Bull pousseur PR 764 de Liebherr

Sur un forum concurrent, un des membres se targue de refaire en mieux son PR 764, au jour d'aujourd’hui, avec des machines modernes, aidé par de nouvelles technologies.

Mais à l'époque quand il m'avait demandé de lui en fabriquer un, les technologies étaient débutantes, et j'ai fabriqués ces deux modèles avec les moyens du bord, et mes propres connaissances en métallerie.

Comme d'habitude sur ce forum, il font des allusions grotesques et méchantes et désobligeantes ?

Moi je dit que quand on se nomme Modéliste, on se débrouilles, on n'en demande pas la fabrication à un autre modéliste, si son modèle ne lui à pas plus quelques années plus tard, il en avait accepté les termes et la finition à la livraison.

Maintenant s'il s'en mord les doigts, lol pour ne pas dire autre choses ?????????????, il n'avait qu'à se le construire lui même, il n'aurait alors qu'à se fouetter lui même s'il n'en est pas content ?

La critique est toujours facile après coup, l'art est autrement plus difficile.

Pour moi l'affaire est close, pour lui, il en reparlera avec ses amis encore pendant quelques années, ce qui m'amusera fort.

Continuez dans ce sens mes amis, vous m'amusez grandement ?

Pour cet engin, son gros défaut, est le mécanisme de réduction de la chenille gauche, qui passe par dessus celui de droite, je m'explique :

S'il est facile pour des concepteurs professionnels de concevoir des entrainements indépendants pour chaque chenilles, comme pour les chars de combat, il est autrement plus difficile de les concevoir autours de réductions planétaires et de moteurs brushless.

La mécanique d'entrainement de cet engin date de 2010, à une époque ou l'on avait pas encore tous le matériel dont on dispose aujourd'hui.

L'exiguïté dans le carénage fait qu'il n'est pas évident de tout caser. Car j'ai voulu faire des réductions droites, comme les chars de combat.

Bien sur il y a aussi les entrainements à renvois d'angles, qui sont plus facile à élaborer, et prennent bien moins de place.

En 2010 je n'avais pas les commodité d'un atelier bien disposé, ce qui est le cas aujourd'hui.

En faits voulant du couple aux chenilles, je dispose d'une double réduction : Réduction planétaire primaire, plus réduction de 1/4 sur roues dentées en sorties, mes barbotins étant montés en roues libres sur un fort axe acier de 10 mm.

Le montage de renvois d'angles ne pose donc aucun problèmes.

Premier travail donc : monter mes réducteurs planétaires dans des carrés alu de 40x40, ou autre bloc de façon à faire un bloc commun de deux réducteurs, puis montage plus sérieux des moteurs brushless.

De la, faire un montage unitaire avec les demi arbres d'entrainement sur chacune des roues dentées de sortie.

Gros avantages c'est que ce montage peut se faire indépendamment du bull.

Je penses que la, est ma solution définitive, car c'est un engin, même s'il n'est pas beau, me convient très bien, et je puis dire que du point de vues constructions, MOI je n'aie jamais demandé à personne de me construire mes modèles ?

Je reviens sur ce super modèle mal foutus, d'une part supprimer la rehausse et remettre son carénage comme il était avant, puis étudier soigneusement une nouvelle motorisation réduction intégrée dans un bloc alu fraisé.

Pour ce faire j'ai remontés plusieurs modèles chez moi, vu que dorénavant j'ai un mini chantier qui me permet leur exploitation, les réviser, les réparer, pour mieux les utiliser.

Alors démontages complet des deux moto réducteurs, ils sont à présent tombés, et les motos réducteurs ne sont pas si moches que cela.

En faits ce qui m'a toujours handicapé c’était la maintenance, les démontages et remontages étant laborieux, et très souvent pour des bricoles de rien du tout.

Partant sur le principe du bloc moteurs, mes deux moto réducteurs sont montés sur des plaques alu extérieures de 3/4 mm.

Déjà dans un premier temps les relier l'un à l'autre par l'axe des barbotins, c'est à dire une tige filetée de 8, avec une entretoise intérieure, correspondant à la largeur pile du châssis caisson de 107 mm, Puis découper proprement les joues arrières du bull, de façons à enfiler ce bloc moteur par le haut dans le châssis.

En faits c'est de refaire les deux joues alu supports moto réducteurs, de façons à les relier par entretoises, pour en faire un bloc compact, ainsi fait ce bloc moteurs et ses joues tiendraient en place sur les parties fortes du bull, par vis de 3 extérieures.

Un problème se présente en activité, démontage des chaines, et extraction du bloc moteurs et des barbotins, et réparation séparée de l'engin, et pas sur lui.

Puisqu'ils sont démontés, ça me permettra de changer les pignons moteurs déjà bien usés par l'abrasion des pondéreux.

Et puis gros avantages, d'un bloc moteurs indépendant, c'est de pouvoir travailler des protections des couples pignons roues d'entrainement.

En faits de bloc moteurs massif, j'ai accolé mes deux moto réducteurs, provisoirement avec une entretoise enfilée sur l'axe des barbotins.

Mais demain elles se placeront ailleurs, car j'ai refait les deux flasques qui maintiennent les moteurs, en alu de 4 mm.

Une fois entretoisés, ces deux moteurs n'en feront qu'un seul bloc, qui glissé par le haut du châssis caisson, se reprendront sur celui ci.

Mais cet engin n'en est pas à ses premières motorisations et réductions, il y en a eue trois avant celles ci, qui toutes ont cassées.

Car un bull pousseur, c'est fait pour pousser, et il faut du couple aux moteurs pour bien pousser. Et il est impératif que toute la chaîne de réduction suive. Les réducteurs planétaire, c'est ce qu'il y a de mieux et solide.


On à l'imprèssion que le moteur est tordu, imprèssion d'optique photo prise de trop près.

Le bloc moteur relié par des tirants en tiges filetées de 3 avec écrous.



De l'autre coté la mème chose, plus le tirant acier laiton pris sur les paliers de l'axe des barbotins.



Et ici ce tirant à été enlevé.

En faits il sert juste à conserver l’écartement entre flasques supports, une fois enlevé et le bloc remonté sur l'engin, l'axe porteur véritable est remis en place.

La remise en place comme je l'avais prévue, est impossible, j'ai donc taillé encore dans le lard, mais ce n'est pas la solution.

J'en ai trouvée une autre vu que tout l'arrière ressemble à du gruyère Suisse, je l'ai carrément découpée au ras de l'axe oscillant des patins de chenilles.

Dans ces conditions, la remise en place du bloc peut se faire directement sur le châssis, mais.

Le châssis est de la tôle alu d'un mm, et à l'intérieur se trouve différends renforts structurels et de montage de la superstructure.

Il me faut simplement poser à droite et à gauche à l'intérieur des pièces alu de 2 mm de renforts, ces pièces seront rivées au châssis, et c'est sur ces pièces que se montera le bloc moteurs.

Puis en acier, soudé brasé, reposer un arrière fabriqué en conformité de l'autre percé de toutes parts.

Je reviens en fait à mon idée du bloc alu incluant la façade arrière de l'engin avec ses bossages supports de ripper.

Pour ces supports, très tôt , j'avais enlevé le riper une dent, car dans le contexte de nos expositions, il ne sert à rien.

Certes le ripper fait maquette, dans le sens ou l'on collectionne les engins de TP, moi je ne les construits que pour m'en servir, et sur certains engins , il y a des accessoires totalement inutiles.

En faits sur ce bull, un crochet de remorquage est plus utile qu'un riper.

Comme je n'ai pas envie de refaire tout le modèle, je réadapte la partie arrière tronçonnée, bien sur pas si facile que ça.

De faits j'ai du tomber le bloc moteur pour etre plus à l'aise.

Une fois ce coffrage remis en place, je remonterais l'ensemble au cul de l'engin.

Cette nouvelle disposition est plus facile à monter et démonter juste 4 vis de 3 à dévisser, et tout le bloc s’enlève.

Par la suite, je voudrais refaire la disposition de l'équipement, à l'origine j'avais montée une batterie plomb 12 v 7 amp en fond de caisse, rechargement par micro fiches bananes sur le coté.

Par la suite j'ai changé pour une lipo de 3 S, mais pour leur recharges il vaut mieux l'enlever du modèle, l'ancienne disposition n'est plus du tout pratique.

Pour bien faire, tout l’équipement de marche et hydraulique devrait etre en fond de caisse, et l'accu lipo posé sur un support au dessus, juste à enlever la cabine carénage pour recharger la lipo.

Pour la remise en route, c'est pas gagné, déjà les 3 vario sonnent, mais celui de pompe ne veux pas démarrer., celui de chenille gauche à tourné avant arrière mais pas à droite, pourtant lipo chargée , et émetteur chargé, il va falloir peut etre re binder le récepteur, en effets dans le cas de longues utilisations, le bindage se perds, et il faut recommencer les procédures.

Il est évident que si le récepteur ne réponds pas à l'émetteur les varios feront sonner les moteurs indéfiniment.

Ici nous avons affaire à une radio Futaba F 14 et module Corona, donc procédure corona.

Ca serait du Taranis, la procédure pourrait etre différente, de toutes façons il me faut tester le dahox, et voir s'il démarre.

Coté radio Taranis, je ne me souvenais plus comment on retrouvais les modèles ? J'aie posée la question sur le forum Taranis, et j'aie eue la réponse : on met en route l'émetteur, puis appuis court sur menu, ce qui ouivre après recherches avec plus et moins, la page des modèles.

Alors appuis long sur Enter pour rechercher le menu : sélection du modèle, alors appuis bref sur enter, et le modèle est activé.

Si l'on ne fait pas la bonne procédure, ça ne marche pas.

Qu'en sera il sur le modèle ? Sur la pelle job, la partie pelle à bien répondue, mais pas la partie châssis ou le vario de pompe sonne en permanence, donc à réviser par démontages.

Faut pas s’énerver, et rechercher par éliminations.

Après la sieste, je vais rechercher mes pannes possibles appareil après appareils.

En faits les deux varios inverseurs des chenilles fonctionnent, le vario de pompe aussi, mais curieusement sonne et ne démarre pas sous radio, j'ai donc mis l'autre vario de 45 amp dont je disposais.

J'ai du refaire aussi le câblage alimentaire, et poser une triple prise Dean Rouge pour chacun des varios.

Je supprime le servo biper de recul, trop pénible en appartement, mais je conserve celui des lumières.

J'ai viré le tube alu qui les supportait et mis à la place le réservoir d'huile.

Les deux varios de chenilles prendront place sur un plat alu supporté par les deux cornières d'assemblage du bas de caisse, protégé ainsi des fuites d'huile en bas de châssis.

J'ai virés aussi les surhausses du carénage, l'engin retrouvera son profil d'origine.

De faits la batterie lipo 5 amp va pouvoir prendre place en berceau supérieur.

Le carénage tient en place d'une part son capot avant enfiché sous le support avant des vérins de relevage lame, et grâce à une vis sur l'arrière, de sortes qu'enlever le carénage ne pose pas de problèmes pour échanger les lipo.

Je ne change rien au support de lame avant, il me donne satisfaction. même si certains le qualifie de moche.

Je dirais que ces certains sont encore plus moches que mon engin.

Ce matin remontages des varios après tests sur le testeur de servos et sur les moteurs.

J'ai mis en conformité toute la connectique par fiches dean rouge, et je ne saurais trop le recommander à tous ceux qui débutent, les alimentations par dominos électriques n'est pas la bonne solution, il faut se choisir un connecteur et les garder pour tous les modèles, en standardisation.

Je me rappelle maintenant, c'est Volvo 25 qui m'avais monté la radio sur l'engin, il avait construit une centrale éléctronique déclanchant la pompe sur action des manches hydro, comme le relevage lame et riper, ou l'orientation lame et riper.

J'ai virés depuis longtemps le superbe riper donc deux voies, actuellement les vérins de réglages de lame fuient, je les ai virés, je ne travaille plus que sur le relevage de lame.

De tous ces rappels, je ne me rappelle plus ou l'on avait noté tout cela.

Pour l'heure tout fonctionne mais pompe manuelle sur interrupteur, par la suite je monterais ma Taranis, sur :

1 voie pour la chenille gauche.

1 voie pour la droite.

1 voie pour le servo du distri lame.

1 voie pour la pompe.

1 voie pour les feux, actuellement sur déclenchements servos, qui peut etre remplacé par un PS4.

On a donc besoin de 5 voies, un récepteur taranis 6 voies fera parfaitement l'affaire, et dans ce cas la pompe sera déclenchée par le relevage de lame.

Pour cet engin j'avais une radio Futaba F 14 et je m'étais offert le manche double NAVIG, assez cher 125 € il y a dix ans.

Avec la taranis, on fera des mixages de chenilles sur un manche, dans le sens logique, : Manche de gauche d'avant en arrière sens de marche, puis à droite et à gauche pour la direction, et peut etre un second mixage pour la reverse des chenilles pour virer sur place.

Ce matin les chaines sont nettoyées et remontées, la lipo 3 s prends place à l'intérieur, et le carénage referme l'ensemble.

Essais cet après midi sur le chantier, mettre un peu d'ordre sur le tas de terre, et quoi de mieux qu'un bull ? On peut l'apparenter à une raclette.

J'attends que Stéphane rentre de vacances pour lui demander si je commande un 6 voies ou un 8 voies ?

Je me rappelle maintenant, c'est Volvo 25 qui m'avais monté la radio sur l'engin, il avait construit une centrale éléctronique déclanchant la pompe sur action des manches hydro, comme le relevage lame et riper, ou l'orientation lame et riper.

J'ai virés depuis longtemps le superbe riper donc deux voies, actuellement les vérins de réglages de lame fuient, je les ai virés, je ne travaille plus que sur le relevage de lame.

De tous ces rappels, je ne me rappelle plus ou l'on avait noté tout cela.

Pour l'heure tout fonctionne mais pompe manuelle sur interrupteur, par la suite je monterais ma Taranis, sur :

1 voie pour la chenille gauche.

1 voie pour la droite.

1 voie pour le servo du distri lame.

1 voie pour la pompe.

1 voie pour les feux, actuellement sur déclenchements servos, qui peut etre remplacé par un PS4.

On a donc besoin de 5 voies, un récepteur taranis 6 voies fera parfaitement l'affaire, et dans ce cas la pompe sera déclenchée par le relevage de lame.

Pour cet engin j'avais une radio Futaba F 14 et je m'étais offert le manche double NAVIG, assez cher 125 € il y a dix ans.

Avec la taranis, on fera des mixages de chenilles sur un manche, dans le sens logique, : Manche de gauche d'avant en arrière sens de marche, puis à droite et à gauche pour la direction, et peut etre un second mixage pour la reverse des chenilles pour virer sur place.

Ce matin les chaines sont nettoyées et remontées, la lipo 3 s prends place à l'intérieur, et le carénage referme l'ensemble.

Essais cet après midi sur le chantier, mettre un peu d'ordre sur le tas de terre, et quoi de mieux qu'un bull ? On peut l'apparenter à une raclette.

J'attends que Stéphane rentre de vacances pour lui demander si je commande un 6 voies ou un 8 voies ?

Ca y est le bull fonctionne, mais le chantier est exiguë et la chenille droite se .......................... dé chenille, nez en moins j'ai repoussé un peu de terre sur l'arrière.

Puis j'ai remis en fonction le tracteur xérion 5000 avec sa pelle rétro dont malheureusement la flèche ne monte pas assez haut limitant ses capacités. Mais j'ai joué avec pour continuer à déplacer ma terre.

Pour elle il lui faudrait une révision pour augmenter ses angles d'actions.

Dans la continuité, remonter la pelle Liebherr 964 du garage, car l'alimentation secteur va revenir, mais une autre , la même que celle que j'aie niquée. lol.

J'ai aussi remonté l'élévateur télescopique, pas vraiment utile sur ce chantier, mais il faut qu'il fonctionne à nouveau pour le fun.

Pour avoir plus de débattement d'actions d'engins il faudrait que je leur fasse un piédestal amovible, quoi de mieux que le retour avant gauche ? Assez de place pour hisser une grosse pelle par ses propres moyens.

Coté rampes ça glisse part trop, il faudrait que je colle soit de la grosse toile émery, mais qui va vite s'encrasser, soit coller clouer des listons minces en formes de barreaux d’échelles, certainement plus accrocheurs, et nettoyables.

Il faut que je m'en trouve de 3 mm d'épaisseur. Ou débiter ces lardons dans du CTP de 3 mm ? Ou encore baguettes de bois dur de modèlisme. Il faut que mes camions bennes puissent monter ?

Tu ressors désormais toutes tes créations ! De quoi s'y mettre ! Le chantier promet !

Hé oui mon ami, vu que généralement je ne finis pas mes modèles et que je passe à autre choses, tôt ou tard il faut s'y remettre.

Faire un chantier extérieur c'est bien à conditions d'avoir des engins qui fonctionnent.

Ou en est tu de ta pelle ?

Soit pour améliorer ou pour refaire des choses parfois faite vite fait oui je conçois qu'il faille ressortir ces machines.

J'ai posté sur mon post

Plus je regarde mon bull, dans sa forme actuelle, plus je le trouve dégueulasse, a forces de modifications.

Celui de Christopher sur engin, remastérisé alors que c'est moi qui le lui ai construit, mais a une époque ou Christopher n'avait pas envie de se casser le cul a se construire son engin.



Construit un peu beaucoup maladroitement en tout alu assemblés par rivetages et mastiqués, je puis les qualifier maintenant avec le recul du temps, Mal foutus.

Je vais donc lui refaire un bas de caisse plus conforme mais en acier brasé brox, puis récupérer le haut de l'engin plutôt bien fait, et son ripper également.

Le brancard et la lame de même facture mal branlés seront aussi refaits en acier pour pouvoir les assembler plus facilement par brasures.

J'ai bien essayé de copier ses photos, mais prises dans un très grand format, incompatible avec notre forum.

Et pour cela , j'ai commandés deux moto réducteurs à boites carrés en 12 v sortie à 40 RPM en moteurs charbons. Posé verticalement en arrière et dont les axes montés sur roulements sont suffisants pour assurer sa traction.

Coté chenilles ce sont celles fabriquées en acier, avec les barbotins.

Bien sur refaire des patins en acier plus conformes au modèle original.

Cater a achetée une pompe chinois chez ALI, en fin de compte sur un bull pas besoin d'une pompe hyper performante car il ne faut relever que la lame et l'orienter sans charge, et pareils pour le ripper, la pompe que je lui avait fournie d'origine montée sous  brushless était bien suffisante.

Coté vérins ceux du brancard sont suffisants, mais je devrais revoir ceux du réglage de lame qui fuient.

Coté Riper ils fonctionne bien en faits ils ont très peu servis, parce que sur ces engins on a pas vraiment à dérocter sur nos mini chantiers, ça serait juste l’exacte représentativité de l'engin originel.

A noter que Christopher à conservé celui que je lui avait fabriqué de très belle facture.

En faits je les ai fabriqués en même temps en mini série rigoureusement identiques.

Actuellement l'engin est conduit par une radio Futaba en 2,4 g, mais la radio F 14 de type marine avec le manche gauche double parralléles pour la conduite des deux chenilles en simultanéité, embrayables ensembles et débrayables.

On a donc la directivité et les sens de marche sur ces deux manches. Au manche de droite est dévolue la lame et son réglage.

Pour le Riper, un joystick en façade tel que l'a monté Greg sur sa radio aurait été le bien venu, sur les voies 5 et 6.

La 7 conserve son réglage de pompe, et la 8 aux feux de travaux et de route.

Bien sur que si je le refait au propre, cet engin ne pourras pas etre vendu au prix proposé actuellement de 800 €, mais disons le double 1600 € en état de marche avec sa radio.

Sa batterie originelle était un accu plombs solidifié, une lipo 3 S fait aussi bien l'affaire en 5/6 amp.

La nouvelle disposition des moto réducteurs fait gagner une place énorme, ces moto réducteurs font hors tout 115 mm de longs sur 50 de large, on gagne donc 65 mm en longueur mis a profit, pour le reste de Equipement, pompe et distributeurs.

Un jour, je voudrais te voir faire une construction mécano-soudée,mais avec un défi supplémentaire (si t'en sens les épaules et si tu sais faire,moi, malgré mon diplome je n'ai jamais réussi à le faire correctement), le faire par soudure autogène acier/acier
Je suis sûr que tu peux le faire (en plus de baisser ton coût de revient par suppression de l'argent comme métal d'apport)
Je ne sais pas si ça se trouve pour ton flambard,mais le mien (oxybutane)avait des micro-buse pour la soudure de précision, par contre super chiant à régler, vu la taille du dard à obtenir


EDIT: faudra que j'arrête de vouloir taper sur le clavier quand j'ai mes gouttes de larmes artificielles dans les yeux, je vois tout flou, je fais plein de fautes de frappe, je suis obligé d'éditer après

Bien sur que je sais souder autogène, mais comparativement à la brasure argent, le brox laiton est 10 fois moins cher.

En règles générales quand je soude de ces façons, je pointe à l'argent car c'est rapide et ne déforme pas les tôles minces, quand je dit je pointe, je faits des points de brasures espacés de 15 mm, mais comme l'argent est très capillaire celle si s'étends sur le joint sur une plus grande longueur, de faits est économique.

Le brox est d'avantage réducteur il faut chauffer plus d'ou des déformations structurelles qu'il faut redresser par après.

Quand à l’autogène c'est encore plus réducteur et déformant par dilatations retraits surtout sur tôles minces.

Faut pas croire Mike, je ne suis pas un bricolo sur les métaux, mais un véritable serrurier chaudronnier qui connait parfaitement les techniques utilisées.

Manu lui est spécialiste des soudures au tig sur alu, moi je suis bien moins spécialiste car je n'aie pas de poste sous tig, ni sous argon d'ailleurs parce que dans mon métier je n'aie utilisés les alu que comme FACA pour des devantures de magasins autres façons d’utiliser les profilés d'alu, la, le précision est de rigueur, en fonction publique en 25 ans de pratique j'ai du utiliser 5 systèmes différends incompatibles entres eux.

Par contre vu que nous bossions sous chlore de traitement des eaux de piscines, utilisation des inox en 307 L qui ont tendance a se corroder au niveau des brasures  et soudures arc puis du 318 amagnétique ne contenant aucun acier doux, et soudés arc avec baguette enrobées dans la nuance du métal de base, pour faire des barrières tubulaires a durée illimités, mais cela a été un long cheminement de décisions aux différends niveaux administratifs, pour faire admettre ces métaux.

De faits et sur la volonté du patron ou des chefs on fait suivant les moyens demandés

Dans toute ma carrière j'ai fait 10 boites de serrurerie chaudronneries charpentes métalliques, donc très formatrices sur l'éventails des spécialités proposées, puis rentré en fonction publique territoriale avec une plongée technologique de 25/30 ans en arrière, ou l'on bossait avec bite et couteau, et c'est mes technologies de débrouillardises qui ont sauvés mon emplois et mon poste devant la totale incompétence de mes chefs qui n'etaient que des ivrognes et des branleurs.

Je doutes pas de tes capacités, bien au contraire,mais comme tu sais avec le temps, et avec moins de pratique, parfois on a des choses qu'on ne sait plus faire, et j'avoue que je serais bien incapable de faire une jolie soudure autogène (d'ailleurs ,  bizarrement , je m'en sortais mieux avec le brox,j'en ai encore 3-4 baguettes, et j'ai même 2 baguettes argent,je ne sais même plus pourquoi je les avais achetées) j'étais le désespoir,du prof la dessus, jamais pu concilier belle soudure et bonne soudure étanche.
Mais avec une microbuse, je pense que sur tôles minces on peut s'en sortir
Je sais bien pour les déformations, quand on soudais sur du 50-60, du 20-27 ou du 26-3, on passait pas mal de temps à tout redresser.

J'ai reçu ce matin de BG mes deux gros moto réducteurs à boites rectangulaires et vis sans fin pour la réfection de cet engin.

Il faut juste que je commande à mon fournisseur un bout de tôle de 1 mm, ou faire un tour du coté de mon Leroy Merlin prendre un coupon pour refaire le bas de caisse, telle une .................................caisse.

Chacun des moto réducteurs vont se retrouver presque verticaux, juste un peu penchés sur l'avant. Remplacer les deux groupes actuels en brushless par deux varios charbons.

Ce qui va me permettre de gagner une place considérable pour Equipement de bord.

J'ai donc approvisionné 1/2 M2 de tôles acier d'un mm décapée qui m'attends sagement en bas dans mon atelier.

Tout comme le D 5, c'est un projet de réfection partielle qui me tient à coeur, ne serait ce que en vue de sa revente d'un engin parfaitement fonctionnel, et moins compliqué en motorisation et réductions que les groupes actuels.

Durant le confinement, j'avais commandés deux moto réducteurs az boites carrées costauds au charbons, pour refaire sa motorisation en vue de revente éventuelle, car dans son état actuel il marche mais est dégueulasse et personne n'en voudrait.

Cette formule électro serait encore la meilleure a moindres frais et emmerdements.

Mais voila, je vais disposer de deux moteurs toyan de 3,5 4 temps, et aimerais assez me faire chier à le motoriser avec.

Ces moteurs sont donc pourvus d'un ventilateur de refroidissement, sa compacité le ferait rentrer dans le bull, relativement à l'aise, directement derrière la calandre à grille donc une aspiration d'air idéale.

Les problèmes sont : la transmission des mouvements aux chenilles, et leur réversion du sens de marche.

Le moteur possède son démarreur électrique incorporé et un embrayage centrifuge a cloche à à masselottes, l'entrainement sur sa cloche est un pignon denté, c'est dire qu'à partir de la il lui faut un réducteur de vitesses, doublé de deux inverseurs pour chacune des chenilles, mais que je ne sait pas du tout comment c'est fait.

En sortie d'embrayage je dispose d'un pignon de 13 dts au module 1 qui peut entraîner un double réducteur épicycloïdal de perceuse Hitachi de récupération à deux vitesses.

A sa sortie il peut entraîner deux réducteurs épicycloïdaux, ceux qui sont actuellement sur l'engin mus par des moteurs brushless. puis des réducteurs sur renvois d'angles au rapport 1/1 en sortie finales.

Il me faut disposer sur la cloche d'embrayage d'un frein a ruban, de manières a bloquer la transmission a sa source, et en mettant le moteur au ralentis de débrayage, freinage indispensable pour passer d'un mode de transmission avant, à transmission arrière par pignons droits indépendamment sur chacune des deux transmissions.

De faits ces inverseurs, sont des baladeurs à pignons satellites, dans un sens la transmission se fait sur un satellite, et dans l'autre sens sur deux satellites le second inversant le sens de rotation.

J'avais pris pour habitudes de loger mes trains planétaires dans des carrés alu de 40x40 par 45 de longs, donc pas tellement encombrants, sachant que le diamètre des cloches à dentures intérieures font 37 extérieures.

Il est bien évident que j'aurais tout aussi bien pu faire ce système d'inversion du sens de marche sur le pousseur, mais j'avais encore une fois, envie d’essayer mon différentiel d'inversion, disposant déjà d'un différentiel de voiture thermique.

Revenons sur notre PR 764 :

Le moteur s'embraye sur le premier réducteur à deux vitesses, ces deux vitesses se passent en débrayage sur servo costaud à engrenages métalliques, (j'en ai d'ailleurs un sur le Dahox ou Camox, débardeur forestier) pour une vitesse sur route, et une vitesse montagne, le servo utilisé est passé à travers électroniquement, un tower pro devrait lui redonner ses deux vitesses ?

La passation des vitesses se font sur une course courte au servo grace à un excentrique, on a ainsi des courses strictes.

Et donc les trains des chenilles bénéficient tous les deux des variations de vitesses mécaniques.

Les deux inverseurs du sens de marche peuvent se faire en sorties de chacun des planétaires de sortie, juste avant les renvois d'angles qui entraînent chacun un barbotin.

L'engin actuellement pèse 15 kg, les moteurs brushless sont minuscules diamètres 25, car c'est l'ensemble des réductions qui font la force de l'engin.

Bien sur un accent particulier devra etre fait sur l’échappement et la diminution du bruit, et ne fonctionner qu'en extérieur.

Si mon affaire fonctionne, je ferais le pieds de nez à mon ami Marc P du forum des engin (sans s) de guillaume, le forum concurrent à nous qui avait un magnifique bull thermique mu par un 4 temps de débroussailleuse de 25 cc qu'il a transformé en électrique étant perpétuellement emmerdé par des problèmes de transmissions cassantes du fait de la compacité de son engin au 1/10 et difficilement échangeable.

Bref le seul modéliste connu ayant réalisé un bull à propulsion thermique, un grand dommages et une immense perte cette transformation. Alors qu'il lui aurait été facile d'en refaire un autre en tout électrique.

Un truc auxquel j'ai pensé il y a quelques mois : pourquoi ne pas monter un 4 temps toyan dans mon PR 764 ?

Avec les boites d'inversion mécanique de chez Stirling (chine), ça nous ouvre encore des horizons.

Je pose ici ces conditions.

Moteur transversal avec son radiateur, qui avec son embrayage à cloche en réduction, attaque la boite d'inversion, qui en sortie attaque un différentiel, lequel entraîne les deux chenilles, avec sur chaque demi axes un frein a disque.

Outre le moteur qui est le nerf de l'engin, la boite d'inversion, assure la marche avant, le neutre , et la marche arrière.

Le différentiel assure la marche des chenilles quelque soient leur sens de marche, tandis que le blocage des demi arbres assure les virages dans chaque sens, droite et gauche, en avant ou en arrière.

Une batterie embarquée lipo 3 S de 5 amp assure les démarrages, l'allumage bougie par radio, et le fonctionnement de la réception, et bien sur celui de la pompe hydro pour le relevage de la lame de pousse et son réglage d'angle.

Un tel montage est au prorata de la largeur de la caisse en tôle d'acier d'un mm.

Tel quel ce moteur demande 140 mm.

Alors autre solution, un moteur en ligne attaquant la boite inverseuse par rapport d'angle à 90 ° en réduction.
Dans ce cas le moteur sera radiateur en arrière, placé sur un coté de la caisse, pour s'engrener sur son rapport d'angle hélicoïdal (moins bruyant) placé en boite support, et attaquant directement la boite d'inversion.

Et l'on se retrouves dans le premier cas cité plus haut.

A part la boite d'inversion et son crabotage, c'est la seule partie mécanique qui craint, mais faite pour cela.

Ceci posé, la refonte de mon bull a été envisagée dans ce sens, en révision de sa largeur de caisse au prorata du nouvel équipement, la place laissée disponible à coté du moteur, sera propice à l'installation de la pompe hydro et du distri 2 voies.

L'actuelle largeur de caisse est de 110, je puis aller à 120, ce qui laisserait 30 mm de jeux d'un coté, pour la pompe, qui peut etre renouvelée par la petite MAGOM, et le distri 2 voies perso d'inspiration Leimbach.

Le truc étant de réaliser un groupe moto propulseur le plus compact possible logé dans cette caisse.

En faits j'ai dit moteur arrière, ce qui est faux , vue la configuration de ce bul qui est munie en face avant d'une large grille de passage d'air.

Donc radiateur posé directement contre la calandre, sans pertes de place, le Toyan, qui se termine par son embrayage centrifuge, soit sur engrenage, mais plus surement sur boite de renvois d'angle en réduction, spiro conique de type A1-47-20-50 rapport 1/2,5, 20 dts sur 50 dts, diamètre 31,8 et 75,7.

Le moyeu du petit engrenage fait 25 extérieur peut etre y aura il assez de matière pour coiffer les embrayages commandés chez Stirling ? et si ces cloches a poulies pouvaient etre usinables pour en diminuer le diamètre en vu d’être mieux coiffé de l’engrenage conique.

Donc au départ moteur, diminution de 1/2,5, sur la boite d'inversion je ne sait pas, mais en sortie sur le différentiel de marche, la couronne dentées d'angle peut etre remplacée, par un roue crantée suivant diamètre de la cloche, augmentant par la le taux de réduction final.

En charge on peut estimer la vitesse moteur à 10000 tours, divisée de 2,5=4000 tour sr la boite d'inversion, peut etre en sortie y a il une légère réduction ?

Si j’applique en sortie de boite une réduction de 1/4, je me retrouve à 1000 tours sur barbotins  encore rapide.

La boite d'inversion :

Au rapport de réduction de 2,3, et 2,4. On peut estimer que 2,3, c'est la marche avant, 2,4 étant la marche arrière.

Je reprends sur la vitesse d'entrée de boite à 4000 tours, en sortie de boite en marche avant =4000:2,3=1739,1.

Si je diminue encore la vitesse aux barbotins de 1/3 par exemple ? 579,6, et au 1/4=434,7 ce qui est plus raisonnable.

434 au chenilles c'est 95 au diamètre.

434x95=40301 mm/min, ou 40 mètres minute.

En faits aux barbotins, le diamètre final de la couronne du différentiel, sera au prorata de la distance le séparant du fond de caisse, bien q"un carter enveloppant en secteur puisse etre posé en dessous.

J'en reste la de mes suppositions car il me faut démonter mon bull, pour en prendre les mensurations actuelles.