BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
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Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Demain, petite course au brico du coin, faire couper 3 planchettes de CTP de 5 mm pour faire mes caissons de flotabilité.
Sur l'avant il sera mince, 5 cm d'épaisseur mais sur la largeur de 330, et une hauteur de 110, sachant que sous les moteurs c'est aussi un caisson.
Puis sur l'arrière sur 380 de long et 80 de largeur deux caissons parralléles de 80 extérieure, 60 de hauteur sur l'arrière, 150 sur l'avant ces cloisons suivent le tracé de la voûte de coque. les uns avec les autres devraient suffire avec la coque bois elle même a assurer son insubmersibilité.
Et puis je ferais un support en tôle acier pris sur les vis du silencieux de chacun des moteurs, portant les deux varios et les deux allumeurs au dessus des deux moteurs, en faits un support pour éviter que toutes ces filasses fassent bordélique et se prennent dans les pales des ventilos.
Et bien sur, faire une rallonge de puissance pour aller chercher le jus a la batterie sur l'arrière entre caissons de flottaison.
J'ai fait marcher le second moteur, mais sans le premier, en faits pour bien faire mes essais, moins ça sera le bordel à bord, mieux ça sera. Autant que tout soit bien fixes et ne se prennent pas dans les organes en mouvements.
Sur l'avant il sera mince, 5 cm d'épaisseur mais sur la largeur de 330, et une hauteur de 110, sachant que sous les moteurs c'est aussi un caisson.
Puis sur l'arrière sur 380 de long et 80 de largeur deux caissons parralléles de 80 extérieure, 60 de hauteur sur l'arrière, 150 sur l'avant ces cloisons suivent le tracé de la voûte de coque. les uns avec les autres devraient suffire avec la coque bois elle même a assurer son insubmersibilité.
Et puis je ferais un support en tôle acier pris sur les vis du silencieux de chacun des moteurs, portant les deux varios et les deux allumeurs au dessus des deux moteurs, en faits un support pour éviter que toutes ces filasses fassent bordélique et se prennent dans les pales des ventilos.
Et bien sur, faire une rallonge de puissance pour aller chercher le jus a la batterie sur l'arrière entre caissons de flottaison.
J'ai fait marcher le second moteur, mais sans le premier, en faits pour bien faire mes essais, moins ça sera le bordel à bord, mieux ça sera. Autant que tout soit bien fixes et ne se prennent pas dans les organes en mouvements.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
J'en reviens à nos propos avec Marc quand aux embrayages centrifuges avec moteur Toyan et boite d'inversion mécanique Stirling.
La boite est pourvue d'un point mort, de sortes que le moteur peut se passer d'embrayage ?
Au démarrage il entraîne sa flotte de réduction jusqu'à l'inverseur qui est au point mort.
Je sous entends que le ou les moteurs sont rodés, et parfaitement rodés tant sur le ralentis que sur le plein gaz.
Son ralentis bien réglé est dit de 2000 tours.
Ma première réduction sur la couronne dentée est de 6,15, soit une réduction à 325 tours et des brouettes, sur l'axe moteur de l'inverseur qui est fatallement en prise sur une des couronnes dentées, mais non embrayée de 2,4, soit 135,50 tours minute, on peut alors embrayer par crabotage l'inverseur, tout en mettant un peu de gaz.
La vitesse sera donc au prorata de la mise en gaz.
Dois je freiner intempestivement ? je ne le puis pas sauf en coupant les gaz, et en débrayant l'hélice, certes je ne bénéficie pas d'un effet différentiel a prises directe, c'est un des inconvénients majeurs.
Mon ou mes moteurs sont revenus a leurs strict ralentis, je passe en marche arrière, forcement il se passe un certain temps et une certaine distance parcourue, autre ennui qui risque de me faire percuter.
En faits embrayages il en faudrait des manuels, en faits commandés par radio, je démarre hors embrayages, enclenche mes sens de marche, et embraye mes moteurs en mettant des gaz.
Le freinage peur s'obtenir en freinant les embrayages de manières a débrayer, passer rapidement en arrière et remettre les gaz en embrayant.
Je connait des embrayages à cônes, j'en utilisait sur poinçonneuses à tôles,
On remplace les masselottes par un cône se coinçant dans la cloche d'embrayage, mais il faut que ce cône soit entraîne par le moteur ? en faits par les deux ergots qui retenaient les masselottes, ce cône est donc mobile sur l'axe , monté sur roulements, et avançant ou reculant suivant l'action d'une fourchette dans une rainure, bien sur ce mouvement est infime suivant conicité.
Pour mes moteurs c'est moi qui ai faits les axes, aux bonnes dimensions des embrayages centrifuges a masselottes.
Si je refait ces axes plus longs, je puis introduire un cône à rainure de commande, (d'ailleurs j'aurais du faire ainsi au lieu d'un crabot qui peut s'user par entre choquages).
Le cône doit juste prendre sur les bords de la cloche, il est maintenu par la fourchette, sur laquelle est un contre poids de maintient, le débrayage se fait sur 1 mm à tout casser.
En faits sur un bateau, le freinage de l'hélice qui bat dans l'eau est énorme, en cas de débrayage celle ci s’arrête rapidement de sortes qu'en inversant l'on puisse repartir de suite en marche arrière.
C'est pour cela qu'il faut une grosse réduction pour ne pas pénaliser le moteur qui peut manquer de couple.
La boite est pourvue d'un point mort, de sortes que le moteur peut se passer d'embrayage ?
Au démarrage il entraîne sa flotte de réduction jusqu'à l'inverseur qui est au point mort.
Je sous entends que le ou les moteurs sont rodés, et parfaitement rodés tant sur le ralentis que sur le plein gaz.
Son ralentis bien réglé est dit de 2000 tours.
Ma première réduction sur la couronne dentée est de 6,15, soit une réduction à 325 tours et des brouettes, sur l'axe moteur de l'inverseur qui est fatallement en prise sur une des couronnes dentées, mais non embrayée de 2,4, soit 135,50 tours minute, on peut alors embrayer par crabotage l'inverseur, tout en mettant un peu de gaz.
La vitesse sera donc au prorata de la mise en gaz.
Dois je freiner intempestivement ? je ne le puis pas sauf en coupant les gaz, et en débrayant l'hélice, certes je ne bénéficie pas d'un effet différentiel a prises directe, c'est un des inconvénients majeurs.
Mon ou mes moteurs sont revenus a leurs strict ralentis, je passe en marche arrière, forcement il se passe un certain temps et une certaine distance parcourue, autre ennui qui risque de me faire percuter.
En faits embrayages il en faudrait des manuels, en faits commandés par radio, je démarre hors embrayages, enclenche mes sens de marche, et embraye mes moteurs en mettant des gaz.
Le freinage peur s'obtenir en freinant les embrayages de manières a débrayer, passer rapidement en arrière et remettre les gaz en embrayant.
Je connait des embrayages à cônes, j'en utilisait sur poinçonneuses à tôles,
On remplace les masselottes par un cône se coinçant dans la cloche d'embrayage, mais il faut que ce cône soit entraîne par le moteur ? en faits par les deux ergots qui retenaient les masselottes, ce cône est donc mobile sur l'axe , monté sur roulements, et avançant ou reculant suivant l'action d'une fourchette dans une rainure, bien sur ce mouvement est infime suivant conicité.
Pour mes moteurs c'est moi qui ai faits les axes, aux bonnes dimensions des embrayages centrifuges a masselottes.
Si je refait ces axes plus longs, je puis introduire un cône à rainure de commande, (d'ailleurs j'aurais du faire ainsi au lieu d'un crabot qui peut s'user par entre choquages).
Le cône doit juste prendre sur les bords de la cloche, il est maintenu par la fourchette, sur laquelle est un contre poids de maintient, le débrayage se fait sur 1 mm à tout casser.
En faits sur un bateau, le freinage de l'hélice qui bat dans l'eau est énorme, en cas de débrayage celle ci s’arrête rapidement de sortes qu'en inversant l'on puisse repartir de suite en marche arrière.
C'est pour cela qu'il faut une grosse réduction pour ne pas pénaliser le moteur qui peut manquer de couple.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Je vais te répondre pour un allumage de pompe de cale automatique: un interrupteur à flotteur (on en trouve des similaires pour les réservoirs de de liquide de freins sur les voitures réelles), en position basse, le contact est ouvert, quand le niveau dépasse celui flotteur (à régler évidemment) hop! le contact se ferme et enclenche le pompage
C'est ce qu'il ya de plus simple, sinon faut des résistance variable calquée sur la conductivité de l'eau, un ampli opérationnel monté en comparateur de tensionetc....ça devient une usine à gaz ,ça doit se trouver sur les forums d'électronique,mais c'est tout un bin's pour le faire
c'est un bateau pas une voiture à injection
C'est ce qu'il ya de plus simple, sinon faut des résistance variable calquée sur la conductivité de l'eau, un ampli opérationnel monté en comparateur de tensionetc....ça devient une usine à gaz ,ça doit se trouver sur les forums d'électronique,mais c'est tout un bin's pour le faire
c'est un bateau pas une voiture à injection
mickeul16- Messages : 947
Date d'inscription : 12/03/2020
Localisation : Aux environs d'Angoulême (16)
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Oui, bien sur, un inter à flotteur je sais le faire, d'ailleurs je n'y ai même pas pensé.
Question étanchéité de coque , je ne l'aie pas encore mise a l'eau, je ne sait pas du tout si elle est étanche.
Du point de vue constructions, la coque est en contre plaqué de 10 mm collée et cloué sur des carrelets pins de 20x20 en pourtour de coque au pontage.
La coque elle méme, les cotés et les faces avant arrières en CTP 10mm découpées au profil, et rectifiée soigneusement.
Le fond de coque en contre plaqué de 5 mm collé colle à bois sader rapide, et contre clouée à pointes sans tétes , dites téte d'homme, le cordon de collage est continue, la préssion sur la colle a été faite avec les pointes et des serres joints répartis sur les longueurs et les cotés et maintenus en place plus de 48 h.
Normalement, une telle coque posée dans l'eau est étanche par elle même de construction.
Mais mouiller du bois brut, ce n'est jamais recommandé pour lui, alors je construit en supputations.
Ce n'est pas la première coque de bateau que je construit, j'en suis au moins à la douzième, en toutes formes et tous types de recouvrements, en bordé sur membrures comme ici, ou en bordé développable sur membrure comme ma chaloupe vapeur VYTFETE, ou en bordé par lattes taillées et mises en formes sur de grandes longueurs, et parfaitement jointives.
Tu parlais du calfatage, mort de rire, ça se pratique encore mais sur bateaux anciens, les bordés sur membrures sont assemblés presque jointifs, puis les joints sont bourré soigneusement de cordon de chanvre, mais a corps sur l’épaisseur du bois, puis la coque est apprêtée de produits fongicides.
La mise a flot se fait donc bois brut, pour lui permettre de gonfler et de gonfler les calfats, l’étanchéité repose alors sur la parfaite maîtrise des charpentiers de marine et des calfateurs.
Seules les partie hors d'eau étaient peintes vu qu'elles ne sont dans l'eau que provisoirement, tel L' Hermione qu'on a vue hier soir dans la course au trésor en bassin de radoub à flot a Rochefort en terre en Charentes Maritime.
Sans etre un grand connaisseur de marines royales j'ai une solide formation de constructeur de bateaux en tous genres, fervent lecteur de la revue Modèles réduits de bateaux et pigiste amateur durant des années pour la revue en vapeur vive marine.
Pour en revenir à cette coque, je me prémunis plus sur la flottabilité que sur l’étanchéité.
Ainsi la chaloupe Vitféte à vapeur , n'à pas de caissons de flottabilité, l'ensemble pèse 40 kg, vu que c'est un groupe vapeur à chauffe au charbon, par contre il est munis sur l'avant d'une balle de ping pong jaune dans un filet et attachée a une cordelette nylon enroulée sur un cabestan libre, avec 20 mètres de cette cordelette de façons que si la chaloupe coule, en se saisissant de la balle on puisse remonter le bateau sans coupe férir.
Dieu merci le système n'a jamais servis sur 10 ans de navigation.
C'est toujours pareils, il faut se remettre aux échelles des modèles, mes bateaux sont des modèles réduits de lacs et rivières, ne naviguent que par temps calme ou de légères risées, mais surtout pas avec du clapot qui occasionne des rentrées d'eau.
Ce pousseur est ainsi construit, que l'on peut dire qu'en navigation, tous clapots faisant embarquer de l'eau sur le pontage, sera évacuée par les écubiers, que les superstructures sont posées sur des surbeaux les coiffants justement pour les rentrées d'eau.
Certes il peut en avoir par les manches a air de ventilation, c'est pour cela que leurs embouchures regardent vers le bas, pour éviter ces rentrées d'eau.
Les caissons de flottabilité l’empêcheront de couler complètement, il affleurera la surface des eaux, de plus ses superstructures sont en PVC mousse ce qui en faits excellents flotteurs additionnels.
De faits une pompe de cale ne m'a parue pas indispensable ?
Bref, a la rigueur une pompe de puisage au milieu ambiant pour une aspersion sur navires en feux, par lance a incendie commandée a distance.
Mais ce n'est pas son but de pousseur de rivière.
Sur l'amphibie DUKW américain j'aie cet équipement pour arroser les visiteurs et voir leur trombines se demandant s'il ne commence pas a pleuvoir ?
Question étanchéité de coque , je ne l'aie pas encore mise a l'eau, je ne sait pas du tout si elle est étanche.
Du point de vue constructions, la coque est en contre plaqué de 10 mm collée et cloué sur des carrelets pins de 20x20 en pourtour de coque au pontage.
La coque elle méme, les cotés et les faces avant arrières en CTP 10mm découpées au profil, et rectifiée soigneusement.
Le fond de coque en contre plaqué de 5 mm collé colle à bois sader rapide, et contre clouée à pointes sans tétes , dites téte d'homme, le cordon de collage est continue, la préssion sur la colle a été faite avec les pointes et des serres joints répartis sur les longueurs et les cotés et maintenus en place plus de 48 h.
Normalement, une telle coque posée dans l'eau est étanche par elle même de construction.
Mais mouiller du bois brut, ce n'est jamais recommandé pour lui, alors je construit en supputations.
Ce n'est pas la première coque de bateau que je construit, j'en suis au moins à la douzième, en toutes formes et tous types de recouvrements, en bordé sur membrures comme ici, ou en bordé développable sur membrure comme ma chaloupe vapeur VYTFETE, ou en bordé par lattes taillées et mises en formes sur de grandes longueurs, et parfaitement jointives.
Tu parlais du calfatage, mort de rire, ça se pratique encore mais sur bateaux anciens, les bordés sur membrures sont assemblés presque jointifs, puis les joints sont bourré soigneusement de cordon de chanvre, mais a corps sur l’épaisseur du bois, puis la coque est apprêtée de produits fongicides.
La mise a flot se fait donc bois brut, pour lui permettre de gonfler et de gonfler les calfats, l’étanchéité repose alors sur la parfaite maîtrise des charpentiers de marine et des calfateurs.
Seules les partie hors d'eau étaient peintes vu qu'elles ne sont dans l'eau que provisoirement, tel L' Hermione qu'on a vue hier soir dans la course au trésor en bassin de radoub à flot a Rochefort en terre en Charentes Maritime.
Sans etre un grand connaisseur de marines royales j'ai une solide formation de constructeur de bateaux en tous genres, fervent lecteur de la revue Modèles réduits de bateaux et pigiste amateur durant des années pour la revue en vapeur vive marine.
Pour en revenir à cette coque, je me prémunis plus sur la flottabilité que sur l’étanchéité.
Ainsi la chaloupe Vitféte à vapeur , n'à pas de caissons de flottabilité, l'ensemble pèse 40 kg, vu que c'est un groupe vapeur à chauffe au charbon, par contre il est munis sur l'avant d'une balle de ping pong jaune dans un filet et attachée a une cordelette nylon enroulée sur un cabestan libre, avec 20 mètres de cette cordelette de façons que si la chaloupe coule, en se saisissant de la balle on puisse remonter le bateau sans coupe férir.
Dieu merci le système n'a jamais servis sur 10 ans de navigation.
C'est toujours pareils, il faut se remettre aux échelles des modèles, mes bateaux sont des modèles réduits de lacs et rivières, ne naviguent que par temps calme ou de légères risées, mais surtout pas avec du clapot qui occasionne des rentrées d'eau.
Ce pousseur est ainsi construit, que l'on peut dire qu'en navigation, tous clapots faisant embarquer de l'eau sur le pontage, sera évacuée par les écubiers, que les superstructures sont posées sur des surbeaux les coiffants justement pour les rentrées d'eau.
Certes il peut en avoir par les manches a air de ventilation, c'est pour cela que leurs embouchures regardent vers le bas, pour éviter ces rentrées d'eau.
Les caissons de flottabilité l’empêcheront de couler complètement, il affleurera la surface des eaux, de plus ses superstructures sont en PVC mousse ce qui en faits excellents flotteurs additionnels.
De faits une pompe de cale ne m'a parue pas indispensable ?
Bref, a la rigueur une pompe de puisage au milieu ambiant pour une aspersion sur navires en feux, par lance a incendie commandée a distance.
Mais ce n'est pas son but de pousseur de rivière.
Sur l'amphibie DUKW américain j'aie cet équipement pour arroser les visiteurs et voir leur trombines se demandant s'il ne commence pas a pleuvoir ?
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
J'ai mes planchettes, celle de l'avant découpée ne esera mise en place qu'àprès les peintures de coque, en effets, il me faut les faire pour remonter les deux tubes pousseurs avant, car une fois la cloison en place ça ne sera plus possible, et surtout avec le remplissage en mousse qui va obturer complètement leurs accés.
Celles de l'arrière je les ai tracées au fond de coque elles seront mises en place avec le compartiment batterie qui est sec et a été poncé, une entaille en Vé a été faite sur la quille, pour mieux l’asseoir, et des coins ont été collés dessous pour assurer sa stabilité.
Et donc ce compartiment batterie sera accolé aux deux planchettes servant de coffrage ouverts au coulage de la mousse expansive. Un ensemble faisant corps et parfaitement calé de partout.
Le temps de découper les fonds de planchettes a la scie sauteuse, ils seront mis en place, et ne gêneront pas les peintures finales.
Leurs extérieurs seront peints en vert unisson avec l'intérieur de coque, au vernis polyuréthane
Celles de l'arrière je les ai tracées au fond de coque elles seront mises en place avec le compartiment batterie qui est sec et a été poncé, une entaille en Vé a été faite sur la quille, pour mieux l’asseoir, et des coins ont été collés dessous pour assurer sa stabilité.
Et donc ce compartiment batterie sera accolé aux deux planchettes servant de coffrage ouverts au coulage de la mousse expansive. Un ensemble faisant corps et parfaitement calé de partout.
Le temps de découper les fonds de planchettes a la scie sauteuse, ils seront mis en place, et ne gêneront pas les peintures finales.
Leurs extérieurs seront peints en vert unisson avec l'intérieur de coque, au vernis polyuréthane
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Pour transporter ce bateau de ma bagnole garée à perpette, aux différends plans d'eau, ce pousseur qui finirait par etre lourd, il me fallait une remorque stable et relativement pliante et pas encombrante.
J'en ai trouvée une sur le site Le Cyclo à 15 €, petite, 750x430x250 en armature acier soudée, et petites roues démontables clippées sur les axes, avec un timon détachable.
Bien sur c'est une remorque pour vélo, elle est pourvue d'un bac en plastique rouge pliant, et d'une bâche à élastique de recouvrement pour ne rien perdre en route.
Bien sur pour mon usage à tirer ou a pousser ces accessoires sont inutiles.
La remorque étant courte et le bateau qui fait 800 de long j'ai du couper proprement à la disqueuse la barre transversale arrière, mais en conservant des semblants d'arrondis des tubes arrière, et de ceux centraux le rejoignant.
La dessus j'ai prévue la pose d'une tôle en dural de 3 mm, vissée sur les tubes de 430x750, apte a supporter tout le bateau. Mais Hyper acier ferme à Midi pour 3 semaines de vacances, alors je remplacerais provisoirement le plateau dural par un fond en contre plaqué de 10 mm, et en utilisant les mèmes fixations.
Bien sur c'est une remorque vélo, mais je ne compte pas m'en servir avec, bien que ça serait tentant.
Son timon est fait de telle sortes qu'un axe pivottant se razccorde à une attache fixée sur le vélo, mais pour le miens avec sa remorque mono roue, pas du tout fait pareils.
Par contre j'avais commandé lors de l'achat de la mono roue de tout un attelage en acier a rotule. Qui, en fin du compte ne m' à jamais servis, et qui pourrait bien prendre du service.
Il me suffirait de modifier mon timon, et d'adapter ces fixations sur l'arrière du porte baguages pour devenir polyvalent en remorques, cette petite remorque pouvant alors porter tous mes bateaux.
Celui ci se place en avant dans le sens de la marche, la tuyère kort et son hélice dépassant du châssis en arrière.
Coté bateau j'aie démontée la platine moteurs en vue de lui poser son deuxième réservoir, et étant démontés j'en ai profité ce mati, pour placer mes planchettes arrières enserrant le support batterie et l'ensemble collé a la colle blanche en position, donc de façons très maladroite, parce qu'il ne m’était pas possible de faire autrement; ces caissons restants à ciels ouverts, ne sont la que pour contenir la mousse expansive, et ne devraient pas subir de pression durant l’expansion et la polymérisation de la mousse.
Une fois ces premiers collages de secs, le mieux est de tout étanchéifier, avec du mastic silicone dans extrudeur a canule, pour coller ces planchettes , et surtout empêcher la mousse de passer par des interstices, et ne la contenir que dans ses logements.
Une fois la mousse durcie, plus rien ne devrait bouger.
A la construction de la coque j'avais prévus ces compartiments, mais ne savant pas comment ça se passerait aux montages et installations, j'ai préféré ne rien faire, plutôt que de faire des bêtises.
Une fois tout finis sur l'arrière, je pourrais passer aux couleurs de coques.
La bande blanche de continuité avec le pontage sera faite avec la peinture blanche qui m'a servie a apprêter mes pavois, quitte a faire un essais en mélangeant du vernis polyuréthane, car des tubes de blanc a teinter, ça n'existe pas. Il m'en faut juste le fond d'un pot. La bande étant délimitée entre le pont et un ruban de masquage au ras de la bande de flottaison noire.
J'avais acheté de la teinte jaune, mais ce n'aurait pas été beau. Restons dans notre plan de travaux comme prévus au chier des charges.
J'en ai trouvée une sur le site Le Cyclo à 15 €, petite, 750x430x250 en armature acier soudée, et petites roues démontables clippées sur les axes, avec un timon détachable.
Bien sur c'est une remorque pour vélo, elle est pourvue d'un bac en plastique rouge pliant, et d'une bâche à élastique de recouvrement pour ne rien perdre en route.
Bien sur pour mon usage à tirer ou a pousser ces accessoires sont inutiles.
La remorque étant courte et le bateau qui fait 800 de long j'ai du couper proprement à la disqueuse la barre transversale arrière, mais en conservant des semblants d'arrondis des tubes arrière, et de ceux centraux le rejoignant.
La dessus j'ai prévue la pose d'une tôle en dural de 3 mm, vissée sur les tubes de 430x750, apte a supporter tout le bateau. Mais Hyper acier ferme à Midi pour 3 semaines de vacances, alors je remplacerais provisoirement le plateau dural par un fond en contre plaqué de 10 mm, et en utilisant les mèmes fixations.
Bien sur c'est une remorque vélo, mais je ne compte pas m'en servir avec, bien que ça serait tentant.
Son timon est fait de telle sortes qu'un axe pivottant se razccorde à une attache fixée sur le vélo, mais pour le miens avec sa remorque mono roue, pas du tout fait pareils.
Par contre j'avais commandé lors de l'achat de la mono roue de tout un attelage en acier a rotule. Qui, en fin du compte ne m' à jamais servis, et qui pourrait bien prendre du service.
Il me suffirait de modifier mon timon, et d'adapter ces fixations sur l'arrière du porte baguages pour devenir polyvalent en remorques, cette petite remorque pouvant alors porter tous mes bateaux.
Celui ci se place en avant dans le sens de la marche, la tuyère kort et son hélice dépassant du châssis en arrière.
Coté bateau j'aie démontée la platine moteurs en vue de lui poser son deuxième réservoir, et étant démontés j'en ai profité ce mati, pour placer mes planchettes arrières enserrant le support batterie et l'ensemble collé a la colle blanche en position, donc de façons très maladroite, parce qu'il ne m’était pas possible de faire autrement; ces caissons restants à ciels ouverts, ne sont la que pour contenir la mousse expansive, et ne devraient pas subir de pression durant l’expansion et la polymérisation de la mousse.
Une fois ces premiers collages de secs, le mieux est de tout étanchéifier, avec du mastic silicone dans extrudeur a canule, pour coller ces planchettes , et surtout empêcher la mousse de passer par des interstices, et ne la contenir que dans ses logements.
Une fois la mousse durcie, plus rien ne devrait bouger.
A la construction de la coque j'avais prévus ces compartiments, mais ne savant pas comment ça se passerait aux montages et installations, j'ai préféré ne rien faire, plutôt que de faire des bêtises.
Une fois tout finis sur l'arrière, je pourrais passer aux couleurs de coques.
La bande blanche de continuité avec le pontage sera faite avec la peinture blanche qui m'a servie a apprêter mes pavois, quitte a faire un essais en mélangeant du vernis polyuréthane, car des tubes de blanc a teinter, ça n'existe pas. Il m'en faut juste le fond d'un pot. La bande étant délimitée entre le pont et un ruban de masquage au ras de la bande de flottaison noire.
J'avais acheté de la teinte jaune, mais ce n'aurait pas été beau. Restons dans notre plan de travaux comme prévus au chier des charges.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
J'ai fait couper mon panneau en CTP 10 mm au brico, 750x430, j'attends la tombée de température pour le tailler quelque peut, pour le mettre en place.
La colle du compartimentage ayant séchée, je lui ai appliqué de partout d'un gros bourrelet de mastic silicone, pour faire étanchéité des caissons, et bien renforcer ces assemblages hétéroclites.
Demain application de la mousse expansive de flottabilité.
La colle du compartimentage ayant séchée, je lui ai appliqué de partout d'un gros bourrelet de mastic silicone, pour faire étanchéité des caissons, et bien renforcer ces assemblages hétéroclites.
Demain application de la mousse expansive de flottabilité.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Ce matin, à la fraîche, finition du plateau et mise en place définitivement, dans la foulée coulage de la mousse expansive dans les deux caissons.
Ainsi on va laisser les fesses faire (lol l'effet se faire ).
Il me faudra une autre bombe pour l'avant mais plus tard, j'espère en trouver une de moitié, car une fois entamée ça se bouche très vite.
Ainsi on va laisser les fesses faire (lol l'effet se faire ).
Il me faudra une autre bombe pour l'avant mais plus tard, j'espère en trouver une de moitié, car une fois entamée ça se bouche très vite.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Je ne connais personne qui ne se soit jamais fait avoir avec ces mousses
J'ai appris une fois sur un site de bricolage que ça dépendait aussi de l'humidité, apparemment ces mousses s'expandent un peu plus quand c'est humide, va savoir pourquoi?
J'ai appris une fois sur un site de bricolage que ça dépendait aussi de l'humidité, apparemment ces mousses s'expandent un peu plus quand c'est humide, va savoir pourquoi?
mickeul16- Messages : 947
Date d'inscription : 12/03/2020
Localisation : Aux environs d'Angoulême (16)
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
exactement mike d'ailleur quand on pose des menuiseries en renovation il faut toujours humidifier le support pour que l'expansion soit complete.
pour jean paul,ne t'acharne pas a vouloir enlever le surplus,tu vas tout saloper plutôt qu'autre chose.
une fois sec tu coupe au raz du caisson a la lame a métaux ou cutter et ça roule.par contre je ne sais pas ce que tu as pris comme mousse (j'imagine que c'est une bombe brico prete a l'emploi) dans ce cas,certaines gardent une texture un peu style caoutchouc et on du mal a secher a cœur donc a la coupe il se peut que tu tombe sur de la mousse plus fraiche qui va regonfler un peu.la mousse pistolable que l'on utilise au boulot seche très rapidement et devient vraiment de la mousse friable et très legere,trés facile a retravailler une fois seche de plus elle double seulement de volume donc on sait qu'il faut remplir a moitié
d'autre mousses genre phonique (bleu) ou coupe feu (la rose) expansent bien plus et là c'est la galere.
pour jean paul,ne t'acharne pas a vouloir enlever le surplus,tu vas tout saloper plutôt qu'autre chose.
une fois sec tu coupe au raz du caisson a la lame a métaux ou cutter et ça roule.par contre je ne sais pas ce que tu as pris comme mousse (j'imagine que c'est une bombe brico prete a l'emploi) dans ce cas,certaines gardent une texture un peu style caoutchouc et on du mal a secher a cœur donc a la coupe il se peut que tu tombe sur de la mousse plus fraiche qui va regonfler un peu.la mousse pistolable que l'on utilise au boulot seche très rapidement et devient vraiment de la mousse friable et très legere,trés facile a retravailler une fois seche de plus elle double seulement de volume donc on sait qu'il faut remplir a moitié
d'autre mousses genre phonique (bleu) ou coupe feu (la rose) expansent bien plus et là c'est la galere.
gregfr59- Messages : 1558
Date d'inscription : 01/05/2018
Age : 39
Localisation : hauts de france
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Celle la colle pas mal, je l'aie découpée deux fois, certes elle colle un peu, du coup libérée elle s'est remise a gonfler, à chaque fois ça a fait d'énormes brioches de mousse.
Du coup je leur ai fichue la pais, ai dîné, fait ma sieste, et maintenant voir à quoi elles ressemblent avec la chaleur régnante sur le balcon.
Mais certes bien dures ça se scie très facilement.
En faits aux tout débuts j'aie eue du mal a faire sortir la mousse, cette bombe avait déjà servie pour la caisse a Yohann le caldoche, avant le confinement, (un coup de bol monstre). alors dilution a l'acétone, puis d'un coup ça s'est déclenché et la mousse est venue abondante, alors j'ai remplis a fond les caissons, ne me rappelant plus ses effets expansifs.
Dommages elle aurait pu me resservir pour le caisson a faire de l'avant.
C'était un grand récipient, mais au brico j'ai vu des moitié de bombe.
Je ferais ça, une fois mes peintures de faites et mes deux boutoirs remontés.
Oui je l'avais lu qu'il lui fallait un peu de vaporisation d'eau pour mieux s'éxpanser, mais je ne l'ai pas fait.
Du coup je leur ai fichue la pais, ai dîné, fait ma sieste, et maintenant voir à quoi elles ressemblent avec la chaleur régnante sur le balcon.
Mais certes bien dures ça se scie très facilement.
En faits aux tout débuts j'aie eue du mal a faire sortir la mousse, cette bombe avait déjà servie pour la caisse a Yohann le caldoche, avant le confinement, (un coup de bol monstre). alors dilution a l'acétone, puis d'un coup ça s'est déclenché et la mousse est venue abondante, alors j'ai remplis a fond les caissons, ne me rappelant plus ses effets expansifs.
Dommages elle aurait pu me resservir pour le caisson a faire de l'avant.
C'était un grand récipient, mais au brico j'ai vu des moitié de bombe.
Je ferais ça, une fois mes peintures de faites et mes deux boutoirs remontés.
Oui je l'avais lu qu'il lui fallait un peu de vaporisation d'eau pour mieux s'éxpanser, mais je ne l'ai pas fait.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Super, la mousse a durcie de partout, je l'ai donc arasée avec une lame de scie à métaux.
Je vais finir de monter mes accastillages sur le pont, le remettre en place pour poser mes masquages pour la peinture blanche.
Pfuittt, fait pas froid sur mon balcon, fort heureusement un immense parasol me masque le soleil, puis quand il commence à décliner, je couche le parasol, et il me le masque frontalement sur le coté.
Je vais finir de monter mes accastillages sur le pont, le remettre en place pour poser mes masquages pour la peinture blanche.
Pfuittt, fait pas froid sur mon balcon, fort heureusement un immense parasol me masque le soleil, puis quand il commence à décliner, je couche le parasol, et il me le masque frontalement sur le coté.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Leger iatus à la remise du pontage : Et les deux ventilos d'éxtraction ? il leur faut de la place pour aspirer ?
Après repérages de ce qu'il faut, traçages des carrés de 60 dans la mousse en débordement sur l'intérieur de moitié, donc sciage du ctp sur 60 et 50 de profondeur.
Une fois le pontage refermé, et les superstructures en place, l'air se faufilera autours de la batterie pour atteindre les ouïes d'aspirations.
Pour l'avant, j'ai calculé soigneusement l'emplacement de la planchette de coffrage, mais je n'aie plus pensé a l'arrière, mais c'est un moindre mal.
Après repérages de ce qu'il faut, traçages des carrés de 60 dans la mousse en débordement sur l'intérieur de moitié, donc sciage du ctp sur 60 et 50 de profondeur.
Une fois le pontage refermé, et les superstructures en place, l'air se faufilera autours de la batterie pour atteindre les ouïes d'aspirations.
Pour l'avant, j'ai calculé soigneusement l'emplacement de la planchette de coffrage, mais je n'aie plus pensé a l'arrière, mais c'est un moindre mal.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Coté peintures, après deux couches de blanc au pinceau, (en fait une bande blanche), j'ai ôté les caches pour que ça sèche bien, une fois bien dure, je les reposerais pour la bande de flottaison noire.
La coque commence à avoir de la gueule.
J'allais placer une photo, pas de bol accu a charger.
La coque commence à avoir de la gueule.
J'allais placer une photo, pas de bol accu a charger.
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
ça commence a sentir bon ça jp
il va etre vraiment très réussi ce BUCYRUS j'ai hate de le voir dans son élément enfin sur son élément plutôt.
il va etre vraiment très réussi ce BUCYRUS j'ai hate de le voir dans son élément enfin sur son élément plutôt.
gregfr59- Messages : 1558
Date d'inscription : 01/05/2018
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Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
Oui Greg, mais il y a encore du job, et les barbouilles doivent bien sécher.
Devant la lenteur des travaux, je me demande s'il verra l'eau et le lac à la fin de l'été ?
Devant la lenteur des travaux, je me demande s'il verra l'eau et le lac à la fin de l'été ?
Re: BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps
mais oui on y croit
gregfr59- Messages : 1558
Date d'inscription : 01/05/2018
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