peu comme la boite de vitesse tamiya, soit un axe de plus avec l'étrier perpendiculaire
Bamo- Messages : 6940
Date d'inscription : 17/03/2019
Age : 51
Localisation : Franconville
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Oui aussi, je n'y ai pas pensé.
Le crabot est en alu, la fourchette sera en laiton, 4 mm de translation pour dégager.
Ca y est le crabot est monté sur ressort, de faits il est dégagé en marche arrière.
Pour le disque le ferodo est engagé sur le corps du différentiel, tandis que les disques aciers tourillonnent dessus
J'aie la fourchette à excentrique du kit de bagnole que je trimbale depuis 20 ans, il faut que je la monte sur un étrier, qui sera en pincement entre les trois disques, mais lui même monté sur un axe transversal, voire deux axes l'un au dessus de l'autre, ainsi quel que soit la position des disques, au serrage c'est l'ensemble étrier excentrique qui se serrent contre les disques.
Donc le crabot est désengagé pour la marche arrière, sous poussée de son ressort d’extraction, ce qui veux dire que le disque est freiné, autrement dit le servo pousse la commande du frein serré (sous pression d'un ressort de compensation), il faut que sérré l'éxentrique soit dans l'alignement de l’étrier, pour éviter au servo de consommer.
A la passation de marche avant, le servo tire sur sa commande (réglable par butée), ce qui fait sauter le verrou d'éxentrique, et il lui faut pousser sur la fourchette pour comprimer le ressort de désengagement et re craboter l'embrayage.
En sommes un axe coulissant pour le frein, et un autre axe coulissant pour la fourchette, vu que ces deux axes ne sont pas alignés l'un sur l'autre et pas à la même hauteur.
Le palonnier du servo devras se trouver à mi hauteur des deux axes, et sensiblement au milieu.
En faits les deux mouvements se font dans le même sens, vers les moteurs pour marche arrière.
Vers l'hélice pour marche avant.
Pour bien faire, il faudrait un palonnier intermédiaire, articulé à l'une de ses extrémités sur un pilier fixé à la base, puis des tas de trous sur sa longueur, un palonnier laiton de 10 cm de long pour commencer, actionné par le palonnier du servo, on a donc toutes latitudes des mouvements relatifs, par réglages sur les trous aussi bien coté servo que cotés commandes.
Coté servo je pensait à un servo énorme de voilier, mais vu la place qu'il pourrait occuper, un servo standard mais costaud serait bien mieux à pignons métalliques.
Je vais étudier tout cela très sérieusement.
PS : En faits les deux disques acier entourant le ferrodo ne doivent pas tourner, ils sont juste la, pour freiner le ferrodo qui lui est entraîné, ils servent d'appuis à l'éxentrique de freinage comme le feraient les mâchoires à plaquettes.
Je me proposait de les guider, en faits elles seront soudées étain sur ces supports parralléles, mais en rotation sur un axe vertical enfiché sur la base. Guidées par ces supports mais libres, puis serrées contre le ferrodo par l'éxentrique.
Le crabot est en alu, la fourchette sera en laiton, 4 mm de translation pour dégager.
Ca y est le crabot est monté sur ressort, de faits il est dégagé en marche arrière.
Pour le disque le ferodo est engagé sur le corps du différentiel, tandis que les disques aciers tourillonnent dessus
J'aie la fourchette à excentrique du kit de bagnole que je trimbale depuis 20 ans, il faut que je la monte sur un étrier, qui sera en pincement entre les trois disques, mais lui même monté sur un axe transversal, voire deux axes l'un au dessus de l'autre, ainsi quel que soit la position des disques, au serrage c'est l'ensemble étrier excentrique qui se serrent contre les disques.
Donc le crabot est désengagé pour la marche arrière, sous poussée de son ressort d’extraction, ce qui veux dire que le disque est freiné, autrement dit le servo pousse la commande du frein serré (sous pression d'un ressort de compensation), il faut que sérré l'éxentrique soit dans l'alignement de l’étrier, pour éviter au servo de consommer.
A la passation de marche avant, le servo tire sur sa commande (réglable par butée), ce qui fait sauter le verrou d'éxentrique, et il lui faut pousser sur la fourchette pour comprimer le ressort de désengagement et re craboter l'embrayage.
En sommes un axe coulissant pour le frein, et un autre axe coulissant pour la fourchette, vu que ces deux axes ne sont pas alignés l'un sur l'autre et pas à la même hauteur.
Le palonnier du servo devras se trouver à mi hauteur des deux axes, et sensiblement au milieu.
En faits les deux mouvements se font dans le même sens, vers les moteurs pour marche arrière.
Vers l'hélice pour marche avant.
Pour bien faire, il faudrait un palonnier intermédiaire, articulé à l'une de ses extrémités sur un pilier fixé à la base, puis des tas de trous sur sa longueur, un palonnier laiton de 10 cm de long pour commencer, actionné par le palonnier du servo, on a donc toutes latitudes des mouvements relatifs, par réglages sur les trous aussi bien coté servo que cotés commandes.
Coté servo je pensait à un servo énorme de voilier, mais vu la place qu'il pourrait occuper, un servo standard mais costaud serait bien mieux à pignons métalliques.
Je vais étudier tout cela très sérieusement.
PS : En faits les deux disques acier entourant le ferrodo ne doivent pas tourner, ils sont juste la, pour freiner le ferrodo qui lui est entraîné, ils servent d'appuis à l'éxentrique de freinage comme le feraient les mâchoires à plaquettes.
Je me proposait de les guider, en faits elles seront soudées étain sur ces supports parralléles, mais en rotation sur un axe vertical enfiché sur la base. Guidées par ces supports mais libres, puis serrées contre le ferrodo par l'éxentrique.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Après ces intermèdes TARANIS, je me remet sur les commandes des sens de marche.
En faits je me suis mis sur le tracé de mon hélice, j'avais fait découper par hyper acier un carré de laiton de 2 mm de 100x100, premier job lui tracer ses deux diagonales, mais il me fallait tracer le dessin d'une pale que je pourrais reporter 4 fois ?
Alors j'ai découpée une feuille de papier de 100x100 que j'aie mise sur ma tôle, et tracé sur un coté un dessin de pale, puis en ai découpés ses contours, et ajourée la feuille des deux cotés du contour.
J'ai reporté successivement ce dessin sur les 4 cotés ce qui m'a donné un trèfle à 4 feuilles uniforme.
La base des pales rejoint le moyeu que j'ai fait carré de 20x20, qui aurait du faire 25x25, chaque pale rentrant dans une entaille diagonale de 2 mm sur 4 de profondeur.
Normalement la découpe devrait se faire à la scie abrafil, si je savais ce que j'en ai fait ?????
4 pales ce n'est pas la mer a boire dans un étau d’établis ça se découpe à la scie à métaux standard, mais ca va faire un boucan de tous les diables.
Une fois chaque pale découpées mises en sandwich pour toutes les limer de façons uniformes.
La suite devrait voir le façonnage du moyeu carré laiton de 25 à faire découper par hyper acier, soit un cube de 25.
Premier job au 4 mors, dresser ses deux faces, et le centrer pour un perçage et filetage en 5x80, puis sur ses 4 faces les entailles en diagonales, de 5 mm de profondeur, voire plus vu que j'aie rajouté au tracés 2,5, alors que ma profondeur d'entailles était de 4 mm donc 5,5, vu qu'après entailles le bloc carré sera ramené au diamètre 20, peut etre un peu plus, et les entailles devraient subsister.
puis chacune des pales se devraient d’êtres affinées sur les bords, pour cela j’espère pouvoir me servir de mon tank, ou bande abrasive sur touret à meuler, il faudrait les meuler sur l'arrière en conservant l’épaisseur au milieu et en les affinant vers les extrémités, et qu'elles soient grosso modo toutes identiques, je puis alors les placer sur le moyeu, et sur un gabarit de tenue pour la brasure argent.
La j'utiliserais mon gros flambard acétylénique.
Le laiton étant recuit, ça me permettra de cambrer chacune des pales et de les vriller dans le bon sens.
En final un bain d'acide organique ALUXINE (introuvable de nos jours) devrait me nettoyer le décapant et rendre le métal mat.
Une fois l'hélice faite rouler sur ma rouleuse la tôle laiton de la tuyère Kort qui la contiendra. avec son gouvernail.
Mais ça ne résout pas ma commande d'inversion.
En faits je me suis mis sur le tracé de mon hélice, j'avais fait découper par hyper acier un carré de laiton de 2 mm de 100x100, premier job lui tracer ses deux diagonales, mais il me fallait tracer le dessin d'une pale que je pourrais reporter 4 fois ?
Alors j'ai découpée une feuille de papier de 100x100 que j'aie mise sur ma tôle, et tracé sur un coté un dessin de pale, puis en ai découpés ses contours, et ajourée la feuille des deux cotés du contour.
J'ai reporté successivement ce dessin sur les 4 cotés ce qui m'a donné un trèfle à 4 feuilles uniforme.
La base des pales rejoint le moyeu que j'ai fait carré de 20x20, qui aurait du faire 25x25, chaque pale rentrant dans une entaille diagonale de 2 mm sur 4 de profondeur.
Normalement la découpe devrait se faire à la scie abrafil, si je savais ce que j'en ai fait ?????
4 pales ce n'est pas la mer a boire dans un étau d’établis ça se découpe à la scie à métaux standard, mais ca va faire un boucan de tous les diables.
Une fois chaque pale découpées mises en sandwich pour toutes les limer de façons uniformes.
La suite devrait voir le façonnage du moyeu carré laiton de 25 à faire découper par hyper acier, soit un cube de 25.
Premier job au 4 mors, dresser ses deux faces, et le centrer pour un perçage et filetage en 5x80, puis sur ses 4 faces les entailles en diagonales, de 5 mm de profondeur, voire plus vu que j'aie rajouté au tracés 2,5, alors que ma profondeur d'entailles était de 4 mm donc 5,5, vu qu'après entailles le bloc carré sera ramené au diamètre 20, peut etre un peu plus, et les entailles devraient subsister.
puis chacune des pales se devraient d’êtres affinées sur les bords, pour cela j’espère pouvoir me servir de mon tank, ou bande abrasive sur touret à meuler, il faudrait les meuler sur l'arrière en conservant l’épaisseur au milieu et en les affinant vers les extrémités, et qu'elles soient grosso modo toutes identiques, je puis alors les placer sur le moyeu, et sur un gabarit de tenue pour la brasure argent.
La j'utiliserais mon gros flambard acétylénique.
Le laiton étant recuit, ça me permettra de cambrer chacune des pales et de les vriller dans le bon sens.
En final un bain d'acide organique ALUXINE (introuvable de nos jours) devrait me nettoyer le décapant et rendre le métal mat.
Une fois l'hélice faite rouler sur ma rouleuse la tôle laiton de la tuyère Kort qui la contiendra. avec son gouvernail.
Mais ça ne résout pas ma commande d'inversion.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Continuation sur l'hélice, pour cela j'aie montée ma scie sauteuse sous une planche, et sérrée sur l’établis, de faits j'ai pu avec scie à métaux détourer les 4 pales, puis les ayant placées en sandwich serrées dans l'étaux, j'ai pu essayer le disque à meuler, sur mon cutter électrique chinois (ex cutter à tissus), puis finition du détourage à la lime bâtarde.
Cet aprem je doit sortir, je passerais chez hyper acier prendre un cube laiton de 25.
Mais pour la suite des pales, pour les cambrer, j'aie envie de me faire une forme en creux à placer sur l'étau des enfers.
Je vois cela ainsi : un bâtis carré acier faits de deux ronds vissés en parallèles sur deux fers plats, placé sur l'un des mors, pour l'autre mors, une forme en arrondis, celle ci appuyant la pale dans le fond du cadre, au moins pour les extrémités des pales.
L'idéal aurait été une forme galbée en creux, et un tas bombé, mais pour 4 pales ça ne vaut pas le jus.
Pour le vrillage il faut déjà les braser sur les fente biaises du moyeu.
Celui ci sera monté dans mon étaux machine bridé de biais en angle, puis dans mon porte pinces la fraise la plus petite, pour fendre le carré de biais.
Une fois fendu sur ses 4 cotés, le cylindrer au diamètre du moyeu voulu, le centrer et le tarauder à m 5, il sera vissé sur le bout de l'arbre d'hélice en inox de 5., son ogive terminale servant de contre écrou.
Dans la foulée, rouler la tuyère kort, découpe son gouvernail et le braser dessus, sans oublie l'axe du safran de manoeuvre de gouvernail.
A ce stade d'avancement il faudrait que je me fasse ma coque, plutôt que du 5, je pensais plus à du CTP de 3 mm, bien plus souple pour conserver les formes. collé cloué sur les cotés et l’âme centrale amovible juste clouée. en CTP de 8 mm compact si je trouves, si non une planche rabotée mince en pin ou peuplier de 8 mm genres planche de bardage.
Donc coque à étudier.
Ah le montages du groupe moteurs diff pèse aujourd'hui 2 kg 750, tel quel. finis il tournera autours des 3 kg.
Et pour le poids total navigant je pensait aux alentours des 10 kg, mais ça sera dur de les atteindre.
Cet aprem je doit sortir, je passerais chez hyper acier prendre un cube laiton de 25.
Mais pour la suite des pales, pour les cambrer, j'aie envie de me faire une forme en creux à placer sur l'étau des enfers.
Je vois cela ainsi : un bâtis carré acier faits de deux ronds vissés en parallèles sur deux fers plats, placé sur l'un des mors, pour l'autre mors, une forme en arrondis, celle ci appuyant la pale dans le fond du cadre, au moins pour les extrémités des pales.
L'idéal aurait été une forme galbée en creux, et un tas bombé, mais pour 4 pales ça ne vaut pas le jus.
Pour le vrillage il faut déjà les braser sur les fente biaises du moyeu.
Celui ci sera monté dans mon étaux machine bridé de biais en angle, puis dans mon porte pinces la fraise la plus petite, pour fendre le carré de biais.
Une fois fendu sur ses 4 cotés, le cylindrer au diamètre du moyeu voulu, le centrer et le tarauder à m 5, il sera vissé sur le bout de l'arbre d'hélice en inox de 5., son ogive terminale servant de contre écrou.
Dans la foulée, rouler la tuyère kort, découpe son gouvernail et le braser dessus, sans oublie l'axe du safran de manoeuvre de gouvernail.
A ce stade d'avancement il faudrait que je me fasse ma coque, plutôt que du 5, je pensais plus à du CTP de 3 mm, bien plus souple pour conserver les formes. collé cloué sur les cotés et l’âme centrale amovible juste clouée. en CTP de 8 mm compact si je trouves, si non une planche rabotée mince en pin ou peuplier de 8 mm genres planche de bardage.
Donc coque à étudier.
Ah le montages du groupe moteurs diff pèse aujourd'hui 2 kg 750, tel quel. finis il tournera autours des 3 kg.
Et pour le poids total navigant je pensait aux alentours des 10 kg, mais ça sera dur de les atteindre.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Avec une coque en Ctp ca peut aller assez vite. c'est très lourd comme bois.
Bamo- Messages : 6940
Date d'inscription : 17/03/2019
Age : 51
Localisation : Franconville
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Vue la forme de carène, et la tuyère kort gouvernable, le poids n'aura guère d’importance, surtout avec une 4 pales de 100.
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