BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps

Après le masticage des quelques imperfections, le temps que ça durcisse descente à la cave pour ouvrir sur fraiseuse à la scie cloche de 22, Dalots et écubiers dans les pavois.

Ne reste plus qu'à parfaire et poncer ces ouvertures.

Ces pavois seront peints en blanc, intérieurs et extérieures, donc couches d’apprêt spécial bois blanc, sauf les dessous devant etre collés au pontage, une fois secs peints en bombe en blanc.

Puis collés sur le pontage.

Mais je me pose la question des démontages, pourquoi ne pas faire pareils que les rambardes, coller mes pavois sur des bandes de CTP, qui elles seront vissées sur le pontage, soit par dessus , soit par dessous, en vis de 3 inox TF ? Ainsi je ne me préoccupe pas de poser des caches toujours fastidieux a faire et à poser.

Ou poser vissé par en dessous des pavois les plats de 10x2 qu'il me reste, mais ça implique d'entailler sur 2 mm de profondeur et de 10 de large les jambettes de pavois, pour que rien ne dépasse en dessous.

Je puis aussi simplifier en ne posant que sur les extrémités, les entailles se faisant a la meule micro.

D'ailleurs a son sujet, je ne saurais plus m'en passer, elle me sert sur n'importes quoi. Et est bien pratique.

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Varient les plaisirs en début d'après midi , je me suis remis sur les pavois, poncer les trous des dalots et écubiers, et surtout appliquer l'idée de les rendre démontables, pour cela à la micro meule, j'ai diminué de 2 mm certaines jambes devant recevoir cloués collés des plats alu de 15x2, 5 plaquettes ont été posées sous les jambettes, puis ces pavois mis en place sur le pontage par vis de 2,5x10 TF et écrous par en dessous.

En ce moment la colle sader sèche avec les deux jambettes rajoutées dans les angles intérieurs.

Peut etre rajouterais je des bois de renforts en angles, vu que cet ensemble de pavois sera démontable. en faits les raccords sont collés cloués, d'une part pour leur maintient au séchage et en guise de renforts.

La cabine de conduite à reçu son chadburn, et son émetteur radio sur la gauche de la barre à roue.

Tout a été mastiqué en poncés, reste juste le mastic sur les rambardes pour boucher les trous que la brasure n'a pas fait.

Je doit aussi rajouter les montants tubulaires de poussages, tubes alu épais de 25x25 de 150 de longs qui seront marouflés sur l'arrière avec un coin allongé reposant sur le pont. 

En faits ce coin est un renfort, mais fera partie des piliers, le pont y sera glissé dessous.

3 Photos de l'engin du moment.

Il commence à avoir un sacré caractère ce bateau. joli travail. il va faire sensation sur ton étang, voire le lac d'Annecy

J’espère bien Merci Marc.

La colle des pavois étant sèche, pose des mains courantes de pavois, et pose des deux boutoirs pousseurs de l'avant.

Demain, fabrication des pièces laiton du pontage.



La fixation des pavois au pontage



L'un des ventilo dans son puit.



Collage des mains courantes.

En faits demain , outre l'accastillage de pont , faire une première couche de blanc sur le pavois, le temps que ça sèche bien je tournerais mes bittes et mon couteau.

Les deux triangulations des pavois sont en place, tasseau de 20x9 à plat de biais, mais qui échappent la vis de maintient du pont.

puis je suis passé en bas au tournage des apparaux de ponts, la grande bitte double de remorquage de 50 de haut à chapeaux, et les 4 doubles à chapeaux des 4 coins.

toutes seront vissées soudées sur des platines laiton de 1 mm de 50x20, avec trous de 2,5 dans les coins, vissées par en dessous.

pour les deux poulies de renvois des haussières d'attache des barges  je vais faire deux embases tronconiques sur lesquelles reposera les poulies, puis deux pièces en alu en forme de presses, dont une branche appuiera sur le sommet de la poulie avec du jeu, tandis que sa base reposera sur la platine, cette sortes de présson évite à l'haussière de glisser de la poulie.

Ainsi 7 platines d’apparaux à fixer sur le pontage par vis de 2,5 avec écrous.

Tout cela sera peint en noir brillant. comme d'ailleurs les deux boutoirs.

tu rajoutes des caoutchoucs aux boutoirs ? parce le choc il risque d'être violent quand tu entre en contact avec la barge à pousser sans amortissement.

hâte de voir ces bittes, en général çà embelli vraiment l'ouvrage.

Sur mon pousseur aramis fluvial en électrique les boutoirs étaient des manches à balais, il n'y a jamais eue de protections.

La barge elle faisait 4 m de long en 5 morceaux détachables et étanches, les deux abouts avaient creux les empreintes des manches à balais.

Tu sait Marc quand des modèles sont à soit, on y fait vachement gaffe, mon pousseur n'était pas un tamponneur.

Quand j'allais en Expo avec je me mettait à contre sur la plage et j'accouplais mon ensemble manuellement sans chocs.

Sur celui ci il y a des boutoirs parce que c'est un pousseur, c'est pas dit que j'y accroche une barque à fonds plat, peut etre un canot pneumatique.

Alors aujourd'hui travaux de tournages en cave, toutes les bittes ont été usinées et les embase laiton, mais je n'aie pas terminé car il y a des finitions en appartement.

C'est surtout les deux poulies de retours qui me donnent le plus de boulot.

Mais je vais m'y remettre et ce soir il y aura du très bien de fait. Avec photos en bruts métal.

Mais je placerais quand mème du caoutchouc noir.

Des news de fabrications.

Wahou superbe. Je ne l'avais pas trop remarqué non plus, mais ta rampe d'escalier est vraiment réussie.

Merci Marc, en faits il y a une succession tellement rapide des avancements des travaux, qu'on finit par le plus voir les détails.

Oui la montée de l'escalier n'est pas trop mal, faut pas regarder de très prêt les défauts.

J'ai tracé le rampant sur papier et disposées les marches puis fait un gabarit de positionnement des marches en bois pour les braser, elles sont juste pointées argent dans les coins mais comme je chauffe au rouge la brasure à coulée dans les interstices et à tout bien soudé.

Pareils pour les embases des bittes, il y a des défauts, que je vais corriger ce matin avec soudures. Les plaques d'embases ne sont pas parralléles et alignées.

Et finir les deux écubiers à roulettes.

Arrivé à ce stade d'avancements, une fois les apparaux rectifiés et brasés nettoyages et peintures en noir, je les mettrait en place après peintures.

Le roof et ses rambardes peut etre peint en blanc, vue que les rambardes n'ont plus à être démontées.

Je doit masquer les vitres de la capitainerie, pour passer le blanc.

Je doit aussi peindre le mat préparés avec ses embases des feux.

Les pavois peuvent etre démontés après renforts vissés de ses angles avec les goussets intérieurs de renforts, et peinte en blanc d’apprêt. Et une fois sec en blanc de finition.

Le joint d'entre pont peut etre posé.

Le pont devrait etre mastiqué au sintofer pour son étanchéité : les embases des 4 manches à air, les surbaux des ouvertures, il y a des jours entre les raccords des cadres bois.

puis ce pont devra etre peint en vert polyuréthane, recto verso, mais pas ses chants qui seront blancs après séchage du vert.

Verra alors la pose vissées des apparaux de pont (bittes et chaumards).

Collage néoprène des bandes de caoutchouc noir des des boutoirs, fabrication et pose des renforts arrières de biais, apprêt et peintures en noir. (Ces boutoirs sont démontables puisque vissés de l'intérieur).

Une fois tout les pontages terminés et peints, repose, pour la touche finale en blanc polyuréthane des bordés de coque (entourage hors d'eau), et une fois sec, masquages de chaque coté rouge et blanc pour la bande noire de la ligne de flottaison indéfinie.

Il faut que toutes ces peintures soient parfaitement sèches et dures, pour travailler dans la coque à la pose des appareils de navigation,  l'été et la chaleur arrivant seront encore ce qu'il y a de mieux pour leur polymérisation.

Durant ces temps de séchages finitions des mécaniques sur la platine moteurs, servos d'embrayage des sens de marche, servos des gaz, équipements électriques des démarreurs, pose de la ou des batteries tampons/lestages, pose des deux réservoirs ou de l'unique gros réservoir. Pose du servo gouvernail, installation du récepteur Taranis.

Et il y aura bien sur les rodages des deux moteurs sur le balcon, avant remontages complet.

Certes j'avais commencée cette coque, et laissé tomber le temps des polymérisations, mais bien trop longtemps, de faits des travaux important tant éxternes qu'internes demandant pas mal de temps a leur fabrication, que l'été est arrivé et que ce n'est pas si sur que son premier lancement d’essais soit fait en fin d'année.

Mais avant , fabrication des doublages CTP intérieurs en vue de faire des caissons remplis de mousses plastiques de flottaison.

Pas fait grands choses aujourd'hui, que des petits détails d'importances quand même, déjà démontages de tous ce que j'ai construit depuis 10 jours, masticages par collages à la colle à bois des interstices pouvant infiltrer de l'eau, et comme toujours, attendre le séchage complet sans rien bouger. L'intérieur de la main courante arrière de pavois qui baillais d'un jour en coin, les entourages des 4 buses plastiques de ventilos.

Bouchages de même des trous des surbaux.

Pour bien faire, il me faudrait terminer le bull Deere en supprimants les jeux qui désengagent les couples coniques.

Et surtout ranger et nettoyer le perpétuel bordel qui règne dans cet atelier /ex chambre d'amis.

Apres le fluvial, l'air.

Aller, ce matin, peinture d’apprêt du pavois, en faits un badigeon en blanc pour nourrir les bois, dite peinture à l'eau ACRYLIQUE, qui bien sèche et dure va le permettre un ponçage fin, pour la peinture finale ç la bombe.

La seconde pièce a peindre c'est le pont recto verso en vert , vernis polyuréthane, alors déjà dans une moque (un petit seau) en préparer en teinture de quoi faire les deux faces.

Ces vernis une fois teinté couvrent très rapidement grace aux pigments utilisés, tout comme la coque.



L'acrylique est hors poussières mais pas sec, et c'est très long a sécher vu que c'est à l'eau. Le bois pompe l'eau, et l'acrylique l’empêche de s’évaporer.



Pour le pont, je vais embouser le dessus tant que j'ai du vert, il y a déja deux couches en recto verso.


Pour ces bites, je vais refaire le noir en satiné, les vernis passent mal sur le laiton.

Un peut de plus, j'allais oublier ma salle des machines avec le vert ? J'ai terminé pile poil, il n'y aurait pas fallut 10 cm 2 de plus.





Ca couvre bien en une couche car j'avais déjà emboussé a la résine polyester dans l'hiver.

Etats du bateau en peintures à ce jour :







6 Autres photos de détails suivent.

Continuation des peintures, cette fois en blanc à la bombe sur les superstructures PVC et laiton, ca commence à avoir du must.

Photos demain quand ça sera sec et manipulable, et re posés sur la coque.

Je viens de faire une folie pour ce bateau, j'ai trouvé chez ali express un Toyan reffroidis à l'eau avec radiateur de refroidissement pour 271 €.

La compacité est la même qu'un mono cylindre, mais plus long car deux consoles en alu moulées fraisées supportent le radiateur ventilé par l'hélice à 7 branches, sa cylindrée ne change pas de 3,5 cc et toujours en 4 temps.

Pour moi, rien ne change dans mon bateau, toujours sous manches a air de refroidissement forcés et extractibles, un plus pour bien aérer ce moteur et qu'il respire à l'aise.

Tient un truc sur lequel je n'aie pas travaillé : le pot d'échappement.

Avec un seul moteur celui ci sera alors simplifié, il faudra que je prévoie sa sortie sur le pontage, par une large collerette isolée d'une façon ou d'une autre pour ne pas brûler le pontage.

Une autre solution plus élégante c'est un trou sur le plancher du roof, de grand diamètre, et passer le pot par la tel un long tube de cuivre isolé, et fixé convenablement sur la base en alu libérée d'un moteur, un abergement de maintient en laiton assurera son maintient au dessus de la coque, et un coude SUDO en bout le protégera de l'eau tel une manche à air.

Certes j'ai conçu ce bateau, mais avec l’appréhension du refroidissement des moteurs.

Sur un bateau navigant les solutions sont variées : soit le radiateur tel qu'il est vendu, sur la notice ils disent qu'il y a une pompe à eau alors qu'elle ne se voit pas.

La solution modéliste thermique c'est une prise d'eau placée derrière l'hélice, avec un coude et un léger évasement, la vitesse du bateau est la pression de l'hélice envoie l'eau sous pression dans le circuit de refroidissement, le retour se faisant par un autre tube rigide placé devant l'hélice, puisque celle ci crée une dépression devant elle.

La solution est élégante et statique, on se passe d'une pompe surchargeant le moteur.

Bien sur l'autre solution c'est la pompe électrique vu que le bateau dispose de sa batterie de démarrage en 12 v, et d'une dynamo pour recharger un tantinet celle ci. mais la on arrives dans la complication.

Avec le circuit hydraulique statique le refroidissement est constant et égal, on peut si on le désire intercaler la encore une petite pompe de circulation.

De toutes façons dans ces systèmes il faut une entrée et une sortie d'eau.

La carburation du moteur se fait alors sur la circulation de l'eau de refroidissement.

Sacrés chinois, quand j'ai commencé le bateau, j'avais espéré voir un moteur refroidis à l'eau ? Et ben voila, ils l'on fait et sortis spécialement pour JPG.

Que vais je faire des deux autres ?

Pourquoi pas une bagnole RC mais plutôt du genre Monster truck, et pour l'autre un camion, mais on retombe de charibd en sila : et le refroidissement ?

Bien heureusement on a le ventilo, et le déplacement de l'engin.

Alors tant qu'à faire, pourquoi pas un engin de TP ?

Alors se pose la question : comment faire fonctionner deux chenilles et en marche arrière ?

Les différentiels d'inversion c'est compliqué.

Mais la je me transporte dans le topic du Bull PR 970.

En faits le système est double, et marche aussi bien en avant qu'en arrière

Prochaine étape, un turbo spécial moteur RC?

Des conneries mort de rire, rigole ?