Chargeur tunnelier Cat R 1700 JPG au 1/12 thermos hydraulique .

profites profites, on les attends les beaux jours, marre de voir de la flotte presque tous les jours

Ce soir, le récepteur est dans sa boite fixée sur l'étrier à gauche, ses deux antennes partent à droite et à gauche, sans rien gêner.

A la mise en contacts le récepteur s'allume et toutes les commandes fonctionnent.

Des réglages seront à faire sur chacune des voies, dont l'embrayage, et le changement du sens de marches.

Coté distributeurs les 3 servos tournent, reste à mettre en huile et faire les réglages indispensables.

Les gaz fonctionnent bien le neutre étant a mi gaz.

La pompe ne fonctionne que quand le contact est mis.

Pour les réglages sur l'embrayage à cloche , démontage du moteur obligatoire, 4 vis à enlever, et le bloc moteur se dépose, le servo étant en dessous, pas moyens de le mettre ailleurs.

Demain donc mise en route moteur pour son rodage, reste à savoir si le réservoir ne fuie pas ?????.

Le carénage se remonteras facilement si je groupe les fils du coté gauche. sous gaine spiralée.

Le godet est peint à sa teinte définitive et mis en place tenu par une seule vis.

Demains photos sur le balcon en pleine lumière.

Pour la mise en huile hydro, obligation de tomber le réservoir, d façons à le remplir au fur et à mesures du remplissage des vérins, bien sur moteur en marche, mais au point mort vitesses.

Je regrette un peu de ne pas avoir prévus d'un brushless de secours par manque de place disponible.

En faits sous le carénage du coté droit et devant l'étrier j'ai un petit volume de libre, l'idée serait donc de placer un brushless costaud, avec un petit pignon moteur engrené directement sur la roue hostaforme de 40 dts qui entraine la boite des marches et vitesses.

Parce que dans mon système, pompe et réductions sont engrenées en permanence.

Peuvent se débrayer, le moteur, et la boite des vitesses par leurs crabotages.

De ce fait le brushless entrainera la pompe pour la direction et les brancards et godet, mais aussi la boite des vitesses, moteur débrayé.

L'engin est lourd, plus de 10 kg, et donc un transport pas aisé du tout, car je suis au 1 er étage avec ascenseur, et un moteur électrique permettrait de le descendre vers l'éxtérieur par ses propres moyens comme le Richier et le camion semi à moteur Toyan.

Je dispose de pignons 10 dts au module 1, réduction 1/4, sachant que le brushless se regle en vitesse, un second récepteur se trouvera fort utile.

Mais ce moteur sera engrené en permanence, ainsi pas d'embrayage pour lui.

Donc à voir demain si j'aie cette possibilité, et le matériel pour le modifier.

Alors, démarrage du moteur au quart de tour, le ralentis est efficace, mais le plein gaz arrête le moteur. Un réglage sera necessaire après rodage, il faut dire qu'une fois monté je l'avais fait tourner

Apparemment pas de fuites au réservoir carburant, remplissage partiel et prudent avec la pompe électrique.

C'est le pot d'échappement vers le haut qui bouge il tombe vers le bas, un enroulement de ruban téflon pourrait le bloquer en position, j'aie bien mis du frein filets mais en pure perte.

J'ai fait 3 démarrages avec marche, je laisse refroidir pour régler les 3 servos de boite des vitesses et d'embrayage.

Le moteur est bruyant, mais avec le carénage en place il sera certainement étouffé.

Sur le camion a semi, c'est le même moteur bi cylindres, carénage PVC, le bruit est nettement étouffé, pareils sur le bateau pousseur, carénage en place on ne l'entends même pas, mais mono cylindre à refroidissement à air pulsée par ventilateurs et extracteur.

En faits , si, fuite au réservoir de carburant, ce qui me ruine ma peinture acrylique dedans et dessous.

Donc vite démontage pour le remplacer par du plastique et plus petit.

Démontage fait, en faits ce n'est pas le réservoir, mais les pots d'échappement en sorties de moteur, ces cons de chinois livrent avec leurs pots pour bi cylindres une sortes de durit silicone, qui n'est en faits que du plastique , et ces deux manchons ont fondus, laissant 2 pots ouvert à l'air libre, et c'est de la que le carburant en trop plein à foutus le camps.

Sur le 2 cylindres HS j'avais modifiés ces pots en laiton mais vissés sur le pot, en remplaçant les deux entrées, mais ici ça sera plus compliqué car en dessous se trouve le moteur du démarreur, et des écrous de vissage ne passent pas.

Pour bien faire il faudrait 2 petites buses de biais en sortie du moteur, pour donner du jeu aux écrous, mais ce faisant modifications de tout le fourbis monté en sortie d'échappement.

Voila ce que c'est que de faire confiance à des chinois pas foutus de livrer de la vraies durit silicone.

Récupération de celui du bi foutus, échanger de pièces, du coup j'ai remontée le pot neuf avec les buses vissantes du bi foutus, qui plus est remis en place le support alu qui tient le pot, la pompe et les divers contacteurs et interrupteurs, la suite en fin d'après Claude midi lol.

Et bien sur remise en place du gros réservoir.

Mais en provisoire pour les essais et réglages, réservoir plastique. La suite à demain.

ouais, je leur fait pas confiance en durit, je préfère l'acheter en magasin la silicone, a cause de çà. celle de mes voitures thermiques n'ont jamais bougées. et elle n'ont pas changé de couleur non plus

Moi je leur en ai achetés en plusieurs metres, de bonne qualité. Tant silicone que pour essence comme le 4 temps du train.

Mais ici le vrais problème est le fournisseur des pots d'échappement des toyan ou il ne mette que de la merde et trompent leurs clients. Note que ce fabricant est indépendant de celui qui fait les Toyan. CQFD ?

Donc problème isolé.

Mais il y a autres choses : le désalignement de l'embrayage par rapport à sa cloche, cela est du à ma fainéantise de ne pas refaire son support merdique, et aussi le fait que ces deux ensembles sont indépendants.

La solution serait de monter moteur et embrayage sur une platine indépendante pour avoir un très bon alignement, ce faisant de diminuer les épaisseurs des 2 supports du moteur d'autant les épaisseurs de la planchette. et faire en sortes que ce soit cette platine qui soit amovible sur sa base alu.

La commande d'embrayage est aussi un problème, il est impératif qu'elle soit réglable sans rien modifier, en sommes montée sur le support moteur, en position debout mais transversal entre réservoir et moteur.

Je croit avoir trouvée ma solution: L'embrayage à un support en 2 parties, j'aie enlevée la partie supérieure contenant l'embrayage, il me faut enlever maintenant la partie inférieure vissée par en dessous de la base alu, pour cela il me faut démonter des tas de trucs, pratiquement tout les périphériques, pas une mince affaire.

De ce fait je puis libéré le dessous de la petite base d'embrayage, donnant du jeu. Mon tuc est de fixer sous la platine moteur amovible, une contre base support de l'embrayage, et de cet fait l'embrayage fera partie intégrante de la platine moteur, et pour moi ça sera plus facile à ajuster sur l'axe moteur. Et pour sa commande le place le servo à coté de l'hélice du ventilateur, et sa tringle passera au dessus des pots d'échappement.

Et puis j'aie une fuite d'huile sous mon vérin de direction droit, alors, je me pose la question, est ce qu'avec seulement le vérin de gauche, je puis assurer ma direction, car lui ne fuie pas.

La fuite parait etre au niveau du bouchon arrière, sur la soudure étain.

L'emmerdement est que son démontage nécessite le démontage des brancards, à moins de pouvoir dévisser le piston de sa chape à rotule avant.

J'ai sauvés les meubles, réussis à démonter le vérin sans autres démontages, et l'ai ressoudé, mais me semble il, une légère fuite se manifeste encore, le mieux est donc de refaire ce vérin à l'identique neuf, pour que ça ne se reproduise pas.

Les essais hydro se font à la main , en effets une pompe orbitale ne fuie pas, elle n'à qu'un sens de marche, et de suite pompe et envoie la sauce, de faits en tournant à la main l'engrenage de réduction j'envoie de suite l'huile dans les circuits, et c'est un hasard qui a fait que le distri de direction était ouvert.

Les essais seront donc à faire demain pour les brancards et le godet.

Tourner l'engrenage à la main est le fait du démontage de l'embrayage commandé qui m'en laisse le loisir.

Sa base est toujours en place, seul le haut de colonne peut etre gênant.

Quand à l'embrayage lui même, bien m'en a pris de le modifier car son axe était bloqué par le serrage de l'engrenage d'attaque, donc demain perçage d'un trou de 2,5 entre dents taraudé à M 3 pour y visser une vis sans tète courte afin de le bloquer sur un petit méplat limé sur l'axe fileté, ce pignon sera alors définitivement solidaire de son axe moteur. libérant ce blocage intempestif.

Puis je devrais refaire les demi supports de la fourchette de manoeuvre d'embrayage, j'aie la proxxon je les referais en alu d'une piece fraisée qui viendra en couronnement du carré support d'embrayage de 20x20.

Me restera plus qu'à re calculer soigneusement le centrage de cet ensemble sur la cloche du moteur, grace à son support fixé sous la platine moteur, support dépassant en arrière pour monter le servo de commande d'embrayage.

Et puisque je suis sur ces modifs, d'étudier comment placer un brushless de secours pour les déplacements hors thermique.

J'ai appréhendé ce montage : il m'est nécessaire de placer un pignon satellite entre le pignon moteur du moteur de secours et la roue dentée hostaforme de la boite à vitesses à cause justement de cette boite qui me gène, mais que je ne peut en aucuns cas déplacer. Le brushless se retrouvera alors assez bas sur l'étrier et sous la marche du carénage, que j'éssaie le plus possible de ne pas modifier.

Le truc n'est pas près de fonctionner, rien que pour enlever l'ancienne colonette d'embrayage, je suis obligé de tout démonter: le pont arrière et ses roues, les tubulures des vérins sur raccords vissants SMC, la platine moteur est Deja déposée avec l'ambryage, les deux petits reservoirs des lobes, celui du carburant, la cabine, le recouvrement, Certains accessoires traversants le fond de caisse, les 6 vis de maintient.

Une fois la base alu déposée j'en profiterais pour faire des trous d'avacuation des fuites d'huiles hydro. Puis sous la base dévisser les 2 vis de la colonne.

Pour cette modif, il me faut un autre carré alu de 20 assez long, qui sera fraisé pour laisser passer le volant moteur, celui du démarreur et l'ensemble d'embrayage.

Ce carré va donc se visser sous le moteur sur son axe, puis avec son décroché passer sous les volants et remonter supporter la petite colonne d'embrayage.

Parce qu'à cet endroit l'espace est compté au millimètre près.

Un carré parce que le dessous de la colonette d'embrayage correspond au dessous de la platine moteur, plus un millimètre, et de ce fait , une fois la pièces fraisée, 1 mm sera enlevé a la fixation sous le moteur, pour égaliser les hauteurs.

Pour le servo d'embrayage une platine alu sera mise en place dessous de la platine moteur, à moi de faire ensuite des supports pour remonter le servo à bonne hauteur.

En faits quand j'ai construit cet ensemble , je n'aie pas vus d'autres solutions, ce sont les montages successifs et les essais qui m'ont fait entrevoir d'autres solutions.

Pour le brushless de secours, il faut que je m'achemine vers une solution a courroie crantée. Car je n'aie pas trop de place sur l'étrier.

Une petite poulie sur le moteur qui se reprends sur une petite roue, et peut etre deux satellites, pour se reprendre sur la roue dentée de boite. En sommes une cascade de pignons pour m'éloigner de la boite.

Ce matin, descente en cave pour fraiser un but d'alu AU4G de 30x15, pour lui ménager une entaille de 8 mm de profondeur, de façons à faire passer les pouliages, en sommes un creux dans la continuité du plat.

J'ai ménagée en avant une plateforme de 30x20 pour l'assise du plot support d'embrayage, et à l'arrière la plateforme qui viendra se greffer sous le moteur.

A voir si 30 de large passe la ou je doit la placer ?

Dans la foulée j'ai récupérée une plaque arrière en 4 mm de 102x32 pour fixer le servo d'embrayage.

Alors, testons ?

Testons !!. Je ne comprends pas comment ton embrayage s'est décalé, normalement la cloche est solidaire de l'arbre moteur en général. La courroie crantée pour déporter le brushless est une bonne solution mais elle devra être bien tendue pour que la résistance de la compression moteur ne la fasse pas sauter. Peut être devras tu ajouter un tendeur

Le test est fait, mais faut fraser encore un chouillat de plus, je verrais en après midi.

En faits je suis passé aux démontages de la base, pour accéder aux deux vis fraisées par en dessous, et me rappelant plus que mon réservoir hydro avait un évent de 5 mm, je retourne l'engin pour enlever les vis en dessous qu'un lac d'huuile envahit mon plateau tournant.

Ah c'est vachement jouissif l'hydro, si l'installation n'est pas étanche , tu t'en fout partout de l'huile hydro, bonjour l'essuie tout et les chiffons perdus.

Mais pour tomber la platine de base faut tout démonter ce qu'il y a au dessus coté pont, heureusement l'etrier reste en place avec sa machinerie.

Mis à part ce leger fraisage en plus pour faire passer les pouliages du moteur, ce plat de 30x15 modifié va se positionner à merveille et soutenir la base de l'embrayage.

Pour que tu comprenne mon problème d'embrayage :

J'aie tournée une cloche alu en creux, et l'aie fixée solidement au volant moteur, par son écrou central mais aussi par des vis fraisées, de sortes que rien ne dépasse dans le creux.

Puis vient la partie du système conique qui constitue le nerf d'action de l'embrayage, ce cone est monté sur un axe cannellé acier, dont j'ai récupéré un bout sur un de mes accoplements télescopiques à cardans.

Dans le cone j'ai rentré à force un insert cannelé, et en arrière du cone , est un bossage cylindrique, avec une gorge en creux.

Dedans est inséré une pièce en laiton avec une rainure circulaire qui rentre dans celle de la gorge alu, cette pièce est en deux parties dont la moitié est assemblée a l'autre par vis fraisées.

Ce montage, on l'utilise très souvent sur moteurs à vapeur, pour obtenir un mouvement precis de translation sur un volant tournant, c'est le principe des coulisses STEPHENSON ou WAELSCHERT des locomotives à vapeur ou autres moteurs à vapeur, pour transformer un mouvement rotatif en une action linéaire, ou encore le principe des crabots des boites à vitesses Tamiya.

Ici je me sert du crabot pour déplacer le cone d'embrayage sur son axe canelé, mais c'est un déplacement des plus limité, 1 mm au grand maximum, et mon premier montage n'était pas parfaitement centré, avec un décentrement angulaire de sortes que le cone aurait mordue la cloche que sur le secteur du haut.

Dans ce principe à cone, il est impératif que le cone plaque sur la périphérie de la lèvre de la cloche lors de l'accouplement.

Mon premier montage était des plus merdique.

Il faut donc un montage parfait axiallement, sans aucun désalignements angulaire.(tel un cardan télescopique, fait justement pour cela des désalignements angulaires).

Je vais alors essayer de faire ce second montage le plus axiallement possible, ça sera facilité par cette pièce alu fixée sous le moteur et supportant le cone d'embrayage, sachant que ce travail se fera moteur placé sur sa base amovible, et hors du chassis.

En finale, il faut que moteur en marche, l'embrayage soit parfait sur sa périphérie sur la cloche, l'ajustage se faisant alors au raccord plot du cone sur nouvelle base en avant du moteur.

Et puis que le réglage de fourchette se fasse à vue et dessus pour des réglages faciles. Je puis alors fabriquer un tendeur réglable vu que je dispose de filières et tarauds de M 4 à droite et à gauche.

En vissant ou dévissant je tends ou détends ma commande sans tout démonter, c'est un réglage micrométrique.

Le mm à enlever je l'ai fait sur la PROXXON, un jeu d'enfant.

Puis je centre le moteur sur sa platine par 2 pions de 2 mm forés entre platine et socle moteur, pions que je vais coller cyano dans le bloc moteur, il dépasseront de 3 mm de façons que le nouveau support d'embrayage se centre aussi dessus.

Ce qui va me permettre de démonter le moteur pour fixer par dessus la platine , le support d'embrayage, vu que ce support est centré sur l'avant moteur, j'en profiterais pour lui placer son 2 em pion de centrage.

Le support étant centré sur l'axe moteur, il me sera plus facile pour centrer l'embrayage sur la cloche, et l'y fixer. 2 trous de 3 étant déja forés.

Et voila, nickel la modif, et cone parfaitement centré sur la cloche.





Reste à fabriquer le support à 2 pattes de la fourchette de commande.

Nickel cet embrayage  très propre. Du beau boulot

Merci Marc, c"est cette idée qui m'avais manquée au départ, j'y avais pensé, mais comment faire ?

C'est le fait d'avoir son servo commande sous le moteur, donc accés pas pratique, qui m'à fait comprendre que je pouvais faire mieux.

Dans des engins comme ça, il est impératif d'avoir tout sous la main en servos.

Et puis la base alu ne doit tenir que par vis traversantes et écrous en dessous, pour ne pas avoir à retourner l'engin, causes principale des écoulements d'huile hydro.

Vu que j'ai tombés les vérins de direction, celui de droite fuie encore, je vais le re souder correctement, puis je vais ménager par fraisages le plat carré porte roulements, pour donner du jeux aux vérins en virages, et certainement ouvrir en hauteur le carénage arrière, pour faire sauter ces vérins de leurs axes de maintient sur le chassis d'arrière, les seuls traversants avec écrous en dessous.

Les vérins s'échappants alors de la caisse arrière de dévisser ses pistons de sur les chappes à rotules avant, ce qui éviteras de tout démonter.

Je munis les filetages avant de ces pistons d'écrous de 4 bloqués collés cyano, qui me serviront de molettes de dévissage, à la clé de 7 ou à la main.

Il y a des tas de trucs chiants placés de ci de la, à corriger pour ne pas s'emmerder.

Ce matin, je vais étudier comment faire ce support de fourchette de commande en alu fraisé bien sur, il sera fixé sur le dessus du petit pylone carré, mais avec une base l'englobant sur 3 cotés, l'arrière surtout, pour que ce support se cale sur le pylone et non sur ses vis de maintient.

Ce support est pris dans un plat de 50x15 AU4G longueur 37, une fois coupé à longueur de 37, il sera entièrement fraisé.

Dessus ménager deux lèvres de 2,5 sur la longueur des 37 (supports de commande) l'intérieur devant faire 35 (Certainement ajustages sur Proxxon ?) profondeur 7,5.

Dessous  fraisage du coté libre de 20x20 sur 5 de profondeur (centrage sur le pylone).

La face avant des lèvres, coté embrayage sera ouvert pour laisser passer la fourchette, formant ainsi 2 cornes.

Sa fixation sur le pylone est assurée par deux vis fraisées de M 3x10 (A ajuster en longueur, au moins une).

Gros travail en cave sur grosse fraiseuse. A plus .

Le support préparé au brut, reste à l'ajuster sur Proxxon.

Ce soir la pièce est en place tenant la fourchette de commande.



Peut etre y aura il encore des ajustages, autours des engrenages.

Juste recouper de 4 mm du coté du petit engrenage, puis une fois l'enmble en place sur la base, tout rentre dans l'ordre.

Toutefois encore un démontage pour mettre en place la platine du servo et ses colonettes de supports assez haut, pour que le palonnier affleure les tubes d'échappement la tringle de réglage sera alors un ridoir en M 4 avec chappes à rotules aux deux bouts.

La course du servo est très faible, 5 mm tout au plus, il faut qu'embrayé la tringle soit dans l'allignement de l'axe du servo, pour éviter sa consommation inutile. Avec une force suffisante pour maintenir le cone embrayé dans la cloche.

Peut etre serait je obligé, soit de refaire ce cone, soit de le rendre plus pointus, pour un meilleurs collage de la cloche. en faits ce cone pointu se trouve au contact de la cloche, pas ailleurs, donc ajustage fin.

Vers 11 h je doit aller à l'orthoprothésiste pour me faire réparer mon appareil de surdité, mais avant placer la plaquette sous celle du moteur afin de calculer les colonettes de support servo de commande du levier d'embrayage.

Platine en place de 60x32, qui dépasse de 22 mm sur l'éxtérieur, dessus à faire deux colonettes de 20x6 ou 8 de 55 de haut, qui peut aussi etre un bloc fraisé, avec une base pour se fixer sur la platine par en dessous, plus simple par sa fixation, plus complexe par sa fabrication bloc de 54 de long par 55 de haut sur 20 d'épaisseur fraisé pour laisser passer le coffre, et son cordon 3 fils, et fixer le servo sur les deux colonettes restantes par vis de 3 et rondelles.

2 vis de 3 en dessous le fixeront à la platine.

Une fois le servo en place, fabrication du ridoir de réglage sur rotules de 4. ( Si je retrouve mon taraud et ma filière de 4 inverses).

Si non réglages par le vissage et dévissage des chapes à rotules avec contre écrous de blocages. Vu que le système sera apparent dessus. Et ça sera bien plus simple.

Par après, remise en place dans le carénage, sans oublier de tout fixer sur la base alu, quitte à faire des trous larges dans le carénage pour laisser passer les écrous necessaires, et les ajourages en plus pour passages des vérins de direction.

Pour moi il est impératif de tout fixer sur la base, et quelle puisse se démonter d'un bloc, juste à déposer pont et roues, et débrancher les durits et ôter les vérins de direction.

Pour eux, si je met un écrou de 4 sur les tiges filetées en bouts des tiges, me servant de molette, je puis dévisser les tiges de sur les chappes à rotules placées dans le chassis d'avant et ainsi enlever la base alu sans débrancher les vérins, juste ceux du brancard et godet.

Ca n'empéchera pas les fuites d'huile aux démontages.

Ce soir le servo est monté sur ses supports, me reste à faire la tringlerie.

çà va faire super, et du bien solide. J'espère que cette fois, ton embrayage fonctionnera aux petits oignons.

Je l'éspère aussi, quoi que j'aie encore des doutes :

En effets ce type d'embrayage, je le connaissait sur une machine de type grugeoir.

Un grugeoir en serrurerie est une machine qui permet des poinçonnages de tous diamètres, mais aussi de coupe fers, et d'entailleuse, c'est la machine universelle pour nous métalliers.

Elle est composée d'un énorme volant moteur entrainé en réduction par moteur électrique, l'embrayage est de ce type, ce sont deux cônes males et femelle au même degré de conicité qui s'entre pénètrent, mais ici en plein fers sur l'apaisseur ou presque du volant, donc une très grande surface de contacts.

Ce contact est conforté par sa commande à contre poids qui pèse fortement sur le cone.

Dans cette machine, c'est à la fois le nerf moteur et la sécurité de glissement, en effets si la force opposée faite par les outils interchangeables est plus forte que la force du volant les cones glissent les uns sur les autres sauvegardant l'intégrité de la machine.

Sur mon engin je compte aussi sur ces effets doubles, le servo va imprimer un appuis conséquent du cône dans la cloche, et si la force opposée est trop forte, il y aura glissement des cones entre eux.

Ce que je ne me rappelle plus, c'est le degré de conicité, c'est pour cela que j'en parles aussi, de façons à avoir un angle plus obtus permettant une meilleure prise tout en diminuant la force d'appuie.

Donc idée à creuser, pas forcément efficace.

A savoir, Percheron va nous revenir, il m'à adressé de TRES longs plaidoyers et j'en prends plein la poire, mais il reconnait que son départ à été précipité, et que sa présence antérieure lui a été profitable quand à mon enseignement général.

Il parles aussi de Pat 68 et de Miss Cyndi, et je lui explique ce qu'il en est à leur sujet.

Chez nous il neige abondamment alors qu'hier, j'ai fait permuter mes roues de bagnole pour mes pneus d'eté, un comble (chez Nordauto) 32 €, pas cher.

Les giboulées continuent. Reste couvert.