Pelles araignées type JPG en live (ancien post de la pelle Bruder Menzi )

Désolé, pas moyens de passer une seule photo de ces merveilleux engins.

Menzi Muck à un très beau site sur le net, avec de nombreuses vidéos, j'ai aussi imprimé une PDF de la A 91 qui est une des plus grosses de leur pelles.

Certes sa construction est complexe, mais pas plus complexe qu'une liebherr, parce que composée d'une multitude d'éléments mobiles, dans le sens ou tout sur la pelle est articulé.

Ce genre d'engin sera très peu électrique sauf en ce qui concerne la propulsion, car je ne sait pas fabriquer des moteurs hydrauliques, si je construit l'engin je serais obligé d'adopter les fameux RB 35, et de tricher sur certaines proportions.

A mon habitude l'engin sera traité modèle libre, car je ferais en fonction de mes habitudes et suivant mes approvisionnements.

J'ai bien réussie la fameuse Nooteboom éolienne ? Pourquoi pas une Menzi MUck ?

Un tel modèle à ceci de particulier c'est qu'il est tout hydraulique,n il faut néanmoins le traiter assez grand, donc choisir un des modèles confortable sachant que l'appareillage se trouve en tourelle, et que le poste de conduite prends une place non négligeable.

Pour un tel engin et par économie, il faudrait que je me penche à nouveau sur mes propres distributeurs hydrauliques, car l'engin comporte autant de voies hydro que de fonctions, que je décrierais ci après.

L'engin est donc posé sur 4 pattes totalement indépendantes dans tous les sens.

La 91 se présente néanmoins sous 4 formes différentes, soit en 4x2, soit en 4x4, dans la version 4x2 les grosses roues sont directrices et motrices, les autres plus petites sont folles et détachables pour permettre une meilleure prise de térrain en pente abrupte.

Chaque jambe se remonte ou s’abaisse, chaque jambe s'écarte ou se rapproche de l'axe.

Chaque direction est indépendante.

La tourelle bien sur pivote sur 360 °, quand à la flèche elle est assez simple dans le fait que ce n'est pas un boomerang mais plutôt une conception à la Mécalac, donc des compositions transformables à l’infini.

Un seul vérin de flèche, un vérin de balancier, un vérin de rallonge de balancier, un vérin de godet.

Ce qui fait le charme de l'engin, c'est qu'il est polyvalent tous horizons, une des versions se permet de travailler dans les lits de rivières à des profondeurs de 4500.pour faire comme elle, je vois bien les moteurs déportés coté cabine, donc hors d'eau, transmission par courroies crantées.Mais dans ce cas il faut changer la cinétique des mouvements de jambes, au lieu qu'elles soient télescopiques elle doivent etre sur articulations à la manière des fraises de dentistes

Son système déboiseur est fabuleux, composé d'un ensemble compact qui comprends une pince double d'une tronçonneuse à chaine, et d'une rotation de tourelle.

Le système permet de déboiser ébrancher tronçonner à tronçons réguliers et de déposer les branchages.

Comparativement le nombre de fonctions hydro;

Propulsion couplé sur les moteurs donc électro, directions indépendantes, relevage de chaque bras indépendant et écartements indépendants, donc déjà 11 voies pour la partie roulement.

La tourelle, relevage de flèche, balancier , godet, allongement flèche 5 voies, donc déjà 16 voies . Pour un modèle de base.plus la voie de la pompe, et une de plus pour des lumières.

Si l'on veut rajouter des outils, autant de voies que de fonctions.

On a déjà 18 fonctions. On peut évidement se passer de la fonction pompe puisque celle ci fonctionne en permanence, la pompe se met en route dès la mise en route de l'engin, un potard est quelque part en cabine pour réguler la puissance, la voie auxiliaire des lumières on s'en passe, la encore, allumages à la mise en route

On pourrait associer ce système à la commutation des servos, tout comme une pelle à pneus, mais on serait obligés de se priver de certaines fonctions pendant que d’autres fonctionnent.

Le vrais engin comporte 3 pompes, une pour la translation et périph de châssis, une pour la flèche et l'autre pour les accessoires annexes, plus un booster qui accroit le débit de cette pompe.

Fait remarquable le gaz oïl est stocké dans le châssis qui supporte la tourelle, et de nos jours, quoi de mieux que des accus lipo plats ?

Donc en tout 16 voies, soit deux radios 8 voies indépendantes mais néanmoins sur le même pupitre.

En fait , et c'est la ou le bat blesse, en effet le conducteur à en permanence les mains sur les sticks multiples, qui se terminent en partie haute par de gros renflements comportant une multitudes de contacteurs auxiliaires ou principaux.

Pour nous, pas question de se servir des pieds lol (c'est casse gueule), il ne nous reste que nos mains, il nous faut donc bricoler des manches spécialisés à multivoies.

Certaines marques avaient conçues des radios à manches multiples à 4 voies chacun, en plus du croisement de deux voies, la rotation du manche, et un inter en bout de manche.

La forme et la tenue de la radio est aussi àn revoir, car généralement on pilote debout, quand on est assis on se retrouve dans la conformation du pilote

En allant chez Manu ce soir,, j'aie eue une idée qui pourrait valoir son pesant d'or:

La Menzi Muck bruder.

On peut voir la chose ainsi:

La base en est une pelle bruder à chenilles ou sur pneus, dans les deux cas on vire les châssis, pour ne garder que la tourelle et la flèche.

Pour celle à chenilles on garde les mêmes dispositions que les pelles hydro: Rotation tourelle , relevage de flèche balancier et godet, idem pour celle à pneus, avec en plus le vérin de brisé de flèche.

Ce qui change, c'est le châssis qui est refait entièrement en alu, mais avec MES dispositions:

Une base carrée en alu, prenant en sandwich des cales d'écartement, l'inter espace ménagé peut servir à loger l'accus, mais ce n'est pas le but de cette construction, cet assemblage permet la pose des jambes articulées de l'engin.
12 voies sont pas suffisantes pour un tel engin, donc deux radio superposées en 2,4, fonctionnant sur le même accus émetteur, la mise en route étant commune aux deux émetteurs.

Le châssis de base est à peu près carré, sa partie supérieure comporte le support rotatif de tourelle, celui ci peut avoir ses dentures internes.

Le fait de construire un châssis à deux étages permet d'y fixer 4 goussets d'angles pivotants sur un axe vertical, ces 4 goussets sont entrainés par vérins hydro à contre sens couplés de façons à écarter les supports ou les rapprocher, ceci des deux cotés de la machine.

Sur ces 4 goussets 4 jambes à parallélogrammes qui permettent de hisser la cabine en hauteur, mais deux par deux.

J'explique: Je considère l'avant de l'engin et son arrière.

Les deux jambes avant couplées s'écartent l'une de l’autre pour former une étoile avec les jambes arrières mais de façons indépendantes.

Ces mêmes jambes, peuvent se remonter ou s'abaisser, permettant de poser le châssis base au sol ou au contraire de le hisser en hauteur de concert avec les jambes arrières mais de façons indépendantes.

Sur l'avant deux roues à crampons de diamètres moyens, ces roues en combinaison avec les jambes peuvent être directionnelles, en fait c'est une voie qui permet l'orientation hydro des roues.

Ces roues peuvent être motrices, comme peuvent l’être les roues arrières non directrices mais amovibles.

Les jambes arrières sont munies de crampons d'accroche.

On se résume pour connaitre le nombres de voies et attributions:

Une voie électro pour rotation de tourelle, trois ou 4 voies hydro pour la flèche.

2 voies hydro pour chacune des jambes avant, pareils pour les jambes arrières.

Une voie hydro pour la direction, à moins d'utiliser des servo nano, fils couplés en patte d'oie

une voies électrique pour la propulsion.

Le secret de l'engin, c'est qu'il est amphibie, il peut travailler dans l'eau à une profondeur de la longueur des jambes.

Transmission et directions se font à l'aide de câbles souples flexibles, moteurs et servos étant placés dans le châssis de base.

Deux radios 6 voies peuvent convenir 4 à 5 voies pour la tourelle, la 6 em étant la commande de pompe.

6 voies pour la partie châssis .

Le pupitre de commandes se compose donc de deux radios identiques posées sur une planche commune tenue en sautoir ou bandoulière.

L'une des radio commande la tourelle et les voies de flèche plus la pompe hydro. disposées ainsi: manche de droite flèche et godet, manche de gauche tourelle et balancier à la manière classique, la pompe sur potentiomètre, le réglage de brisé de flèche également.

L'autre commande les fonctions des jambes et des moteurs et direction. de cette façon: Manche de droite à la direction et au relevage ou abaissage tourelle, manche de gauche à la propulsion inversion et à l'écartement des jambes arrières.

Potard auxiliaire 1 à l'écartement des jambes avant, potard 2 au relevage des jambes arrières.

En cas de lumières de travail inter manuel, en notant toutefois qu'on peut les allumer en mettant en route.

Je possède déjà de façons électro hydro la pelle à pneus bruder en brisé de flèche.

8 voies hydrauliques 4 voies électroniques.

Pompe personnelle à 12/25 bars en réduction 1/2, deux distributeurs 4 voies leimbach, un vario de puissance un vario inverseur de propulsion Thor 15 lipo, 8 servos nano corona pour distris, 1 pour direction, 1 accus lipo 11,1 v 5 à 6 amp.

Et un engin sortant de l'ordinaire.

Toi qui parles de projets couillus... En voila un qui est... Super couillus !!!
C'est un sacré défi !
Si tu y arrives, tu entreras dans les sphincters ! Euh... Les anales !
Avec tous ces projets "fou", je ne comprend pas pourquoi tu te frottes pas pour tenter un BRH ?!
Avec ce que tu sais et ton expérience, tu as plus de chance d'y arriver que moi !
Je suis sûr que tu y viendra un jour !

En fait, pour moi, c'est moins compliqué une base à vérins qu'un BRH.

Un BRH est un dérivé du petit cheval vapeur utilisé sur nos locomotives à vapeur, dans ce sens ou le piston vapeur /eau, marche en automatique en va et viens sur le mème axe, et dont la distribution est faites à partir de deux cylindres navettes.

La première navette, permet d’écoper la pression, et de distribuer une vapeur assouplie à la vraie navette de distribution, en évitant les points morts.

Une fois celle ci régulée le piston vapeur à doubles effets part comme si de rien n'était. et d'une souplesse étonnante, la navette de distribution permettant au piston de ne pas cogner contre les culasses, lui permet de s'assoir sur des coussins vapeur en fonds de culasses.

Le plus difficile est donc de reproduire cette distribution, car dans notre cas, la tige du piston est le marteau, qui vient frapper sur la bouterolle que constitue le pic, avec l'avantage des coussins en contre pression en culasses.

A vide sans pic le marteau fonctionne sans cogner.

Mais en hydrau, le liquide n'est ni expansible, ni souple, cet effet d'amortissement ne peut avoir lieu, mais le principe de distribution est le mème, une navette amortisseuse distribue le fluide au vrais distributeur, qui se déplace dans son corps, l'amortissement en culasses peut être fait par ressorts à boudins à fils plats, tandis que en position pic, la marteau frappe celui ci avant l'amortisseur .

En fait le pic se meut dans un espace, qui en position haute est frappé par le marteau, et en position basse, c'est le marteau qui est amortis sans frapper le pic, de cette façons le pic est projeté avec force contre la roche à briser.

L'idéal serait de démonter un marteau spit foutus et de voir comment c'est fait.

Pour l'araignée je penche coté distributeurs sur des électrovannes 12 v, une première en la matière.

Mais... quel type d'électrovanne as-tu en tête ?!
tu as vu un modèle précis ?
pas évident, vu les contraintes que tu as ! (Nombre de voies, retour au "neutre", progressivité, pression acceptée, "taille"...)

Ce matin, j'aie reçue une réponse de Menzi Muck, ils me demandent des précisions, si je veux un complément d'information, ou si je veux des plans cotés, sympas, j'ai répondu que des plans serait balaises, plus des tas de choses comme de faire partie du forum.

Attend la nouvelle réponse.

Pierre m'a déconseillés les électrovannes, car si celles ci ne sont pas prévues en inversion, il faut 4 électrovannes pour un vérin, après tout pourquoi faire simple quand on peut se faire chier un maximum lol ?

Ce matin étant forcé de rester à la maison avec un torticolis carabiné, j'ai commencé à désosser ma pelle et faire les premiers croquis.

Ma base de tourelle fera 140 de coté, en deux épaisseurs alu de 4 mm, ces plaques seront espacées de 20 mm, pour contenir les deux vérins d'écartement couplés. De 14x16.

A chaque coins, une pièce pivotante sur un axe vertical, ce sont des sortes de crapaudines à bras multiples, sur lesquels vont se monter chaque jambes.

Je désigne d'office un avant et un arrière, qui si du point de vues jambes, sont quasiment identiques, seront différentes par leur fonctions.

Ces jambes par soucis d'économie seront couplées deux par deux coté écartement, mais l'avant et l'arrière s’écartera en même temps.

C'est du coté relevage que les groupes avant et arrière seront indépendants.

Les deux vérins intérieurs sous tourelle sont donc les vérins d'écartement, et donc chaque jambes sera reliées par un palonnier inversé, intérieur pour la jambes de droite, et extérieur pour la jambes de gauche.

C'est le même montage qui est adopté pour les bennes preneuses ou les pinces à roches.

Chaque jambe est constituée d'un tube alu de 25x25 carré sur 20 cm de long, pour l'arrière, ils contiennent les poulies et courroies crantées des roues de propulsion, alors que les deux moto réducteurs RB 35/100 seront montés à l'intérieur des jambes mais en haut contre la base, la transmission aux roues se faisant par l'intérieur des tubes par courroies crantées. Mais à voir si possibilités de montages à l’extérieur des jambes, sans dépasser le gabarit de la pelle , dont la tourelle fait 19 cm de large.

Mes roues sont amovibles, soit elle seront montés sur l'axe avec interposition d'un écrou de 12 à la manière tamiya, soit c'est l'axe qui se retire du fourreau hexagonal monté dans le bras.

J'ai mis de coté 4 roues à chevrons, que Denis Defrène m'avait offert, en guise de cadeau pour mes nombreux achats. Elles correspondent pile poil aux roues utilisées par Menzy Muck.

A l'avant, ce sera deux micro servos montés sur patte d'oie Y qui assureront la direction, par tringles intérieures aux jambes.

J'adopte cette disposition pour pouvoir travailler dans l'eau, à une profondeur de 10 cm à 15 cm, soit au 1/14, 2000.

Suite tout à l'heure.

A l'avant, comme à l'arrière mes jambes se terminent par de solides crampons à 6 pointes.

Donc un engin hybride, assez polyvalent, suivant les zones de travail, avec l'immense possibilité d'enlever rapidement les roues.

En position route, bien sur une seule disposition, pour rouler droit.

Encore un chouette chantier à faire en dilettante tranquillement.

Un engin modifiable à souhaits dans ses fonctions hydrauliques.

Ce projet part doucement, sur les préliminaires, Mon ami Pierre va me construire une radio spécifique issue de deux Futaba, soit FC 16, soit F 14, montées sur un boitier, avec seulement deux manches à 6 fonctions chacun, et 6 voies auxiliaires, Manches avec multi commutateurs de fonctions électroniques.

En somme un pilotage comme les vrais engins.

Il a été super emballé par ce projets à commutations sur manches, puisque du jamais vu en modélisme TP.

De mon coté la partie tourelle est engagée à 30 %, il me faudra faire la partie châssis sur jambes.

Le projet est hardi, puisque toutes les commandes principales sont centralisées sur les deux manches, un clic sur l'un des boutons au sommet des manches en changent les fonctions instantanément.

Bien sur , certaines fonctions demeurent sur potards, et inters à bascules, des fonctions qui se manœuvre que de temps en temps, et qui doivent rester verrouillées.

jpg tu na pa encor essayer les verin electrique cti ? c'est peut l'occasion pour .....

En fait je me dirige plutôt vers les vérins hydrauliques, je ne dis pas , les vérins CTI, c'est une alternative, chère mais alternative pour de touts petits modèles comme la pelle schaeff.

J'ai commencé à couper les deux plaques de base de l'engin, 140 de coté, mis aussi de coté le roulement de tourelle, la couronne dentées de 100 dents, les blocs d'alu dans lequel iras le roulement.

Vue la complexité de réalisation de joints tournants hydro, l'engin aura la rotation de tourelle limitée, d'une part pour les tubes, d'autre parts pour les fils, sont point mort sera sur un coté.

Tout en bossant sur le projet Liebherr, j'avance sur celui ci, bricoles après bricoles

J'ai commandé chez Conrad un boitier pupitre pour cet engin, le deal à Pierre est le suivant:

Monter mes commandes sur ce boitier, comme bon me semble, autrement dit mes deux manches en lieu et place habituels mes potards et inters de voies annexes, mon inter général puissance, et de lui envoyer tout ça, lui prends en charge la fabrication des modules BF de commandes pour 16 voies proportionnelles, avec deux modules Corona 2,4 giga.

Le montage pour lui, sera de placer en bouts des manches, des poussoirs de commandes, pour 6 fonctions par manches, soit 12 fonctions au total par commutations électroniques.

Me laissant toutefois des voies annexes de commandes en fixes: 1 potard de commande de pompe, avec marche forcée, 1 potard de voie annexe proportionnelle et deux inters de voies annexes, à incrémentation fixes.

L’ensemble sera compact avec ses deux antennes dans la largeur sur l'un des grands cotés du boitier.

Ça sent l'usine à gas ton système !
Va te falloir une notice en livre de chevet pour apprivoiser toute ces commandes !

Je ne pense pas, ça sera au filling.

Voici le mode d'emploi:

Les manches fonctionnent par couples de commandes:

1 fonctions de pelle.
2 fonctions de marche.Et relevages des jambes
3 fonctions d'outils annexes

Si tu reste dans le basique, en fonction 2, tu dirige ton modèle ou bon te semble sa vitesse est très faible de façons à ajuster ta position.

En fonction 2, outre direction sens de marche, comme les bagnoles mêmes manches, tu a en plus le relevage des jambes, avant et arrière.

De sortes que tu peut placer ton engin dans une pente , tout en gardant la tourelle horizontale.

Suivant incrémentation des manches, tu commande l'écartement des jambes, soit par potards, soit par manches, mais je trouve les potards plus faciles car ce sont des positions de travail, l'engin ne roulant pas.

En fonction 1 tu retrouve tes manches aux fonctions pelle.

En fonctions 3, ça sera pour des commandes annexes, comme le rallongement du balancier, le serrage des pinces, la coupe d'arbustes, et la rotation du bloc, pour l'outil d’abatages.

Sachant que toutes ces fonctions, sont commutées manches par manches, de cette façon tu gardes certaines fonctions de pelles, avec des fonctions de direction ou des fonctions d'abatage.

Note que le système à Pierre conserve tous les neutres et réglages des trims de toutes les fonctions.

Je ne sais pas comment il va faire, soit des poussoirs uniques en bout de manches, qui par pression successives incrémentes les fonctions, comme les computer des radios, soit par poussoirs séparés par groupe de fonctions.

Pour les trims ils seront certainement réglés par les trims des manches puis mis en mémoires, avec toutefois le réglages fins lors du rappel de chaque fonctions.

J'ai donc 12 fonctions sur manches, la 13 pour le potard de pompe, la 14 pour le potard d'écartement jambes, avec la possibilité de séparer ces fonctions, jambes avant et arrières, ce qui ferait 15, la 16 pour une fonction annexe tel le rallongement de flèche

Je sais c'est un projet couillus, je n'aie pas encore planché sur le bloc d'abattage, mais je vois vaguement de la:

C'est composé de plusieurs fonctions:La préhension d'arbres, par pinces hautes et basses, certainement hydro. La coupe par chaine à tronçonner, sur moteur hydro, moi ça sera électro sur brushless. La rotation bloc hydro avec mon truc doubles vérins.

Le tronçonnage par longueurs régulières par rouleaux entraineurs crantés, sur temporisation de marche, certainement électriques brushless. Mais c'est la même lame qui coupe.

En fait, tu a des fonctions typiquement proportionnelles de fonctionnement courant.(Manches)

Et des fonctions électro ou hydro occasionnelles (inters et potards).

Accus lipo 11,1 v de 5 ou 6 ampères interchangeable, je suis dans une tourelle de pelle bruder, avec une flèche de bruder à brisé.

Possibilité de monter l'accus bien en arrière en rallongeant le cul de tourelle, pour conserver la place au réservoir, à la pompe spéciale jpg/pierre à 25 bars, compacte, et des blocs de distri leimbach.

Les deux récepteurs groupés, j'ai déjà un servo de tourelle en place tower pro 13 kg

Je n'aie que 6 tubes traversant le pivot de tourelle, et les fils des servos de direction/moteurs, soit 5 petits fils.

Tu sait JJ, quand on est capable de chiader des engins tels la nooteboom, ou deux liebherr 964, une Menzy Muck Bruder c'est de la gnognotte.

Je comprend mais, je vais mettre le pied dans le plat, n'aurais-tu pas intérêt à faire cette pelle en alu ?!
faire une machine de cette complexité et avec de telles fonctions (ex:bloc d'abattage...) sur une base "légère" n'est-il pas risqué ?
tu vas faire une machine exceptionnelle ! avec des fonctions hors normes à n'en plus finir ! je pense que cela mérite une base autre que le plastic bruder ! à moins que tu ne comptes utiliser la bruder que pour la cabine ?!
de toutes façons, les "jambes" seront en métal ! je comprend que tu veuilles te consacrer aux fonctions mais... tu le dis toi-même, le plastic, si solide soit-il, restera du plastic ! Dommage de s'investir dans une réalisation pareille et avoir des regrets à postériori !

Ah, mais t’a pas tout lue, ma cabine est en plastique bruder certes mais pas ma base moteur qui est en alu.

Dans un premier temps ma flèche est en plastique bruder, je la conserve telle quelle, puis ça me donneras le temps d'en refaire une en alu, plus conforme aux pelles Menzy Muck.

C'est comme ma pelle à Pneus CAT 322 tout est en alu sauf la cabine qui est plastique.

Cette pelle est en gestation depuis bien longtemps, quand j'aurais finis mes gros modèles je m'y remettrait car pour elle aussi les fonctions sont multiples, avec double radio, et cette double radio est en 27 méga, qui à tendance à foutre la merde.

Quand j'ai commencée cet engin, je n'avais pas toutes les clés en mains, maintenant avec la progression de ma technicité, je vais pouvoir m'y remettre, la encore un engin hors normes à 6 fonctions hydro et 4 électro.

Ainsi j'avais montés des varios inverseurs de Conrad, alors que maintenant les Thor font ce travail bien mieux et de façons plus compacte.

En fait les technologies évoluent et nos modèles avec, et celle la est d'une super complexité.

Rends toi compte que le flux hydro passe au travers du roulement central, comme d'ailleurs l'arbre de transmission mécanique des 4 roues ? pour la lame et les stabs hydro, ainsi que les câbles de force moteurs et servos.

J'ouvrirais un post pour elle, bon sang pas piquée des vers ma pelle ?

pour sûr ! je crois bien que tu seras un pionnier en la matière !!!
j'ai beau regarder à droite et à gauche... rien vu de pareil !! à part les pelles ech:1/1 bien sûr !
je pense qu'on te verra d'un autre oeil car peu de personnes sont capable de se frotter à un tel projet !!
bon courage pour la suite !!!

Comme dit mon copain Pierre: S'agirait d'enlever les doigts que vous avez sur le clavier ? Lol, pour ne pas dire le doigt que vous vous êtes mis dans le fion.

Sur pas mal de forums, des projets mirobolants, seuls ceux bien équipés machines et possédant une technique éprouvée y arriveront.

Et il est fort dommages que certains confortes ces enfants dans leurs projets impossibles, ils feraient mieux de les conseiller voir même leur filer de sérieux coups de mains, mais ce ne sont qu'applaudissements stériles.

Eh oui ! Des idées, on en a tous plein la tête (plus ou moins) ! Mais, de là à concrétiser... Le pas est grand !
L'outillage est bien sûr nécessaire mais... Le savoir faire ! Sans compter sur l'audace et le courage de se lancer, quitte à se planter !
Après tout, qui peut se vanter de savoir faire du vélo, sans avoir commencé sur 3 roues et sans être tombé au moins 1 fois ?!
Moi le premier, je piétine beaucoups avant de me lancer !

En fait, tu piétine trop, parce que tu est un anxieux, la peur de te louper de suite.

L’anxiété se vainc par l'habitude de concevoir.

Tu a un projet en tète, tu te renseigne sur le net des possibilités que tu a de le réaliser, en fonction de tes moyens techniques matériels et financiers.

C'est pour ça que j'engage tout le monde à se faire du stock, déjà pour le matériel.

Les finances ça vient doucement, il faut du temps pour tout financer.

Reste le coté technique, mais qui ne tente rien, n'a rien, il faut essayer et se planter.

Par contre il y a des projets irréalisables, tel ton BRH, ou alors avoir des plans et autresb photos de réalisations de ce genre sous les yeux.

Une menzi Muck, c'est quoi ? une pelle sortant de l'ordinaire, le haut est classique, le bas l'est moins.

Du moment que tu sait réaliser tes vérins, tu réalise tes jambes et leurs vérins, la motorisation: faut savoir ce qu'on veut, moi je veux pouvoir travailler dans la flotte, est ce que les moteurs électriques fonctionnent dans l'eau douce ? Oui bien sur, pas dans l'eau de mer à cause du sel faisant électrolyte.

Ce qui implique des moteurs près des articulations, transmission non par chaines qui rouillent mais par courroies crantées et pignons alu, en internes dans les tubes fourreaux.

Idem pour la direction, avec les commandes et tringles internes, ça on sait faire avec les avions ?

La rotation de tourelle, quelque chose de classique sur roulement.

Bref, ce n'est pas à proprement parler une Menzi, mais quelque choses s'y rapprochant.

Le projet comporte pas mal de commandes sur manches, quitte à ne pas toutes les utiliser.

Il vaut mieux que Pierre planche sur du compliqué de suite, plutôt que de charogner pour rajouter des trucs, et moi c'est pareils, faire des prévisions quittes à ne pas les construire, mais au moins avoir la certitude que c'est réalisable optionnellement.

Un tel engin, c'est réalisable avec nos moyens actuels, les pompes on sait faire, on sait surtout les dénicher et les adapter à nos besoins.

Les vérins ça va de paire avec la mécanique et les travaux sur alu et aciers.

Les distributeurs, même si chers, sont les seuls à bien fonctionner et pas encombrants, quitte à demander à leimbach des blocs spéciaux, mais ça ils savent faire également. Ils ont l'énorme avantage d’être modulaires, on peut les monter en batteries compactes

Leimbach fait des blocs à 8 voies hydro, deux blocs de 4 voies.

Un bloc 8 voies prends 96 mm de long, parfaitement logeable dans une pelle bruder.

Sur mes pelles liebherr, au départ basiques, j'avais prévus 3 voies plus une pour ma lame, du coup, commande de blocs 3 voies.

Sur ces entrefaites Dodo se décide pour des voies suppl, rebelote re commande de blocs 3 voies.

Mais leimbach sait aussi alimenter deux blocs séparés, et moi avec, CQFD.

J'ai reçus avant hier les boitiers commandés chez Conrad, dont le pupitre pour cet engin, je l'ai préparé hier soir en découpant les deux ouvertures circulaires des manches, en fait c'est bien un travail d'appartement, il m'est plus facile de faire ces transformations à la maison, j'ai presque tout sous la main.

Ce pupitre est donc assez long et logeable pour les deux radios émetteurs, deux manches dans les coins inférieurs bas, des emplacement optionnels au dessus de chaque manche.

Les deux antennes courtes sur un pan coupé avant du pupitre.

La partie milieu dégagée, pour implantation d'autres manches au cas ou notre affaire foire, de fait toujours deux radios séparées, mais avec 4 manches et les commandes auxiliaires, mais cette fois sur un seul boitier.

Je fais à ma nouvelle manière, tous les composants se trouvent sur le fond, le couvercle alu étant dessous, il est plus facile de tout monter et câbler en fixe, plutôt que d'ouvrir et fermer sans arrêts le couvercle au risque de casser les fils et les soudures.

Je pense placer deux poignées de tiroirs sur les cotés, servant ainsi de portage, de préhension, et de repose paumes des mains.

C'est sur que mes radios vont faire sensation dans les expositions.

L'engin démonté me narguait, du coup je lui ai fait sa base pivotante, pour cela j'ai fait confiance à la base chenillée d'une des pelles en rab, ai découpé le fut qui m’intéressait pour le placer vissé sur mes bases aluminium.

Depuis que les gars modifient des pelles bruder, rares sont les fois ou les 4 crocs de retenue tourelle ont cédés, toutes les pelles produites pour d'autres et à plus fortes raison la mienne, fonctionne bien depuis un an sans problèmes.

Pour cet engin donc j'ai utilisé le même accessoire puisque la base en est une pelle à chenilles, mais avec un bras de pelle à pneus.

Cet engin sera hybride bien sur, un haut plastique un bas alu et acier, c'est dire que si le haut foire, il sera toujours temps d'en refaire une autre en métal.

Cet engin est avant tout un test d’essais, voir si possibilité de monter une base de pelles bruder sur un châssis tout autre que ce que l'on voit actuellement.

Comme ce matin j'ai passée ma matinée aux débits tous azimuts, j'en ai profité pour débiter tous mes vérins et mes crapaudines d'articulation des jambes.

Mais j'ai d'autres modèles sur la planche, j'ai fais ce que j'avais à faire puis suis revenu à mes moutons.