Bull D 10 N de bruder
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Re: Bull D 10 N de bruder
Hier, j'ai commencés une série de 22 vérins, dont 8 pour mon bull, en modifiant mes techniques de tournages.
Lorsque je tourne mes tètes ou bouchons arrière, je m'en voie assez pour bien centrer mes pièces préallablement tronçonnées sur ma micro tronçonneuse en butée, et cela depuis bien longtemps.
Les trois mors de mon tout , font 12 mm de long, la prise des tètes se fait sur 2 mm qui est la longueur des collerettes venant en appuie sur les tubes cylindres.
Il me fallait donc une cale parfaitement plane de 10 mm, reprenant les surfaces d'appuis entre mors.
J'ai donc tracé une cale dans du plat alu de 10 mm, une sorte de croix à trois branches de 9 mm de large, tout d'abord tournée puis taillé à la fraise.
Cette croix prends place entre les branches du trois mors sur le tour.
Ayant une large surface d'appuis, chacune des pièces parfaitement surfacées par la lame acier de ma tronçonneuse, vient y prendre appuie.
Ca me permet de cylindrer toutes les tètes en série avec prise de 2 mm, chaque cylindrage fait le diamètre intérieur des tubes moins un centième et sur 5 mm de long.
De ce fait pour le restant de l'après midi , j'ai pu tourner toutes mes pièces soit 44 exactement, les reprendre pour percer les trous chambrages des joints de tète, percer le trou de passage des tiges.
2 h m'ont suffit à faire toutes ces passes alors qu'avant ça me prenait la journée.
La suite des travaux c'est le traçage de tous les cylindres, donc 22, qui comme au tour peuvent être mises en butées de réglages.
Le but étant de réaliser des vérins différends en longueurs mais tous identiques en caractéristiques, le tout assez rapidement sans changer constamment d'outils sur chaque pièces.
J'ai fait en sortes que les cabochons supportant les phares en tète des cylindres de lames, puisse y reprendre place.
J'ai aussi augmenté un tantinet les courses respectives de lame et riper, ainsi le réglage de lame peut en se reculant au maximum sans toucher la calandre faire office de godets.
Celle ci affouilles d'avantage le sol en profondeur, et remonte d'avantage, idem pour le riper.
Lorsque je tourne mes tètes ou bouchons arrière, je m'en voie assez pour bien centrer mes pièces préallablement tronçonnées sur ma micro tronçonneuse en butée, et cela depuis bien longtemps.
Les trois mors de mon tout , font 12 mm de long, la prise des tètes se fait sur 2 mm qui est la longueur des collerettes venant en appuie sur les tubes cylindres.
Il me fallait donc une cale parfaitement plane de 10 mm, reprenant les surfaces d'appuis entre mors.
J'ai donc tracé une cale dans du plat alu de 10 mm, une sorte de croix à trois branches de 9 mm de large, tout d'abord tournée puis taillé à la fraise.
Cette croix prends place entre les branches du trois mors sur le tour.
Ayant une large surface d'appuis, chacune des pièces parfaitement surfacées par la lame acier de ma tronçonneuse, vient y prendre appuie.
Ca me permet de cylindrer toutes les tètes en série avec prise de 2 mm, chaque cylindrage fait le diamètre intérieur des tubes moins un centième et sur 5 mm de long.
De ce fait pour le restant de l'après midi , j'ai pu tourner toutes mes pièces soit 44 exactement, les reprendre pour percer les trous chambrages des joints de tète, percer le trou de passage des tiges.
2 h m'ont suffit à faire toutes ces passes alors qu'avant ça me prenait la journée.
La suite des travaux c'est le traçage de tous les cylindres, donc 22, qui comme au tour peuvent être mises en butées de réglages.
Le but étant de réaliser des vérins différends en longueurs mais tous identiques en caractéristiques, le tout assez rapidement sans changer constamment d'outils sur chaque pièces.
J'ai fait en sortes que les cabochons supportant les phares en tète des cylindres de lames, puisse y reprendre place.
J'ai aussi augmenté un tantinet les courses respectives de lame et riper, ainsi le réglage de lame peut en se reculant au maximum sans toucher la calandre faire office de godets.
Celle ci affouilles d'avantage le sol en profondeur, et remonte d'avantage, idem pour le riper.
Re: Bull D 10 N de bruder
J'ai donc commencé une série de 20 vérins pour ce Bull D 10, bien sur un travail fait tout en série sur machines calées, et donc sans traçages.
J'apporte un soin particulier à la fixation pendulaire des vérins de lames, de plus les berceau crapaudines supportant ces vérins seront refaits en aluminium.
J'ai augmentées les courses de tous les vérins, permettant d'avantages de relevages et d'affouillages pour ceux de lame et de riper.
pour les vérins de réglages, plus de courses dans les deux sens, la lame recule au maximum pour servir un peu de godet, celui du riper permettra des plongées plus en avant et arrières, ceci dans le soucis de poussages ripages en toutes positions notamment en cotés ou en descentes, ou les configurations d'outils sont différentes des positions à plat.
Coté groupe hydro, j'avais prévus la récupération des deux blocs deux voies Magom de deuxième génération, que j'avais placés initialement sur mon futur 5 axes grumiers, remplacés par du Leimbach, pour des raisons de plus larges passages du fluide.
Mais pour ces bulls, tout comme d'ailleurs le PR 764, il faut obtenir au moins rapidité des mouvements des vérins de lame et de riper, et dans une moindre mesure celle des réglages d'angles d'outils.
En effet un bull , n'est pas une pelle, pas besoin de mouvements croisés des vérins, mais au moins plus de rapidité de ces actions primaires.
Pour ma part j'essaie avec la pompe Magom re mastérisée à ma façon, de façons qu'elle respire au mieux, en gavage et refoulements, et que son moteur soit mieux refroidit.
Son gros avantage sur une pelle, c'est son emplois intermittent.
A mon habitude je ramène les deux cotés du vérin sur un domino, de façons à grouper entrées sorties.
De plus je remplace les classiques Y par des blocs de raccordement centraux, regroupant les deux Y, à la manière Leimbach.
Tous raccords SMC rapides, doublés de raccords rapides à passages directs sur réservoir maison et pompe.
J'aimerais assez ré activer le module de commandes de pompe automatique créé par mon ami Pierre sur les 4 voies hydrauliques. Pour des déclanchements automatique de la pompe .
Une Astuce : Pour les possesseurs de cet engin, l'inconvénient est le montage des vérins de lame sur le devant du capot moteur, de part et d'autre de la calandre ?
Ce qui n'est pas aisé pour l'ouverture de la carrosserie pour la maintenance :
Deux solutions: La première, se servir des points de pivotement des vérins de lame, pour pivoter la cabine par dessus les vérins et la lame, peut être poser une tringle de maintient en position ?
Deuxième solution, couper soigneusement le capot moteur juste derrière les bossages de fixation des vérins de lame, de façon à désolidariser la calandre support des vérins du reste de la carrosserie ? On peut le faire sur un joint factice du carénage.
Puis cette partie de calandre sera collée sérieusement sur l'avant du châssis, ainsi, on a plus à déplacer cette partie et ses tubulures.
Il est dommage que Bruder n'y ai pas pensé, alors que ses autres modèles ? Peut on le dire, ont été pensés dans cette éventualité ?
Je dirait que ce magnifique engin, a été balancé sur le marché imparfaitement conçu.
J'apporte un soin particulier à la fixation pendulaire des vérins de lames, de plus les berceau crapaudines supportant ces vérins seront refaits en aluminium.
J'ai augmentées les courses de tous les vérins, permettant d'avantages de relevages et d'affouillages pour ceux de lame et de riper.
pour les vérins de réglages, plus de courses dans les deux sens, la lame recule au maximum pour servir un peu de godet, celui du riper permettra des plongées plus en avant et arrières, ceci dans le soucis de poussages ripages en toutes positions notamment en cotés ou en descentes, ou les configurations d'outils sont différentes des positions à plat.
Coté groupe hydro, j'avais prévus la récupération des deux blocs deux voies Magom de deuxième génération, que j'avais placés initialement sur mon futur 5 axes grumiers, remplacés par du Leimbach, pour des raisons de plus larges passages du fluide.
Mais pour ces bulls, tout comme d'ailleurs le PR 764, il faut obtenir au moins rapidité des mouvements des vérins de lame et de riper, et dans une moindre mesure celle des réglages d'angles d'outils.
En effet un bull , n'est pas une pelle, pas besoin de mouvements croisés des vérins, mais au moins plus de rapidité de ces actions primaires.
Pour ma part j'essaie avec la pompe Magom re mastérisée à ma façon, de façons qu'elle respire au mieux, en gavage et refoulements, et que son moteur soit mieux refroidit.
Son gros avantage sur une pelle, c'est son emplois intermittent.
A mon habitude je ramène les deux cotés du vérin sur un domino, de façons à grouper entrées sorties.
De plus je remplace les classiques Y par des blocs de raccordement centraux, regroupant les deux Y, à la manière Leimbach.
Tous raccords SMC rapides, doublés de raccords rapides à passages directs sur réservoir maison et pompe.
J'aimerais assez ré activer le module de commandes de pompe automatique créé par mon ami Pierre sur les 4 voies hydrauliques. Pour des déclanchements automatique de la pompe .
Une Astuce : Pour les possesseurs de cet engin, l'inconvénient est le montage des vérins de lame sur le devant du capot moteur, de part et d'autre de la calandre ?
Ce qui n'est pas aisé pour l'ouverture de la carrosserie pour la maintenance :
Deux solutions: La première, se servir des points de pivotement des vérins de lame, pour pivoter la cabine par dessus les vérins et la lame, peut être poser une tringle de maintient en position ?
Deuxième solution, couper soigneusement le capot moteur juste derrière les bossages de fixation des vérins de lame, de façon à désolidariser la calandre support des vérins du reste de la carrosserie ? On peut le faire sur un joint factice du carénage.
Puis cette partie de calandre sera collée sérieusement sur l'avant du châssis, ainsi, on a plus à déplacer cette partie et ses tubulures.
Il est dommage que Bruder n'y ai pas pensé, alors que ses autres modèles ? Peut on le dire, ont été pensés dans cette éventualité ?
Je dirait que ce magnifique engin, a été balancé sur le marché imparfaitement conçu.
Re: Bull D 10 N de bruder
Bon, je ne puis passer que cette photo, car la configuration de mon nouvel ordinateur, ne me permet pas de travailler rapidement, en effet mes réductions ne s'affichent pas dans ma barre des taches, ce qui fait qu'un post déjà écrit s'efface, et donc aucune continuation dans la logique de mes réponses.
Le temps qu' Eric me rectifie la chose, peut être des images par ci par la dans les jours à venir, changer d'ordi c'est bien, mais c'est chiant .
J'expliquait que la suite des travaux continue sur la série des vérins, pour ceux de lame je les ai coiffés des supports de phares originels, la place intérieure une fois reconstitués est de 14 mm le diamètre des vérins.
J'ai coupé le capot moteur en deux et l'ai collé cyano sur l'avant du châssis, image ci dessus.
Le reste s'emboite naturellement.
Je reviens sur la motorisation de l'engin, certains sur d'autres forums ont eues de nombreux déboires sur leurs réducteurs, ceux ci cassent malgré des couples annoncés en sortie aussi fabuleux que mensongers, en fait leurs pignonnerie est soit en plastique, soit de très petits modules de dents n'autorisant pas des couples annoncés.
Bien que les réducteurs des RB, soient nettement plus solides, les couples annoncés peuvent être dépassés si l'on force trop sur ceux ci.
Vue la relative étroitesse de l'engin: en fait en gagnant à l'extérieur sur les faux moteurs des barbotins, la largeur totale utile est quand même de 155 mm, ce qui peut aussi être utilisé pour des réducteurs planétaires à un ou deux étages avec petits moteurs brushless
Je parles d'un étage car souvent les planétaires ont des taux de réduction par étages assez importants, pour des couples moyens les réducteurs des micro visseuses chinoise en 3,6 v ou 4,8 v font merveilles, re mastérisée ces réducteurs ne dépassent pas 35 mm de coté, l'idéal étant de remonter les planétaires dans des coquilles alu comme les Camox, ca prendra encore moins de place en longueur.
Notez que souvent les pignons et les couronnes d'entrainements sont en plastiques, recherchez alors ces même planétaires avec couronnes, porte satellites et satellites eux aussi en métal, pour plus de solidité de couple et de longévité.
En fait , plus on va grimper dans les couples moins grandes seront les résistances des chaines Bruder, on se retranche alors sur du Véroma, ou du Kämpfer, à la rigueur du Magom économique ou du Leimbach.
Re: Bull D 10 N de bruder
La fabrication de vérins est devenue une formalité pour toi...
Jacquouilles7- Messages : 1537
Date d'inscription : 27/10/2011
Age : 56
Localisation : bouches du rhône - 13000
Re: Bull D 10 N de bruder
Super boulot !!
Bon ben je vais faire comme toi jean-paul je vais couper la partie avant ,j'espère ne pas me louper
Pour le reste je vais tout revoir , emplacement radio , accu , cablages, bref faire de la place pour l'hydro !!
Pour les vérins je te contacte en MP ? (Rectifié par l'admin)
Bon ben je vais faire comme toi jean-paul je vais couper la partie avant ,j'espère ne pas me louper
Pour le reste je vais tout revoir , emplacement radio , accu , cablages, bref faire de la place pour l'hydro !!
Pour les vérins je te contacte en MP ? (Rectifié par l'admin)
astienseb- Messages : 6
Date d'inscription : 10/10/2013
Age : 44
Localisation : bretagne
Re: Bull D 10 N de bruder
Formalité ? Oui est non, c'est d'une extrême lenteur, vendredi après midi j'ai passé la demi journée sur les noix de ces vérins soit 34 douilles de 10 mm, tronçonnage, puis perçages sur le tour, puis ébavurages périphérique sur le tour, il me reste à les percer tangentiellement et les tarauder à M 4, pièces après pièces.
Ce sont des milliers de reprises sur machines pièce après pièces,
Des centaines de petites pièces composant mes vérins, déjà rien que les tètes à joints me demandent une extrême précision si je veux qu'ils soient étanches.
j'expliquait à Cédric, pourquoi certains vérins fuient par la tige :
C'est la faute des joints de tige, suivant les tolérances de fabrication, ils sont étanches ou non : Normalement leurs cotées sont de 4x10x4,5, en fait 4x9,8x4,5, ces deux dixièmes au diamètre nominal dans une douille travaillée pour 10, est préjudiciable à la bonne étanchéité périphérique du joint, il s'en suit des fuites de ce coté la, j'ai du investir dans un foret en dixièmes de 9,8.
Et pour qu'il épouse le fond de la coupelle de l'affuter presque plat.
Ces joints possèdent une lèvre périphérique comme les raccords à cannelures, il me faut donc reprendre sur le tour chacune des coupelles pour fraiser la rainure circulaire à la forme du cran périphérique, ce cran à pour but d'assurer l'étanchéité, et d'éviter le retrait du joint dans le cylindre.
Mais tout ça ce sont plusieurs reprises en séries de toutes les pièces les unes après les autres.
J'aie d'autres photos de cette série à vous montrer, notamment la dernière avec la totalité des pièces travaillées, et je suis bien loin d'avoir terminé.
Chaque vérin est travaillé individuellement, limé ajusté avec précision, ça prends un temps fou, mais c'est la rançon d'un vérin fonctionnant parfaitement.
Ce qui est sur, c'est que quiconque veut m'imiter, n'est pas près d'y arriver, car ce sont des milliers d'heures de pratiques, et de micro détails incontournables, et qu'à chaque fois je me perfectionne d'avantage.
De plus il y a vérins et vérins, et il faut que je m'adapte aux configurations des engins, c'est pour cela que je demande aux amis de m'envoyer leurs modèles pour travailler in situ.
Tout ce qui figure sur mes vérins est brasé argent haute teneur à 650 °, sauf le bouchon de cul soudé étain pour la simple et bonne raison du démontage, et ne pas bruler les joints avec le rougissement du métal.
Je donne mes vérins pour des pressions de plus de 50 bars c'est dire .
Ce sont des milliers de reprises sur machines pièce après pièces,
Des centaines de petites pièces composant mes vérins, déjà rien que les tètes à joints me demandent une extrême précision si je veux qu'ils soient étanches.
j'expliquait à Cédric, pourquoi certains vérins fuient par la tige :
C'est la faute des joints de tige, suivant les tolérances de fabrication, ils sont étanches ou non : Normalement leurs cotées sont de 4x10x4,5, en fait 4x9,8x4,5, ces deux dixièmes au diamètre nominal dans une douille travaillée pour 10, est préjudiciable à la bonne étanchéité périphérique du joint, il s'en suit des fuites de ce coté la, j'ai du investir dans un foret en dixièmes de 9,8.
Et pour qu'il épouse le fond de la coupelle de l'affuter presque plat.
Ces joints possèdent une lèvre périphérique comme les raccords à cannelures, il me faut donc reprendre sur le tour chacune des coupelles pour fraiser la rainure circulaire à la forme du cran périphérique, ce cran à pour but d'assurer l'étanchéité, et d'éviter le retrait du joint dans le cylindre.
Mais tout ça ce sont plusieurs reprises en séries de toutes les pièces les unes après les autres.
J'aie d'autres photos de cette série à vous montrer, notamment la dernière avec la totalité des pièces travaillées, et je suis bien loin d'avoir terminé.
Chaque vérin est travaillé individuellement, limé ajusté avec précision, ça prends un temps fou, mais c'est la rançon d'un vérin fonctionnant parfaitement.
Ce qui est sur, c'est que quiconque veut m'imiter, n'est pas près d'y arriver, car ce sont des milliers d'heures de pratiques, et de micro détails incontournables, et qu'à chaque fois je me perfectionne d'avantage.
De plus il y a vérins et vérins, et il faut que je m'adapte aux configurations des engins, c'est pour cela que je demande aux amis de m'envoyer leurs modèles pour travailler in situ.
Tout ce qui figure sur mes vérins est brasé argent haute teneur à 650 °, sauf le bouchon de cul soudé étain pour la simple et bonne raison du démontage, et ne pas bruler les joints avec le rougissement du métal.
Je donne mes vérins pour des pressions de plus de 50 bars c'est dire .
Re: Bull D 10 N de bruder
Continuation sur cette série.
Voici donc cette fameuse série, De gauche à droite et de haut en bas ?
Tous les vérins de lame (6), les douilles de tètes à joints de tiges, la boite des raccords SMC,les différends pistons et leur tiges, en bleu dans un sachet les joints de tiges,les douilles de cul des vérins,la saerie des vérins de réglages de lame et de riper et ceux d'abaissement de riper(14), les douilles des noix de culs et de tète de pistons, les dominos de raccordements hydro tète et culs de vérins.
Les deux vérins du dumper à Cyril Mauve 32, courses 60, ils seront pendulaires sous les cotés du chassis, pour obtenir plus de courses, les culs d'axes des vérins se retrouvent plus bas que ceux d'origine, la levée de benne sera intégrale presque en butée.
Il m'a envoyé son engin, c'est petit mais faisable, comme je lui dit, pompe dans le coffre de droite chassis, réservoir dans celui de gauche.
Propulsion sur brushless mini sur boite planétaire, ou sur boite de RB 35, en fait c'est surtout une question de réduction finale, un dumper est un engin lent et coupleux, pas une fusée, il faut trouver le juste compromis, d'autant que le diff Wédico donne encore une réduction supplémentaire ?
En me basant sur la même motorisation que les deux tracteurs agricoles de Nico et moi, le diamètre de ses roues motrices étant avoisinants, et malgré la réduction du pont, vue la longueur périphérique des roues, l'engin aura sensiblement la même vitesse que les tracteurs.
Ca ne me coute rien d'essayer, juste de refaire ce qui a été fait ?
Photo suivante modification d'une des pompes Magom :
Pour cette pompe j'aie montés des raccords SMC, augmentant significativement les diamètres de passages du fluide.
pour cela j'ai démontée la pompe, ôté le couvercle, repercé à 4,2 taraudé à M 5, et montés mes raccords au ruban téflon.
Je n'aie pas percé à fond ménageant une toile de 0,5, de façon à garder des culs en injecteurs, soit près des engrenages des passages à 2,5, donc passages nominal, mais possibilité de monter aussi des douilles à passages directs LEGRIS, qui sont eux aussi en M 5x80.
Parce que les raccords SMC ne sont pas au nominal des tubes (2,5) mais plutôt vers 1,8.
Mais cette pompe sera encore modifiée dans le sens super bikes, à savoir, fraisages de deux pentes sous le corps de pompe, pour faciliter les transferts d'air entre pompe et moteur et éviter de griller celui ci par manque de refroidissement.
En fait ces petites pompes sont très bien conçues, gros engrenages laiton pouvant donner un gros débit, en comparaison avec une pompe Leimbach de l'ordre de 0,350 litre minute, pas un foudre de guerre, mais une bonne pompe de servitude.
Les raccords Magom en fait de moins d'un millimètre, ça doit tourner aux alentours de 0,5, brident ENORMEMENT la pompe en aspiration et refoulement.
De plus les réservoirs seront eux aussi à passages directs sur aspiration et refoulement.
Et puis tous les raccords des vérins sur distris seront changés pour du Leimbach, la on rédime un peu les passages à 1,8, mais gavant la pompe de la sortes il est certain que la pression va monter en amont des distributeurs, associé au débit, pour donner de bonnes vitesses aux vérins.
Il y a eue une couille sur la photo du haut, et peut être sur la photo Magom ? Je vais les re placer en miniature vous n'aurez qu'à les agrandir par cliquages ?
Les deux vérins du dumper. La grosse noix est provisoire juste pour essais .
Voici donc cette fameuse série, De gauche à droite et de haut en bas ?
Tous les vérins de lame (6), les douilles de tètes à joints de tiges, la boite des raccords SMC,les différends pistons et leur tiges, en bleu dans un sachet les joints de tiges,les douilles de cul des vérins,la saerie des vérins de réglages de lame et de riper et ceux d'abaissement de riper(14), les douilles des noix de culs et de tète de pistons, les dominos de raccordements hydro tète et culs de vérins.
Les deux vérins du dumper à Cyril Mauve 32, courses 60, ils seront pendulaires sous les cotés du chassis, pour obtenir plus de courses, les culs d'axes des vérins se retrouvent plus bas que ceux d'origine, la levée de benne sera intégrale presque en butée.
Il m'a envoyé son engin, c'est petit mais faisable, comme je lui dit, pompe dans le coffre de droite chassis, réservoir dans celui de gauche.
Propulsion sur brushless mini sur boite planétaire, ou sur boite de RB 35, en fait c'est surtout une question de réduction finale, un dumper est un engin lent et coupleux, pas une fusée, il faut trouver le juste compromis, d'autant que le diff Wédico donne encore une réduction supplémentaire ?
En me basant sur la même motorisation que les deux tracteurs agricoles de Nico et moi, le diamètre de ses roues motrices étant avoisinants, et malgré la réduction du pont, vue la longueur périphérique des roues, l'engin aura sensiblement la même vitesse que les tracteurs.
Ca ne me coute rien d'essayer, juste de refaire ce qui a été fait ?
Photo suivante modification d'une des pompes Magom :
Pour cette pompe j'aie montés des raccords SMC, augmentant significativement les diamètres de passages du fluide.
pour cela j'ai démontée la pompe, ôté le couvercle, repercé à 4,2 taraudé à M 5, et montés mes raccords au ruban téflon.
Je n'aie pas percé à fond ménageant une toile de 0,5, de façon à garder des culs en injecteurs, soit près des engrenages des passages à 2,5, donc passages nominal, mais possibilité de monter aussi des douilles à passages directs LEGRIS, qui sont eux aussi en M 5x80.
Parce que les raccords SMC ne sont pas au nominal des tubes (2,5) mais plutôt vers 1,8.
Mais cette pompe sera encore modifiée dans le sens super bikes, à savoir, fraisages de deux pentes sous le corps de pompe, pour faciliter les transferts d'air entre pompe et moteur et éviter de griller celui ci par manque de refroidissement.
En fait ces petites pompes sont très bien conçues, gros engrenages laiton pouvant donner un gros débit, en comparaison avec une pompe Leimbach de l'ordre de 0,350 litre minute, pas un foudre de guerre, mais une bonne pompe de servitude.
Les raccords Magom en fait de moins d'un millimètre, ça doit tourner aux alentours de 0,5, brident ENORMEMENT la pompe en aspiration et refoulement.
De plus les réservoirs seront eux aussi à passages directs sur aspiration et refoulement.
Et puis tous les raccords des vérins sur distris seront changés pour du Leimbach, la on rédime un peu les passages à 1,8, mais gavant la pompe de la sortes il est certain que la pression va monter en amont des distributeurs, associé au débit, pour donner de bonnes vitesses aux vérins.
Il y a eue une couille sur la photo du haut, et peut être sur la photo Magom ? Je vais les re placer en miniature vous n'aurez qu'à les agrandir par cliquages ?
Les deux vérins du dumper. La grosse noix est provisoire juste pour essais .
Re: Bull D 10 N de bruder
Je penses placer le réservoir en hauteur sur un support, à moins de le fixer derrière la calandre puisque celle ci fait désormais partie du châssis, ce qu'il faut, c'est dégager un maximum l'habitat interne, il y a une place énorme dans cet engin, c'est pas une raison pour que ça soit le bordel lol ?
Le fait d'avoir montée la batterie lipo sous l'arrière de la cabine dégage une place notable.
En fait pour tous les réservoirs d'huile, il faut l'accessibilité au remplissages, s'il est trop caché ça devient vite la galère pour y accéder. Penser que l'installation sera complètement étanche est une utopie, pourquoi ? Parce que au début, les erreurs sont flagrantes, d'où obligations de monter et démonter les durits, d'où des épanchements d'huile dans cet habitable que l'on va rapidement souiller.
Certes, si l'on emploie des raccords rapides, moins de risque de fuites, mais l'huile c'est gras et capillaire, elle s'infiltre de partout rendant grassouillet tous intérieurs d'engins.
Aussi il est impératif de prévoir une refuite d'huile vers le bas, un trou dans le fond de caisse est le bien venu .
Normalement avec les raccords SMC pas de fuites possible à craindre, mais il nous arrives parfois des coquilles, branchements et débranchements des tubes, aussi des essais sous pression, fatalement on jette de l'huile (heureusement pas sur le feu ), ce qui occasionne des baisses de niveau dans le réservoir tampon, d'où un excellent accès au remplissage.
Les mêmes questions doivent se poser pour le ou les distributeurs, un accès aisé aux servos, notamment pour les réglages des neutres des voies hydro, le réglage des crantages de ses axes sur les palonniers, aussi ces distributeurs doivent être solidement fixés à la structure de base.
Moins on tâtonne dans nos installations hydro, plus on s'amuse.
Une installation hydraulique doit être pensée .
Le fait d'avoir montée la batterie lipo sous l'arrière de la cabine dégage une place notable.
En fait pour tous les réservoirs d'huile, il faut l'accessibilité au remplissages, s'il est trop caché ça devient vite la galère pour y accéder. Penser que l'installation sera complètement étanche est une utopie, pourquoi ? Parce que au début, les erreurs sont flagrantes, d'où obligations de monter et démonter les durits, d'où des épanchements d'huile dans cet habitable que l'on va rapidement souiller.
Certes, si l'on emploie des raccords rapides, moins de risque de fuites, mais l'huile c'est gras et capillaire, elle s'infiltre de partout rendant grassouillet tous intérieurs d'engins.
Aussi il est impératif de prévoir une refuite d'huile vers le bas, un trou dans le fond de caisse est le bien venu .
Normalement avec les raccords SMC pas de fuites possible à craindre, mais il nous arrives parfois des coquilles, branchements et débranchements des tubes, aussi des essais sous pression, fatalement on jette de l'huile (heureusement pas sur le feu ), ce qui occasionne des baisses de niveau dans le réservoir tampon, d'où un excellent accès au remplissage.
Les mêmes questions doivent se poser pour le ou les distributeurs, un accès aisé aux servos, notamment pour les réglages des neutres des voies hydro, le réglage des crantages de ses axes sur les palonniers, aussi ces distributeurs doivent être solidement fixés à la structure de base.
Moins on tâtonne dans nos installations hydro, plus on s'amuse.
Une installation hydraulique doit être pensée .
Re: Bull D 10 N de bruder
Ce matin j'ai bossé sur les crapaudines que je pensait faire en alu fraisé, pas mort de rire , je me suis planté dans les dimensions, 3 h de fraisages foutues, du coup je reprends les crapaudines en plastique d'origine qui vont très bien, il faut juste limer ovale sur l'avant les trous des vis.
Cet aprèm je passe chez mes fournisseurs joints et raccords hydro, pour moi et d'autres. puis continuation sur les vérins de lames.
Ca ne parait pas ? mais une série de 24 vérins c'est plus d'une semaine de travail à raisons de 6 h par jours, et que du petit détails, mais ce sont ces détails qui feront la différence .
Cet aprèm je passe chez mes fournisseurs joints et raccords hydro, pour moi et d'autres. puis continuation sur les vérins de lames.
Ca ne parait pas ? mais une série de 24 vérins c'est plus d'une semaine de travail à raisons de 6 h par jours, et que du petit détails, mais ce sont ces détails qui feront la différence .
Re: Bull D 10 N de bruder
Ce soir un vérin de lame opérationnel, la précisions des usinages est payante, pas l'ombre d'une goute d'huile.
Re: Bull D 10 N de bruder
Ce matin les 6 vérins de lame opérationnels, deux sont montés sur mon bull avec tuyaux, photos après le repas.
Ces vérins sont spéciaux, dans le sens ou ils sont plus longs pour supporter les phares, mais leur courses montantes est limitée par une tige descendante soudée sur l'intérieur du bouchon sommital, les pistons arrivent au ras de la lumière supérieure, mais toute la partie du haut est remplié d'huile.
pour la suite , les vérins de réglages de lame, à terminer de monter. Et bien sur, tous les vérins de riper.
Je penses que le réservoir prendra place dans l'ouverture de calandre en effet vue de l'intérieur une large ouverture rectangulaire donne sur le dos de calendre, en creusant le bas de celle ci, pour enlever les nervures, le réservoir pénètreras dans cette calandre économisant ainsi de la place, et sa fixation sera toute trouvée, par deux pattes latérales vissées sur les cotés du massif de calandre. Il sera ainsi tout en longueur pour échapper le massif, et permettre son remplissage par le bouchon.
Le picage par en dessous , le retour au dessus, mais je prévois un retour pour limiteur de débit réglable, car je ne sait pas le comportement de la pompe Magom modifiée.
Ces vérins sont spéciaux, dans le sens ou ils sont plus longs pour supporter les phares, mais leur courses montantes est limitée par une tige descendante soudée sur l'intérieur du bouchon sommital, les pistons arrivent au ras de la lumière supérieure, mais toute la partie du haut est remplié d'huile.
pour la suite , les vérins de réglages de lame, à terminer de monter. Et bien sur, tous les vérins de riper.
Je penses que le réservoir prendra place dans l'ouverture de calandre en effet vue de l'intérieur une large ouverture rectangulaire donne sur le dos de calendre, en creusant le bas de celle ci, pour enlever les nervures, le réservoir pénètreras dans cette calandre économisant ainsi de la place, et sa fixation sera toute trouvée, par deux pattes latérales vissées sur les cotés du massif de calandre. Il sera ainsi tout en longueur pour échapper le massif, et permettre son remplissage par le bouchon.
Le picage par en dessous , le retour au dessus, mais je prévois un retour pour limiteur de débit réglable, car je ne sait pas le comportement de la pompe Magom modifiée.
Re: Bull D 10 N de bruder
Tous les axes de lames et des vérins sont repris en Laiton de 3 mm avec écrous
Vue latérale droite avec cabochons des phares.
J'ai virés par découpes et meulage les deux bossoirs latéraux des patins limitant la course de la lame, mais j'aie conservée la barre diagonale entre lame et avant de châssis.
Ca la chantourne un peu, vus la différence de courses, je penses la refaire de façons plus mécanique, par exemple avec des chapes à rotules, et un carré d'alu.
Pour la suite, vérins de réglages de lame, double noix en arrière pour reprendre un peu plus bas que l'axe originel, qui sera meulé, et donc dans la toile du gousset. La aussi axes laiton.
Les flexibles courront jusque derrière le support du galet de retour de chaine, avec du jeu pour un libre débattement du brancard de lame.
Pour les vérins de riper, pas de problèmes particuliers, tous axes laiton de 3 lisses avec écrous.
Vues les faibles courses, tout comme les vérins de réglage de lame, une tige de 4 sera soudée en arrière du vérin pour relier la noix. Les vérins bénéficiant ainsi de toute la course nécessaire .
Re: Bull D 10 N de bruder
Ce matin, continuation sur les vérins de réglage de lame, un est monté et fonctionnel, cet aprème les trois autres, puis la grosse série de 10 vérins de ripper.
Re: Bull D 10 N de bruder
Ce soir les 4 vérins de réglage lame sont faits, et deux sont montés sur mon bull câblé.
puis je suis passé aux 4 vérins de réglage riper, ce soir les 4 sont faits et fonctionnels.
Demain je termine ceux de relevage riper, 6 à la clé, mais au paravent il faut que j'achète du rond laiton de 4.
puis je suis passé aux 4 vérins de réglage riper, ce soir les 4 sont faits et fonctionnels.
Demain je termine ceux de relevage riper, 6 à la clé, mais au paravent il faut que j'achète du rond laiton de 4.
Re: Bull D 10 N de bruder
Ceux de relevage riper ont été légèrement stoppés, car comme toujours les courses aux fournitures qui me prennent une bonne partie de l'après midi, et encore j'ai de la chance, Annecy est tout petit comparativement à la région Lyonnaise.
En fin d'après midi, je dus faire une bricole différente, parce que des fois j'en ai ras le bol de rester sur des séries rébarbatives.
Mais quand même j'ai débité plus de 28 pièces d'hexagone de 12 laiton pour les Y de raccordements, commandés des raccords SMC à Radiospare, ces 2 pièces il faut les percer à 4,2, sur trois faces, puis les tarauder à m 5X80, et bien sur les ébavurer sur le tour des deux faces, ce qui prends un temps infini.
Usinages sur le tour en pinces des tiges de pistons, et rainure du JF4, repérage couleur de la face extérieure JF4 et mises en place des joints, puis mises en place dans les cylindres.
Puis encore des grosses séries, percer tangentiellement les noix sommitales à 3,3 et taraudages à m 4x70, puis vérifications pour couper à la bonne longueur les tiges de 4 laiton de rallonge des cylindres, entre culs des cylindres et noix de culs, filetages sur le tour aux deux bouts, mises en place sur bouchons de culs et noix de culs puis brasages argent.
C'est seulement à ce moment la, après avoir préalablement étamé les culs de cylindres et les bouchons que je passe au montages définitifs à chaud entre cylindres montés et bouchons.
Il ne me reste plus qu'à refroidir à l'eau froide, purger mes cylindres, et monter les deux raccords SMC sur les dominos.
Je passe alors aux essais hydrauliques sous pression, pour vérifier étanchéité, et fonctionnements.
En fait ces essais hydro sont relativement courts, je ne puis passer une heure d'essais sur chaque vérin, lol j'y passerais ma vie ?
De ce fait parfois, je ne décèle pas de suite des suintements aux tiges de pistons, ou des brasures de tètes mal faites, des fuites au cul des vérin sous la soudure étain, ou encore des fuites de suintements aux raccords SMC.
Je découvre réellement ces micro fuites chiantes lors des essais dynamiques sur les engins, car avec le fonctionnement des pompes des engins plus puissantes et continues , les pressions sont bien supérieures à ma station d'essais, c'est à ce moment la que je puis vraiment vérifier la bonne marche de tous les vérins.
De plus chaque vérin est particulier, et ne s'adapte que la ou il est prévus ? Il ne m'est donc pas facile de les éprouver en situation, si je n'aie pas l'engin sous les yeux, car dans ces configurations ça va me permettre de faire des essais en continu lever baisser.
Très souvent je constate les défauts à ce moment la .
J'y remédie de suite par un démontage des culs de vérins juste soudés étain. Ce qui ne me prends que peu de temps.
Comparativement aux fabrications allemandes ou espagnoles mes vérins sont brasés argent, si la chauffe est imparfaite, si le décapant n'a pas pénétré de partout, il peut arriver que la brasure ne pénètre pas à fond, occasionnant alors des fuites cachées qui ne se dévoilent que sous pression continue.
En faits c'est lors de ces opérations de brasages, et de la préparation parfaites des pièces entre elles que tout se joue, de la propreté usinages dépends la qualité des brasures, mais tout ça prends immanquablement un temps fou.
Nico me le demandait ,? sur 24 vérins y a t'il des loupés ? Bien sur que non, je n'aie pas intérêts à me louper, ce serait des dizaines d'heures de travail foutues, et recommencer les mêmes pièces d'où encore du temps passé.
Je doit travailler avec la même circonspection que ce soit pour 1 vérin ou 100 vérins.
En fin d'après midi, je dus faire une bricole différente, parce que des fois j'en ai ras le bol de rester sur des séries rébarbatives.
Mais quand même j'ai débité plus de 28 pièces d'hexagone de 12 laiton pour les Y de raccordements, commandés des raccords SMC à Radiospare, ces 2 pièces il faut les percer à 4,2, sur trois faces, puis les tarauder à m 5X80, et bien sur les ébavurer sur le tour des deux faces, ce qui prends un temps infini.
Usinages sur le tour en pinces des tiges de pistons, et rainure du JF4, repérage couleur de la face extérieure JF4 et mises en place des joints, puis mises en place dans les cylindres.
Puis encore des grosses séries, percer tangentiellement les noix sommitales à 3,3 et taraudages à m 4x70, puis vérifications pour couper à la bonne longueur les tiges de 4 laiton de rallonge des cylindres, entre culs des cylindres et noix de culs, filetages sur le tour aux deux bouts, mises en place sur bouchons de culs et noix de culs puis brasages argent.
C'est seulement à ce moment la, après avoir préalablement étamé les culs de cylindres et les bouchons que je passe au montages définitifs à chaud entre cylindres montés et bouchons.
Il ne me reste plus qu'à refroidir à l'eau froide, purger mes cylindres, et monter les deux raccords SMC sur les dominos.
Je passe alors aux essais hydrauliques sous pression, pour vérifier étanchéité, et fonctionnements.
En fait ces essais hydro sont relativement courts, je ne puis passer une heure d'essais sur chaque vérin, lol j'y passerais ma vie ?
De ce fait parfois, je ne décèle pas de suite des suintements aux tiges de pistons, ou des brasures de tètes mal faites, des fuites au cul des vérin sous la soudure étain, ou encore des fuites de suintements aux raccords SMC.
Je découvre réellement ces micro fuites chiantes lors des essais dynamiques sur les engins, car avec le fonctionnement des pompes des engins plus puissantes et continues , les pressions sont bien supérieures à ma station d'essais, c'est à ce moment la que je puis vraiment vérifier la bonne marche de tous les vérins.
De plus chaque vérin est particulier, et ne s'adapte que la ou il est prévus ? Il ne m'est donc pas facile de les éprouver en situation, si je n'aie pas l'engin sous les yeux, car dans ces configurations ça va me permettre de faire des essais en continu lever baisser.
Très souvent je constate les défauts à ce moment la .
J'y remédie de suite par un démontage des culs de vérins juste soudés étain. Ce qui ne me prends que peu de temps.
Comparativement aux fabrications allemandes ou espagnoles mes vérins sont brasés argent, si la chauffe est imparfaite, si le décapant n'a pas pénétré de partout, il peut arriver que la brasure ne pénètre pas à fond, occasionnant alors des fuites cachées qui ne se dévoilent que sous pression continue.
En faits c'est lors de ces opérations de brasages, et de la préparation parfaites des pièces entre elles que tout se joue, de la propreté usinages dépends la qualité des brasures, mais tout ça prends immanquablement un temps fou.
Nico me le demandait ,? sur 24 vérins y a t'il des loupés ? Bien sur que non, je n'aie pas intérêts à me louper, ce serait des dizaines d'heures de travail foutues, et recommencer les mêmes pièces d'où encore du temps passé.
Je doit travailler avec la même circonspection que ce soit pour 1 vérin ou 100 vérins.
Re: Bull D 10 N de bruder
Cet aprèm , continuation sur les vérins de relevage riper, puis sur les Y de raccordements, en fin de soirée raccordements de tout le fourbis hydraulique, mais avant mise en pression il me faut modifier la pompe Magom, et faire le réservoir, certainement des photos en soirée.
J'avais déjà équipé les distris Magom des raccords Leimbach pour tubes de 2,5x4, je prévoit néanmoins un limiteur de débit réglable, tellement pratique pour ajuster le débit de pompe.
J'avais déjà équipé les distris Magom des raccords Leimbach pour tubes de 2,5x4, je prévoit néanmoins un limiteur de débit réglable, tellement pratique pour ajuster le débit de pompe.
Re: Bull D 10 N de bruder
Ce soir tous les vérins sont montés et fonctionnels, l'un m'a donné du soucis, aux éssais hydro fuite en tète, donc re démontage complet, c'était en fait une brasure de tète qui n'avait pas coulée à fond, après reprise de chauffe, et remontage tout est rentré dans l'ordre.
Sur mon bull les 8 vérins sont montés, aux essais statiques la descente du riper se fait sur 3 cm sous le sol, je sais c'est pas terrible, je puis toujours reprendre les culs soudés étain et leur rajouter une tige de rallonge, pour descendre plus et remonter moins.
Mon avis sur la question, ce bull ne restera qu'un jouet, même si hydraulique, il ne rivalisera jamais avec mon bull PR 764 de 15 kg.
Déjà qu'avec son ripper planté au sol dans la caillasse ça le bloquait sur place, moulinant comme un fou dans la semoule, alors pensez bien qu'un jouet de 3/4 kg ne pourra faire mieux ?
Vaut mieux 3 cm que rien du tout, de plus orientation du riper moins accrocheur sur l'arrière.
C'est en fait la lame et son réglage qui ont le plus d'incidence, car un bouteur se sert pratiquement que de sa lame, à plat, en coté et en descentes et les réglages de lames angulaires sont très importants.
Des photos après le souper, j'ai mis en place provisoirement mon équipement, les deux distributeurs en avant sous le réservoir à faire dans le logement de calandre évidée, les deux distris latéralement, parce que celui de droite à été bidouillé, de façons à avoir les deux entrées l'une en face de l'autre, raccordées par un Té, ce peut être tout aussi bien les sorties ?
En fait oui ça sera les sorties, il vaut mieux que chaque distris ai son entrée fluide, de cette façon plus de débit unitaire.
La pompe prend place à droite, en face du récepteur tous deux placés verticalement.
Coté poids total, guerre mieux qu'une pelle Bruder à chenilles, entre 3 et 4 kg, ce qui sera largement suffisant avec les chaines Bruder, par la suite avec des Véroma à crampons, ça peut être intéressant de plomber l'engin ?
Sur mon bull les 8 vérins sont montés, aux essais statiques la descente du riper se fait sur 3 cm sous le sol, je sais c'est pas terrible, je puis toujours reprendre les culs soudés étain et leur rajouter une tige de rallonge, pour descendre plus et remonter moins.
Mon avis sur la question, ce bull ne restera qu'un jouet, même si hydraulique, il ne rivalisera jamais avec mon bull PR 764 de 15 kg.
Déjà qu'avec son ripper planté au sol dans la caillasse ça le bloquait sur place, moulinant comme un fou dans la semoule, alors pensez bien qu'un jouet de 3/4 kg ne pourra faire mieux ?
Vaut mieux 3 cm que rien du tout, de plus orientation du riper moins accrocheur sur l'arrière.
C'est en fait la lame et son réglage qui ont le plus d'incidence, car un bouteur se sert pratiquement que de sa lame, à plat, en coté et en descentes et les réglages de lames angulaires sont très importants.
Des photos après le souper, j'ai mis en place provisoirement mon équipement, les deux distributeurs en avant sous le réservoir à faire dans le logement de calandre évidée, les deux distris latéralement, parce que celui de droite à été bidouillé, de façons à avoir les deux entrées l'une en face de l'autre, raccordées par un Té, ce peut être tout aussi bien les sorties ?
En fait oui ça sera les sorties, il vaut mieux que chaque distris ai son entrée fluide, de cette façon plus de débit unitaire.
La pompe prend place à droite, en face du récepteur tous deux placés verticalement.
Coté poids total, guerre mieux qu'une pelle Bruder à chenilles, entre 3 et 4 kg, ce qui sera largement suffisant avec les chaines Bruder, par la suite avec des Véroma à crampons, ça peut être intéressant de plomber l'engin ?
Re: Bull D 10 N de bruder
sa ma l'air pas mal manque une petite video pour voir tous sa fonctionner
mauv32- Messages : 128
Date d'inscription : 12/07/2013
Age : 32
Localisation : gers
Re: Bull D 10 N de bruder
Beau travail
jeje31- Messages : 425
Date d'inscription : 23/01/2013
Age : 41
Localisation : haute garonne 31660
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