BUCYRUS Un bateau de rivière en propulsion thermique sur TOYAN de 3,5 cc 4 tps

en effet ça fait une belle mandoline.
du coup tu as utilisé quelle technique pour le cintrage?tu as mouillé ton panneau de fond?
j'adore faire des pièces cintrées moi aussi,ça me donnerait presque envi de faire une coque quand je vois ça  
ça me rappelle une coque de yatch d'1,20m que j'avais réalisé plus jeune avec les couples découpés a la scie a chantourner assemblés sur gabarit a l'envers et recouvert de lattes de red cedar en 4x2 avec pont en acajou et cabine sur deux niveaux.
cette coque a été offerte a un voisin retraité passionné de bateaux rc qui lui a offert une motorisation et des finitions inox et laiton et tout un système d'éclairage interieur.une vraie beauté.

Tout a faits Greg, fond mouillé intérieur extérieur.

Tu a du regretter ton voilier ?

Mais des bateaux j'en ai faits ? Et tous vendus au fil du temps, d'ailleurs mes coques sont en partie dans autres formes de modélisme au chapitre de ce que peut faire un vieux grincheux, en réponse à Caterpillar du forum engin.

La planche du fond m'a été fournie vrillée mais dans le bon sens des fibres, longitudinales intérieur extérieure et transversale dans l’âme, positions idéale pour un cintrage humide sous contrainte.

Contrairement à toi, j'adore construire des coques de bateaux j'ai du en faire une trentaine tous divers.

Ma chaloupe à vapeur comme ton voilier bordés sur membrures, mais en panneaux CTP pré peints en blanc d'un coté en 3 mm, une coque construite en une semaine.

La je fait fort avec cette caisse construite en deux jours.

Mais je sait construire en bordé en lattes affinées de la poupe à la proue, en biseautant chaque lattes pour qu'elle plaque sur les chants des autres en place.

Alors construction classique de 4 lattes a a la fois, deux par cotés en haut et en bas gage d'un non vrillage de la coque.

Normalement une coque bien construite devrait etre étanche brute, la colle ce n'est que la soudure des parois entre elles, et c'est donc le bordé par sa densité qui assure cette étanchéité.

Au mini club d'à coté dont je ne fait pas partie, ils apprennent aux mômes de 8/10 ans à construire des petits bateaux genre cabin cruisers de 60 cm mal fagotés comme des vraies passoires et c'est des recouvrements à la résine polyester et résine qui fait l’étanchéité. Leurs buts c'est de faire des coques toutes identiques, pour naviguer vite fait en fin d'année, mais savoir vraiment construire un bateau ils s'enfichent.

Je les comprends un peu, je suis passé par la comme maitre d'apprentissage dans un mini club, les adultes ont des mérites de s"occuper de bambins que les parents laissent en garderie, bambins pour les 3/4 pas motivés du tout à faire ces bateaux merdiques.

Construire des modèles réduits quels qu'ils soit, il faut etre TRÈS motivés, sans cette motivation essentielle on fait n'importe quoi.

On parles souvent de passions, mois je parles de motivations.

Voila, fond de coque collé clouée.



Il y a juste un petit manque de matière de 5 mm au carré que je boucherais avec un petit liteau si je trouve, dans les baguettes pour modélisme, en pin ou peuplier, histoire de conserver la forme. Mais dedans après démoulage, j'ai encore à placer des 1/4 de rond de 15x15 dans les coins en renforts de structures, et sur les cotés en fond de coque pareils mais fendus de proches en proches.

Pour ce fond j'aurais du le demander plus long d'un cm à recouper.

Ma colle est à séchage rapide, mais je vais attendre 24 h de séchage et démouler mardi matin.

Puis je me suis occupé de ma quille, entouré le tube inox d'une feuille de plastique, pareils en dessous et bourrées les fentes d'araldite rapide, puis remis un plastique dessus et un liteau et deux pressés bien serrées de sortes que l'araldite soie compressées dans les fentes et moulées par le liteau.

Je ferais pareils de l'autre coté, bien sur, je ne compte pas relier les deux bouts, mais c'est juste pour faire le moulage du tube vu que la quille et le tube font 12 mm.

Une fois ces moulages durs, redémontages, puis fendage de la coque dans l'axe de 12 mm de large et sur la longueur de quille entre pointes.

Comme déjà dit, il me faut connaitre la longueur du moyeu de l'hélice pour couper à bonne longueur ce tube et y souder les deux paliers laiton de l'arbre en 5 mm inox.

Ayant mes moulages de quille tube de faits, mettre en place cette fois collé le tube préparé, avec la tôle roulée de la tuyère faite autours de l'hélice .

Cet ensemble arrière va tenir sur une chaise d'hélice à faire en plats laiton de 12x3, un montant se fixe sur le plat de quille, par un petit plat et deux vis en M 3 taraudés, ce plat rejoint un tube laiton de 12x14 court et y sera brasé, puis en haut deux autres plats idem rassemblés en Y et brasés sur le tube support, ces deux plats rejoignent sous la coque un autre plat de liaison, et pareils dans la coque la prenant en sandwich et sérrés par des vis de 3 en inox ou laiton en M 3.

En faits cet ensemble moto directeur devrait etre liés par des plats laiton reliés ensembles et fixés sous la coque et à l'intérieur la prenant en sandwich, une certitude que cet ensemble mécanique fonctionne parfaitement bien.

Je suis mon plan et ferait un gabarit de montage en alu pour les brasures. pareils pour le petit bout de renfort quille sur l'avant, le solidariser à l'ensemble.

Tels que prévus ce fer plat sera incrusté dans la coque au niveau du bombé, ainsi la coque reposera à plat sur son bombé et sur l'arrière de l’étambot sous la tuyère.

Il y a encore du job.

Pour le roof, par commodité vu que le brico n'a pas de CTP de 3 mm je le ferait en PVC mousse.

Un premier capotage se posant sur toute la surface de l'ouverture du pont, puis au dessus et en avant la capitainerie, je prend modele sur le Ramborator.



Sur le miens le roof est bien plus grand il englobe la surface de l'ouverture sur surbeaux et ses avancées faibles en hauteurs ou ses arrières comprennent les 4 manches à air du refroidissement des moteurs une sorte de marche d'un cm de haut.

Coté étanchéité et traitement du bois, traitement intérieur extérieur à la résine époxyde, ça va puer le styrène à la maison, j’espère que Josie ne sera pas incommodée ?

Ce matin, démoulage du tube d'étambot sur la quille, à part la colle qui à bavé et collé le bois de placage mis en pressoire, les arrondis sur le tube sont parfaits.

Une fois tout détachés, ponçages du surplus de colle avec mes micro meules, que c'est un plaisir.

J'ai aussi tôt fait l'envers, remis le tube avec son plastique d'anti adhérence, gavés les arrondis d’araldite rapide et mis sous presse.

Je vais m'occuper maintenant des surbeaux sur mon pontage, ponçages des bords des découpes et mises en place.

En faits au préalable je puis reconstituer mes cornières de surbeau, collées clouées, qui seront plus faciles alors de coller en place sous le pont.

Quand au fond de coque il est sous presses (fictives, puisque cloué collé) jusqu'à ce soir.

Sur la place restante je vais faire mon pont.

Tu arrives encore à trouver un peu de place pour faire ce bateau ? c'est déjà du bon gros bébé. en tout cas la coque est magnifique, l'arrondi du fond, un vrai travail d'ébéniste.

Mort de rire me fallait pas trembloter avec la scie sauteuse, et faire une coque en dents de scies.

Merci Marc, mais une telle coque, c'est en faits une caisse en bois, rien de bien sorcier à faire des caisses.

L’établissement de mon cahier des charges écrit m'y a beaucoup aidé pour placer des images dans ma tète histoire de voir ou j'allais, puis j'ai fait avec les difficultés du moment.

C'eut été une vraie coque à quille et membrures, et bordé sur redans c'eut été une autre paire de manches.

Mais la c'est du tout droit.

Si tu veux, mes états d'esprits quand je conçois un modèle quel qu'il soit : Je le pense longuement, entre une ou deux semaines voire plus, ce laps de temps me permet de monter mon modèle, et comment le monter.

Puis j'écrit mon scénario, ce qui me le met noir sur blanc, et conforte les images en tète.

Puis je passe aux commandes des fournitures, et suit ce qui a été échafaudé mentalement.

Pour le montage je m'adapte aux difficultés du moment, j’essaie de faire plusieurs sous ensembles tout en calculant leurs raccordements. ainsi faits je ne perds pas de temps.

Ce matin, je voulais faire mes surbeaux, pas de bol pas assez de liteau, donc course au brico en prendre deux baguettes, plus une baguette pin de 5x5 pour boucher le manque sur le dessous arrière, du coup j'ai pris deux consoles en ferrailles blanches pour le futur rayonnage d'angle de ma lampe de chevet et de mon appareil respiratoire, j'ai pris aussi 1 demi M2 de PVC mousse de 3 mm pour le roof capitainerie, des vis inox pour la quille et des finettes de 1,3x18 pour construire surbeaux et raccordements.

Ce bateau est donc construit autours des deux toyan en regard du Ramborator, un truc très épuré, qui est plus un barlus d’essais qu'une vraie maquette.

Partant d'une simple caisse en bois rectangulaire, je n'allait pas y passer des lustres.

L'aspect du fond de coque c'est l'aspect du contre plaqué ordinaire, mais de l'autre coté le pont, ce CTP avait un gros défaut, donc retournement du pontage vu qu'il est symétrique.

Et puis le fait de le monter sur un chantier rigide fait pour cela et vissé dessus par en dessous, ça m'à permis en fin d'après midi hiers de tout amener sur le balcon et penché pour retailler le biseau du tableau avant, pour se raccorder au fond de caisse.

La technique du chantier de montage mobile et rigide est essentiel pour monter bateaux et avions en structures.

Pour l'heure le recouvrement est en contre plaqué de 10 mm, dégueulasse, il est passé par toutes les avanies même de l'huile hydro. des colles à bois, des résines diverses des peintures de tous poils, il suffit pour le rafraîchir de coller dessus une feuille de CTP tendre pour avoir à nouveau un chantier neuf. J'ai construit ce chantier il y a 30 ans et je l'ai trimballé dans tous mes déménagements. Il partira avec moi dans la tombe.

Si le bateau est bien avancé en Mai pour les rencontres je l'amènerais pour le faire admirer.

Avec plaisir. D'ailleurs je vais appeler l'hotel pour savoir le prix des chambres.

Tu va au Berrichon Solognot ? si oui tu me dira les prix de chambres, j'ai oublié de le lui demander, tu diras que j'aie retenue une chambre chez lui, tu lui diras mon nom ?

Je viens de démouler ma quille, c'est parfait les 4 écoins sont remplis d'araldite, il ne me reste plus qu'à faire deux joues en PVC pour tout prendre en sandwich.

J'ai reçu de technimodel les renseignements demandés sur cette hélice, longueur Moyeu 18 mm, puis dépassement des profils des pales de la cote commune sur l'arrière de 24 mm.

Pour moi c'est parfait, ça va me permettre de positionner mon tube d’étambot et mon safran.

Pour souder mes pièces je ferais un mannequin en 3 D, en sortie ça devrait ressembler à une patte en bas se fixant sur le plat de quille, montant sur le tube d'arbre, et de la, deux branches se raccordant à un plat transversal, avec en Té le support haut du safran de tuyère.

Je fait d'après mon plan, et d'après ma coque.

Cet ensemble support étant indépendant de la ligne d'arbre, puisque celle ci repose dessus et dans la quille. Un bel ouvrage de mécano soudures.

Bon, en fin de compte les deux manches à air en tube PVC gris d’évacuations d'avant feront partie du pont, il y a juste de la place pour des coudes PVC d’évacuation devant les ventilateurs, celles de l'arrière feront partie du Roof arrière machinerie.

Je penses placer sous le pont des ventilo d’insufflation a l'avant, et d’extraction à l'arrière. Latéralement,t il y a de la place pour batteries de 6 v en série pour faire 12 v, et ça fera du lest pour faire rentrer la coque dans ses lignes d'eau.

Il est un tantinet trop court, 10 cm de plus aurait été bien, mais je ferais avec ceci.

Demain il faut que j'agrandisse l'ouverture arrière, les surbeaux me bouffent de la place en longueur, 1 cm devant et derrière.

A noter que le pontage sera vissé, donc des accès facilités pour l'installation et la maintenance.

Les batteries ne prendront pas toute la place, devant elles se placeront les réservoirs, ou devant ou derrière, en fonction de leur accessibilité pour leurs remplissages rapides.

Çà fait deux jours que je touche pas terre, rien fait sur les modèles, ces deux jours a faire des courses aux magasins pour tout et rien, j’espère m'y remettre demain.

ouais c'est chiant. mes samedis passent comme çà. tu cours tu cours et au final tu arrive le soir et tu n'as rien fait de ce que tu voulais.

Je suis allé chercher mon hélice à la poste, bel objet, même si c'est cher, j'aie bien fait d'en acheter une, elle est nickel, les affaires vont pouvoir reprendre sur cet engin.

Déjà ébarber la coque de ce qui dépasse avec mon disque à lamelles, construire ma ligne d'arbre, construire ma chaise d'hélice, construire ma tuyère Kort avec son gouvernail.

Après l'ébarbage au mieux, traçage de l'emplacement de la quille que j'aie commencée à ouvrir à la scie sauteuse avec lame pour l'acier qui fait des coupes propres. sous la planchette vu que je n'aie que 28 mm, pas assez de refuite pour la lame de scie, quasi obligé de couper au cuter, ca va etre dur et long.

En faisant ça propre la quille devrait rentrer gras.

J'ai tracé sur mon plan les différends repères structurels, coque sur le coté à l’équerre en élévation. Tuyère Kort son gouvernail l'axe du safran, la quille la ligne d'arbre et son axe, pour repères avec la quille.

Une fois le bas de quille en place et collé, il y aura une fois sèche la mise en place du tube d'arbre, collé araldite, et sa partie supérieure de quille qui s’étire sur l'arrière.

Et pour bien faire, il me faudrait la chaise d'hélice.

Le plus important c'est la pose du bas de quille avec son plat laiton de renfort, en alignement bien droit et d’équerre par rapport à la coque, la quille sera maintenue en place par en dessus de la planchette de machinerie par vis à bois de 3 fraisées.

Déjà une tenue mécanique au départ, mis pas forcément encore collée. Le temps d'ajuster la longueur de la ligne d'arbre.

Je me tâte pour une butée à billes toute en inox pour l'appuie de l'hélice sur le tube.?

La partie arrière de la quille doit aussi etre bien ajustée pour prendre en sandwich ce tube d’étambot, en vue du travail sur la chaise d'hélice support de tuyère et de ligne d'arbre.

Pouvoir manipuler la coque en tous sens avant collages définitifs.

Ce matin, tracé sur plan le dessin de la chaise d'hélice, et j'ai écrit un débit au mm petits croquis avec.

La ligne d'arbre fait 289 de long, j'ai repéré dans la coque la ou elle commence, juste à la sortie de la quille, pour éviter tout porte à faux, la platine moteur est à ras de la platine bois, liaison par cardans à boules.

La chaise et le gouvernail tiennent sous deux contre plaques en laiton de 50x105x1,5 mises en travers et vissées en sandwich depuis l'intérieur par vis de 3 inox (a acheter) ou laiton de 3x8 de long TR

Le safran d'axe du gouvernails est brasé sur la plaque intérieure, il traverse la coque.

Le plat de quille sera légèrement contre coudé sous la tuyère Kort de 3 mm.

Le tube de tuyère fait 1 mm d’épaisseur des renforts lui seront posé en haut et en bas sur les axes d'articulation en tôle laiton de 1,5 sur l’extérieure, le diamètre intérieure tuyère est de 104, le jeu nécessaire pour pivoter sur son axe de gouvernail.

J'ai donc tous mes débits au mm près. Et du job en bas à la cave enferrée.

J'ai presque tout fait sauf la chaise d'hélice.

les photos :



La brasure de la rallonge de protection de quille.



Et son contre coude sur l'arrière.



La tuyère Kort et son gouvernail, son safran de commande, et sa prolongation du bas rentrant dans la quille.



Le tube guide du safran de gouvernail, et ses platines sandwich.



Le tube étambot et la ligne d'arbre encore à fileter.



Et enfin la magnifique hélice spéciale Kort 4 pales de 100 de diamètre.

Je ne pourrait pas accoupler les moteurs comme je le voulais, en effets la pièce d'adaptation pour le cardan à boules est trempé dur c'était en faits les demi arbres des roues de la voiture thermique. j'aie les deux pièces, demain je vais voir si en la chauffant au rouge je puis la détremper, ca serait bien car alors je la perce à 4,2, et la taraude à 5.

Si ça ne marche pas, je transformerais le cardan double boules monté sur un cardan classique, et fixé sur l'arbre par sa bague à vis sur méplat, l'idéal serait un véritable cardan marine à serrage sur pinces par un écrou axial.

Une suite de montages :

Superbe. Il va bientôt avoir droit à sa première mise à l'eau. L’hélice est assez monstrueuse. Tu as intérêt à avoir une bonne réduction, parce qu’avec tes 2 moteurs, tu vas en faire une formule 1 sinon

Aux calculs je tourne à 600 tours à l'hélice, ce qui est une vitesse normale pour ce pousseur.

Construire, c'est facile, finir dans les détailles c'est autrement difficile.

Dans la suite, avant la pose définitive de la quille, je me demandait comment traiter les deux vides de parts et d'autre de cette quille, sous la planchette moteur ? J'aie une bombe en rab de mousse polyuréthane , par la fente de la quilles, et avec la canule, injecter de la mousse de chaque coté. d'une part pour flottaison, d'autres parts pour remplir et éviter d'avoir un caisson non traité remplis d'eau d'infiltration.

Puis j'aménagerais tout mon appareillage vu que j'aie de la place, par après, une fois tout installé, sur l'avant en largeur, poser une cloison transversale, et remplir de mousse.

Pareils sur l'arrière et de chaque coté du système directif, des caissons latéraux de flottabilité.

Re démontage de tout Equipement, pour traiter l'intérieure de coque, apprêts pour bois et peintures.

En extérieur, mastiques à bois et ponçages, pour enlever les défauts, puis apprêt à bois, et ponçage, il me faut une coque lisse.

Le pontage n'est pas à négliger, mise à sa place sur la coque, avec joint mousse par en dessous, puis serrage par vis à bois sur le pourtour.

Au paravent, traiter et durcir le chant des parois de la coque en vue de ces vissages.

Le pont au brut est posé, préparation des superstructures en PVC et autres garnitures de refroidissement par Manches à air, et ventilateurs sous pont.

J'aurais aussi à fabriquer les deux pots de silencieux, et échappement en cheminée, et le vase de disconnection des exsudats des carters (rejets des huiles de graissage).

De faits un équipement de coque terminé, construction des superstructures, masticages et ponçages, certainement fabrication de l'accastillage, et en avant du pont les deux gros massifs de poussage.

A cette échelle je puis me fabriquer mes bittes d’amarrages doubles, et j'aurais à fabriquer le pavois et ses jambettes, percé d’écubiers et autres dalots d’évacuation des eaux des vagues (même pas nettes) .

Aménagement des cabines, hublots, et peintures finales.

Mort de rire, la première mise à l'eau, c'est pas pour tout de suite.

En faits c'est pour tous ces détails qui prennent un temps fou que je construit une coque rapidement.

La coque de la chaloupe à vapeur sans tous ses détails à été faite en une semaine, car bordés déjà peint en blanc extérieur.

Ses aménagements de coque et de pontage avec arrière de conduite, plus Equipement vapeur charbon, m'a demandé un an, moteur, chaudière et périphériques plus les essais soit au pif entre un et deux ans.

C'est une chaloupe construite en tant que laboratoire d’essais thermos dynamiques, pour essayer divers aménagements de fonctionnement du groupe évaporateur.

Sur ce pousseur ça sera pareils, laboratoire d’essais d'une propulsion double de moteurs Thermiques.

Pour moi ancien marin, faire des bateaux, c'est presque plus facile que de faire des engins TP, vu que ça a été ma tasse de thé sur de nombreuses années, partagées entre modèles volants, navigants et roulants.

Tu ne serai pas le premier à injecter de la mousse pour parfaire l'étanchéité et rendre le bateau insubmersible.

Oui bien sur je plaisantais, y a encore pas mal de taf dessus. Et en modélisme comme ailleurs, l'adage qui dit, il faut 20% du temps pour faire 80% du travail et 80% du temps qui reste pour les 20% de travail restant

Tout à faits, alors ce matin descente à la cave pour fileter le bout de l'arbre sur 28 de long, mais que c'est dur de fileter un axe inox de 5 sur filière, j'ai du forcer comme un bourricot pour amorcer les premiers filets en manuel, pour cela j'aie une vieille clé plate de 11 qui me sert à prendre les mors du 3 mors les uns après les autres pour faire bras de levier, une fous amorcée sur 2 tours, je l’enlève du porte filière, déssere le 3 mors et transplante le tour en étaux horizontal pour reprendre la filière en porte filière manuelle, et en huilant bien et en forçant ça arrache des copeaux. Mème si filière extensible, diamètre et pas sont respectés, j'ai pu y placer l'hélice et son moyeu écrou de blocage.

J'en ai profité pour couper un bout de tube laiton de 12x14, servant de support final à la chaise d'hélice, que j'ai travaillé sur le BD. en l'alésant à l'outil centièmes par centième.

Puis à l’étau machine le percer de part en part à 2,5 pour tarauder à 3.

Pour le coté accouplement moteur, j'ai retrouvé un accouplement souple dana mon stock, deux pièces plastiques durs mécaniques enserrant un blochet caoutchouc dentés qui rentre pile poil dans les deux supports.

D'un coté l'un d'eux sera serré sur l'arbre après pose d'une entretoise, l'autre aura un montage avec l'un des os en H dont une boule aura été sciée, parce qu'en faits je suis obligé de faire ce type d'accouplement, les sorties du différentiels sont avec ce type d’entraînements en acier trempés cémentés.

L'axe de l'os ou cardan a boules en H a un diamètre de 4 mm, il me faut le braser dans une entretoise laiton de 7 serré par la vis de l'un des accouplements.

J'ai aussi un cardan plus classique mais de toutes façons je suis obligé de re travailler un demi os.

L'accouplement OLdam me parait plus approprié il compensera les a coups qui peuvent se produire et légers désalignements.

Alors le joint oldam à fondu lors du perçage de son insert, alors j'ai utilisé un gros cardan à croisillon re travaillé avec le demi os monté dans un fourreau de 7 et coté arbre une clavette de 2,5 acier trempé le traverse, ces fameuses clavettes auto que j'avais mises sur les axes des masselottes d'embrayage.

Alors, avant de mettre en place j'aie coulée de la mousse dans le demi lobe inférieur droit.

Drôle la mousse est blanche, et s'expanse drôlement, nettoyage à l'acétone qui fait disparaître la mousse, et pour le nettoyage de la canule d'injection c'est l'idéal.

Sec au bout de 15 minute dure au bout de 2 h, j'attendrais ce temps et je découperais l'éxédent pour injecter dans le lobe gauche.

Re belote deux fois, ce qui me permettra la pose provisoire de l'arbre munis de son hélice en vue de la fabrication de la chaise d'hélice.

Marrant cette mousse elle s'est expansée à coté dans le gauche mais pas assez, j'ai fait un trou dans la mousse dure pour en placer un peu.

C'est surtout le fait de nettoyer de suite la canule. et la cartouche peut resservir.

Une fois dure ça se coupe facilement au cutter ou à la scie, et ça se lime bien avec une grosse bâtarde.

Demain matin course aux impôts, et en après midi pose provisoire de la quille et étambot pour les débit de la chaise d'hélice.

Pour elle en faits il me faut faire un autre sandwich de deux tôles de 1,5 de 20x106 qui va se placer sous le contre coude, parce que dans mon idée, placé près de la tuyère elle ne pouvait pas gouverner, mais placée plus en avant, je puis virer à 45° de chaque coté.

Sous la quille laiton un petit plat de 12x3 y sera vissé, sur lui le montant, vu que je suis obligé de faire un montage à blanc, je vais faire cela savamment par tenons et mortaises rivées et soudées étain si j'y arrives avec 30 watts.

Ce montant devrait être rivé sur le tube support d'étambot. Puis dessous partent deux plats en Y entre le tube et le support sandwich aux bords relevés.

Mais en faits de tenons mortaises je puis aussi tout visser avec des vis de 2 mm, et faire le montage en situation, de sortes qu'au démontage rien ne bouge pour les brasures argent.

Parce que j'aie pas la place à la cave de descendre la coque, c'est déjà petit.

Il me faudrait faire mon débit sur ma tronçonneuse rapide sur bâtis.

D'autres parts, j'ai commandé à BG 4 mini ventilo 12 v de 50x50x10 pour placer sous les manches à air, en insufflateurs et en extracteurs, j'en ai pour 7 € les 4

Collage de la quille, un prè montage de l'arbre d'hélice en tuyère.

Très bien tout ça. D'ailleurs si tu brases argent du laiton, tu n'as pas de phénomène de rouille ?